examen prat inf 1 Flashcards

1
Q

Déterminer et ajuster le PTI.

A

*Pose le constat des problèmes et des besoins prioritaires nécessitant un suivi particulier (± un diagnostic infirmier).
* Fait état des directives infirmières qui seront réalisées par l’équipe de soins pour assurer le suivi clinique
* Constitue une note d’évolution complémentaire
–>analyse et interprétation et planification
–>nécessite suivi selon directives inf(surveillance et soins)
–>besoins prioritaires
–>décisions et justification dans notes évolution

¤ Information minimale à inscrire
n Motif d’hospitalisation, d’hébergement ou de suivi (ambulatoire ou à domicile)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Procéder à une évaluation par systèmes en contexte d’une première évaluation ciblée et rapide.–ordre systemes

A

sert à communiquer
reconnaitre et anticiper changement clinique

n Seulement si une anormalité est détectée : il faut approfondir l’examen clinique

1- Avant de seprésenter à la chambre
n Se faire une première image du patient
n Permet de cibler ce qu’il serait pertinent d’évaluer (en fonction de la pathologie, des
problèmes ou besoins ciblés et des traitements)
n Source : rapport inter-service (oral ou écrit), dossier
¤Une fois à la chambre
n Se présenter, expliquer la raison de sa présence et débuter l’évaluation

2- **Pour chaque système pertinent : Questionner + inspecter
n Sirequis, approfondir l’entrevue ou l’examen physique : PQRSTU, palpation, percussion,
auscultation, techniques spéciales
***S’assurer que l’appareillage requis est en place, fonctionnel et ajusté correctement
(ex. perfusion IV, O2, sonde urinaire)

Signes vitaux : seulement si prévu à l’horaire ou pertinent à ce moment

Ordre des systèmes
Enprocédant de la tête au pieds
1. Observation générale
2. Système neurologique
3. Système respiratoire
4. Système cardio-vasculaire
5. Système urinaire
6. Système digestif et abdominal
7. Système tégumentaire
8. Système musculosquelettique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Rédigez la note d’admission de 16h00 et
1. Quels systèmes allez-vous évaluer chez Mme Fortier (incluant
l’évaluation générale)?
2. Pour chaque système, indiquez quels éléments vous devez
questionner ou observer et quels appareils vous devez vérifier

A

voir exercice corrigé cours 1

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

quoi évaluer pour 1. observation générale

A
  1. OBSERVATIONGÉNÉRALE
    ¤ Inspection (observation) : Apparence générale
    n Expression faciale, posture
    n Audition, langage verbal (articulation, débit)
    n Odeurs
    n Toucher
    ¤ Questionnaire : Évaluer la présence de symptômes ou de préoccupations
    n Tenir compte des soins qui ont précédé (ex. est-il soulagé après avoir reçu unanalgésique)
    ¤ Signes vitaux : seulement si prévu à l’horaire ou pertinent à ce moment

douleur

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

quoi évaluer pour 2. SYSTÈMENEUROLOGIQUE

A

Questionnaire et inspection
¤ État de conscience
n Alerte, léthargique, somnolent; attentive aux questions,
réponses appropriées
¤ Orientation
n Temps,lieu
Sirequis: poursuivre l’examen neurologique…
n Ex. pupilles, force des membres supérieurs et inférieurs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

quoi évaluer pour sys respi 3

A

Questionnaire et inspection
¤ Respiration (fréquence, rythme, amplitude)
¤ Effort respiratoire, tirage, utilisation des muscles accessoires, cyanose
(centrale, périphérique)
¤ Toux, expectorations
Sirequis, poursuivre l’examen pulmonaire
¤ Ex. auscultation des bruits respiratoires
Appareillage
¤ Oxygène (masque, lunettes nasales) - vérifier l’ajustement (ex. débit)
¤ C-PAP,B-PAP
¤ Drain thoracique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

quoi évaluer 4 . SYSTÈMECARDIOVASCULAIRE

A
  1. SYSTÈMECARDIOVASCULAIRE
    Questionnaire et inspection
    ¤ Pouls (fréquence, rythme, amplitude, symétrie)
    ¤ TA
    ¤ Coloration et chaleur des membres supérieurs et inférieurs, remplissage
    capillaire
    ¤ Œdème, pouls périphériques
    Sirequis, poursuivre l’examen cardiaque
    ¤ Ex. bruits cardiaques
    Appareillage
    ¤ Solution IV (type, expiration, débit, tubulure, site d’insertion)
    ¤ Médicament IV en cours (compatibilité)
    ¤ Cathéter IV avec bouchon intermittent
    ¤ Cathéter IV central

débit sang

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

quoi évaluer 5. SYSTÈMEURINAIRE

A

questionnaire et inspection
modification des miction ou dysurie
¤ Fréquence et quantité des mictions, dernière miction, caractéristiques
de l’urine
Sirequis, poursuivre l’examen du syst. urinaire
¤ Ex. globe vésical (rétention urinaire), incontinence urinaire
Appareillage
¤ Sonde vésicale (intégrité du système, quantité et caractéristiques de
l’urine dans le sac collecteur)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

quoi évaluer 6 syst digestif et abdominal

A

Questionnaire et inspection
¤ Diète (NPO, sans résidus, sans sel, etc.), hydratation
¤ Nausées/vomissements
¤ Fréquence des selles, dernière selles, caractéristiques d’élimination et
des selles
¤ Pourtour de l’abdomen, distensions
Sirequis, poursuivre l’examen de l’abdomen
¤ Ex. auscultation des bruits intestinaux, percussion et palpation
Appareillage
¤ Tube nasogastrique
¤ Gavage
¤ Stomie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

quoi évaluer 7 . SYSTÈMETÉGUMENTAIRE

A

Questionnaire et inspection
¤ Couleur de la peau
¤ Intégrité de la peau (lésions, ecchymoses, masse, plaie)
Sirequis, poursuivre l’examen tégumentaire
¤ Ex. turgescence de la peau
Appareillage
¤ Pansements (apparence extérieure : ex. écoulements)
¤ Agrafes, sutures, diachylon de rapprochement

reflète autres sytèmes: cardio pulmo tégum

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

quio évaluer 8. SYSTÈMEMUSCULOSQUELETTIQUE(MOBILITÉ

A

Questionnaire et inspection
¤ Déformations (ex. fracture, luxation)
¤ Démarche, équilibre
Sirequis, poursuivre l’examen musculosquelettique
¤ Ex. douleur à la palpation, force musculaire, amplitude de mouvements
Appareillage
¤ Aide à la marche (ex. canne, déambulateur)
¤ Plâtre, attelle, tractions

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

quelles précisions nécesssaires au pti

A

¨ Importance d’être précis dans la formulation des directives
¤ Préciser l’intervention et déterminer les conditions d’application
n Indiquer, si requis : fréquence, moment, durée, intensité, cible, etc.
n Ex. : alterner positions q2h
¤ Peut s’appliquer aux traitements médicaux ou aux soins et traitements
infirmiers
n Ex. administrer analgésique 30 min avant un exercice
n Ex. Enseigner l’utilisation des pompes en présence de sa fille

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Cible des directives infirmières

A

Sauf indication contraire, les directives s’adressent à :
¤ Infirmières : directives = orientations cliniques à ajuster selon
l’évolution de la condition clinique
n Si directive réservée infirmière seule, inscrire : « par inf. »
n Si surveillance requise par autres que inf., inscrire = « aviser inf. »
¤ Infirmières auxiliaires : obligation de réaliser les directives au PTI,
sauf si réservée à l’infirmière; a accès au PTI mais ne peut le
modifier

Pour impliquer d’autre membres de l’équipe ou la famille :
¤ PAB,AFS: obligation de réaliser les directives au PTIlorsque spécifié;
mais n’a pas accès au dossier patient
n Il faut recopier les directives au plan de travail du PABou de l’auxiliaire
n Inscrire au PTI: « Dir. plan travail PAB» ou similaire
¤ Client et proches : les directives doivent être transmises verbalement
n Indiquer par exemple : « Dir. verbale à la cliente »

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Déterminer les principaux besoins et problèmes reliés à l’élimination intestinale.

A

besoin intimité et soulagement
pqrstu doit inclure facteurs pour voir ampleur probleme sur la personne

prob: constipation, diahrée, fécalome, hémorroides

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Exercer une surveillance clinique auprès de personnes qui présentent des problèmes reliés à l’élimination intestinale

A

-documenter habitudes élimination

examens: lavement baryté, radio peut donner crampes constipation, changement allure selles

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Déterminer les interventions appropriées pour soulager les problèmes reliés à l’élimination intestinale. diahrrée

A

Interventions
¤ Rétablir et prévenir les déséquilibres hydrolytiques (hydratation) et électrolytiques
n Solutionde réhydratation orale (ex.Pédialyte/Gastrolyte), ThérapieIV
¤ Prévenir la transmission des infections
¤ Administration d’anti-diarrhéiques
n Seulementpour de courtespériodeset passiorigineinfectieuse
¤ Diète selon tolérance et selon la pathologie
n Dièteliquideaudépart, réintroduiregraduellement lesalimentssolides
n Éviterlesalimentsqui causentla diarrhée ouirritants
¤ Soins de la peau
n Nettoyer avecunsavondoux après chaqueselle, sécher complètement, mettreunecrèmebarrière
(ex.Triplecare).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Caractéristiques normales ou attendues élimination intestinale

A

¨ Fréquence des selles
¤ 3 par jour à 1 tousles trois jours
¨ Couleur
¤ Brune
¨ Odeur
¤ Forte ounauséabonde
¨ Consistance
¤ Pâteuse et formée (type 3 ou4)
¨ Composition
¤ Résidus alimentaires (fibres),
bactéries intestinales, cellules de la
muqueuse intestinale, eau

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Facteurs qui influencent l’élimination intestinale

A

¤ Vieillissement normal (ex. ↑ risque de constipation)
¤ Apport liquidien
¤ Alimentation
¤ Activité physique et fibres stimulent péristaltisme
¤ Habitudes (intimité, horaire, régularité, position)
¤ Douleur (ex. hémorroïdes)
¤ Médicaments (ex. Opioïdes, antibiotiques, AINS, Fer)
¤ Certaines maladies

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

définition diahrrée

A

¤ Augmentation du nombre de selles
¤ avec évacuation de matières fécales liquides
et aliments non digérés.
¤ Présence de 3 selles
liquides ou pluspar jour

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

causes et effets physiologiques diahrrée

A

cause=>effet physiolo
stress/anxiété=>+motilité+sécrétions
infection intestinale=>inflammation +sécrétions
allergie alimentaire=>mauv digestion
intolérance alimentaire=>+motilité+sécrétions
aliment par gavage=>attraction liquide dans gi par liquide hyperosmolaire
med et suppl: fer, antibio=>irritation, altération flore
laxatifs court terme=>+motilité
crohn…=>inflamm, ulcération, -absorption nutr, +motil intestinale
maladie fonctionnelle comme colon irritable=>hyper sensibilité
résection chirur=>perte fonction, diminution absorption

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

évaluation diahrrée

A

Évaluation
¤ Caractéristique des selles (présence de sang, de mucus, odeur…)
¤ Signes de déshydratation
¤ Bilan ingesta/excreta
¤ Examens paracliniques (Culture de selles, hématocrite, électrolytes)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

complications diahrrée

A

Complications
¤ Déséquilibre hydroélectrolytique et acido-basique
n Déshydratation, hypokaliémie, etc.
¤ Altération de l’intégrité des téguments
¤ Dénutrition

prédispositions pers. ages et nourrissons

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

définition constipation

A

Constipation (aigue ou situationnelle)
Définition : critères
1. Diminution de la fréquence d’élimination
p/r à ce qui est normal pour la personne,
mais critère =
Si pas de selles depuis 3 jours ou moins
de 3 fois par semaine
2.Selles dures et difficiles à expulser
3. Distension abdominale, ballonnements,
pression rectale

¨ Consensus surla définition de la constipation fonctionnelle
(chronique) – Rome IV
¤ Au moins deux des critères suivants doivent être présents (dans 25 % des
défécations) :
n 1) Effort d’évacuation; 2) selles dures ou fragmentées (Bristol 1 ou 2); 3) sensation
d’évacuation incomplète; 4) Sensation d’obstruction ou de blocage ano-rectal; 5) nécessité de manœuvres manuelles pour faciliter la défécation (évacuation digitale, pression pelvienne
externe); 6) Moins de trois défécations par semaine
n Lesselles ne sont pas molles (sauf si laxatifs) et les symptômes du patient ne répondent pas
aux critères du syndrome de l’intestin irritable.
¤ Début des symptômes depuis au moins six mois et deux symptômes présents
au cours des trois derniers mois.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

causes constipation

A

-mécanique:obstruction cancer, rectocèle
-diététique: manque fibre ou eau, caféine, viandes grasses
-environnementales: nobilité compromise, instalaltions sanitaire inadéquates
-neurogènes ou psychgènes: dépression, trouble aliment, avc
-endocriniennes/métaboliques: diabète. grossesse
-pharmacologiques: anticholinergiques, narcotiques, suppléments fer

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

complications constipation

A

¨ Complications
¤ Hémorroïdes; fécalome
¨ Interventions possibles (attention : tenir compte de la cause)
¤ Augmenterl’apport enfibre (combien?)
n Si à domicile, recommander des sources de fibres; en CH référence à nutritionniste
n Recours aux agents mucilagineux (ex. Métamucil)
¤ Augmenterl’apport liquidien (combien?)
¤ Augmenterl’activité physique (combien?)
¤ Établir unhoraire régulier de défécation (Lequel?)
n Promouvoir le réflex gastro-intestinal (répondre au besoin de défécation, lorsqu’il se
présente)
¤ Améliorer la position et l’environnement (Comment?)

se poser ces questions pour pouvoir agir sur la cause

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

intervention constipation

A

laxatifs voir tableau docu élimination intestinale

¨ Interventions possibles (attention : tenir compte de la cause)
¤ Administration de laxatifs ou de lavements
n Si constipation aigue : courte durée (favoriser d’abord les agents mucilagineux)
n Comme adjuvant à l’exercice et à une bonne alimentation
¤ Prise en charge médicale de la constipation chronique (LignesdirectriceWGO, 2010;
RomeIV,2016)
1. Augmenter l’apport en fibre ± agents mucilagineux et modifier habitudes de vie
2. Si non efficace, considérer autres laxatifs :
n Début avec les laxatifs osmotiques(ex. Relaxa ouLaxADay; Colyte; lactulose)
n Si échec, poursuivreavec des laxatifs stimulants (ex. bisacodyl, suppositoirede glycérine)
n Peuventêtre utilisésà long terme dans la constipationchronique(nécessiteunsuivi médical

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

besoins alimentation constipation

A

¨ Besoins en fibres alimentaires
¤ Hommes(19-50 ans) : 38 g/jour
¤ Femmes(19-50 ans): 25 g/jour
¤ Hommes(51 ans et plus) : 30 g/jour
¤ Femmes(51 ans et plus) : 21 g/jour
¨ Principales sources de fibres
¤ Grains entiers, les haricots, les pois, les lentilles
¤ Lesnoix et les graines
¤ Leslégumes (pois verts, épinards, fèves vertes), les fruits (ex. poire avec pelure, framboises, dattes ou prunes séchées, cerises, abricots)
¨ Prendre avec beaucoup d’eau (≈ 2L/jour)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

conséquences abus laxatifs

A

cercle vicieuxAbus de laxatifs - sans besoin réel (principalement
les laxatifs stimulants)
¤ Raisons
n Fausses croyances sur ce qu’est une élimination normale
n Marketing des produits laxatifs sansordonnance
¤ Risques associés
n Purgede l’intestin→ absencede mouvementspour quelques jours→
perception de constipation→ poursuitedes laxatifs
n Conséquencesd’une utilisation chroniquesansbesoinréel : perte du réflexe de défécation, déséquilibre hydroélectrolytique, colite

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

Depuis son hospitalisation il y a quatre jours, Monsieur Grégoire n’a
pas encore eu de selles. Il vous informe qu’habituellement, il va à la
selle tous les jours le matin. (plan 3 jours et 4 jours)

quelles interventions mettre en oeuvre

A

utiliser d’abord protocole de 3 jours (ne pas sauter d’étapes) puis le protocole de 4 jours si les suppositoires n’ont pas bien fonctionnés

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

Suite à votre intervention, Monsieur Grégoire sent le besoin de
déféquer. Cependant, il se sent très mal à l’aise de faire ses
besoins dans son lit, pendant que son voisin de lit reçoit de la
visite.

A

¨ Favoriser l’environnement : interventions visant à prévenir et aider à soulager la
constipation
¤ Établir un horaire régulier, offrir d’aller à la salle de bain ou le conduire après chaque repas
(20 min) ou selon ses habitudes, ne pas faire attendre lorsque ressent l’envie
¤ S’assurer d’un environnement intime (ex. tirer les rideaux, demander à la visite de sortir
temporairement), utiliser du produit pour les odeurs
¤ Favoriser une position adéquate : hauteur de la toilette, banc pour les pieds, bassin de lit

ne pas retarder déféqueation
boire + fibres
exercice

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

enseignement pour éviter constipation

A

¨ Favoriser l’environnement : interventions visant à prévenir et aider à soulager la
constipation
¤ Établir un horaire régulier, offrir d’aller à la salle de bain ou le conduire après chaque repas
(20 min) ou selon ses habitudes, ne pas faire attendre lorsque ressent l’envie
¤ S’assurer d’un environnement intime (ex. tirer les rideaux, demander à la visite de sortir
temporairement), utiliser du produit pour les odeurs
¤ Favoriser une position adéquate : hauteur de la toilette, banc pour les pieds, bassin de lit

ne pas retarder déféqueation
boire + fibres
exercice
notes habitudes défécation

éviter laxatifs et lavement car entrainement une dépendance

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
32
Q

complication extrême constipation: fécalome

défnition et manifestatins cliniques

A

¤ Définition et manifestations cliniques :
n accumulationde sellesdurciesdans le rectumet impossiblesà expulser
n Suintementde selles liquides ouglaireuses, souventinvolontaire
n Distensionet crampes abdominales, douleur rectale
¤ Autres manifestations possibles
n Nausée/vomissementet perte d’appétit
n Fièvre
n Rétention urinaire
n Ulcération de la muqueuseintestinale
n Delirium

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
33
Q

interventions fécalome

A

¨ Interventions
¤ Lavement évacuant ou fleet
¤ Si lavement non efficace: curage rectal
n Attention : depuis la loi 90, peut être
effectué par l’infirmière, mais idéalement :
infirmière expérimentée, résident, médecin
n Risque d’irritation, saignements, stimulation du
nerf vague (affecte la fréquence cardiaque)

activité réservée
technique invasive

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
34
Q

Évaluer l’équilibre hydrique chez une personne. (déséquilibre) tests

A

*** Turgescence diminuée
¤ Pli cutané au niveau du sternum, sous la clavicule; demeure pendant 20-30 sec.
n Plusdifficile à percevoir chez les personnes âgées, obèses ou enfants

** Les examens paracliniques
¤ Hématocrite (hémoconcentration/hémodilution): pour évaluer gravité déshydratation
¤ Urée et créatinine sérique: reins car deshy a un impact sur ces valeurs
¤ Osmolarité sérique: interprete equilibre electrolytique sanguin
¤ Électrolytes (Na, K, Cl)
¤ Analyse des urines (Densité de l’urine): capacité reins à concenytrer urine et quant. eau consommée

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
35
Q

Déterminer les principaux besoins et problèmes reliés à l’équilibre hydrique.

A

na, cl et k dan sliquide intra cell et extra cell
composante intra cell différente de cell extra cell

plus importante pompe sodium potassium
mouvement de l’eau entre compartiments maintien isotonie

équilibre apport déperdition

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
36
Q

Exercer une surveillance clinique de la thérapie intraveineuse.

***compléter avec lectures labo)

A

¨ Éléments de surveillance
¤ Bilan hydrique et pesée quotidienne (PRN selon la condition clinique)
¤ Réponse du client à la thérapie IV
n Ex. correction du déficit de volume liquidien et électrolytiques
¤ Manifestations cliniques d’un excès du volume liquidien
n Ex.risque de surcharge pulmonaire (ex. dyspnée, orthopnée, toux avec expectorations
mousseuses, tachypnée, tachycardie) signes

solution IV et site d’insertion*
n Sac: bonne solution IV, date d’expiration, limpidité de la solution, si le sac n’est pas mouillé
n Tubulure : bien branchée, n’est pas « coudée », pas de bulles d’air
n Débit de la perfusion, s’assurer que le soluté n’est pas positionnel
n Signes d’infiltration : œdème au site d’insertion avec tissus blanchâtres et froids, douleur,
absence de retour veineux
n Signes d’inflammation : rougeur, chaleur, œdème le long de la veine, douleur

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
37
Q

Déterminer les interventions appropriées lors d’un déséquilibre hydrique.

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
38
Q

pti fredy corrigé

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
39
Q

Combien devrions-nous boire à chaque jour?

A

Varie selon plusieurs conditions…
poids du corps en eau diminue avec age
2L par jour

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
40
Q

Quels facteurs peuvent influencer le besoin de s’hydrater?/facteurs risque déséquilibre

A

-âge: très jeune et très vieux
-régime alimentaire: riche en sodium, pauvre en électrolyte
-maladies chroniques: cancer, insuffisance cardiaque, cirrhose, MPOC, insuffisance rénal chronique, dépression SNC, diabète déséquilibré
-traumatismes: lésion musculaire par écrasement,

laxatif, antidépresseurs, cortisone.. peuvent causer déséquilibre électrolytique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

manifestations cliniques surcharge liquidienne et causes

A

¨ Excès de volume liquidien
¤ Causes : Excès de liquide IV, insuffisance cardiaque, insuffisance rénale
¤ Manifestations cliniques :
n Ex. Céphalées, pouls bondissant, ↑ PA,dyspnée, crépitants, gain pondéral
¤ Œdème périphérique : accumulation de liquide dans les tissus
n Peautendue et luisante
n Si laisse une marque : œdème à godet

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

Conséquences possibles d’une hydratation inadéquate

A

déshydratation intracell, vasculaire, hypovolémie, hypoerfusion

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

Comment déterminer si une personne s’hydrate
adéquatement?

A

pli peau tugescence cell
labos
sensation de soif, capacité à s’hydrater
poids stable
bilan hydrique: n Si le bilan est négatif = plus de pertes que d’apport
n Si le bilan est positif = plus d’apport que de pertes
examen physique et urinaire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

quoi inclure dans bilan ingesta extreta

A

ingesta
Liquides (ex. eau, jus, thé, café)
Soupe, gélatine (Jell-o), crème glacée
Solutions IV et médicaments IV (significatifs)

excreta
urine
vomi
selles liqudies (1selle=100mL)
Diaphorèse: si profuse, sans quantité

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

¨ Exemple : bilan hydrique de Mme Beaudoin de 00:00 à 23:59
¤ Unsoluté Mixte 0,45% perfuse à 70 ml/h par gravité
n À23:30, il restait 300 ml dans le sacde solution IV Mixte 0,45%. À 2:00, 200 ml ont perfusé et le saca été
changé pour un1000 ml. À7:30, il restait 650 ml. À15:00, 600 ml ont perfusé et il reste 50 ml dans le sacqui
est changé pour un1000ml. À23h30, il reste 475 ml.
¤ À 00:00, MmeBeaudoin à uriné 200 ml et à 07:00 375 ml.
¤ Au déjeuner à 8:30, elle a mangé deux rôties et bu la moitié d’un café. Vers 9:00, elle a uriné 150
ml et à nouveau 150 ml vers 11:00. À 12:00, elle a mangé undemi-spaghetti et une gélatine. À
13:30 elle a uriné 200 ml et fait une selle dure. À 15:00 elle a uriné 150 ml.
¤ À 17h00, elle a pris unesoupe avec des craquelins. À 17h30, elle a uriné 200 ml et 175 ml à
19h15. Elle a pris unverre d’eau à 20h00 et à uriné 250 ml à 21h30.

faire exercice mme beaudoin

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

types de déséquilibres ioniques et conséquences

A

¨ Hypokaliémie/hyperkaliémie
¤ Attention : troubles cardiaques possibles (arythmie), risques de blessures
(faiblesse musculaire, paresthésie)
¨ Hypernatrémie
¤ Attention : risque d’altération de l’état de conscience, de convulsions et de
coma

+ dangereuse, car impacts cardiaque fatal
*concentrations plasmiques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

comment prévenir déshydratation

A

¨ Risque de déshydratation (repérer)
¤ Encourager la personne à s’hydrater selon ses besoins
n Personnes les plus à risque : enfants en bas âge et personnes âgées
¤ Expliquer les facteurs de risque, les problèmes possibles et les mesures de
prévention
n Ex.Quoi faire en période de canicule?Boire davantage, horaire d’ingestion, liquides de
substitution, chercher les endroits frais, tenir les volets fermées le jour, pesée quotidienne, limiter
les activités physiques pendant les périodes chaudes

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

3 types de déshydratation+exemples

A

¨ Perte excessive des fluides organiques
¤ Hypertonique : perte d’eau surtout, non remplacée
n Résultante = hypernatrémie et risque de déshydratation intracellulaire
n Ex. vomissements, sudation excessive
¤ Isotonique : perte d’eau et de sodium
n Déshydratation extracellulaire; hypovolémie; hémoconcentration
n Ex. gastroentérites, diurétiques
¤ Hypotonique : perte de sodium supérieure à la perte d’eau
n Résultante : hyponatrémie
n Ex.Pertes liquidiennes gastro-intestinales isotoniques comblées par de l’eau
uniquement…

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

comment corriger déshydratation par voie orale

A

¨ Privilégier la voie orale si possible
¤ Déshydratation légère ou modérée; tolère les liquides ou vomissementspeu abondants; pas de
complications sous-jacentes (ex. occlusion intestinale)
¨ Quels liquides utiliser?
¤ Privilégier les solutions de réhydratation orale (SRO); si déshydratation légère, on peut prendre de
l’eau selon la cause (ex. chaleur en été, sport intense).
n SRO commerciales (en vente libre en pharmacie) : Pédialyte (enfant) ou Gastrolyte (adulte)
n SRO maison : 360 ml de jus d’orange pur non sucré + 600 ml d’eau bouillie refroidie + 2,5 ml (1/2
c. à thé) de sel (important de respecter les quantités…)
¤ Éviter le lait (sauf enfant allaité ou au biberon), le café, les jus, les boissonsgazeuses et les boissons
énergétiques (trop de sucre, pas assez de sodium)

¨ À quelle fréquence doit-on reprendre l’hydratation?
¤ Commencer par 5 ml (une cuillère à thé) à 15 ml (une cuillère à soupe), puis
poursuivre aux 5 à 15 min si toléré
n Si vomissements, attendre 30 min environ et reprendre du début
¤ Si bien toléré, augmenter graduellement les quantités jusqu’à que la personne
puisse boire à sa soif
¨ Après 4h de réhydratation bien tolérée, on peut reprendre graduellement
l’alimentation
¤ Commencer par des petites portions
¤ Éviter les aliments très gras ou frits, les aliments très sucrés, les fibres alimentaires
en grande quantité, le lactose

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

causes et manifestations déficit déséquilibre hydriques extracellulaires

A

–Déshydratation légère = soif, muqueuses
sèches, ↓ turgescence, ↓ débit urinaire
¤– Déshydratation modérée (s’ajoutent) =
Tachycardie, hypotension orthostatique, ↓
turgescence accentuée
¤ –Déshydratation sévère = tachypnée,
hypotension, confusion, ↓ remplissage
capillaire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
42
Q

Après XXX temps de réhydratation bien tolérée, on peut reprendre graduellement
l’alimentation

A

4h

Commencer par des petites portions
¤ Éviter les aliments très gras ou frits, les aliments très sucrés, les fibres alimentaires
en grande quantité, le lactose

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
42
Q

Objectifs possibles pour la thérapie IV

A

¤ Remplacer les pertes hydriques ou compenser les pertes quotidiennes
normales
¤ Remplacer les électrolytes perdus
¤ Permettre l’administration de médicaments de manière intermittente ou continue
n Solution IV non obligatoire (ex. bouchon intermittent)
¤ Administrer des produits sanguins
¤ Dans certaines circonstances, administrer des nutriments parentéraux
(hyperalimentation)
n Alimenter : nécessite une surveillance accrue et une voie centrale

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
42
Q

À quelle fréquence doit-on reprendre l’hydratation? **

A

¤ Commencer par 5 ml (une cuillère à thé) à 15 ml (une cuillère à soupe), puis
poursuivre aux 5 à 15 min si toléré
n Si vomissements, attendre 30 min environ et reprendre du début
¤ Si bien toléré, augmenter graduellement les quantités jusqu’à que la personne
puisse boire à sa soif

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
43
Q

Qu’arriverait-il si on
Administrait de l’eau pure IV?

A

eau pure ne contient pas électrolytes essentiels, peut entrainer perturbation équilibre hydrique dans sang et cause hyponatrémie qui entraine effets sur snc et autres organes, peut causer hémolyse à cause de l’osmolarité différente des cellules conséquences graves et mortelles

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
44
Q

comment et quoi réhydratation veineuse

A

¨ Accès veineux périphérique/accès veineux central
¨ Produits administrés par voie IV
Ø Cristalloïdes (accès veineux périphérique):solutions salines
Ø Colloïdes: albumine, gélatine, amidon
Ø Produits sanguins
Ø Alimentation parentérale
Ø Médicaments (accès veineux périphérique)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
45
Q

types de solutions IV

A

¤ Dextrose 5% (isotonique)
n Isotonique au départ, rapidement métabolisé = eau libre (hypotonique)
n Ex. Remplacer les pertes liquidiennes avec hypernatrémie, patient diabétique et NPO (prévenir la cétose et le
déséquilibre du pH)
n Ne constitue pas une alimentation (fournie légèrement de l’énergie)
¤ NaCl 0,9% (isotonique)
n Ex. déficit liquidien isotonique ou avec légère hyponatrémie; administration des produits sanguins
¨ Lactate Ringer (isotonique)
¤ Pour remplacer les pertes liquidiennes et d’électrolytes
¨ NaCl 0,45% (hypotonique) et Mixte 0,45% (hypertonique…)
¤ Compenser les pertes quotidiennes normales, qui sont hypotoniques
¨ Solutions hypertoniques (ex. NaCl 3%) ***fortement hypertonique et peut endommager veines
¤ Attention : surveillance requise, administrer avec soins
¤ Ex. hyponatrémie sévère, œdème cérébral
¤ Entraîne le LIC vers les compartiments extracellulaires

correction rapide peut causer effets neurologiques graves

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
46
Q

risques de surcharge liquidienne et interventions

A

¤ Chez les patients atteints d’insuffisance cardiaque ou d’insuffisance
rénale
¤ Limite liquidienne
n Ordonnance médicale (ex. 1200 ml/jour)
n Expliquer au patient les raisons et l’importance de cette limite
n Enmilieu hospitalier, établir unbilan hydrique (décision de l’inf.)
¤ Diète hyposodée
¤ Pesée régulière (ex. q3 jours)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
47
Q

Déterminer les principaux besoins et problèmes reliés à l’élimination urinaire.

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
48
Q

Exercer une surveillance clinique auprès de personnes qui présentent des problèmes reliés à l’élimination urinaire.

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
49
Q

Déterminer les interventions appropriées pour soulager les problèmes reliés à l’élimination urinaire.

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
50
Q

facteurs influant sur la miction

A
51
Q

exercice formatif d’intégration voir portail

A
52
Q

Caractéristiques normales et anormales besoin d’élimination urinaire

A

¤ Production rénale
n Environ 1500-1800 ml/24 heures, donc ≅75 ml/h
n Minimum : au moins 30 ml/heure
¤ Capacité de la vessie
n Environ 500 ml avant miction
n Maximale = 800 à 1000 ml
¤ Une miction normale : 300 à 400 ml
n Besoin d’uriner peut se faire sentir à partir de 150-200
ml; à plus de 400 ml devient irrépressible
¤ Enmoyenne cinq fois par jour et pas la nuit
n Moments : au réveil, après les repas, au coucher

¨ Caractéristiques normales et anormales
¤ Couleur paille (diluée) à ambrée (concentrée; matin)
n Rouge foncée = saignement des reins; rouge clair = saignement de la
vessie – urètre
n Brune : bilirubine
n Médicaments et aliments peuvent colorer (ex. betteraves, rhubarbe)
¤ Transparence = claire
n Urine qui emplit la vessie = stérile
n Trouble = bactéries ou protéines
¤ Odeur légère = urine fraîche
n Odeur sucrée-fruitée = diabète
¤ Composition
n 95% eau, 5% solutés (déchets et ions) : Urée, Na+, K+, créatinine
n Anormal : ex. glucose (diabète), leucocytes (infection), érythrocytes
(saignement)

53
Q

3 mécanismes miction

A

¨ Miction
¤ Nécessite trois mécanismes
¤ Stimulée par la distension de
la vessie Muscles lisses (involontaire; SNA)
1. Contraction du détrusor
(musculeuse de la vessie)
2. Ouverture du sphincter interne de
l’urètre Muscle squelettique (volontaire)
3. Ouverture du muscle sphincter
externe de l’urètre

influx nerveux jusquau creveau quand pleine
muscle empêche retour urine pour éviter infection

54
Q

problemes+signes incontinence et rétention urinaire

A

symptomes=>causes
- miction impérieuse (besoin immédiat et intense d’uriner)=vessie pleine, inflammation ou irritation vessie
- dysurie (douleur ou malaise lors miction)=>urétrite, lésions, inflammation
- pollakiurie (besoin uriner +8x ou -2h)=>irritants comme caf, pression vessie, vessie hyperactive, troubles neuro
- Retard miction (déclenchement lent de la miction)=>anxiété, obstruction
- polyurie(élimination qté excessive urine)=>diabète, ++liquide, tx diurétique
-oligurie (réduction diurèses)=>insuffisance rénale, ++adh, obstruction
signe=>causes
- nycturie (besoin impérieux d’uriner qui tire la personne de son sommeil)=>trop liquide, obstruction vessie, méd comme antidiurétique, maladie cardiovasculaire(HTA, insuffisance rénale), IVU
- incontinence urinaire=>obstruction vessie, vidange incomplète vessie, incontinence à l’effort
- hématurie(macro ou micro)=>tumeurs, infection, calculs, lésions
- rétention urinaire(aigu: incapacité soudaine uriner lorsque vessie pleine ou trop pleine//chronique: vidange incomplète pendant miction et rétention)=>obstruction, contractilité vésicale faible ou absente, effet secondaire med (anesthésiants, antichol, antispasm, antidépress)

55
Q

évaluation prob urinaires

A

pqrstu
voir tableau doc
¨ À l’entrevue (PQRSTU)
¤ Caractéristiques des mictions
n Voir Tableau 16.11 dans Potter et Perry (2022, p. 502)
n OU Tableau 35.2, Potter et Perry (2016, p. 514-515)
¤ Symptômes ou signes d’altération
n Importance d’utiliser la bonne terminologie
¤ Facteurs qui influencent l’élimination urinaire (voir lectures Potter et
n Développement (personnes âgées, grossesses, accouchements)
n Alimentation
n Constipation
n Stress et anxiété (Impression d’envie pressante, ↑fréquence urinaire, vidange incomplète)
n Médicaments (effet diurétiques – ex. furosemide; rétention urinaire, coloration de l’urine)

¨ Examen physique
¤ Inspection
n Caractéristiques de l’urine : couleur, transparence,
odeur
¤ Examen physique de l’abdomen
n Détection d’un globe vésical à la palpation et à la
percussion (rétention urinaire)
n La vessie se distend et s’élève au-dessus de la
symphyse pubienne
¤ Évaluation des téguments
n Peau et muqueuses si incontinence
Quantité d’urine
¤Bilan des excreta : quantité d’urine par 8h et 24h
n Permet un calcul de la diurèse horaire
¤ Déterminer le volume urinaire contenu dans la
vessie
n Échographie (Bladder scanMD)
n Démonstration en laboratoire
n VRPMnormal : 50-75 ml

¨ Testsparacliniques
¤ Analyse d’urine/culture d’urine
n Méthode du mi-jet (vue en laboratoire
n Analyse (non stérile)
¨ Examens diagnostiques radiologiques
¤ Écographie rénale
n Encourager à boire avant (min. 500 ml)
¤ Cystoscopie : surveiller…
n Les signes de rétention urinaire, la première
miction, les signes d’infection

56
Q

à quoi sert bladder scan

A

volume urine dans vessie

57
Q

tests et examens prob urinaires

A

¨ Testsparacliniques
¤ Analyse d’urine/culture d’urine
n Méthode du mi-jet (vue en laboratoire
n Analyse (non stérile)
¨ Examens diagnostiques radiologiques
¤ Écographie rénale
n Encourager à boire avant (min. 500 ml)
¤ Cystoscopie : surveiller…
n Les signes de rétention urinaire, la première
miction, les signes d’infection

suivi après résultat anormal, leucocytes…

58
Q

Constats possibles problème (ou risque) urinaire

A

¨ Formuler les problèmes urinaires
¤ Incontinence urinaire (préciser le type)
¤ Rétention urinaire
¤ Risque d’infection urinaire OU infection urinaire
n Ex. urétrite, cystite, pyélonéphrite
¨ Problèmes associés potentiels
¤ Atteinte (ou risque d’atteinte) à l’intégrité de la
peau
¤ Image corporelle perturbée, isolement, anxiété
¤ Douleur
¤ Risque de chute

¨ Incontinence urinaire (fuite involontaire d’urine)
¤ Affecte deux fois plus les femmes que les hommes
¤ Prévalence augmente avec l’âge
¤ Associé à une diminution de la qualité de vie, une diminution de l’estime de soi, un
isolement social, une perturbation des habitudes sexuelles et la dépression
¤ Classification
n 1- À l’effort
n 2- Par impériosité
n 3- Fonctionnelle
n 4- Réflexe
n 5- Par regorgement

59
Q

incontinence urinaire c quoi+facteurs risque

A

¨ Incontinence urinaire (fuite involontaire d’urine)
¤ Affecte deux fois plus les femmes que les hommes
¤ Prévalence augmente avec l’âge
¤ Associé à une diminution de la qualité de vie, une diminution de l’estime de soi, un
isolement social, une perturbation des habitudes sexuelles et la dépression
¤ Classification
n 1- À l’effort
n 2- Par impériosité
n 3- Fonctionnelle
n 4- Réflexe
n 5- Par regorgement

60
Q

définir incontinence à l’effort

A

¨ 1- Incontinence à l’effort muscles s’affaiblissent
¤ Sphincter urétral externe : ne peut se
contracter suffisamment pour retenir l’urine
lors d’une augmentation soudaine de la
pression intraabdominale
¤ Manifestations cliniques
n Pertes de petites quantité d’urine, pas
nécessairement à tous les jours
n Survient lors d’une activité : ex. suite à de la toux,
des rire, un éternuement, soulèvement d’une
charge, etc.

61
Q

causes et interventions incontinence à l’effort

A

¨ 1- Incontinence à l’effort
¤ Causes possibles
n Relâchement des muscles du plancher pelvien (ex.
accouchements multiples, surpoids, toux chronique)
n Ménopause
n Chirurgie de la prostate
n ↓mobilité prolongée

¤ Intervention
n Traitements médicaux varient selon la cause : ex.
œstrogènes topiques si ménopause
n Intervention infirmière : enseigner les exercices de
renforcement des muscles du plancher pelvien,
encourager la perte de poids et l’abandon du
tabagisme, traiter la constipation

¤ Cystocèle (« descente » de la vessie vers le
vagin)
n Dû à l’affaiblissement des
muscles/ligaments soutenant ces organes
n Causes possibles : grossesses et
accouchements, obésité, tabagisme et
toux chronique, constipation,
hystérectomie
n Peut entraîner de l’incontinence urinaire
à l’effort…

etre en mesure de l’enseigner au pt**
**
¤ Exercices de renforcement des muscles périnéaux
(exercices de Kegel)
n Être en mesure de l’enseigner à un patient
n Potter 2016, encadré 35.6 (p. 524); Potter 2022,
encadré 16.23, p. 515
n Bien repérer les muscles du plancher pelvien (pas
cuisses, fesses ou abdomen)
n Contracter 10-15 fois (3-4 sec. et plus… jusqu’à 8-
10),
3 fois par jour, sur 15 à 20 semaines

62
Q

être en mesure d’enseigner au pt exercices incontinence urinaire voir docu

A

surtout pour effort
contraction musles plancher pelvien

63
Q

incontinence par impériosité c quoi, manifestations et causes

A

¨ 2- Incontinence par impériosité
¤ Hyperactivité du détrusor soit par irritation ou trouble du SNC, provoquant des
contractions involontaires
¤ Manifestations cliniques
n Précédé d’un besoin soudain, impérieux et irrépressible d’uriner
n Quantité peut varier de petites à grandes quantités
n Fréquence mictionnelle augmentée (< 2h), nycturie possible
¤ Causes possibles
n Ex. : infection urinaire, alcool, cancer de la vessie, radiothérapie, AVC, parkinson
¤ Interventions : traitement selon la cause sous-jacente
n Ex. traiter l’infection urinaire, ↓alcool, rééducation vésicale (AVC)

64
Q

incontinence fonctionnelle c quoi, manifestations et causes

A

¨ 3- Incontinence fonctionnelle
¤ Système urinaire et SNC intact, mais facteurs cognitifs, fonctionnels ou
environnementaux qui influencent (perte mobilité, changement milieux…)
¤ Caractéristiques
n Pertes d’urine avant d’atteindre les toilettes
n Atteinte cognitive : empêche de reconnaître le besoin d’uriner (ex. démence)
n Mobilité réduite ou trouble d’équilibre : empêche de se rendre aux toilettes à temps ou
d’utiliser les toilettes adéquatement (ex. PAR)
¤ Types d’interventions
n Adapter l’environnement en vue d’assurer un accès facile et régulier à la toilette
n Ex. Meilleur éclairage, appareil d’aide à la marche, modification dans les vêtements,
horaire des mictions

65
Q

incontinence réflexe c quoi, manifestations et causes

A

¤ À la suite d’absence de perceptionssensorielles et de maîtrise motrice
n Pertes involontaires d’urine survenant en l’absence d’avertissement ou d’effort
n Ex. lésion de la moelle épinière au-dessus de S2
* ¤ Nécessite des cathétérismes vésicaux intermittents
n Auto-cathétérismes, à intervalles réguliers

66
Q

stratégies générales incontinence

A

¨ Incontinences : retour sur les stratégies générales Il faut notamment tenir compte du type d’incontinence et de la cause
¤ Établir un horaire mictionnel
n Acquisition d’habitudes régulières
n Ex. horaire régulier q 2-3 h, mais souple
¤ Modification des habitudes de vie selon la cause
n Ex. ne pas boire 2 heures avant le coucher, diminuer les aliments ou breuvages irritants pour la
vessie (ex. alcool), cessation tabagique, surveiller la constipation,
¤ Soutien et transmission d’information
n Normaliser (la personne n’est pas responsable)
n Expliquer les causeset les facteurs de risque
¤ Dispositifs anti-incontinence (serviette ou culotte pour l’incontinence)

67
Q

incontinence urianire par regorgement c’Est…

A

¨ 5- Incontinence urinaire par regorgement
¤ La pression de l’urine dans une vessie remplie à
capacité supprime le contrôle du sphincter
¤ Donc, le problème sous-jacent…
¨ Rétention urinaire

68
Q

rétention urinaire c quoi, causes, manifest cliniques

A

¤ Incapacité de vidanger une partie ou la totalité de
la vessie
n Manifestations cliniques : sensation de pression,
d’inconfort ou de douleur au-dessus de la symphyse
pubienne; agitation; diaphorèse; écoulements (petites
quantités, 25-60 ml, 2-3 fois/h)
n Présence d’un globe vésical (signe) = vessie distendue et
palpable
*********
¨ Peut être aigue ou chronique (pas capable de commencer miction ou vider toute vessie)
¤ Aigue: Incapacité totale d’uriner (urgence médicale)
¤ Chronique: vidange incomplète lors des mictions
¨ Causespossibles
¤ Obstruction au col de la vessie (ex. hypertrophie de la prostate, fécalome)
¤ Incapacité du détrusor à se contracter (ex. lésions neurologiques, diabète,
médicaments comme les anesthésiants)

69
Q

prévention rétention urinaire en CH etCHSLD

A

¨ EnCHet CHSLD: prévenir les retards mictionnels en maintenant
des habitudes de miction
¤ Influencée par le lieu, le moment et le degré d’intimité
n Le stress rend difficile le relâchement des muscles abdominaux et périnéaux
n Laisser du temps et de l’intimité
¤ Personnes âgées ou à risque
n Offrir régulièrement : ex. amener aux toilettes après chaque repas ou offrir la
bassine/urinal
n S’assurer d’un accès sécuritaire aux toilettes (ex. aide à la marche)

70
Q

quoi faire avant catétérisme pour régler rétention urinaire

A

¨ Avant de passer au cathétérisme, utiliser la stimulation sensorielle
* ¤ Favoriserl’hydratation
* ¤ Bruit de l’eau qui coule
* ¤ Doigts dans un bassin d’eau tiède
* ¤ Verser de l’eau tiède surle périnée
* ¤ Massage à l’intérieur de la cuisse
¨ Si non efficace
* ¤ Envisager cathétérisme vésical (nécessite une ordonnance)
* ¤ Si drainage en continu, surveiller première miction lors du retrait
n ↓tonus vésical et lésions des sphincters urétraux possibles

71
Q

intervention rétention urinaire (invasive)

A

¨ Cathétérisme vésical
¤ Risque d’infection
urinaire (asepsie)
¤ Hygiène périnéale
¤ Maintenir l’apport
liquidien
¤ Surveillance de la peau
si usage prolongé

72
Q

conseils pour prévenir infection pour client porteur d’une sonde

A

-lavage mains
-garder tout stérile, si débranchement désinfecter
-éviter accumulation/stagnation urine
-vider sac souvent
-fixer sonde cuisse pour éviter traction
-soins méat et région périnéale

73
Q

infection urinaire c quoi, causes, manifest cliniques, facteurs et tx

A

¨ Infection urinaire (voies inférieures) (haute: reins)
¤ Manifestations cliniques
n Dysurie, inconfort sus-pubien, douleur à la miction,
n Envie impérieuse d’uriner, pollakiurie (fréquence ↑,petites quantité < 200 ml, > 8 fois/24h),
nycturie, incontinence
n Hématurie, urine concentrée et trouble
n Si s’aggrave : fièvre, frissons, nausées et vomissements
¤ Infection nosocomiale fréquente (sondes vésicales)
¤ Facteurs
n femmes enceintes, ménopause, âge, habitudes d’hygiène périnéale chez la femme, stase
urinaire
¤ Traitement : antibiothérapie PO

74
Q

prévention infection urinaire

A

¤ Chez les personnes à risque
1. Vider la vessie complètement et régulièrement (q 3-4 h)
2. Aller à la selle régulièrement
3. Nettoyer la région périnéale de l’avant vers l’arrière
4. S’assurer d’un apport liquidien adéquat
5. Uriner avant et après les relations sexuelles
6. Jusde canneberge en cas d’infection chronique : mythe ou réalité?
¤ Enmilieu hospitalier : attention à l’asepsie lors de cathétérismes vésicaux…

¤ Maintenir un apport liquidien adéquat
n Diminue l’irritation de la vessie en diluant l’urine
n Favorise l’évacuation des bactéries
¤ Éviter les aliments sensésirrité la vessie
n Caféine, alcool, jus d’agrume, chocolat, aliments épicés
¤ Application locale de chaleur dans la région sus-pubienne
¤ Souligner l’importance de poursuivre l’antibiothérapie jusqu’à la fin
¤ Surveiller l’évolution des symptômes

75
Q
  • Reconnaître un incident ou un accident en milieu de soin.
A

incident: action ou situation qui n’entraine pas de conséquences sur état ou bien etre, mais auarait pu avoir incidence sur santé ou be du pt dans une autre situation (peut etre un impact hypothétique)

accident: conséquences réel sur la santé et bien etre comme blessures (impact réel)

AH-223

76
Q
  • Comprendre les éléments faisant en sorte que l’on considère un client comme étant difficile. exemples
A
  • Comportements ou attitudes tels que: la manipulation, l’agressivité, la
    dépendance ou encore la somatisation (sonne souvent pour réassurance, ou dit avoir douleur)
  • Les patients qui pensent tout savoir
  • Attentes/besoins non satisfaits
  • Ceux qui consultent à répétition ou consultent plusieurs professionnels (=>diminution empathie)
  • Qui ne sont pas adhérents aux traitements (respectent pas recommandations ou refus)
  • Manque de collaboration ou de participation
  • Qui sont résistant à former une alliance thérapeutique
  • Incapacité fonctionnelle
  • Qui demandent beaucoup de temps et d’énergie
  • Présences de plusieurs symptômes (physiques et/ou
    psychologiques)
  • Présence de multiples douleurs
  • Peu d’amélioration de la condition
  • Patients ayant des troubles de personnalité et autres
    problématiques de santé mentale.

prendre recul pour ne pas se sentir attaquer et continuer à offrir même qualité soins

77
Q
  • Identifier des pistes de stratégie auprès des clients difficiles
A

PAS MENSONGE
* Adopter une approche centrée sur le client
* Participation active, renforcer autonomie, prise de décision
* Interventions basées sur des approches psychologiques
* Faire attention à ses propres mécanismes de défense
* Faire attention à ses propres attitudes et croyances
* Gérer les conflits
* Prendre une distance p/r aux comportements et propos
* Etc.

colère
- Consiste à faire verbaliser la personne concernant ses émotions et la
situation qu’elle vit.
- Questions ouvertes, reflets de sentiment, reformulation et le silence sont à
privilégier.
- Ne pas parler plus que le client.
- Créer un lien avant l’encadrement thérapeutique
- Éviter communication négative (« ne faites pas ceci », « ne faites pas cela »)
- Ne pas couper la parole
- Éviter d’argumenter, de commander, de provoquer, de confronter

trouble personnalité
- Prendre le temps de recontextualiser, reformuler et résumer.
- Ne pas minimiser les problèmes vécus.
- Ne pas essayer de convaincre.
- Explorer les émotions.
- Les aider à exprimer leurs besoins.
- Maintenir le cadre établi ou les limites.
- Ne pas être affecté personnellement par les commentaires reçus à notre égard par
la personne.
- Faire attention à ne pas rejeter la personne.
- Focaliser les interventions dans le « ici et maintenant ».
- Ne pas réagir de manière excessive face aux propos ou comportements de la
personne

faible motivation
Souligner souvent l’autonomie de la personne :
* J’ai bien compris que vous avez d’autres priorités
(acceptation)
* Vous avez beaucoup de mérites, vous avez fait des efforts
(respect, valorisation)
* C’est une situation difficile, c’est légitime de ressentir cela
(légitimation)
* Je ne suis pas là pour vous forcer (neutralité)
* C’est vous qui savez ce qui est possible et réaliste pour
vous (autonomie)
* Phénomène « normal »
* Ne pas lutter contre, accueillir
* Même démarche globale
* Ouverture aux raisons de NE PAS adopter
* Travailler longuement les raisons d’adopter
* Travailler longuement la confiance
* Proposer transition vers un possible plan

manque confiance en ses capacités
- Renforcer le discours-changement
- Étiqueter positivement le patient
- Attention au réflexe correcteur !
- Utilisation des reflets
- Valoriser ou soutenir le sentiment d’efficacité personnelle
- Adapter ses interventions au stade de changement de la personne
- Accueillir la résistance
- Explorer la résistance

dissonnance-pearls
* Ne pas avoir une attitude directive
* Éviter la confrontation
* Ne pas mettre l’accent sur la distance entre l’idéal et la réalité
* Considérer le point du vue du client
* Reconnaitre l’existence d’un problème
* S’adapter, ne pas s’« accrocher » au protocole
* Éviter de chercher à “régler la maladie”
* Éviter de se concentrer sur le risque
* Donner suite aux inquiétudes du client:
* Soutenir
* Centrer la relation sur le patient

78
Q

Le soluté de M. Landry a perfusé au
mauvais débit.
 Cela constitue-t-il une erreur clinique?
 S’agit-il d’un incident ou d’un accident au
sens de la loi?
 Y a-t-il un suivi administratif particulier à
assurer?

A

voir autres réponses ou ppt

79
Q

incident et accident à déclaration facultative

A

pas de soins ni de suivi nécessaire sauf niv d??

80
Q

incidents accident necessitant autre type de rapport que AH-223

A

 Les accidents de travail
 Les complications prévisibles de la maladie
 Les infections nosocomiales
 Les incidents/accidents transfusionnels
 Les cas d’abus, d’agression, de harcèlement d’un employé envers un usager
(RH) ou encore d’un usager envers un employé (accident de travail)

81
Q

 incident ou accident? Doit-on déclarer?
 Un patient confus agresse un autre patient? Un patient confus agresse une
infirmière?

A

accident autre formulaire pt aurait pu se blesser, si inv autrre docu plus d’une procédure et direction

82
Q

 incident ou accident? Doit-on déclarer?
Un patient intolérant au gluten reçoit un cabaret avec de la nourriture contenant
du gluten mais n’y touche pas?

A

Incident déclarer

83
Q

 incident ou accident? Doit-on déclarer?
 L’infirmière constate à la fin de son quart de travail que le système
d’oxygénation ne fonctionne pas dans une chambre
 Le patient devait recevoir O2 à 2L/min via LN?

A

Accident et expliquer au pt

84
Q

 incident ou accident? Doit-on déclarer?
 L’infirmière constate à la fin de son quart de travail que le système
d’oxygénation ne fonctionne pas dans une chambre
 Aucun oxygène de prescrit pour le patient?

A

incident

85
Q

 incident ou accident? Doit-on déclarer?
Le système de fermeture automatisé des portes (anti-fugue) n’a pas été activé
sur une unité psychiatrique?

A

incident

86
Q

incident ou accident? Doit-on déclarer?
 Un patient avec des troubles cognitifs s’enfuit (fugue) d’une unité gériatrique?

A

accident

87
Q

incident ou accident? Doit-on déclarer?
 Un patient refuse qu’on lui fasse un prélèvement sanguin?

A

non

88
Q

incident ou accident? Doit-on déclarer?
Un médicament est servi au mauvais bénéficiaire?

A

accident

89
Q

incident ou accident? Doit-on déclarer?
Un patient est trouvé par terre, étendu sur le so

A

accident

90
Q

incident ou accident? Doit-on déclarer?
En ouvrant un plateau à pansement, l’infirmière s’aperçoit que celui est souillé

A

non incident

91
Q

incident ou accident? Doit-on déclarer?
 Un patient sur une unité psychiatrique a caché une corde en vu de se suicider

A

oui
accident évènement sans conséquence immédiate facultatif

92
Q

incident ou accident? Doit-on déclarer?
Un patient tente de se suicider

A

accident

93
Q
  • Comprendre les éléments faisant en sorte que l’on considère un client comme étant difficile. 5 catégories
A
  1. La personnalité (hypersensible, perfectionniste, faible estime, rapidement anxieux, durs à rassurer)
  2. Le comportement (perturbateur, exigeant, refus tx, aabsences à répétition, victimisation, recherche attention, argumenter)
  3. Le contexte psycho-social (avantage à revoir assurance maladie prêt à retourner au travail=empire, pauvreté med pas couvert)
  4. Les problèmes physiques (physiques et psychologiques: troubles mentaux, multiples douleurs et diagnostics durs à gérer)
  5. Les problèmes de communication (difficulté de compréhension de la langue, communique peu répond peu, trouble audition)
94
Q

autres facteurs pouvant contribuer a étiquette pt difficile

A
  • Provenant du patient
  • Provenant du professionnel (nos attitudes, notre vie personnelle, nos traits de personnalité, confrontation valeurs, préjugés, différence d’âge)
  • Provenant de la qualité de la relation (relation hiérarchique plutot que partenariat, difficulté à faire enseignement, établir relation confiance dure)
  • Provenant de facteurs organisationnels (manque personnel temps supplémentaire, plus de clients, manque de temps)
95
Q

Exercer une surveillance clinique auprès de personnes qui présentent des problèmes reliés à l’oxygénation.

A

-utilisation muscles accessoires, expiration forcée/active

96
Q

comment améliorer physiologiquement échanges gazeux

A

↑ volumed’air (FRlente et amplitudeprofonde) plus
efficace que ↑ FR(amplitudesuperficielles)

97
Q

qu’est-ce qui entraine exacerbation aigu respi

A

dépense plus énergie pour respirer entraine exacerbation aigu

98
Q

pression partielle gaz poumons

A

PO2: Artères systémiqueset capillaires 75-100 mmHg (arteres +o2)
PCO2: Artères systémiqueset capillaires 35-45 mmHg (tissus et veines + co2)

99
Q

facteurs influant sur respiration

A

¨ Facteurs physiologiques
¤ Ex. maladies cardiaques, anémie, fièvre, asthme
¨ Facteurs développementaux
¤ Personneâgée : anxiété et agitation inexpliquées (signesprécoces)
¨ Facteurs comportementaux
¤ Alimentation : obésité grave, cachexie chez MPOCmodérée à sévère
¤ Bienfaits de l’exercice
¤ Tabagisme: MPOCet cancer
¤ Anxiété
¨ Facteurs environnementaux
¤ Pollution atmosphériqueet professionnelle

à lire dan potter et à connaitre

100
Q

Maladie pulmonaire obstructive
chronique (MPOC ou BPCO)

A

¤ Caractéristiques :
n Obstruction chronique progressive du passagede l’air et inflammationchronique
n Bronchioles s’ouvrent à l’inspiration et
s’affaissent à l’expiration
n Dyspnée,toux et expectorations
¤ Englobe
n Bronchite chronique
n Emphysème(souvent les deux

101
Q

Pneumonie

A

¤ Inflammation aigue du parenchyme
pulmonaire due à un organisme
pathogène
n Inflammation de la membrane
alvéolocapillaire, production d’exsudat dans
les alvéoles
¤ Toux, fièvre, expectorations purulentes
(parfois rougeâtres)
n Dyspnéeet crépitants possibles
n Personneâgée : parfois seulementconfusion

102
Q

Vous travaillez comme infirmière en GMF et vous recevez M. Félix Dupont, 76
ans, qui consulte parce qu’il se dit plus essoufflé qu’à l’habitude. Il se dit
également faible et fatigué. Il présente des antécédents de MPOC et
d’insuffisance cardiaque gauche. Il vous paraît agité, car il ne cesse de bouger
sur sa chaise et parle rapidement. Vous remarquez aussi qu’il présente de la
toux.

n Comment débutez-vous l’entretien avec monsieur Dupont? Sur quel
symptôme orientez-vous votre évaluation?
et quoi tous symptomes

A

entrevue: essoufflement avec pqrstu, car c’est ce qui apporte plus de réponse rapidement

-essouflé
-faible et fatigué
-agité: signe mauvais oxygénation (ventilation ou perfusion)
-parle rapidement
-toux

tout interrelié
MPOC ou insuffisance cardiaque

103
Q

ABC évaluation visuelle

A

aspect (tonus, état de conscience…)
breathing
circulation

104
Q
A

manque air cause anxiété=>sympathique=>augmentation besoin oxygène
faire sortir gens et mettre ventilateur dans visage pour donner signal air et diminuer anxiété
sévérité perception pas forcément ce qui est observé

105
Q

quoi collecter comme données respi

A

¨ Respiration : FR,amplitude et rythme
¨ Caractéristiques des expectorations
¤ Couleur, consistance, quantité et odeur
¨ Présence de bruits respiratoires
anormaux
¨ Utilisation des muscles accessoires
¨ Tirage
(Muscles accessoires :
Sternocléidomastoïdien,
scalènes, trapèzes -
muscles du cou et des
épaules)

inflammation épais collant et dur à expectorer
mousse signe oedeme poumon très mauvais signe

¤Pâleur, cyanose
n Cyanose = tardif (lorsque SaO2 < 75%)
n Péribuccale, mains, doigts = périphérique (vasoconstriction)
n Muqueuses de la bouche, conjonctives palpébrales = central (hypoxie)=>plus fiable
¤Forme du thorax (ex. asymétrie; tonneau) emphysème
¤Difficulté à communiquer (Ex. dyspnée à 2 ou 3 mots)
¤Augmentation du rapport I:E (normal = 1:2) expiration allongé ou forcée

106
Q

examens paracliniques respi

A

¨ Saturométrie (SpO2)
¤ Adulte ≥ 95%
¤ Fiable si > 75-80%; résultats peuvent varier (ex. extrémités froides, ongles acryliques,
vernis à ongles, lumière vive)
¨ Gaz artériel
¤ Artère radiale; cathéter artériel
¤ Indiquer si O2 (ne pas modifier 20 min avant)
¨ Gaz capillaire
¨ Bronchoscopie : garder à jeun au retour jusqu’à ce que le réflexe de déglutition soit
revenu.

107
Q

valeurs sp02 et pa02

A

normal: +94% /+70mmHg
acceptable à surveiller: 90% /60mmHg
acceptable pour hypoxémie chronique/MPOC: 88% /55mmHg
acceptable à court terme, mais insuffisant: 75% /40mmHg
insuffisant conséquences graves: -75% /-40mmHg

108
Q

modes respi inefficace

A

¨ Manifestations cliniques
¤ Dyspnée
n Respirationdifficileet inconfortable, impression
de souffle court oud’essoufflement, sensationde gêneoud’oppression
¤ Tachypnée
¤ Utilisation des muscles accessoires
¤ Tirage
¤ Respiration avec les lèvres pincées
¤ Position du trépied
¤ Orthopnée: couché dur amélioré assis ou debout
¤ Anxiété
n Peutentraîner : cycleanxiété-dyspnée-anxiété

109
Q

hypercapnie

A

trop co2 sang

110
Q

hypoxie manifest clinique

A

¨ Hypoxie
¤ Diminution de l’apport d’O2 aux
tissus
n Unediminutionde la PaO2 < 60 mmHg révèle unehypoxémiequi entraîne un
hypoxie(correspondà uneSaO2 de 90-
92%)
¤ MPOC, asthme, pneumonie
n Obstruction causéepar les sécrétionsqui
s’accumulent,œdèmede la muqueuse,
bronchospasme: limite la diffusion aux
¤ Manifestations cliniques
n Agitation, anxiété
n Altération de l’état de conscience,
désorientation, étourdissements
n Dyspnée
n ↑ fréquence et amplitude respiratoire
n ↑ FC
baise spo2
n Cyanose
n Grande fatigue

111
Q

hypoventilation/hypercapnie vs hyperventilation

A

Hypoventilation et hypercapnie (PaCO2 > 45 mmHg)
¤ Hypoventilation = diminution de la ventilation alvéolaire
n Larespiration n’éliminepas suffisammentle CO2 →hypercapnie= ↑ PaCO2
n Peut s’accompagner d’hypoxie
n Manifestations cliniques varient selonla sévéritéet la cause
¤ Causes possibles
n Hypercapnie souvent chronique chez MPOC (dyspnée, anxiété, respiration lèvres pincées,
position du trépied)
n Surdosed’opioïdes, bronchospasmegrave chez client asthmatique
¨ Hyperventilation
¤ ↑ de la FRet de l’amplitude resp. qui excèdelesbesoinsd’élimination duCO2 →hypocapnie

112
Q

Dégagement inefficace des voies respiratoires

A

¨ Lié à : production excessive de mucus, sécrétions tenaces (épaisses, visqueuses),
fatigue
¨ Se manifeste par une difficulté à expectorer les sécrétions
¤ Chez les fumeursde longuedate, toux souventseul moyenpour dégager les voies respiratoires
(cilsde la trachée détruits) aide a faire remonter mucus
¤ Attention aux médicamentsantitussifs (DM), opiacés

113
Q

interventions en phase aigu respi

A

¨ Position
¤ Au lit :
- si léger, semi Fowler (45 à 60º);
- si modéré/sévère, Fowler haute (60 à 90º)
n Favorise unemeilleure expansion pulmonaire
¤ Assis ou debout : position du trépied
¤ Changements fréquents de position
n Diminuele risquede stasedes sécrétions
¨ Prévenir la désaturation :
¤ Minimiser la consommation d’oxygène

le plus levé possible
¨ Technique de respiration avec les lèvres
pincées
¤ Éviter l’affaissement des bronchioles
n MPOC,Asthme
¤ Réduire la quantité d’air retenue dans les poumons
n Quel doit être le rapport I:E?
¨ Les autres techniques se pratiquent entre les
crises
¤ Toux contrôlée, expiration par petits coups,
respiration diaphragmatique

Respiration avec
les lèvres pincées
But : expirer longtemps
Contexte spécifique d’utilisation : usagers ayant une maladie pulmonaire chronique
(ex. : MPOC) qui fait un effort physique OU qui a de la difficulté à respirer
Respiration abdominale
ou diaphragmatique
But : gonfler les muscles du ventre durant l’inspiration et les contracter pour expirer
Contexte spécifique d’utilisation : usagers ayant une maladie pulmonaire chronique
(ex. : MPOC) qui a de la difficulté à respirer
Expiration forcée But : empêcher la glotte (partie de la gorge) de se fermer durant la toux
Contexte spécifique d’utilisation : usagers ayant une maladie pulmonaire chronique
(ex. : MPOC) qui a de la difficulté à respirer OU qui veut cracher les sécrétions qui se
trouvent dans ses bronches
Respiration profonde But : prendre la plus grande inspiration possible
Contexte spécifique d’utilisation : usagers en période postopératoire
Exercices respiratoires avec l’aide d’un dispositif
Des appareils peuvent être utilisés pour faire certains exercices respiratoires :
Toux provoquée But : faire tousser volontairement
Contexte spécifique d’utilisation : usagers qui n’arrive pas à cracher ses
sécrétions (ex. : fatigue des muscles accessoires intercostaux, fracture de côtes)
OU une maladie pulmonaire chronique (ex. : MPOC, fibrose kystique)

¨ Les autres techniques se pratiquent entre les
crises
¤ Toux contrôlée, expiration par petits coups,
respiration diaphragmatique
peut aider à anéliorer amplitude respi

¨ Mobilisation et dégagement des sécrétions
¤ Libérer le nezdes sécrétions,humidifier, hydrater, exercicesde toux contrôlée
¤ Drainage postural : inhalothérapeute, physiothérapeute
¨ Oxygène
¤ Soulagerl’hypoxie
¤ Nécessiteuneprescription (débit)
n Fixe ou selon SpO2 (≥ 90%; 88% acceptable chez MPOC si pas de problèmes cardiaques)
¤ Lunettesnasales, masque
¨ Spiromètre (favoriser expansion pulmonaire)
¨ Rassurer la personne
¤ Demeurer auprèsd’elle, ton de voix apaisant, la guider

114
Q

Évaluer les besoins d’enseignements d’une personne liée à la gestion de son asthme

A

Éducationpourunepriseenchargede l’asthmeà l’adolescence
1) Évaluation initiale (histoire de santé)
2) Stratégies d’enseignement
3) Contenu de l’enseignement :
A. Les connaissances sur la maladie
B. La maîtrise des facteurs déclenchants
C. La gestion de la médication
D. Le plan d’action

symptomes asthme:
dyspnée
toux
sifflement expiratoire
oppression thoracique
sécrétions thoraciques

115
Q

Reconnaitre les critères de maitrise de l’asthme

A

au cours 7 derniers jours, toussé ou respi sifflante ou difficulté à respirer
-4 j+
-réveiller nuit 1+
-pompe secours 4+
-limiter activité physique
-affecte avd-avq

Synthèse des critères d’un asthme bien contrôlé
Moins de 4 symptômes diurnes par semaine.
Aucun symptôme nocturne.
Activité physique normale (sans se limiter ou utiliser son bronchodilatateur - BACA).
Aucun absentéisme lié à l’asthme (école ou travail).
Moins de quatre doses de BACA par semaine.
DEP ≥ 90% du meilleur résultat personnel
Variation du DEP < 10-15%

116
Q

Appliquer un plan d’action pour les crises d’asthme, éducation

A

Enseignement dans 3 domaines d’apprentissage
Cognitif Connaissance de la maladie
Connaissance et maîtrise des facteurs de déclenchants
Connaissance et compréhension du plan d’action
Affectif Adhésion au traitement
Psychomoteur Techniques d’inhalation
Technique du débitmètre de pointe

¨ Il est essentiel
¤ D’évaluer les besoins, attentes, connaissances, etc., dans unpremier temps
¤ D’établir des objectifs avec l’enfant et sa famille
¤ De personnaliser l’enseignement
¤ Correspond aux étapes de focalisation et d’évocation de l’entretien
motivationnel
« Grégory,qu’est-cequetuaimeraisaméliorerdansta maladie?» ou« Qu’estcequite dérangedansta maladie?

117
Q

Expliquer les recommandations en lien avec la promotion de la santé et la prévention de l’asthme

A

¨ Pour Résumer :
¤ Éducation
¤ Assainissement de l’environnement
n Identification des facteurs de déclenchement
n Éliminer ou minimiser l’exposition à ces facteurs
¤ Parfois : intensification temporaire du traitement pharmacologique
n Ne doit pas se substituer à l’assainissement de l’environnement

éviter irritants moississures, acariens, pollen…

118
Q

facteurs risques asthme

A

¨ Facteurs d’évolution négative de l’asthme
¤ Laprésenced’un ouplusieursfacteurs de risques augmentele risque d’exacerbation, mêmesi les symptômessont bien contrôlés.
¨ Exemples de facteurs de risques
¤ Présencede symptômesnoncontrôlés.
¤ Médication nonprescrite ouprise de manière nonadéquate ouinconsistante.
¤ Débit expiratoire de point (DEP)faible.
¤ Avoir euuneouplusieursexacerbations sévères dans la dernière année
¤ Sinusitechronique, allergies alimentaires.
¤ Expositionà la fuméede cigarette ouà de la pollution environnementale.
¤ Difficultés socio-économiques.

119
Q

technique auto-gestion asthme

A

¨ Débit expiratoire de pointe (DEP)
¤ Estimation du degré d’obstruction des voies aériennes pour évaluer sévérité asthme
¨ Procédure pour tenir un journal
¤ Pendant 15 jours
n Mesurerle DEPmatin et soir(avant la prise des
médicaments) évalue fonction pulmonaire objectif
n Établir la meilleure performance personnelle lorsque
l’asthme est stable
n Lesoir: noterles symptômesde la journéeet la médication
utilisée souvent supérieur à celui du matin

120
Q

calcul

A

¨ Pourcentage p/r au meilleur résultat
¤ Ne pas tenir compte du matin ou du soir
n Sélectionner une mesure (ex. 13 juin au matin)
Calcul = DEP X100 =
DEPmax.
90 et plus considère comme asthme maitrisée
variation tolérée 10-15%
dans situation sait que infection pulmonaire ce jour

¨ Pourcentage d’écart
¤ Lorsque mesuréle matin et au couché x 1 sem
n Sélectionner DEP min (13 au matin)
Calcul = DEPmax - minX100 =
DEPmax

121
Q

Facteurs d’influence : enseignement et apprentissage
respi

A

¨ Niveau alphabétisation, de littératie et de numératie;
¤ Particulièrement chez l’enfant et l’adolescent, selon son niveau scolaire et ses particularités d’apprentissage
¤ Prendre en compte les troubles d’apprentissage et les troubles associés.
¨ Niveau socio-économiquede la famille;
¨ Prévalencede ceproblème dans la famille;
¨ Intérêt face à votre enseignement,leur collaboration, leur niveaud’implication enversles soinsde leur
enfant;
¨ Objectifsdel’enfant et sesbesoins: élément essentiel pour élaborer plan de prise en charge personnalisée

Lors de l’enseignement :
¨ Démontrer soi-même la technique
¤ Expliquer d’abord les étapes
¤ Faire ensuite une démonstration de la technique
¨ Demander au client de l’exécuter devant nous
¤ Suggérer des changements, au besoin, et ne jamais
prendre pour acquis la technique (revoir régulièrement)
RQESR2017
* Remettre documentation écrite

122
Q

facteurs irritants asthme

A

Les irritants Moyens pour les maîtriser
Odeursfortes (produits ménagers,
parfums, peintures, pollution etc.)
Évitement
Variation detempérature et airfroid Éviterles changementsbrusquesde température.
Respirerpar le nez.
Couvrir celui-ci d’un foulard par temps froid.
Aubesoin, utiliserBACAavant de s’exposer.
Exercice(avantageux pourun
asthmatique)
La bronchoconstriction se déclenche
habituellement de 8-15 minutes après le
début. Disparaît au bout de 60 minutes
Faire réchauffementsavant de débuter.
BACAà l’occasion - 10-15 minprécédant l’effort.
Éviter exercice enprésencemodérée/élevée d’allergènes (si
allergique), pollution, air très froid, enpériode d’exacerbation (ex. post-IVRS)
S’assurerquel’asthme bienmaîtrisé
Émotionsstress Adopter méthode physiqueset psychologiquespour gestiondu stress

123
Q

tx pharmaco but asthme

A

Thérapie d’entretien (CSI)* (corticostéroïdes inhalés)
§ Vise à enrayer la réaction inflammatoire et à prévenir
sa réapparition pour la maîtrise de l’asthme à long
terme, diminue l’hyperréactivité bronchique
Ajout: BALA, ARLT

Thérapie d’entretien CSI ¨ Doivent être pris régulièrement pour être efficaces.
¨ Début d’action 12-48 h.
¨ Bien suivre la technique d’inhalation
¨ Utiliser une chambre d’inhalation
¨ Rincez la bouche et gorge après l’inhalation pour
empêcher l’apparition de la candidose buccale
¨ Effets indésirables systémiques faibles (si <
500 ug/jour)

Traitement pharmacologique
Dès l’apparition des symptômes
Thérapie de soulagement, BACA: apporte soulagementrapide pour le traitement de symptômes et des exacerbations
max 3x semaine si bien controlé

Thérapie de soulagement(BACA)
¨ Utilisation varie selon le type d’asthme et de
l’intensité des symptômes:
Ex.: Asthme induit par IVRS: B2-agonistes en
inhalation q 4-6h PRN + hygiène nasale intensive
Ex.: Asthme à l’exercice:B2-agonistes à courte
durée d’action en inhalation, environ 15 minutes
avant l’effort.

meilleur controle vise a enrayer réaction inflammatoire et hyperréactivité
diminue utilisation du plan de secours
arlt: monotherapie 2e ligne pour asthme leger et allergie et soulage symtpome rhinite allergique saisonniere

124
Q

objectifs plan d’action écrit asthme

A

Démarche individualisée, écrite et préparée par le médecin, servant de moyen de communication et ayant
pour but de rendre le patient partenaire dans la gestion
de son asthme. rendre pt action dans sontx
Objectifs:
Aider l’usager à:
¨ Reconnaître ses symptômes
¨ Ajuster son traitement
¨ Déceler ses signes avant-coureur d’une détérioration très
grave
¨ Décider le moment propice pour consulter le médecin

125
Q
  • Reconnaître les valeurs cibles dans la gestion du diabète******************
A

non diabète avant repas: 4-6 mmol/l
non diabète 2h après repas: 5-8 mmol/l
diabète avant repas: 4-7mmol/l
diabète 2h après repas: 5-10 mmol/l

valeurs cibles évitent complications

126
Q
  • Reconnaitre les signes et symptômes d’une hypoglycémie(2 catégories)
A

-4
types symptomes

Neurogène (autonome)
Glycémie ≤ 3,1mmol/l
Tremblements
Palpitations
Transpiration
Anxiété
Faim urgente
Nausées
Picotements mains/pieds

Neuroglycopénique
Glycémie ≤ 2,8 mmol/L
Difficultés de concentration
Confusion
Faiblesse
Somnolence
Altérations de la vue
Difficultés d’élocution
Étourdissements
Céphalée

127
Q
  • Appliquer une ordonnance collective: traitement d’une hypoglycémie
A

donne le docu
glucagon, sucre

128
Q
  • Reconnaitre les signes et symptômes d’une hyperglycémie
A

glycémie+10
soif polydipsie, polyphagie, polyurie, perte de poids et fatigue

129
Q
  • Déterminer les interventions visant à prévenir et traiter une hyperglycémie
A

Prévention
§ Ne pas oublier de prendre la médication antihyperglycémiante
§ Respecter le plan alimentaire
§ Demeurer actif et bien hydraté
§ Palper les régions d’injection pour éviter d’injecter l’insuline dans
la lipohypertrophie
Gestion d’une hyperglycémie:
§ boire davantage d’eau
§ bouger
§ consulter au besoin

130
Q
  • Utiliser rigoureusement un protocole de gestion de la glycémie
A

voir exercice

131
Q

15g glucides=

A

§ 15 g de glucose sous forme de
comprimés de glucose
§ 4 comprimés de Dex4
§ 15 mL (3 c. à thé) ou 3 sachets de sucre dissout dans de l’eau
§ 114 ml de jus + 1 sachet de sucre
§ 150 mL de jus ou de boisson
gazeuse ordinaire
§ 6 LifeSavers® (2,5 g de
glucides/bonbon)
§ 15 mL (1 c. à soupe ou 3 c. à thé) de miel

132
Q

20g glucides=

A

Sous forme de comprimés ou sous forme
liquide :
* 5 comprimés Dex4MD
* 7 comprimés DextrosolMD
* 9 comprimés GlucosolMD
* 20 ml (4 c. à thé) ou 4 sachets de sucre
blanc dissout dans l’eau
* 250 ml (1 tasse) de boisson gazeuse
régulière ou de boisson aux fruits
* 114 ml de jus + 2 sachets de sucre
* 4 bonbons durs moyens ou 8 Life
SaversMD
* 20 ml (4 c. à thé) de miel, de mélasse, de
sirop de maïs, de sirop de table ou de sirop
d’érable

133
Q
  • Évaluer les besoins d’enseignements d’une personne liée à la gestion de son diabète
A

Évaluation du client présentant un diabète nouvellement
diagnostiqué:
1- Aspect cognitif: niveau littéracie, ce qu’elle sait de la maladie, compréhension tx
2- Aspect psychomoteur: motricité fine(stylo-seringue), acuité visuelle, voir que fiole expirée
3- Aspect affectif: comme se sent par rapport à ca, anxiété (se piquer), changement alimentaire pour toute maison=>stress

134
Q
  • Expliquer les recommandations en lien avec la promotion de la santé et la prévention du diabète.
A

4: activité 150 min, aliment, soins et tx et gestion stress
immunisation
produits naturels et med en vente libre
conduite automobile +5

*soins pieds

135
Q

Expliquer le développement du jugement moral selon la théorie
de Kolhberg;

A

3 niveaux, 6 stades
Niveau préconventionnel stade I: éviter punition, égocentr
Niveau préconventionnel stade II: intérêt personnel
Niveau conventionnel stade III: importance du groupe et de ses attentes (envers nous), conformiste
Niveau conventionnel stade IV: loi et ordre, accomplit ton devoir, figure autorité
Niveau Postconventionnel
stade V et : autonomie morale c’Est la loi, mais est-ce qu’elle est juste (selon principes de justice universelle)

136
Q

Identifier les principes éthiques.

A

Principe central: respect de la personne
- respect autonomie: advocacy…
-bienfaisance: bienetre minimiser torts
-caring: empathie, personne dans sa globalité, assumer ses responsabilités, savoir-être
-justice: équité (prendre en compte vulnérabilité)

137
Q

Distinguer les responsabilités légales reliées au statut
juridique de la profession (civile, pénale et professionnelle)

A

Droit civil
* Le droit civil nous dit comment faire les choses.
* L’auteur est tenu responsable ou dégagé de responsabilité.
=>vis caché: remboursement

Droit pénal (criminel)
* Le droit pénal couvre l’ensemble du droit qui interdit des
comportements jugés condamnables ou non souhaitables
* L’auteur est condamné ou acquitté.
et préjudice, car une personne aurait pu en avoir besoin
=>tuer, voler, agresser, blesser, peine de liberté

Droit administratif
* Le droit administratif vise l’organisation adéquate des services de l’État
(relation État-individu). ordre des infirmiers

Responsabilité civile ( qui engage responsabilité civile)
Trois conditions sont nécessaires :
üLa faute
üLe préjudice
üLe lien de causalité
Pour évaluer une faute civile, on se réfère au critère de raisonnabilité.
Ex. Infirmière raisonnablement prudente, compétente et diligente.
(aurait fait la même erreur dans une situation similaire)
=>nuit au bon fonctionnement des soins

Intensité de l’obligation:
üObligation de moyens (tout mettre en place pour favoriser)
üExceptionnellement, obligation de résultat (sauf chirurgie compter gaz et labo)

138
Q

3 item responsabilité civile inf

A

Responsabilité civile ( qui engage responsabilité civile)
Trois conditions sont nécessaires :
üLa faute
üLe préjudice
üLe lien de causalité
Pour évaluer une faute civile, on se réfère au critère de raisonnabilité.
Ex. Infirmière raisonnablement prudente, compétente et diligente.
(aurait fait la même erreur dans une situation similaire)
=>nuit au bon fonctionnement des soins

Intensité de l’obligation:
üObligation de moyens (tout mettre en place pour favoriser)
üExceptionnellement, obligation de résultat (sauf chirurgie compter gaz et labo)

139
Q

responsabilité pénale inf

A

L’infirmière engage sa responsabilité pénale
lorsqu’elle enfreint les règles de la société
(ex. vol, voie de fait, donner la mort à autrui)
et préjudice, car une personne aurait pu en avoir besoin
administratif: nuit au bon fonctionnement des soins
Principale source:
Loi : Code criminel
Visée :
Sanctionner un comportement

140
Q

responsabilité professionnelle inf

A

Obligations professionnelles de l’infirmière telles que
déterminer dans différentes lois
Principales sources:
Loi : Code des professions, Loi sur les infirmières et
infirmiers, Code de déontologie des infirmières et
infirmiers
Visée :
Protéger le public et assurer un service infirmier de
qualité
Procédure en cas d’infraction:
´ Comission possible d’une infraction
´ Plainte du syndic (après signalement et enquête du
syndic) / plainte privée devant le conseil de discipline
´ Audition devant le conseil de discipline1
´ Décision du conseil de discpline
1Le conseil de discipline est une tribunal indépendant de l’OIIQ