Objectifs spécifiques: Paires crâniennes, Motricité, Sensibilités & Atteintes cérébelleuses Flashcards

1
Q

Distinguer la paralysie faciale d’origine centrale versus périphérique

A
  • Une lésion du motoneurone supérieur à n’importe quel niveau entre le cortex cérébral et le noyau du VII produira une paralysie controlatérale des muscles faciaux du bas du visage seulement, puisque l’innervation du haut du visage est préservée.
  • En présence d’une lésion du motoneurone inférieur (atteinte du noyau du VII ou du nerf facial périphérique), tous les muscles du visage du côté de la lésion seront atteints, donnant ainsi une paralysie à la fois de la partie supérieure et inférieure du visage
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Q

Distinguer la paralysie faciale d’origine centrale versus périphérique: Paralysie de Bell

A

= Paralysie faciale aigue : Toutes les divisions du nerf facial sont affaiblies pour quelques jours à semaines, puis redeviennent graduellement à la normale (dans la majorité des cas)

= dx d’exclusion

  • Souvent précédé d’une douleur rétro-auriculaire ou mastoïdienne
  • Faiblesse faciale unilatérale classique d’une atteinte du motoneurone INFÉRIEUR: Très souvent sévère (mais peut être légère)
  • Hyperacousie
  • Hypersensibilité de l’ouïe à certaines fréquences: Causé par une faiblesse du muscle tenseur du tympan
  • Yeux secs (hyperhémie oculaire) : Causé par une diminution des sécrétions lacrymales (système parasympathique) et une fermeture incomplète de l’oeil (muscle orbiculaire)
  • Diminution du goût sur le 2/3 antérieur de la moitié de la langue ipsilatérale
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3
Q

Localiser les atteintes des champs visuels

A

Rétine :

o Habituellement : scotome monoculaire ou perte de vision monoculaire

o Exemples : ischémie, hémorragie, décollement de la rétine, toxoplasmose, etc.

Nerf optique :

o Scotome monoculaire ou perte de vision complète monoculaire

o Exemples: glaucome, névrite optique, HTIC, gliome optique, ischémie (associé à l’artérite temporale), etc.

Chiasma optique :

o Hémianopsie bitemporale : Perte du champ visuel latéral des 2 yeux (souvent asymétrique)

o Exemples: adénome hypophysaire, craniopharyngiome, gliome hypothalamique, etc.

Bandelette optique :

o Hémianopsie homonyme controlatérale

o Exemples: tumeur, ischémie, démyélinisation (sclérose en plaques), etc.

LGN :

o Hémianopsie homonyme controlatérale

o Exemples : tumeur, ischémie, infections, etc.

Radiations optiques inférieures (lobe temporal)

o Quadranopsie supérieure controlatérale (pie in the sky)

o Exemples: infarctus de la division inférieure de l’ACM, tumeur, démyélinisation, etc.

Radiations optiques supérieures (lobe pariétal) :

o Quadranopsie inférieure controlatérale (pie on the floor)

o Exemples: infarctus de la division supérieure de l’ACM, tumeur, démyélinisation, etc.

Toutes les radiations optiques : Hémianopsie controlatérale homonyme

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4
Q

Préciser quel nerf est atteint lors de mouvements oculaires anormaux: Causes et conséquences d’une atteinte du NC III

A
  • Une paralysie du NC III paralyse tous les muscles extra-oculaires sauf les muscles droits externes et supérieurs obliques ⇒ Ceci donne à l’oeil atteint une déviation vers le bas et l’extérieur.
  • La paralysie oculomotrice produira un regard non conjugué avec diplopie généralement oblique et plus sévère quand la personne regarde vers le haut et/ou du côté médian à l’oeil paralysé.
  • La diplopie est souvent pire avec les objets proches, en raison d’une atteinte de la convergence.
  • La pupille est généralement en mydriase par atteinte des fibres parasympathiques à la surface du nerf.

Causes

  • Compression par un anévrysme de l’artère communicante postérieure
  • Diabète (épargne habituellement la pupille)
  • Traumatisme crânien
  • Affection du sinus caverneux: tumeur, infection, thrombose veineuse
  • AVC tronculaire
  • Myasthénie grave
  • Herniation du lobe temporal
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5
Q

Préciser quel nerf est atteint lors de mouvements oculaires anormaux: Causes et conséquences d’une atteinte du NC IV

A
  • Le nerf trochléaire innerve le muscle grand oblique qui permet le déplacement de l’oeil vers le bas puis une intorsion du globe oculaire
  • Le nerf trochléaire peut être lésé à différent endroits le long de son parcours; mésencéphale, espace sous-arachnoïdien, sinus caverneux ou dans l’orbite (pathologies similaires à celles qui vont atteintre le NC III)

Conséquences

  • Une paralysie du grand oblique provoque : Extorsion excessive et élévation légère de l’oeil
  • Diplopie oblique (selon livre DC) ou verticale (selon neuro) avec une torsion légère des deux images
  • Diplopie plus marquée que le patient regarde du côté nasal
  • Compense la diplopie en penchant la tête du côté sain
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6
Q

Préciser quel nerf est atteint lors de mouvements oculaires anormaux: Causes et conséquences d’une atteinte du NC VI

A
  • Atteinte au nerf abducens provoquera une faiblesse ou paralysie du muscle droit latéral = limitation de l’abduction de l’oeil atteint.
  • La diplopie horizontale est maximale lorsque le patient regarde du côté de son oeil faible ou lorsque regarde au loin
  • Pour compenser en partie la diplopie, il est possible que le patient tourne sa tête du côté de l’oeil malade pour minimiser l’abduction nécessaire.

Causes:

  • Hypertension intra-cranienne
  • Causes micro-vasculaires (HTA et diabète)
  • Traumatisme
  • Idiopathique
  • Anévrysme et néoplasie (rare)
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7
Q

Reconnaître les principales anomalies pupillaires

A

Anisocorie de moins de 2mm = bénigne et courante

Voie afférente : transmet la perception lumineuse par le N optique jusqu’au mésencéphale

▪ NC II

▪ Atteinte complète de la voie afférente ( lésion unilatérale sévère du N optique) : absence bilatérale de myosis quand l’oeil atteint est éclairé, et myosis bilatéral N quand l’oeil sain est éclairé

Voie efférente : génère la constriction pupillaire bilatérale en réponse à l’intensité de la lumière

▪ NC III

▪ Atteinte de la voie efférente (lésion du NC III) : empêche la réponse pupillaire du côté atteint, peu importe que le stimulus soit dans l’oeil atteint ou l’oeil sain

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8
Q

Distinguer l’origine centrale ou périphérique d’un vertige

A

Il faut observer le nystagamus qui peut provenir:

  • Atteinte système vestibulaire périphérique
  • Atteinte vestibulaire centrale: tronc cérébral, connexions vestubulaires centrales
  • Atteinte cérébelleuse
  • Nystagamus physiologique
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9
Q

Distinguer l’origine centrale ou périphérique d’une déviation de la langue.

A

Centrale

= faiblesse de la langue controlatérale, déviation du côté opposé de la lésion, sans atrophie/fasiculations

Périphérique

= faiblesse de la langue ipsilatérale, déviation du même côté, présence d’atrophie/fasiculations

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10
Q

Différencier cliniquement une atteinte du motoneurone supérieur et inférieur

A
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11
Q

Distinguer les différents mouvements anormaux

A

- Syndromes hypokinétiques

  • Rigidité : augmentation de la résistance au mouvement passif d’un membre
  • Bradykinésie : mouvements lents (perte d’amplitude et/ou de la vitesse avec la répétition de mvt)
  • Hypokinésie : diminution de la quantité de mouvement
  • Akinésie : absence de mouvement

- Syndromes hyperkinétiques

  • Tremblement: Oscillation d’un membre (ou d’une partie d’un membre) autour d’un axe.
  • Chorée: Mouvements involontaires brefs, irréguliers et imprévisibles qui changent d’articulation ou de direction; surtout distal
  • Athétose: Mouvements involontaires plutôt lents, sinueux et reptiformes (tortillement); surtout distal
  • Ballisme: Mouvements involontaires vigoureux et très amples; surtout proximal
  • Dystonie: Hypertonie musculaire entraînant des postures anormales, des torsions et des mouvements répétitifs des membres, du tronc ou du visage
  • Myoclonies: Contractions musculaires brèves et soudaines.
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12
Q

Distinguer les tremblements d’action (intentionnels), de repos et de posture (attitude)

A
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13
Q

Distinguer les troubles du tonus musculaire

A

TONUS NORMAL

  • Légère résistance au mouvement dans toutes les directions
  • Résistance uniforme et ne varie pas selon la vitesse du mouvement

HYPOTONIE

  • Membre semble lourd et trop mou
  • Atteinte du motoneurone inférieur ou du cervelet

FLACCIDITE

  • Extrême de l’hypotonie
  • Absence de tonus

HYPERTONIE

Spasticité : ↑ tonus

    • marquée dans les muscles extenseurs: triceps, extenseur du poignet, quads
  • Vélocité-dépendante : raideur dépend de la vitesse du mouvement
    • le mouvement passif est rapide, + le tonus parait ↑
  • Mouvement lent peut paraître N
  • Associée à une atteinte du motoneurone supérieur, S’accompagne généralement de réflexes vifs

Rigidité

  • Résistance au mouvement passif exagérée
  • Fixe, survient pendant tout le mouvement, peu importe la vitesse
  • ↑ par la réalisation d’un mouvement volontaire d’un autre membre: Par exemple, faire lever l’autre bras en l’air et faire des cercles (Signe de Froment) ou taper sur la cuisse
  • Caractéristique d’une atteinte extra-pyramidale: Maladie de Parkinson

Paratonie :

  • ↑ tonus juste lors de mouvement
  • Résistance au mouvement ↑ si rapide et répété, mais aussi lors de mouvement lent
  • Donne l’impression que le patient fait exprès pour ne pas relâcher / qu’il s’oppose
  • Caractéristique d’une atteinte des lobes frontaux: Démence

ROUE DENTEE

  • Saccades lors du mouvement passif
  • Classiquement retrouvée lors de la Maladie de Parkinson, accompagne la rigidité
  • Tremblements
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14
Q

Distinguer la radiculopathie d’une atteinte d’un nerf périphérique au membre supérieur et au membre inférieur.

A

Pas besoin de flashcard pour ça, c’est évident

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15
Q

Identifier les racines nerveuses correspondant à chaque réflexe ostéotendineux.

A
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16
Q

Reconnaître cliniquement une compression nerveuse du nerf médian

A

o Faiblesse de ces mouvements :

  • Flexion et abduction du poignet
  • Opposition du pouce
  • Flexion du 2e et 3e doigt

o Pertes sensitives dans le territoire du nerf médian

o Position : “Preacher’s hand”

Syndrome du tunnel carpien

  • Perte de sensation des trois premiers doigts
  • Paresthésies dérangeantes la nuit qui peuvent irradier dans le bras
  • Présence du « flick sign » (=les patients doivent secouer leur main pour essayer de diminuer les symptômes).
  • Atrophie de l’éminence thénar possible dans les cas avancés
  • Signe de Tinel : la percussion du nerf médian dans le canal carpien reproduit les paresthésies
  • Signe de Phalen : coller les faces dorsales de ses deux mains (poignets en flexion) occasionne des paresthésies et de la douleur
17
Q

Reconnaître cliniquement une compression nerveuse du nerf radial

A

o Faiblesse de ces mouvements :

  • Extension du bras, de la main et des doigts
  • Supination de l’avant-bras

o Pertes sensitives dans le territoire radial

o Position : poignet tombant

o Reflèxe tricipital normal et perte/diminution du réflèxe stylo-radial (selon GPHC)

18
Q

Reconnaître cliniquement une compression nerveuse du nerf cubital

A
  • Atrophie/fasiculations au niveau de l’éminence hypothénar et muscles interosseux des mains
  • Au serment: faiblesse des muscles intrinsèque de la main
  • Faiblesse de:
  • Abduction/Addduction des doigts
  • Flexion annulaire et auriculaire
  • Adduction pouce
  • Flexion/aduction poignet
  • Perte de sensbilité dans le territoire ulnaire
  • ROT normaux
19
Q

Reconnaître cliniquement la compression nerveuse du nerf axillaire

A
  • Faiblesse du deltoïde
  • Sensation d’engourdissement dans la région deltoïdienne
  • Manoeuvre du serment montre faiblesse proximale
20
Q

Reconnaître cliniquement la compression nerveuse du nerf sciatique

A
  • Atrophie/fasiculations des muscles de la loge postérieure de la cuisse et des muscles de la jambe
  • Faiblesse:
  • Flexion du genou et tous les mvts de la jambe et du pied
  • Mvts des pieds: flexion, dorsiflexion, inversion, éversion
  • Dorsiflexion des hallux

o Perte du réflexe achilléen, Reflèxe rotulien N

o Perte de sensibilité à la face latérale de la jambe et du pied, à la face dorsale du pied et au 1er espace interdigital

21
Q

Reconnaître cliniquement la compression nerveuse du nerf poplité externe (= nerf péronier commun)

A
  • Atrophie/Fasiculations des muscles long et court fibulaires, tibial antérieur, long extenseur du hallux
  • Manoeuvre de Mingazzini: faiblesse distale avec afaissement du pied
  • Faiblesse
  • Dorsiflexion
  • Éversion
  • Extensuon du hallux
  • Perte sensbilités à la face latérale de la jambe, à la face dorsale du pied et au 1er espace interdigital
  • Position “Foot drop”
  • ROT N
  • Démarche de steppage possible
22
Q

Localiser les dermatomes C2, C5, C6, C7, C8, T4, T10, L3, L4, L5, S1.

A

— C2 = Cuir chevelu
— C5 = Peau sur le deltoïde

— C6 = Pouce
— C7 = Majeur
— C8 = Auriculaire

— T4 = Mamelons

— T10 = Nombril

— L3 = Genou

— L5 = Gros orteil

— S1 = Plante du pied

23
Q

Localiser les territoires sensitifs des nerfs : trijumeau, axillaire (circonflexe), médian, ulnaire (cubital), radial, fibulaire commun (sciatique, poplité externe), tibial (poplité interne), cutané latéral de la cuisse (fémorocutané latéral) et saphène.

A
24
Q

Distinguer les caractéristiques d’une atteinte sensitive spinothalamique.

A
  • Atteinte du tact grossier
  • Atteinte de la sensation douloureuse
  • Atteinte de la sensation de température
  • Atteinte des ROT possible (mais ils voyagent davantage dans les grosses fibres)

Rappel: Les fibres spinothalamiques décussent dans la moelle épinière 2-3 niveaux au-dessus de leur point d’entrée

25
Q

Distinguer les caractéristiques d’une atteinte des cordons postérieurs.

A
  • Atteinte du tact léger
  • Atteinte de la proprioception
  • Atteinte de la vibration
  • Atteinte des ROT

Peut se présenter par: patients ne sentent pas leurs membres, troubles équilibre/marche, maladresse pire à la noirceur

Rappel: Décusse au niveau du bulbe inférieur

26
Q

Reconnaître les caractéristiques de la démarche normale

A

Démarche normale comporte 2 étapes : phase d’appui et de balancement

▪ Toujours un pied qui touche le sol peu importe la phase de la marche

▪ Corps droit et bras balancent en direction opposée au mouvement de sa jambe

▪ Thorax bouge légèrement en rotation dans le sens opposé au mouvement du pas

▪ Pieds légèrement tournés vers l’extérieur

▪ Malléoles internes près l’une de l’autre (5-10 cm)

▪ Pas habituellement petits et égaux

27
Q

Distinguer la démarche ostéo-articulaire de la démarche neurologique

A
28
Q

Reconnaître les anomalies de la démarche neurologique les plus fréquentes : démarche spastique

A

La démarche spastique peut être asymétrique (spasticité d’une seule jambe comme dans une hémiparésie spastique) ou symétrique (spasticité des deux jambes comme dans une myélopathie). La jambe spastique paraît raide et fléchit moins bien. Le pied peut être en flexion plantaire et en inversion. On peut observer de la circumduction, c’est-à- dire que la jambe dévie sur le côté au lieu de se relever normalement. Dans le cas de spasticité bilatérale, on observe souvent une adduction excessive des membres inférieurs (scissoring), ce qui amène les jambes à se croiser – ou presque – lors de la marche.

29
Q

Reconnaître les anomalies de la démarche neurologique les plus fréquentes : ataxie cérébelleuse

A

La démarche cérébelleuse est une démarche irrégulière avec un polygone élargi. Des déviations subites vers un côté ou l’autre peuvent survenir et sont habituellement rattrapées par le patient. Cette démarche s’apparente à une démarche ébrieuse.

30
Q

Reconnaître les anomalies de la démarche neurologique les plus fréquentes : démarche parkinsonienne

A

Le signe le plus précoce d’une démarche parkinsonienne est la diminu- tion asymétrique du balancement des bras. En phase plus avancée, la démarche parkinsonienne est une démarche ralentie dont le pas est court, mais habi- tuellement symétrique. Les pieds traînent au sol, le tronc est fléchi vers l’avant, le polygone de sustentation est rétréci et le balancement des bras demeure diminué, souvent de façon asymétrique

31
Q

Reconnaître les anomalies de la démarche neurologique les plus fréquentes : démarche apraxique

A
32
Q

Reconnaître les anomalies de la démarche neurologique les plus fréquentes : ataxie sensitive

A
33
Q

Reconnaître les anomalies de la démarche neurologique les plus fréquentes : pied tombant (steppage)

A
34
Q

Reconnaître les anomalies de la démarche neurologique les plus fréquentes : démarche en canard

A
35
Q

Reconnaître les anomalies de la démarche neurologique les plus fréquentes : fonctionnelle/inorganique

A
36
Q

Localiser une atteinte cérébelleuse

A