Mémoire à long terme Flashcards

1
Q

Quelle type de tâche a utilisé Murdock pour voir si on pouvait modifier la forme de la courbe sérielle ?

A

Tâche de rappel libre.

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2
Q

Selon le modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin, le principal processus de transfert entre la MCT et la MLT est ___.

A

La répétition.

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3
Q

La répétition a un effet sur l’effet ___ mais pas sur l’effet ___.

A

De primauté, de récence.

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4
Q

Le nombre de répétitions d’un mot est la mesure de sa ___.

A

Force en MLT.

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5
Q

L’effet de récence est liées à la ___ alors que l’effet de primauté est lié à la ___.

A

MCT, MLT.

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6
Q

De quelle manière Glanzer et Cunitz ont-ils tenté de réduire l’effet de récence tout en gardant l’effet de primauté ?

A

En ajoutant un délai entre la fin de la liste et l’indice de rappel.

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7
Q

Comment le délai réduit-il l’effet de récence ?

A

Il cause une interférence : les items en MCT sont oubliés.

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8
Q

Pourquoi le délai ne change pas l’effet de primauté ?

A

Car les premiers items ont eu le temps d’être transférés en MLT.

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9
Q

Comment Glanzer et Cunitz ont-ils tenté d’augmenter l’effet de primauté tout en gardant l’effet de récence pareil ?

A

En lisant la liste plus lentement (donc plus de temps pour répétition).

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10
Q

La mémoire explicite est ___ alors que la mémoire implicite est ___.

A

Représentationnelle, dispositionnelle.

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11
Q

Quelle est la majeure différence entre la mémoire épisodique et la mémoire sémantique ?

A

La mémoire épisodique permet un voyage dans le temps mental (info temporelle, relations spatio-temporelle…), ce que ne permet pas la mémoire sémantique.

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12
Q

Quels sont les résultats de la tâche de reconnaissance de 36 mots, 10 minutes et une semaine après, de Knowlton et Squire ?

A

Après 10 minutes, on se souvient plus facilement des mots de manière ‘‘se souvenir’’ (vs savoir), mais après une semaine, l’oubli est plus intense pour les réponses ‘‘se souvenir’’ que pour les mots ‘‘savoir’’.

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13
Q

L’étude avec les participants âgés et moins âgés de Petrican nous a montré qu’avec l’âge, ___.

A

On se ‘‘souvient’’ de moins en moins, mais on ‘‘sait’’ de plus en plus.

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14
Q

Quel type de mémoire est sensible à la dégénérescence de l’hippocampe et du cortex frontal ?

A

Mémoire épisodique.

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15
Q

Dans l’expérience de l’écoute d’histoire, quelles sont les 4 conditions de la phrase-test ?

A

Identique, changement formel, changement sémantique, changement du passif vers l’actif.

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16
Q

Dans l’expérience de l’écoute d’histoire, si la mémoire préserve TOUTE l’info dans le temps, les participants devraient ___ (3 choses).

A

Remarquer si le sens change, remarquer si la syntaxe change, pouvoir dire si la phrase est identique.

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17
Q

L’expérience de l’écoute d’histoire est une preuve pour le codage _____ en MLT.

A

Surtout sémantique.

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18
Q

Comment l’info sémantique influence-t-elle la mémoire épisodique ?

A

Avec le traitement descendant (attentes et savoir), on sait à quel endroit porter attention, et donc quelle information traiter.

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19
Q

Comment l’info épisodique influence-t-elle la mémoire sémantique ?

A

Les faits sont plus faciles à mémoriser quand ils ont une signification personnelle.

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20
Q

Quelle approche proposent Craik & Lockhart en réponse à l’approche des boîtes ?

A

L’approche basée sur les processus de mémoire.

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21
Q

Quels sont les 3 grands processus utilisés pour l’enregistrement permanent de l’info ?

A

Encodage, traitement, récupération.

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22
Q

Les niveaux de traitements proposent 2 types de traitement associés à 2 types de répétition. Quels sont-ils ?

A

Traitement de surface (répétition de maintien), traitement profond (répétition élaborative).

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23
Q

Les niveaux de traitement postulent que la mémoire est une série de processus cognitifs. Chaque étape de traitement est _______.

A

Plus profonde que la précédente.

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24
Q

Dans l’expérience sur la profondeur de traitement de Hyde et Jenkins, l’intention d’apprendre influençait-elle le rappel ?

A

Non.

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25
Q

Pourquoi la génération mène-elle à une meilleure reconnaissance ?

A

Car le traitement est plus profond.

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26
Q

Quels sont les 2 résultats obtenus dans l’expérience sur l’effet d’auto-référence ?

A

La performance pour l’auto-référence était toujours supérieure aux autres conditions, et dans la condition d’auto-référence, quand les essais étaient positifs (‘‘oui’’), la perfo était supérieure.

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27
Q

L’imagerie visuelle pour la mémoire mènerait à une meilleure performance de rappel. Quelles sont les 4 ‘‘couches’’ de profondeur de traitement impliquées ?

A

Contiguité temporelle, relation syntaxique, codage sémantique, connaissance dynamique.

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28
Q

L’organisation ________ est une bonne stratégie de rétention.

A

Hiérarchique par catégories.

29
Q

Est-ce que c’est l’étude ou le testing qui est le plus important facteur dans la force des traces mnésiques ?

A

Quand on est testé immédiatement, c’est l’étude; quand on est testé après un délai, c’est le testing.

30
Q

Pourquoi le testing produit-il un avantage à long terme ? 2 réponses / hypothèses.

A

Il nous force à organiser le matériel plus profondément et nous amène à pratiquer la bonne habileté (être testé).

31
Q

Pourquoi espacer les apprentissages serait plus efficace ? 2 hypothèses.

A

On porterait moins attention à la 2e présentation quand elle est trop proche de la 1ere; Le nombre de traces en mémoire serait plus grand avec présentation espacée.

32
Q

Comment Morris a-t-il montré que la profondeur n’est pas le facteur crucial pour produire des traces mnésiques durables ?

A

Il a montré que des participants étaient meilleurs pour reconnaître des rimes lorsque les questions posées lors de l’apprentissage étaient liées aux rimes (de surface) plutôt qu’à la sémantique (profond).

33
Q

Par quel concept Morris remplace-t-il le concept de profondeur de traitement ?

A

Traitement approprié au transfert.

34
Q

Le concept de spécificité de l’encodage met l’accent sur la relation entre ____.

A

L’encodage et la récupération.

35
Q

Pourquoi a-t-on fait une 2e expérience de plongée sous-marine ? Que nous a-t-elle montré ?

A

On voulait vérifier si la moins bonne performance quand les conditions ne concordent pas est liée au contexte ou plutôt à la perturbation. On a montré que c’était finalement vraiment l’influence du contexte.

36
Q

Est-ce que le silence est plus efficace pour l’apprentissage ?

A

Ça dépend si on va être dans le silence quand on va être testé. Ce qui compte, c’est la concordance entre les conditions.

37
Q

Dans quelle condition observe-ton l’effet d’apprentissage dépendant de l’état ? Pourquoi ?

A

Dans la condition génération : pour que l’effet apparaisse, ils faut une concordance enter l’état interne et un événement interne (comme la génération, alors que juste lire les mots est un événement externe).

38
Q

Vrai ou faux : en MLT, le matériel finit par ne plus être disponible (oublié).

A

Faux : il n’est juste plus accessible.

39
Q

L’oubli en MLT est-il un problème d’interférence ?

A

Non, c’est un problème d’interaction.

40
Q

Quelles sont les 2 caractéristiques d’un bon indice ?

A

Compatibilité et distinctivité.

41
Q

Quels sont les 2 mécanismes en interaction pour la consolidation ?

A

Consolidation synaptique et consolidation des systèmes.

42
Q

Qu’est-ce que la consolidation des systèmes ?

A

Réorganisation graduelle des circuits neuronaux.

43
Q

Dans le modèle standard de l’hippocampe, quel rôle joue-t-il ?

A

'’Rejouer’’ le souvenir et envoyer le signal au cortex, qui le réactivera.

44
Q

Dans le modèle des traces multiples de l’hippocampe, est-ce que l’hippocampe finit par ne plus être impliqué avec les aires corticales ?

A

Non, c’est dans le modèle standard.

45
Q

Quand est-ce que l’apprentissage intentionnel vs incident fait-il une différence ?

A

Pendant le sommeil.

46
Q

Quel type de consolidation fait-on pendant le sommeil ?

A

Consolidation sélective.

47
Q

Comment a-t-on montré que ce n’est pas l’injection elle-même qui cause l’oubli chez le rat plutôt que l’anisomycine précisément ?

A

On a fait un groupe contrôle où on injectait un placebo et ces rats n’ont pas oublié.

48
Q

Qu’est-ce que l’amorçage de répétition ?

A

La présentation d’un stimulus facile le traitement subséquent du même stimulus.

49
Q

L’effet d’amorçage de répétition est-il constant à travers le temps ?

A

Oui

50
Q

Comment a-t-on montré que l’effet d’amorçage de répétition ne dépend pas de la mémoire explicite et qu’il existe donc de la mémoire implicite ?

A

Car la performance de complétion de mots (associé à l’amorce) demeure équivalente même quand la reconnaissance (associé à la mémoire explicite) se dégrade.

51
Q

Quels sont les quatre types de mémoire englobés dans la MLT implicite ?

A

Procédurale, amorçage, simple conditionnement classique, apprentissage non-associatif.

52
Q

Quelle mémoire est dispositionnelle : mémoire implicite ou explicite ?

A

Implicite.

53
Q

Quels sont les deux types d’amorçage ?

A

De répétition, conceptuel.

54
Q

Qu’est-ce qui différencie un test de mémoire explicite d’un test de mémoire implicite ?

A

Dans le test de mémoire explicite, lors des instructions au test (et non à l’apprentissage), on demande d’accéder consciemment à la mémoire.

55
Q

Le niveau de traitement à l’apprentissage influence ___ mais pas ___.

A

La performance de reconnaissance (mémoire explicite) mais pas d’identification rapide (mémoire implicite).

56
Q

Quel type d’amnésie désigne l’incapacité à former de nouveaux souvenirs ?

A

Antérograde.

57
Q

L’amnésie est une atteinte de la mémoire ____.

A

Explicite.

58
Q

Comment a-t-on montré que l’amnésie n’atteint pas la mémoire implicite ?

A

Dans la tâche implicite de complétion de mot, les amnésiques avaient tendance à produire des mots déjà présentés même s’il y avait au moins 10 alternatives différentes.

59
Q

Comment Reber et son apprentissage de grammaire ont-ils montré la présence de la mémoire implicite ?

A

Les participants répondaient plus rapidement lorsque les séquences étaient grammaticales et étaient capables de différencier les grammaticales des non-grammaticales avant même d’avoir conscience des règles de construction et sans pouvoir les nommer.

60
Q

Quel type de mémoire est impliqué dans le changement d’attitudes ?

A

Mémoire implicite.

61
Q

Quelles sont les 3 hypothèses en compétition pour expliquer la bosse de réminiscence (souvenirs entre 10 et 30 ans sont spéciaux) ?

A

Image personnelle, script de vie culturel, cognitive.

62
Q

Qu’est-ce que l’hypothèse cognitive pour expliquer la bosse de réminiscence ?

A

Les périodes de changement rapide suivies de stabilité causeraient un encodage plus fort des souvenirs, et l’adolescence et la période de jeune adulte contiennent beaucoup de changements rapides.

63
Q

Qu’est-ce qui soutien l’hypothèse cognitive de la bosse de réminiscence ?

A

Lorsque la période de changement rapide suivie de stabilité arrive plus tard dans la vie, comme chez les immigrants, la bosse est déplacée selon l’âge de transition vers la stabilité.

64
Q

Si l’intervalle de rappel est long entre la lecture d’une histoire et son résumé, perd-on le sens de l’histoire dans le résumé ?

A

Non, le sens reste. C’est la forme qui change.

65
Q

Quels sont les 7 péchés de la mémoire ?

A

Éphémérité, distraction, blocage, persistance, mésattribution, biais, suggestibilité.

66
Q

Qu’est-ce que la mésattribution ?

A

Attribution de souvenirs à des sources incorrectes.

67
Q

Dans l’expérience sur les inférences, dans quelle condition les participants ont-ils fait plus de fausses reconnaissance ? Pourquoi ?

A

Dans la condition expérimentale, car il y avait possibilité d’inférences.

68
Q

L’info trompeuse a-t-elle plus d’influence si elle est présentée tout de suite après l’événement ou tout de suite avant le test de reconnaissance ?

A

Tout de suite avant le test de reconnaissance.