Préserver les ressources Flashcards

1
Q

définition du développement rural

A
  • défini comme un mode de développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs.
  • est un processus de transformation, dans lequel l’exploitation des ressources naturelles, le choix des investissements, et les changements institutionnels sont cohérents avec les besoins du présent et du futur.
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2
Q

UICN ?

A

établit la liste des espèces menacées d’extinction et est une ONG crée à l’initiative de l’UNESCO.

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3
Q

La fragmentation des habitats liée aux activités humaines est

A

un facteur direct du changement global ; une cause majeure de diminution de la biodiversité.

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4
Q

L’acidification des océans est due à

A

à l’accroissement de la teneur en CO2 dans l’atmosphère.

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5
Q

Quelle est la durée minimale pour établir une normale climatique ?

A

30 ans

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6
Q

Quelle espèce d’arbre devrait voir son aire géographique s’étendre en France ?

A

Chêne vert

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7
Q

Quel est l’intrus ? Tendance ; changement ; variabilité ; rupture.

A

variabilité

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8
Q

Quelle proportion de l’hydrosphère représentent les eaux douces de surface ?

A

0,03%

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9
Q

Quel effet négatif n’est pas engendré par la surexploitation des nappes souterraines ?

A

Enrichissement en nitrate.

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10
Q

Qu’est-ce que l’eau verte ?

A

eau du sol disponible pour les plantes

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11
Q

Quels leviers agronomiques sont mobilisables pour améliorer l’efficience de l’eau agricole ?

A

Sélection variétale ; associations culturales ; travail du sol.

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12
Q

Jusqu’alors, les scientifiques affirmaient que les espèces disparaissent à un rythme correspondant à 1 000 fois le taux moyen d’extinction depuis l’apparition de la vie sur terre. En 2011, une étude parue dans la revue NATURE montre que ce taux d’extinction serait égal à :

A

300 fois le taux moyen d’extinction depuis l’apparition de la vie sur terre.

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13
Q

Que désigne le terme spéciation ?

A

Le processus conduisant à la création d’une nouvelle espèce.

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14
Q

Nommer un processus de spéciation

A

Spéciation parapatrique.

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15
Q

Parmi les nombreux facteurs menaçant la biodiversité, on distingue des facteurs déterministes et des facteurs stochastiques. Donner un facteur principalement stochastique ?

A

La réduction de la variabilité génétique.

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16
Q

Dans quelle(s) circonstance(s) la variabilité génétique d’une espèce diminue ?

A

goulot d’étranglement

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17
Q

Le succès d’établissement d’une espèce introduite dépend de

A

de sa capacité de reproduction et du nombre d’individus introduits.

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18
Q

Le changement climatique provoque

A

l’émergence de nouvelles espèces

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19
Q

La biologie de la conservation est

A

une science du 20ème siècle

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20
Q

On parle de pollution d’un écosystème

A

quand on y a introduit des substances conduisant à sa dégradation.

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21
Q

Certaines variétés de tabac sont des plantes

A

qui sont des indicateurs de la pollution de l’air par l’ozone et voient les nécroses de leurs feuilles s’accroître avec l’augmentation de la pollution de l’air par l’ozone.

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22
Q

Une espèce dite sentinelle renseigne sur

A

sur l’état de l’écosystème en réagissant quand le risque de pollution et de perturbation n’est encore que potentiel.

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23
Q

La bioremédiation consiste en

A
  • la décontamination de milieux pollués au moyen de l’activité d’organismes vivants (Bactéries, Microalgues, Champignon, Plantes supérieures…)
  • désigne un ensemble de techniques utilisées pour dépolluer un site naturel (sol, sédiments, eaux de surface ou souterraines, air) qui font appel à l’utilisation d’organismes vivants.
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24
Q

Dans les indices biocénotiques, bioindicateurs de la qualité des eaux courantes, on prend en compte

A
  • la biodiversité qui la plupart du temps diminue avec l’augmentation de la perturbation
  • la sensibilité à la pollution des espèces présentes.
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25
La définition d’un sol, issue de la norme ISO 11074 (1996), est-elle complète dans la version ci-dessous ?
Le sol est la "couche supérieure de la croûte terrestre composée de particules organiques, d’eau, d’air et d’organismes" : FAUX Dans la norme ISO 11074 le terme « sol » est défini par : « couche supérieure de la croûte terrestre transformée par des processus climatiques, physico-chimiques et biologiques et composée de particules minérales, de matière organique, d’eau, d’air et d’organismes vivants, organisée en horizons de sols génériques. Dans une acception plus large relevant du génie civil, le terme «sol» inclut l’horizon superficiel et le sous-sol; les dépôts tels que les argiles, limons, sables, graviers, gravillons, pierres, ainsi que la matière organique et les dépôts tels que la tourbe; les matériaux d’origine anthropique tels que les déchets; les gaz et l’humidité du sol; et les organismes vivants ».
26
Vrai ou faux : Les stocks de carbone dans la végétation sont supérieurs aux stocks cumulés de carbone dans l’atmosphère et dans les sols
Faux
27
V ou F : L’érosion est le processus de dégradation des sols affectant la plus grande superficie de terres à l’échelle mondiale
Vrai
28
V OU F Les surfaces irriguées représentent environ 3 % des sols cultivés au niveau mondial
Faux
29
V OU F L’observation morphologique des sols repose sur la distinction d’entités homogènes qualifiées d’"horizons"
Vrai
30
V ou F : La lixiviation désigne un processus de transfert de particules dans les sols
Faux
31
Les éléments B, Cu, Mo, Zn, Fe, Se présents dans les sols, sont en lien avec la nutrition des plantes
ce sont des oligo-éléments
32
Le pH d’un sol cultivé en milieu tempéré
est compris entre 5 et 8,5.
33
Les sols bretons sont en grande majorité
Les sols bretons sont en grande majorité des sols à pH acide
34
Donnez les spécificités des sols de la forêt de Villecartier observés lors de la sortie terrain. Ils présentent :
- une teneur en matière organique forte en surface, supérieure à 5% - un pH acide inférieur à 5
35
Où a-t-on la plus grande richesse floristique/m2
En prairie humide
36
La Renoncule flammette Ranunculus flammula est caractéristique de quelle zone
de la zone humide
37
Une aire minimale est
la surface nécessaire et suffisante pour avoir une vision complète de la flore.
38
La production halieutique totale tirée de l’Océan Atlantique est
approximativement stagnante depuis le début des années 70.
39
Lorsque la pression de pêche augmente, on voit successivement apparaître les situations suivantes :
``` 1 - l’état vierge 2 - la sous-exploitation 3 - la pleine exploitation 4 - la surexploitation (de croissance) 5 - la surexploitation de recrutement 6 - l’extinction du stock ```
40
les Etats Unis ont adopté dès 1948 le rendement maximum durable (RMD) comme cible de la gestion des pêches
Vrai
41
la gestion au RMD est aujourd’hui reconnue par l’ONU comme un objectif à atteindre rapidement pour une gestion durable des exploitations halieutiques
vrai
42
V ou F : La minimisation de l’impact de la pêche sur les ressources et les écosystèmes est un objectif réaliste, déjà inscrit dans les textes de la politique européenne des pêches
Vrai
43
V ou F : l’adoption du RMD comme cible de gestion doit conduire en Europe à une augmentation globale de l’abondance des stocks halieutiques.
Vrai
44
V ou F : la diminution de l’abondance des prédateurs supérieurs peut entrainer une plus grande instabilité dans les écosystèmes, avec une variabilité plus forte de l’abondance des différents groupes
Vrai
45
V ou F : la diminution d’abondance des prédateurs supérieurs induite par la pêche conduit à une perte de biodiversité fonctionnelle
Vrai
46
Les stocks de carbone dans les sols mondiaux sont de l’ordre
de 1500 Gt
47
Pour compenser les émissions anthropogéniques de carbone vers l’atmosphère
il faudrait augmenter le stockage annuel de carbone dans les sols de : 6 Gt/an.
48
V ou F : La salinisation est le principal processus de dégradation des sols irrigués
Vrai
49
Indiquez le principal facteur de distribution des sols à l’échelle mondiale
la nature du matériau parental
50
Au cours de la période 2000-2010, l’artificialisation des terres cultivées en France (environ 30 millions d’hectares) par urbanisation, construction de routes,..
était de l'ordre de 80 000 ha/an
51
V ou F : Un sol présentant une teneur en argile de 25 % en surface et de 15 % en profondeur est un sol lessivé
Faux
52
Des grains de quartz prélevés dans des sols alluviaux et caractérisés par un diamètre de 1 mm appartiennent à la classe texturale :
argiles
53
Les tâches de couleur rouille, observées dans des sols engorgés de façon temporaire, sont liées à
à la présence de fer ferrique Fe3+.
54
Indiquez 3 spécificités des sols du polder du Mt St Michel :
- une concentration en sels solubles très élevée - un pH supérieur à 9 - une teneur en carbonate élevée
55
D’après vous, la notion ‘Biodiversité’ doit englober
la diversité génétique et la diversité phénotypique au sein d’une espèce à un endroit donné.
56
Dans le modèle du Vortex d’extinction des espèces, on retrouve les facteurs stochastiques, associés à des processus écologiques et évolutifs. Parmi ces facteurs stochastiques, on ne retrouve pas
la stochasticité déterministe
57
Dans le modèle du Vortex d’extinction des espèces, on retrouve des facteurs dits stochastiques. À quoi sont-ils liés ?
À la taille de la population
58
Parmi ces facteurs, Dans le modèle du Vortex d’extinction des espèces, on retrouve les facteurs dits déterministes. la destruction des habitats a pour conséquence de
favoriser les espèces généralistes
59
En 2012, un article paru dans la revue SCIENCE étudie la relation entre la biodiversité et les services écosystémiques associés. Cette relation est
variable selon les espèces et les espaces considérés
60
Où a eu lieu la COP22 de la convention internationale pour la lutte contre le changement climatique en 2016 ?
Marrakech
61
Quelles méthodes contribuent à la reconstitution des climats passés ?
- archivistique | - dendrochronologique
62
Une espèce est dite eurytherme
quand elle supporte de fortes variations de la température.
63
Dans quel milieu a-t-on vu une espèce invasive
polder
64
Le harpon et le hameçon ont été inventés
par homo sapiens au paléolithique vers -15 000 ans.
65
Vrai ou faux : la capacité biotique est égale à la biomasse à l’équilibre d’un stock à l’état vierge
Vrai
66
Vrai ou faux : dans le modèle de Graham-Schaeffer, il suffit de maintenir la pression de pêche constante pour que le stock tende progressivement vers une situation d’équilibre
Vrai
67
Les mesures mise en œuvre depuis la fin des années 1990 dans le cadre de la Politique Commune des Pêches (PCP) ont permis :
- une forte diminution de la pression de pêche dans les eaux de l’Atlantique Nord-Est - une remontée significative de l’abondance moyenne des principaux stocks exploités dans l’Atlantique Nord-Ouest
68
A terme, la surexploitation des ressources halieutiques conduit globalement à des écosystèmes :
- moins "réversibles" - plus instables - moins résilients