Attention Flashcards

1
Q

Quelles sont les 3 fonctions de l’attention consciente ?

A

Attention sélective, attention divisée, détection de signal.

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2
Q

Que mesure la tâche d’ombrage de Cherry ?

A

L’attention sélective auditive, soit l’habileté à porter attention à un message entrant en ignorant tous les autres.

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3
Q

Dans l’expérience de Cherry, quels résultats a-t-on obtenu par rapport au message ignoré ?

A

On remarquait quand il avait des caractéristiques physiques distinctives, mais pas les changements linguistiques et le contenu du message.

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4
Q

Dans la tâche d’attention divisée de Broadbent dans laquelle les participants rapportaient les chiffres entendus, quelle façon de rapporter était la plus difficile ?

A

Dans l’ordre (plutôt que par oreille).

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5
Q

Que fait le filtre dans la théorie du filtre de Broadbent ?

A

Il bloque certains canaux et choisi un message selon ses caractéristiques physiques pertinentes.

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6
Q

Quelle est la prédiction de Broadbent sur la MLT ?

A

Seul les stimuli auxquels on porte attention (qui passent le filtre) peuvent activent la MLT.

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7
Q

Dans la théorie de Broadbent, quel est le rôle du canal à capacité limitée ou détecteur ?

A

Traiter l’info sémantique.

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8
Q

Quelle théorie a été proposée en réponse aux problèmes empiriques de la théorie de Broadbent ?

A

Le modèle d’atténuation de Treisman.

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9
Q

Que fait l’atténuateur dans le modèle d’atténuation de Treisman ?

A

Il atténue certains canaux sans les bloquer les sélectionne selon leurs caractéristiques physiques pertinentes.

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10
Q

Dans le modèle d’atténuation de Treisman, le sens du mot est déterminé à l’aide des ____.

A

Analyseurs hiérarchiques en MLT.

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11
Q

Selon le modèle d’atténuation de Treisman, pourquoi entend-on toujours notre prénom ?

A

Il aurait un seuil d’activation très bas dans les analyseurs hiérarchiques.

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12
Q

Quel est le seul modèle de sélection tardive proposé ?

A

Modèle de pertinence de Norman.

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13
Q

Sur quoi se base la pertinence dans le modèle de Norman ?

A

Sur les attentes de notre système sur les entrées futures et sur les propriétés présentes.

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14
Q

Dans le modèle de pertinence de Norman, l’activation finale = ____ + ____.

A

activation sensorielle (ascendant) + pertinence (descendant)

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15
Q

Quel est le postulat clé du modèle multimode de Johnston et Heinz ?

A

La flexibilité de l’attention.

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16
Q

Dans le modèle multimode, l’utilisation croissante des propriétés ___ utilise une plus grande proportion de la capacité de traitement limité.

A

Sémantiques.

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17
Q

Quelles sont les deux tâches dans l’expérience de Johnston et Heinz ?

A

Vigilance et ombrage.

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18
Q

La condition ‘‘voix différente, même sens’’ de Johnston et Heinz montre qu’un mode de sélection ___ existe car les participants doivent se baser juste sur les propriétés ___.

A

Hâtive, physiques.

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19
Q

Quelle condition de l’expérience de Johnston et Heinz montre qu’un mode de sélection tardive existe, car on doit se fier aux propriétés sémantiques ?

A

Même voix, sens différents.

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20
Q

Comment devraient être les taux d’erreurs et les temps de réaction de l’expérience de Johnston et Heinz si on se fiait juste au modèle de Norman ?

A

Ils devraient toujours être pareils dans les conditions différentes, car on attendrait toujours d’utiliser les propriétés sémantiques.

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21
Q

Pourquoi compare-t-on l’attention sélective visuelle manifeste à un faisceau lumineux ?

A

Le diamètre de focus est constant, le centre du faisceau (fovea) est généralement clair.

22
Q

Sur quoi se base l’attention sélective visuelle manifeste pour savoir quoi regarder ?

A

La saillance (ascendant) et les attentes (descendant).

23
Q

Quel est la différence entre le traitement attentionné (manifeste) et automatique dans l’attention sélective visuelle ?

A

Le traitement automatique est non intentionnel et se fait en parallèle des autres processus qui demandent de l’attention alors que le traitement attentionné est intentionnel et bloque l’accès à l’attention pour les autres processus.

24
Q

Quelle expérience a montré une preuve d’attention automatique ‘‘secrète’’ basée sur l’emplacement ?

A

La tâche de pré-indiçage dans laquelle les yeux étaient immobiles.

25
Q

Quel mode de l’attention est utilisé pour les scènes statiques ou avec peu d’objets ?

A

Attention visuelle basée sur l’emplacement.

26
Q

Quel mode de l’attention est utilisé pour les environnements dynamiques ?

A

Attention visuelle basée sur les objets.

27
Q

La détection de signal influe les tâches de ___ et de ___

A

Vigilance, recherche

28
Q

En recherche visuelle, quand la cible et les distracteurs diffèrent sur 2 caractéristiques, que se passe-t-il quand on change le nombre de distracteurs ? Quand la cible est absente ?

A

Rien.

29
Q

En recherche visuelle, quand la cible et les distracteurs diffèrent seulement selon une caractéristique, on fait de la recherche ___.

A

Sérielle auto-terminante.

30
Q

Quelles sont les 2 étapes de la théorie d’intégration des caractéristiques ?

A

Étape préattentive (analyse des caractéristiques) et étape d’attention concentrée (caractéristiques combinées).

31
Q

L’expérience de conjonctions illusoires montre la validité de ____.

A

La théorie d’intégration des caractéristiques.

32
Q

Pourquoi dans l’effet Stroop est-il plus difficile de nommer la couleur des mots que de lire le nom des couleurs ?

A

Parce que lire est automatique alors que nommer les couleurs est contrôlé.

33
Q

Dans l’étude de Shiffrin et Schneider, dans les premiers essais, qu’on soit dans la condition d’appariement constant ou varié, la recherche est ___.

A

Sérielle auto-terminante.

34
Q

Dans l’étude de Shiffrin et Schneider, après la pratique extensive, le type de recherche dans une des conditions d’appariement change. Quel est ce type de recherche et quelle est la condition ?

A

Recherche parallèle dans condition d’appariement constant.

35
Q

Pour que l’automaticité soit atteinte, deux conditions sont nécessaire :

A
  1. Pratique extensive

2. Association systématique entre un type d’entrée et un type de réponse

36
Q

Que montre la tâche d’Eriksen avec la lettre au centre et les flankers ?

A

Qu’on a une capacité minimale d’attention.

37
Q

Dans l’expérience de charge perceptuelle de Lavie, quels sont les 4 types d’essai ?

A

Compatible, incompatible, impertinent, aucun flanker.

38
Q

Les effets des distracteurs sont plus forts dans les situations de charge ____ parce que ___.

A

Basse, il nous reste de la capacité de traitement.

39
Q

Quelle est la limite de l’attention divisée ?

A

Elle a un effet sur la qualité d’exécution de chaque tâche effectuée en simultané.

40
Q

Quelles sont les 3 principales sources de détérioration de performance dans la conduite ?

A

Compétition pour traitement visuel, interférence manuelle, distraction cognitive.

41
Q

Dans l’expérience ‘‘Driven to distraction’’, on a trouvé que la ___ et ___ n’était pas des facteur cruciaux pour la détérioration de la conduite.

A

Manipulation, l’écoute.

42
Q

Dans la 2e expérience de Driven to distraction, quelle est la différence entre la condition d’ombrage et la condition de génération de mot ?

A

Dans la condition de génération de mot, il y a un effort cognitif.

43
Q

L’utilisation du cellulaire sur la route perturbe la performance parce qu’elle _____.

A

Redirige l’attention vers un contexte cognitif engageant autre que la conduite.

44
Q

Quand on ajoute des autos distraction au simulateur, on augmente la ____.

A

Charge perceptuelle.

45
Q

Pour quelle seule variable est-ce qu’un individu en ébriété est plus dangereux qu’un individu au cellulaire ?

A

Force de freinage.

46
Q

Pour les non-pilotes, être au téléphone augmente de ___ fois le risque d’accident.

A

4.6

47
Q

Les pilotes sont les seuls pour lesquels parler ___ n’a aucun effet négatif (vs être seul).

A

À un passager.

48
Q

Pourquoi la conversations au cellulaire demande plus de ressources attentionnelles qu’avec les passagers ?

A

Car on n’a aucun indices non-verbaux.

49
Q

Pourquoi le passager qui voit la route aide-t-il à la conduite ?

A

Car la conscience de la situation est partagée : peut aider à naviguer, parle moins quand route difficile, etc.

50
Q

Pourquoi les passagers contrôlants peuvent-ils nuire à la conduite ?

A

Car l’anxiété qu’ils génèrent augmente la charge perceptuelle et il reste donc moins d’attention pour la route.

51
Q

L’engagement cognitif liée au cellulaire au volant empêche de ___.

A

Voir les objets imprévus.