examen prat inf 1 Flashcards
Déterminer et ajuster le PTI.
*Pose le constat des problèmes et des besoins prioritaires nécessitant un suivi particulier (± un diagnostic infirmier).
* Fait état des directives infirmières qui seront réalisées par l’équipe de soins pour assurer le suivi clinique
* Constitue une note d’évolution complémentaire
–>analyse et interprétation et planification
–>nécessite suivi selon directives inf(surveillance et soins)
–>besoins prioritaires
–>décisions et justification dans notes évolution
¤ Information minimale à inscrire
n Motif d’hospitalisation, d’hébergement ou de suivi (ambulatoire ou à domicile)
Procéder à une évaluation par systèmes en contexte d’une première évaluation ciblée et rapide.–ordre systemes
sert à communiquer
reconnaitre et anticiper changement clinique
n Seulement si une anormalité est détectée : il faut approfondir l’examen clinique
1- Avant de seprésenter à la chambre
n Se faire une première image du patient
n Permet de cibler ce qu’il serait pertinent d’évaluer (en fonction de la pathologie, des
problèmes ou besoins ciblés et des traitements)
n Source : rapport inter-service (oral ou écrit), dossier
¤Une fois à la chambre
n Se présenter, expliquer la raison de sa présence et débuter l’évaluation
2- **Pour chaque système pertinent : Questionner + inspecter
n Sirequis, approfondir l’entrevue ou l’examen physique : PQRSTU, palpation, percussion,
auscultation, techniques spéciales
***S’assurer que l’appareillage requis est en place, fonctionnel et ajusté correctement
(ex. perfusion IV, O2, sonde urinaire)
Signes vitaux : seulement si prévu à l’horaire ou pertinent à ce moment
Ordre des systèmes
Enprocédant de la tête au pieds
1. Observation générale
2. Système neurologique
3. Système respiratoire
4. Système cardio-vasculaire
5. Système urinaire
6. Système digestif et abdominal
7. Système tégumentaire
8. Système musculosquelettique
Rédigez la note d’admission de 16h00 et
1. Quels systèmes allez-vous évaluer chez Mme Fortier (incluant
l’évaluation générale)?
2. Pour chaque système, indiquez quels éléments vous devez
questionner ou observer et quels appareils vous devez vérifier
voir exercice corrigé cours 1
quoi évaluer pour 1. observation générale
- OBSERVATIONGÉNÉRALE
¤ Inspection (observation) : Apparence générale
n Expression faciale, posture
n Audition, langage verbal (articulation, débit)
n Odeurs
n Toucher
¤ Questionnaire : Évaluer la présence de symptômes ou de préoccupations
n Tenir compte des soins qui ont précédé (ex. est-il soulagé après avoir reçu unanalgésique)
¤ Signes vitaux : seulement si prévu à l’horaire ou pertinent à ce moment
douleur
quoi évaluer pour 2. SYSTÈMENEUROLOGIQUE
Questionnaire et inspection
¤ État de conscience
n Alerte, léthargique, somnolent; attentive aux questions,
réponses appropriées
¤ Orientation
n Temps,lieu
Sirequis: poursuivre l’examen neurologique…
n Ex. pupilles, force des membres supérieurs et inférieurs
quoi évaluer pour sys respi 3
Questionnaire et inspection
¤ Respiration (fréquence, rythme, amplitude)
¤ Effort respiratoire, tirage, utilisation des muscles accessoires, cyanose
(centrale, périphérique)
¤ Toux, expectorations
Sirequis, poursuivre l’examen pulmonaire
¤ Ex. auscultation des bruits respiratoires
Appareillage
¤ Oxygène (masque, lunettes nasales) - vérifier l’ajustement (ex. débit)
¤ C-PAP,B-PAP
¤ Drain thoracique
quoi évaluer 4 . SYSTÈMECARDIOVASCULAIRE
- SYSTÈMECARDIOVASCULAIRE
Questionnaire et inspection
¤ Pouls (fréquence, rythme, amplitude, symétrie)
¤ TA
¤ Coloration et chaleur des membres supérieurs et inférieurs, remplissage
capillaire
¤ Œdème, pouls périphériques
Sirequis, poursuivre l’examen cardiaque
¤ Ex. bruits cardiaques
Appareillage
¤ Solution IV (type, expiration, débit, tubulure, site d’insertion)
¤ Médicament IV en cours (compatibilité)
¤ Cathéter IV avec bouchon intermittent
¤ Cathéter IV central
débit sang
quoi évaluer 5. SYSTÈMEURINAIRE
questionnaire et inspection
modification des miction ou dysurie
¤ Fréquence et quantité des mictions, dernière miction, caractéristiques
de l’urine
Sirequis, poursuivre l’examen du syst. urinaire
¤ Ex. globe vésical (rétention urinaire), incontinence urinaire
Appareillage
¤ Sonde vésicale (intégrité du système, quantité et caractéristiques de
l’urine dans le sac collecteur)
quoi évaluer 6 syst digestif et abdominal
Questionnaire et inspection
¤ Diète (NPO, sans résidus, sans sel, etc.), hydratation
¤ Nausées/vomissements
¤ Fréquence des selles, dernière selles, caractéristiques d’élimination et
des selles
¤ Pourtour de l’abdomen, distensions
Sirequis, poursuivre l’examen de l’abdomen
¤ Ex. auscultation des bruits intestinaux, percussion et palpation
Appareillage
¤ Tube nasogastrique
¤ Gavage
¤ Stomie
quoi évaluer 7 . SYSTÈMETÉGUMENTAIRE
Questionnaire et inspection
¤ Couleur de la peau
¤ Intégrité de la peau (lésions, ecchymoses, masse, plaie)
Sirequis, poursuivre l’examen tégumentaire
¤ Ex. turgescence de la peau
Appareillage
¤ Pansements (apparence extérieure : ex. écoulements)
¤ Agrafes, sutures, diachylon de rapprochement
reflète autres sytèmes: cardio pulmo tégum
quio évaluer 8. SYSTÈMEMUSCULOSQUELETTIQUE(MOBILITÉ
Questionnaire et inspection
¤ Déformations (ex. fracture, luxation)
¤ Démarche, équilibre
Sirequis, poursuivre l’examen musculosquelettique
¤ Ex. douleur à la palpation, force musculaire, amplitude de mouvements
Appareillage
¤ Aide à la marche (ex. canne, déambulateur)
¤ Plâtre, attelle, tractions
quelles précisions nécesssaires au pti
¨ Importance d’être précis dans la formulation des directives
¤ Préciser l’intervention et déterminer les conditions d’application
n Indiquer, si requis : fréquence, moment, durée, intensité, cible, etc.
n Ex. : alterner positions q2h
¤ Peut s’appliquer aux traitements médicaux ou aux soins et traitements
infirmiers
n Ex. administrer analgésique 30 min avant un exercice
n Ex. Enseigner l’utilisation des pompes en présence de sa fille
Cible des directives infirmières
Sauf indication contraire, les directives s’adressent à :
¤ Infirmières : directives = orientations cliniques à ajuster selon
l’évolution de la condition clinique
n Si directive réservée infirmière seule, inscrire : « par inf. »
n Si surveillance requise par autres que inf., inscrire = « aviser inf. »
¤ Infirmières auxiliaires : obligation de réaliser les directives au PTI,
sauf si réservée à l’infirmière; a accès au PTI mais ne peut le
modifier
Pour impliquer d’autre membres de l’équipe ou la famille :
¤ PAB,AFS: obligation de réaliser les directives au PTIlorsque spécifié;
mais n’a pas accès au dossier patient
n Il faut recopier les directives au plan de travail du PABou de l’auxiliaire
n Inscrire au PTI: « Dir. plan travail PAB» ou similaire
¤ Client et proches : les directives doivent être transmises verbalement
n Indiquer par exemple : « Dir. verbale à la cliente »
Déterminer les principaux besoins et problèmes reliés à l’élimination intestinale.
besoin intimité et soulagement
pqrstu doit inclure facteurs pour voir ampleur probleme sur la personne
prob: constipation, diahrée, fécalome, hémorroides
Exercer une surveillance clinique auprès de personnes qui présentent des problèmes reliés à l’élimination intestinale
-documenter habitudes élimination
examens: lavement baryté, radio peut donner crampes constipation, changement allure selles
Déterminer les interventions appropriées pour soulager les problèmes reliés à l’élimination intestinale. diahrrée
Interventions
¤ Rétablir et prévenir les déséquilibres hydrolytiques (hydratation) et électrolytiques
n Solutionde réhydratation orale (ex.Pédialyte/Gastrolyte), ThérapieIV
¤ Prévenir la transmission des infections
¤ Administration d’anti-diarrhéiques
n Seulementpour de courtespériodeset passiorigineinfectieuse
¤ Diète selon tolérance et selon la pathologie
n Dièteliquideaudépart, réintroduiregraduellement lesalimentssolides
n Éviterlesalimentsqui causentla diarrhée ouirritants
¤ Soins de la peau
n Nettoyer avecunsavondoux après chaqueselle, sécher complètement, mettreunecrèmebarrière
(ex.Triplecare).
Caractéristiques normales ou attendues élimination intestinale
¨ Fréquence des selles
¤ 3 par jour à 1 tousles trois jours
¨ Couleur
¤ Brune
¨ Odeur
¤ Forte ounauséabonde
¨ Consistance
¤ Pâteuse et formée (type 3 ou4)
¨ Composition
¤ Résidus alimentaires (fibres),
bactéries intestinales, cellules de la
muqueuse intestinale, eau
Facteurs qui influencent l’élimination intestinale
¤ Vieillissement normal (ex. ↑ risque de constipation)
¤ Apport liquidien
¤ Alimentation
¤ Activité physique et fibres stimulent péristaltisme
¤ Habitudes (intimité, horaire, régularité, position)
¤ Douleur (ex. hémorroïdes)
¤ Médicaments (ex. Opioïdes, antibiotiques, AINS, Fer)
¤ Certaines maladies
définition diahrrée
¤ Augmentation du nombre de selles
¤ avec évacuation de matières fécales liquides
et aliments non digérés.
¤ Présence de 3 selles
liquides ou pluspar jour
causes et effets physiologiques diahrrée
cause=>effet physiolo
stress/anxiété=>+motilité+sécrétions
infection intestinale=>inflammation +sécrétions
allergie alimentaire=>mauv digestion
intolérance alimentaire=>+motilité+sécrétions
aliment par gavage=>attraction liquide dans gi par liquide hyperosmolaire
med et suppl: fer, antibio=>irritation, altération flore
laxatifs court terme=>+motilité
crohn…=>inflamm, ulcération, -absorption nutr, +motil intestinale
maladie fonctionnelle comme colon irritable=>hyper sensibilité
résection chirur=>perte fonction, diminution absorption
évaluation diahrrée
Évaluation
¤ Caractéristique des selles (présence de sang, de mucus, odeur…)
¤ Signes de déshydratation
¤ Bilan ingesta/excreta
¤ Examens paracliniques (Culture de selles, hématocrite, électrolytes)
complications diahrrée
Complications
¤ Déséquilibre hydroélectrolytique et acido-basique
n Déshydratation, hypokaliémie, etc.
¤ Altération de l’intégrité des téguments
¤ Dénutrition
prédispositions pers. ages et nourrissons
définition constipation
Constipation (aigue ou situationnelle)
Définition : critères
1. Diminution de la fréquence d’élimination
p/r à ce qui est normal pour la personne,
mais critère =
Si pas de selles depuis 3 jours ou moins
de 3 fois par semaine
2.Selles dures et difficiles à expulser
3. Distension abdominale, ballonnements,
pression rectale
¨ Consensus surla définition de la constipation fonctionnelle
(chronique) – Rome IV
¤ Au moins deux des critères suivants doivent être présents (dans 25 % des
défécations) :
n 1) Effort d’évacuation; 2) selles dures ou fragmentées (Bristol 1 ou 2); 3) sensation
d’évacuation incomplète; 4) Sensation d’obstruction ou de blocage ano-rectal; 5) nécessité de manœuvres manuelles pour faciliter la défécation (évacuation digitale, pression pelvienne
externe); 6) Moins de trois défécations par semaine
n Lesselles ne sont pas molles (sauf si laxatifs) et les symptômes du patient ne répondent pas
aux critères du syndrome de l’intestin irritable.
¤ Début des symptômes depuis au moins six mois et deux symptômes présents
au cours des trois derniers mois.
causes constipation
-mécanique:obstruction cancer, rectocèle
-diététique: manque fibre ou eau, caféine, viandes grasses
-environnementales: nobilité compromise, instalaltions sanitaire inadéquates
-neurogènes ou psychgènes: dépression, trouble aliment, avc
-endocriniennes/métaboliques: diabète. grossesse
-pharmacologiques: anticholinergiques, narcotiques, suppléments fer
complications constipation
¨ Complications
¤ Hémorroïdes; fécalome
¨ Interventions possibles (attention : tenir compte de la cause)
¤ Augmenterl’apport enfibre (combien?)
n Si à domicile, recommander des sources de fibres; en CH référence à nutritionniste
n Recours aux agents mucilagineux (ex. Métamucil)
¤ Augmenterl’apport liquidien (combien?)
¤ Augmenterl’activité physique (combien?)
¤ Établir unhoraire régulier de défécation (Lequel?)
n Promouvoir le réflex gastro-intestinal (répondre au besoin de défécation, lorsqu’il se
présente)
¤ Améliorer la position et l’environnement (Comment?)
se poser ces questions pour pouvoir agir sur la cause
intervention constipation
laxatifs voir tableau docu élimination intestinale
¨ Interventions possibles (attention : tenir compte de la cause)
¤ Administration de laxatifs ou de lavements
n Si constipation aigue : courte durée (favoriser d’abord les agents mucilagineux)
n Comme adjuvant à l’exercice et à une bonne alimentation
¤ Prise en charge médicale de la constipation chronique (LignesdirectriceWGO, 2010;
RomeIV,2016)
1. Augmenter l’apport en fibre ± agents mucilagineux et modifier habitudes de vie
2. Si non efficace, considérer autres laxatifs :
n Début avec les laxatifs osmotiques(ex. Relaxa ouLaxADay; Colyte; lactulose)
n Si échec, poursuivreavec des laxatifs stimulants (ex. bisacodyl, suppositoirede glycérine)
n Peuventêtre utilisésà long terme dans la constipationchronique(nécessiteunsuivi médical
besoins alimentation constipation
¨ Besoins en fibres alimentaires
¤ Hommes(19-50 ans) : 38 g/jour
¤ Femmes(19-50 ans): 25 g/jour
¤ Hommes(51 ans et plus) : 30 g/jour
¤ Femmes(51 ans et plus) : 21 g/jour
¨ Principales sources de fibres
¤ Grains entiers, les haricots, les pois, les lentilles
¤ Lesnoix et les graines
¤ Leslégumes (pois verts, épinards, fèves vertes), les fruits (ex. poire avec pelure, framboises, dattes ou prunes séchées, cerises, abricots)
¨ Prendre avec beaucoup d’eau (≈ 2L/jour)
conséquences abus laxatifs
cercle vicieuxAbus de laxatifs - sans besoin réel (principalement
les laxatifs stimulants)
¤ Raisons
n Fausses croyances sur ce qu’est une élimination normale
n Marketing des produits laxatifs sansordonnance
¤ Risques associés
n Purgede l’intestin→ absencede mouvementspour quelques jours→
perception de constipation→ poursuitedes laxatifs
n Conséquencesd’une utilisation chroniquesansbesoinréel : perte du réflexe de défécation, déséquilibre hydroélectrolytique, colite
Depuis son hospitalisation il y a quatre jours, Monsieur Grégoire n’a
pas encore eu de selles. Il vous informe qu’habituellement, il va à la
selle tous les jours le matin. (plan 3 jours et 4 jours)
quelles interventions mettre en oeuvre
utiliser d’abord protocole de 3 jours (ne pas sauter d’étapes) puis le protocole de 4 jours si les suppositoires n’ont pas bien fonctionnés
Suite à votre intervention, Monsieur Grégoire sent le besoin de
déféquer. Cependant, il se sent très mal à l’aise de faire ses
besoins dans son lit, pendant que son voisin de lit reçoit de la
visite.
¨ Favoriser l’environnement : interventions visant à prévenir et aider à soulager la
constipation
¤ Établir un horaire régulier, offrir d’aller à la salle de bain ou le conduire après chaque repas
(20 min) ou selon ses habitudes, ne pas faire attendre lorsque ressent l’envie
¤ S’assurer d’un environnement intime (ex. tirer les rideaux, demander à la visite de sortir
temporairement), utiliser du produit pour les odeurs
¤ Favoriser une position adéquate : hauteur de la toilette, banc pour les pieds, bassin de lit
ne pas retarder déféqueation
boire + fibres
exercice
enseignement pour éviter constipation
¨ Favoriser l’environnement : interventions visant à prévenir et aider à soulager la
constipation
¤ Établir un horaire régulier, offrir d’aller à la salle de bain ou le conduire après chaque repas
(20 min) ou selon ses habitudes, ne pas faire attendre lorsque ressent l’envie
¤ S’assurer d’un environnement intime (ex. tirer les rideaux, demander à la visite de sortir
temporairement), utiliser du produit pour les odeurs
¤ Favoriser une position adéquate : hauteur de la toilette, banc pour les pieds, bassin de lit
ne pas retarder déféqueation
boire + fibres
exercice
notes habitudes défécation
éviter laxatifs et lavement car entrainement une dépendance
complication extrême constipation: fécalome
défnition et manifestatins cliniques
¤ Définition et manifestations cliniques :
n accumulationde sellesdurciesdans le rectumet impossiblesà expulser
n Suintementde selles liquides ouglaireuses, souventinvolontaire
n Distensionet crampes abdominales, douleur rectale
¤ Autres manifestations possibles
n Nausée/vomissementet perte d’appétit
n Fièvre
n Rétention urinaire
n Ulcération de la muqueuseintestinale
n Delirium
interventions fécalome
¨ Interventions
¤ Lavement évacuant ou fleet
¤ Si lavement non efficace: curage rectal
n Attention : depuis la loi 90, peut être
effectué par l’infirmière, mais idéalement :
infirmière expérimentée, résident, médecin
n Risque d’irritation, saignements, stimulation du
nerf vague (affecte la fréquence cardiaque)
activité réservée
technique invasive
Évaluer l’équilibre hydrique chez une personne. (déséquilibre) tests
*** Turgescence diminuée
¤ Pli cutané au niveau du sternum, sous la clavicule; demeure pendant 20-30 sec.
n Plusdifficile à percevoir chez les personnes âgées, obèses ou enfants
** Les examens paracliniques
¤ Hématocrite (hémoconcentration/hémodilution): pour évaluer gravité déshydratation
¤ Urée et créatinine sérique: reins car deshy a un impact sur ces valeurs
¤ Osmolarité sérique: interprete equilibre electrolytique sanguin
¤ Électrolytes (Na, K, Cl)
¤ Analyse des urines (Densité de l’urine): capacité reins à concenytrer urine et quant. eau consommée
Déterminer les principaux besoins et problèmes reliés à l’équilibre hydrique.
na, cl et k dan sliquide intra cell et extra cell
composante intra cell différente de cell extra cell
plus importante pompe sodium potassium
mouvement de l’eau entre compartiments maintien isotonie
équilibre apport déperdition
Exercer une surveillance clinique de la thérapie intraveineuse.
***compléter avec lectures labo)
¨ Éléments de surveillance
¤ Bilan hydrique et pesée quotidienne (PRN selon la condition clinique)
¤ Réponse du client à la thérapie IV
n Ex. correction du déficit de volume liquidien et électrolytiques
¤ Manifestations cliniques d’un excès du volume liquidien
n Ex.risque de surcharge pulmonaire (ex. dyspnée, orthopnée, toux avec expectorations
mousseuses, tachypnée, tachycardie) signes
solution IV et site d’insertion*
n Sac: bonne solution IV, date d’expiration, limpidité de la solution, si le sac n’est pas mouillé
n Tubulure : bien branchée, n’est pas « coudée », pas de bulles d’air
n Débit de la perfusion, s’assurer que le soluté n’est pas positionnel
n Signes d’infiltration : œdème au site d’insertion avec tissus blanchâtres et froids, douleur,
absence de retour veineux
n Signes d’inflammation : rougeur, chaleur, œdème le long de la veine, douleur
Déterminer les interventions appropriées lors d’un déséquilibre hydrique.
pti fredy corrigé
Combien devrions-nous boire à chaque jour?
Varie selon plusieurs conditions…
poids du corps en eau diminue avec age
2L par jour
Quels facteurs peuvent influencer le besoin de s’hydrater?/facteurs risque déséquilibre
-âge: très jeune et très vieux
-régime alimentaire: riche en sodium, pauvre en électrolyte
-maladies chroniques: cancer, insuffisance cardiaque, cirrhose, MPOC, insuffisance rénal chronique, dépression SNC, diabète déséquilibré
-traumatismes: lésion musculaire par écrasement,
laxatif, antidépresseurs, cortisone.. peuvent causer déséquilibre électrolytique
manifestations cliniques surcharge liquidienne et causes
¨ Excès de volume liquidien
¤ Causes : Excès de liquide IV, insuffisance cardiaque, insuffisance rénale
¤ Manifestations cliniques :
n Ex. Céphalées, pouls bondissant, ↑ PA,dyspnée, crépitants, gain pondéral
¤ Œdème périphérique : accumulation de liquide dans les tissus
n Peautendue et luisante
n Si laisse une marque : œdème à godet
Conséquences possibles d’une hydratation inadéquate
déshydratation intracell, vasculaire, hypovolémie, hypoerfusion
Comment déterminer si une personne s’hydrate
adéquatement?
pli peau tugescence cell
labos
sensation de soif, capacité à s’hydrater
poids stable
bilan hydrique: n Si le bilan est négatif = plus de pertes que d’apport
n Si le bilan est positif = plus d’apport que de pertes
examen physique et urinaire
quoi inclure dans bilan ingesta extreta
ingesta
Liquides (ex. eau, jus, thé, café)
Soupe, gélatine (Jell-o), crème glacée
Solutions IV et médicaments IV (significatifs)
excreta
urine
vomi
selles liqudies (1selle=100mL)
Diaphorèse: si profuse, sans quantité
¨ Exemple : bilan hydrique de Mme Beaudoin de 00:00 à 23:59
¤ Unsoluté Mixte 0,45% perfuse à 70 ml/h par gravité
n À23:30, il restait 300 ml dans le sacde solution IV Mixte 0,45%. À 2:00, 200 ml ont perfusé et le saca été
changé pour un1000 ml. À7:30, il restait 650 ml. À15:00, 600 ml ont perfusé et il reste 50 ml dans le sacqui
est changé pour un1000ml. À23h30, il reste 475 ml.
¤ À 00:00, MmeBeaudoin à uriné 200 ml et à 07:00 375 ml.
¤ Au déjeuner à 8:30, elle a mangé deux rôties et bu la moitié d’un café. Vers 9:00, elle a uriné 150
ml et à nouveau 150 ml vers 11:00. À 12:00, elle a mangé undemi-spaghetti et une gélatine. À
13:30 elle a uriné 200 ml et fait une selle dure. À 15:00 elle a uriné 150 ml.
¤ À 17h00, elle a pris unesoupe avec des craquelins. À 17h30, elle a uriné 200 ml et 175 ml à
19h15. Elle a pris unverre d’eau à 20h00 et à uriné 250 ml à 21h30.
faire exercice mme beaudoin
types de déséquilibres ioniques et conséquences
¨ Hypokaliémie/hyperkaliémie
¤ Attention : troubles cardiaques possibles (arythmie), risques de blessures
(faiblesse musculaire, paresthésie)
¨ Hypernatrémie
¤ Attention : risque d’altération de l’état de conscience, de convulsions et de
coma
+ dangereuse, car impacts cardiaque fatal
*concentrations plasmiques
comment prévenir déshydratation
¨ Risque de déshydratation (repérer)
¤ Encourager la personne à s’hydrater selon ses besoins
n Personnes les plus à risque : enfants en bas âge et personnes âgées
¤ Expliquer les facteurs de risque, les problèmes possibles et les mesures de
prévention
n Ex.Quoi faire en période de canicule?Boire davantage, horaire d’ingestion, liquides de
substitution, chercher les endroits frais, tenir les volets fermées le jour, pesée quotidienne, limiter
les activités physiques pendant les périodes chaudes
3 types de déshydratation+exemples
¨ Perte excessive des fluides organiques
¤ Hypertonique : perte d’eau surtout, non remplacée
n Résultante = hypernatrémie et risque de déshydratation intracellulaire
n Ex. vomissements, sudation excessive
¤ Isotonique : perte d’eau et de sodium
n Déshydratation extracellulaire; hypovolémie; hémoconcentration
n Ex. gastroentérites, diurétiques
¤ Hypotonique : perte de sodium supérieure à la perte d’eau
n Résultante : hyponatrémie
n Ex.Pertes liquidiennes gastro-intestinales isotoniques comblées par de l’eau
uniquement…
comment corriger déshydratation par voie orale
¨ Privilégier la voie orale si possible
¤ Déshydratation légère ou modérée; tolère les liquides ou vomissementspeu abondants; pas de
complications sous-jacentes (ex. occlusion intestinale)
¨ Quels liquides utiliser?
¤ Privilégier les solutions de réhydratation orale (SRO); si déshydratation légère, on peut prendre de
l’eau selon la cause (ex. chaleur en été, sport intense).
n SRO commerciales (en vente libre en pharmacie) : Pédialyte (enfant) ou Gastrolyte (adulte)
n SRO maison : 360 ml de jus d’orange pur non sucré + 600 ml d’eau bouillie refroidie + 2,5 ml (1/2
c. à thé) de sel (important de respecter les quantités…)
¤ Éviter le lait (sauf enfant allaité ou au biberon), le café, les jus, les boissonsgazeuses et les boissons
énergétiques (trop de sucre, pas assez de sodium)
¨ À quelle fréquence doit-on reprendre l’hydratation?
¤ Commencer par 5 ml (une cuillère à thé) à 15 ml (une cuillère à soupe), puis
poursuivre aux 5 à 15 min si toléré
n Si vomissements, attendre 30 min environ et reprendre du début
¤ Si bien toléré, augmenter graduellement les quantités jusqu’à que la personne
puisse boire à sa soif
¨ Après 4h de réhydratation bien tolérée, on peut reprendre graduellement
l’alimentation
¤ Commencer par des petites portions
¤ Éviter les aliments très gras ou frits, les aliments très sucrés, les fibres alimentaires
en grande quantité, le lactose
causes et manifestations déficit déséquilibre hydriques extracellulaires
–Déshydratation légère = soif, muqueuses
sèches, ↓ turgescence, ↓ débit urinaire
¤– Déshydratation modérée (s’ajoutent) =
Tachycardie, hypotension orthostatique, ↓
turgescence accentuée
¤ –Déshydratation sévère = tachypnée,
hypotension, confusion, ↓ remplissage
capillaire
Après XXX temps de réhydratation bien tolérée, on peut reprendre graduellement
l’alimentation
4h
Commencer par des petites portions
¤ Éviter les aliments très gras ou frits, les aliments très sucrés, les fibres alimentaires
en grande quantité, le lactose
Objectifs possibles pour la thérapie IV
¤ Remplacer les pertes hydriques ou compenser les pertes quotidiennes
normales
¤ Remplacer les électrolytes perdus
¤ Permettre l’administration de médicaments de manière intermittente ou continue
n Solution IV non obligatoire (ex. bouchon intermittent)
¤ Administrer des produits sanguins
¤ Dans certaines circonstances, administrer des nutriments parentéraux
(hyperalimentation)
n Alimenter : nécessite une surveillance accrue et une voie centrale
À quelle fréquence doit-on reprendre l’hydratation? **
¤ Commencer par 5 ml (une cuillère à thé) à 15 ml (une cuillère à soupe), puis
poursuivre aux 5 à 15 min si toléré
n Si vomissements, attendre 30 min environ et reprendre du début
¤ Si bien toléré, augmenter graduellement les quantités jusqu’à que la personne
puisse boire à sa soif
Qu’arriverait-il si on
Administrait de l’eau pure IV?
eau pure ne contient pas électrolytes essentiels, peut entrainer perturbation équilibre hydrique dans sang et cause hyponatrémie qui entraine effets sur snc et autres organes, peut causer hémolyse à cause de l’osmolarité différente des cellules conséquences graves et mortelles
comment et quoi réhydratation veineuse
¨ Accès veineux périphérique/accès veineux central
¨ Produits administrés par voie IV
Ø Cristalloïdes (accès veineux périphérique):solutions salines
Ø Colloïdes: albumine, gélatine, amidon
Ø Produits sanguins
Ø Alimentation parentérale
Ø Médicaments (accès veineux périphérique)
types de solutions IV
¤ Dextrose 5% (isotonique)
n Isotonique au départ, rapidement métabolisé = eau libre (hypotonique)
n Ex. Remplacer les pertes liquidiennes avec hypernatrémie, patient diabétique et NPO (prévenir la cétose et le
déséquilibre du pH)
n Ne constitue pas une alimentation (fournie légèrement de l’énergie)
¤ NaCl 0,9% (isotonique)
n Ex. déficit liquidien isotonique ou avec légère hyponatrémie; administration des produits sanguins
¨ Lactate Ringer (isotonique)
¤ Pour remplacer les pertes liquidiennes et d’électrolytes
¨ NaCl 0,45% (hypotonique) et Mixte 0,45% (hypertonique…)
¤ Compenser les pertes quotidiennes normales, qui sont hypotoniques
¨ Solutions hypertoniques (ex. NaCl 3%) ***fortement hypertonique et peut endommager veines
¤ Attention : surveillance requise, administrer avec soins
¤ Ex. hyponatrémie sévère, œdème cérébral
¤ Entraîne le LIC vers les compartiments extracellulaires
correction rapide peut causer effets neurologiques graves
risques de surcharge liquidienne et interventions
¤ Chez les patients atteints d’insuffisance cardiaque ou d’insuffisance
rénale
¤ Limite liquidienne
n Ordonnance médicale (ex. 1200 ml/jour)
n Expliquer au patient les raisons et l’importance de cette limite
n Enmilieu hospitalier, établir unbilan hydrique (décision de l’inf.)
¤ Diète hyposodée
¤ Pesée régulière (ex. q3 jours)
Déterminer les principaux besoins et problèmes reliés à l’élimination urinaire.
Exercer une surveillance clinique auprès de personnes qui présentent des problèmes reliés à l’élimination urinaire.
Déterminer les interventions appropriées pour soulager les problèmes reliés à l’élimination urinaire.