Outils d'observation Flashcards
Avantages d’utiliser outils ?
aide-mémoire
Systématiser les obs.
Plus objectif et concret
Complémentaire
Outils d’obs. ?
permet de consigner des faits.
Outils d’évaluation ?
Présenter des critères servant à qualifier les comp. observés.
Outils de communication ?
complément aux échanges verbaux entre int. et parent ou usager.
Choix d’outils ?
Observation spontané = mémoire
Observation approfondie = notes ou outils
Journal de bord ? (5)
- prendra la forme qui convient à chaque milieu.
- Observations globales, plus ou moins structurées ou intuitives du moment: l’humeur de l’intervenant(e), son état de fatigue, etc.
- Grande utilité, et ce, particulièrement au moment de l’interprétation des données d’observation consignées dans des instruments plus structurés.
- est un instrument d’observation directe. C’est un cahier que l’intervenant(e) remplit tous les jours en dehors des heures de présence avec les personnes en suivi.
- Le temps à investir dans cette activité dépend de la clientèle, du milieu de travail, du contexte où l’on a observé, etc.
Carnet de notes, carnet de bord, field notes, portfolio ? (5)
- Notes d’observation réalisées durant le travail terrain.
- Incluent des éléments d’observation sur les comportements ou le contexte et les interprétations de l’observateur.
- Peut contenir des notes écrites mais aussi des photos, des dessins, des enregistrements.
- Principalement utilisé pour faire de l’observation libre. L’intervenant (e) peut s’en servir quand bon lui semble.
- C’est un outil de première ligne mais le contenu doit être retravaillé ou structuré après l’observation.
Fiches anecdotiques comportementale ou d’apprentissage ? (4)
- Habituellement utilisées pour prendre en note des observations, des anecdotes c’est-à-dire des situations où apparaissent des comportements particuliers, des traits du développement concernant une personne.
- Ce sont habituellement de petites observations que l’on dépose dans le dossier de la personne et auxquelles on peut avoir accès rapidement si nécessaire. Ce sont comme de petits aide-mémoire ! 3. Une seule fiche ne donne pas beaucoup d’informations alors il faut se donner la peine d’en faire quelques-unes. Elles pourront ensuite être utilisées pour avancer des hypothèses.
- Permet de faire une analyse préliminaire de la situation peu de temps après l’observation.
La grille de vérification, liste à cocher, checklist ? (5)
- se présente comme une liste de comportements susceptibles de se produire au cours d’une activité, et dont on veut vérifier la présence chez une personne.
- Il suffit d’indiquer par un crochet lequel ou lesquels de ces comportements nous observons pour chaque personne au cours de l’activité en question.
- L’intervenant(e) peut se bâtir plusieurs listes à cocher pour les différentes activités.
- Pour être vraiment utile, la liste à cocher doit être reprise à plusieurs moments différents afin de déterminer la nature et la fréquence des comportements de la personne, et de tenir compte des variations qui s’y produisent.
- la liste des comportements ne doit pas être trop rigide, de telle sorte que l’on puisse y inclure des comportements significatifs qui n’auraient pas été prévus au départ et que l’observation fait découvrir.
Guide d’observation ? (5)
- Très semblable à la grille de vérification ou liste à cocher, le guide d’observation présente également une liste de comportement précis définis en termes opérationnels et dont on doit observer la présence chez une personne.
- Toutefois, dans le guide d’observation les comportements décrits ne sont pas spécifiques à une activité. Il s’agit plutôt de types de comportements en rapport avec les aspects généraux du développement et qui se manifestent dans toutes sortes d’activités.
- un complément intéressant à la grille de vérification. 4. L’observateur(trice) n’a qu’à indiquer, par un crochet, chaque fois qu’il ou qu’elle observe l’un ou l’autre des comportements décrits. Il peut ainsi en faire une étude de fréquence ultérieure.
- peut causer certaines difficultés au moment de l’interprétation des données d’observation. En effet, celles-ci sont notées indépendamment du contexte où elles se produisent et amènent l’observateur(trice) à tirer des conclusions qui, parfois, ne tiennent pas compte de toute la réalité. La rédaction de notes peut être utile pour diminuer cette difficulté.
Les échelles d’évaluation ? (5)
- Liste de comportements opérationnels à observer
- observer la présence ou l’absence du comportement, l’observateur doit l’évaluer. Les échelles sont des outils d’observation qui indiquent à quel degré une personne possède un certain trait ou comportement (toujours, jamais, ne sais pas, etc.)
- Chaque comportement est évalué sur un continuum à partir du plus bas jusqu’au plus haut niveau (ou vice versa) et des marqueurs sont inscrits entre ces deux points
- Il s’agit de la notation de comportements préétablis dans l’optique d’évaluer la personne.
- peuvent être utilisées seules, mises en place avec d’autres méthodes d’observation comme étant partie intégrante de la procédure ou encore être complétées plus tard alors que l’observation est terminée; les données proviendront des rapports d’échantillons ou des rapports courants.
Les échelles numériques ? (2)
- Celles-ci sont notées par le nombre de comportements qui sont encerclés. On observe les personnes aussi longtemps que nécessaire pour encercler un chiffre pour chaque item de l’échelle,
- ou on peut les observer sur une base quotidienne et faire une moyenne des résultats. Les chiffres sur l’échelle peuvent correspondre à des mots:
Ex.: 1= a vraiment besoin d’aide
2= pourrait avoir besoin d’aide
3= adéquat
4= force
L’écart sémantique ?
- Troisième type d’échelle d’évaluation; on l’appelle également «échelle d’Osgood», parce qu’elle a été développée par Charles Osgood
- Elle utilise un écart de 7 points dont les deux pôles sont nommés par des adjectifs opposés. Un grand nombre de traits pourrait être inclus dans cette échelle afin de permettre d’élaborer un profil plus global d’une personne.
Les erreurs d’évaluation commises par les observateurs (trices) lors de l’utilisation d’échelles d’évaluation ? (2)
- Contrairement à d’autres types d’observation, cet outil exige que l’observateur(trice) émette un jugement immédiat plutôt qu’une description objective. Il est très difficile d’être totalement objectif, sans préjugé.
- L’observateur(trice) peut être influencé(e) par ce qu’il ou qu’elle connaît déjà de la personne ou de sa famille ou encore par des influences externes sans aucune relation à la situation observée.
Comment éviter les erreurs d’évaluation ? (2)
- Afin de se protéger face à ces tendances subjectives, l’observateur devrait évaluer toutes les personnes sous observation pour le même trait avant de changer de trait.
- Afin de vérifier l’objectivité, un(e) second(e) observateur(trice) peut observer les mêmes personnes et comparer les résultats obtenus avec le(la) premier(ère) observateur(trice).