Neuroscience cognitive Flashcards

1
Q

Pour comprendre complètement un phénomène, on doit l’étudier à différents ____.

A

Niveaux d’analyse.

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2
Q

Quelles sont les 3 grandes caractéristiques du cerveau selon le connexionnisme ?

A

Réseau de neurones hautement interconnectés, traite le signal en parallèle, apprend en formant associations.

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3
Q

Quand on dit dans le connexionnisme que le signal est traité en parallèle, qu’est-ce que ça signifie ?

A

On active simultanément les unités dans une ‘‘couche’’ d’unités et dans TOUTES les unités de cette couche avant de transmettre l’info à la couche suivante.

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4
Q

Qu’est-ce que la règle d’apprentissage Hebbienne ?

A

Deux cellules activées souvent en même temps deviennent ‘‘associées’’ : l’activité d’une de ces cellules facilitera celle de l’autre.

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5
Q

Quels sont les trois arguments des connexionnistes pour dire que leur paradigme est mieux que le traitement de l’info ?

A

Plausibilité biologique, apprentissage autonome avec peu de connaissance minimale innée, certains types d’apprentissage (reconnaissance de patrons) plus faciles à expliquer.

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6
Q

Une approche qui combine l’associationnisme et l’étude des représentations mentales est ___.

A

Le connexionnisme.

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7
Q

Une approche qui combine les mesures béhaviorales et neurologiques pour proposer des théories sur l’esprit est ___.

A

La neuroscience cognitive.

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8
Q

Qu’est-ce qu’étudie la neuroscience cognitive ?

A

Les mécanismes neuronaux de la cognition; comment les processus mentaux se déroulent dans le cerveau.

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9
Q

On dit que tout ce qu’une personne expérience est basé sur des représentations dans son système nerveux. Quel est le nom de ce principe ?

A

Principe de la représentation neuronale.

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10
Q

Quels sont les 3 types d’encodage proposés dans la représentation neuronale ?

A

Spécifique, distribué et semi-distribué.

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11
Q

Qu’est-ce qu’un détecteur de caractéristiques ?

A

Un neurone qui s’active devant un stimulus en particulier, comme l’orientation et la directionnalité.

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12
Q

Qu’est-ce que les cellules complexes ?

A

Des cellules qui réagissent à un angle en mouvement en particulier.

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13
Q

Avec leur étude sur les chats, qu’ont découvert Hubel et Wiesel ?

A

Les détecteurs caractéristiques, qui sont les éléments primitifs de la perception visuelle.

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14
Q

Quelle théorie supporte la théorie des détecteurs caractéristiques ?

A

La plasticité dépendant de l’expérience.

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15
Q

À quoi répondent les neurones miroir ?

A

Gestes de la main, actions de la bouche, gestes faciaux, son des actions.

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16
Q

Pourquoi les neurones miroirs commencent-ils à se développer dans la première année de vie de l’enfant ?

A

Ils aident à comprendre les actions des autres, à l’imitation et à l’apprentissage.

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17
Q

En quoi le cerveau autiste est-il différent du cerveau neurotypique ?

A

Leurs zones de neurones miroir sont plus minces.

18
Q

Nomme trois aires du cerveau spécifiques.

A

Aire fusiforme des visages, aire des endroits parahippocampique, aire du corps extrastriée.

19
Q

Quels sont trois problèmes associé à la théorie de l’encodage spécifique ?

A

Trop d’objets dans l’environnement, problème d’invariance (angles), perte de neurones.

20
Q

Pourquoi l’encodage distribué est-il mions plausible que l’encodage semi-distribué ?

A

Ça demanderait trop d’énergie au cerveau d’avoir tous nos neurones constamment activés.

21
Q

Quels sont les résultats de l’étude des visages de Quiroga, Boch et Fried ?

A

Certains neurones catégoriels répondaient seulement aux photos de Steve Carrell et pas des autres visages.

22
Q

Pourquoi l’étude de Quiroga, Boch et Fried soutient-elle l’encodage semi-distribué ?

A

Seulement un petit ensemble de neurones s’activaient à la vue de Steve Carrell, et s’ils avaient continué l’expérience ils croient que chacun de ces neurones se serait activé pour 50 à 150 visages différents. Bref : pas un seul neurone spécifique, mais pas tous les neurones non plus.

23
Q

Que doit-on démontrer pour dire que X aire est responsable de X fonction ?

A

Double dissociation.

24
Q

Qu’est-ce que nous montre une simple dissociation ?

A

Que deux processus psychologiques dépendants d’aires cérébrales séparées, mais pas si ces aires opèrent indépendamment.

25
Q

Empiriquement, comment montre-t-on une double dissociation ?

A

En définissant une tâche qui bloque l’action de l’aire responsable du processus A tout en laissant le processus B intact, et vice-versa.

26
Q

Quel est l’élément clé de la distinction entre le fonctionnement cognitif explicite et implicite ?

A

La présence ou l’absence de conscience.

27
Q

Pourquoi est-ce que la première expérience de temps de réaction sériel (apprentissage de séquence) n’a-t-elle pas réussi à mesurer l’apprentissage implicite ?

A

Après le test, les sujets dans la condition Séquence étaient capable de nommer la séquence : l’apprentissage était donc explicite.

28
Q

Comment l’expérience de TRS de Lewicki, Hill et Hall a-t-elle su prouver que le changement dans le temps de réponse était vraiment dû à l’apprentissage inconscient de la séquence ?

A

Car au bloc 16, ils ont changé la séquence et que cela a augmenté les temps de réponse.

29
Q

Dans l’expérience de simple et double tâche de Curran et Keele, quels étaient les 3 groupes ?

A

Explicite, plus conscients et moins conscients.

30
Q

Qu’est-ce qu’un score d’apprentissage ?

A

SA = bloc hasard - moyenne des blocs séquence juste avant et juste après (vice-versa)

31
Q

Quels sont les systèmes cognitifs postulés par Curran et Keele pour tenter de faire dissociation ?

A

Système d’apprentissage non-attentionnel (implicite) et système d’apprentissage attentionnel (implicite ou explicite).

32
Q

Que fait le système attentionnel pendant la tâche d’apprentissage de séquence ?

A

Il compte et observe les relations en les positions successives et fait des prédictions en lien avec ces relations.

33
Q

Dans la simple tâche de Curran et Keele, qu’est-il arrivé au temps de réponse des participants ?

A

Il a accéléré pour tout le monde, mais encore plus pour ceux qui étaient plus conscients de la séquence.

34
Q

Dans la double tâche de Curran et Keele, qu’est-il arrivé au temps de réponse des participants ?

A

Il a légèrement accéléré lors des séquences (le niveau de conscience ne changeait rien), mais beaucoup moins que dans la phase de simple tâche.

35
Q

Quelle est la conclusion de la dissociation de Curran et Keele ?

A

Le système non attentionnel contribue à la performance dans la tâche de temps de réponse sériel.

36
Q

Pourquoi est-ce que la dissociation de Curran et Kelle est simple et non double ?

A

Car ils n’ont pas réussi à trouver une tâche dans laquelle le système non-attentionnel peut être bloqué.

37
Q

Avec le PET-Scan, quelle région cérébrale montre une hausse de flot sanguin dans la simple tâche seulement ?

A

Le système ventral.

38
Q

Avec le PET-Scan, quelle région cérébrale montre une hausse de flot sanguin dans la simple et la double tâche ? À quel système cognitif est-elle associée ?

A

Le système dorsal, associé au système non-attentionnel.

39
Q

A-t-on réussi à démontrer, avec l’approche neurologique, une double dissociation pour les systèmes impliqués dans l’apprentissage de séquence ?

A

Non.

40
Q

Pourquoi a-t-on trouvé de l’activité cérébrale chez un poisson mort ?

A

À cause d’analyses statistiques sans correction statistique.

41
Q

Pourquoi les experts en neuroscience trouvent que les bonnes explications ont l’air pires quand on leur ajoute des faits neuroscientifiques ?

A

Ces faits sont sont inutiles.

42
Q

Quand on ajoute un graphique, les raisonnements scientifiques semblent-ils plus valide ?

A

Non (juste quand on ajoute des images du cerveau).