Neuropsychologie clinique Flashcards
besoin du neuropsychologue clinicien
Guerres et automobile/SAAQ : besoin d’évaluation des déficits qu’accompagnent les traumas cérébraux
Éducation publique : besoin d’identifier et prendre en charge mieux les enfants avec troubles neurodéveloppementaux
vieillissement : besoin d’identifier/évaluer troubles neurodégénératifs dans une population vieillissante et d’évaluer les patients AVC
rôle du neuropsychologue clinicen
- intégrer les connaissances en psycho/neuro pour évaluer le fonctionnement cognitif et le comportement, afin de diagnostiquer un/des troubles neurodéveloppementaux, neurologiques, ou neuropsychiatriques afin de les orienter vers les services adéquats
-diagnostic différentiel/préciser le diagnostic
- dresser un profil du fonctionnement cognitif et mental
élaboration d’un plan d’intervention/recommandations
où travaille le neuropsychologue?
dans le système public (référé par médecin ou comission scolaire) et clinique privée
Clientèles et problématiques rencontrés par le neuropsy
enfants/adolescents (troubles neurodéveloppementaux, neurologiques, comportementaux, douance)
adultes (TCC, neuropsychiatrie, troubles de conduites, personnalité)
aînés (troubles neurocognitifs, AVC)
en quoi consiste l’évaluation neuropsychologique?
- demande/requête d’évaluation
- consultation du dossier médical et des rapports antérieurs
- histoires de cas (anamnèse) et entrevue avec des tiers
- questionnaires comportementaux
- évaluation des fonctions cognitives et observation du comportement
- analyse quantitative et qualitative des résulats aux épreuves psychométriques
- synthèse de l’info et conclusions
- rédaction du rapport
- entrevue de bilan
évaluation exhaustive
-on demande des infos de l’entourage
-évaluation un à un avec le client (no distractions, rapport direct)
- réfléchir à la généralisation des résultats à la vie quotidienne
demande/requête d’évaluation
situations complexes : CSST, assurances, mandats d’inaptitude, dérogation scolaire, parents en désaccord avec l’évaluation demandée par enseignant
on cherche à savoir quel est le motif de consultation?
sur quoi est centrée l’exercice professionnel du neuropsychologue?
autour du motif de consultation;
- objectif de l’évaluation
-orienter la suite de l’évaluation/choix de tests - permet d’orienter le client à un autre professionnel
consultation du dossier médical et des rapports antérieurs
Important:
-connaitre évolution des difficultés
- objectiver les plaintes du motif de consultation
-coroborer les infos rapportées dans l’anamnèse par des tiers
-profiter d’expertise multidisciplinaire : orthophonie,médical, ergothérapie
histoire de cas (anamnèse) et entrevue avec les tiers
-effectuée avec le client et/ou des proches/tierces personnes mandatées
-obtenir l’historique de la problématique et des informations sur les plaintes/situation actuelle
-exhaustivité vs pertinence clinique vs intérêt du client & mandat
pourquoi est-ce que l’anamèse est essentielle ?
-poser des diagnostics/comprendre les résultats de l’évaluation
-étendre le motif de consultation
-planifier l’intervention/recommandations
éléments de l’anamnèse
histoire développementale
histoire familiale
histoire médicale
histoire scolaire
histoire sociale
histoire personnelle
observations comportementales
apparence physique, dysmorphie, affect et humeur, langage, relation avec l’examinauteur, coopération, utilisation de stratégies, impulsivité, interruptions, distractibilité, habitudes motrices, tics, contact visuel, aspects non-verbaux
questionnaires comportementaux
sert à évaluer les pensées, sentiments et comportements du client (humeur, personnalité, comportements adaptatifs)
choisis selon motif de consultation, hypothèses diagnostiques et les contraintes pratiques
exemples de questionnaires comportementaux
Conners : comportement d’inattention, hyperactivité/impulsivité, opposition, conduites, problèmes sociaux, troubles d’apprentissage
Million : personnalité et général pour préados, ados et adulte
Beck : humeur, anxiété, agressivité, estime de soi
tests neuropsychologiques
principaux outils des neuropsychologues
tâches habituellement standardisées, papier-crayon, verbales, motrices ou informatisées effectuées avec le client
tests conçus pour ISOLER les fonctions cognitives
Que peut évaluer le neuropsychologue par les tests neuropsychologiques?
la nature et l’importance d’un trouble neuropsychologique
choix des tests neuropsychologiques
selon :
-l’âge
-motif de consultation
-limites du client
considérations méthodologiques
standardisation des tests
sensibilité vs spécificité des tests
étalonnage des tests
standardisation des tests
test fidèle : résultats stables
test valide : test évaluant la fonction visée
sensibilité vs spécifité des tests
test sensible : permet de différencier les personnes normales de celles souffrant d’une pathologie
test spécifique : test permettant de cibler plus précisément une fonction particulière
étalonnage des tests
facteurs socioculturels, sociodémographiques et socioéconomique
que sont les fonctions cognitives?
capacités de notre cerveau qui nous permettent notamment de communiquer, de percevoir notre environnement, de se concentrer, de se souvenir d’un évènement ou d’accumuler des connaissances
sphères cognitives
fonctions attentionnelles
fonctions visuospatiales
fonctions exécutives
fonctions mnésiques
fonctions intellectuelles
fonction langagières
mathématiques
lecture/écriture
praxies
gnosies
localisation des fonctions cognitives
certaines fonctions cognitives sont bien localisées.. d’autres moins comme le QI
localisation des fonctions exécutives
frontal, préfrontal
localisation de la production du langage
frontal inférieur
localisation de la motricité
autour du gyrus précentral
localisation de la perception/arithmétique
pariétal
localisation de la compréhension du langage
temporal supérieur
localisation de la vision
occipital
localisation de la mémoire
temporal inférieur mais distribué
localisation de l’équilibre et coordination msuculaire
cervelet
fonctionnement intellectuel
fonction cognitive qui comprend les capacités de raisonnement et de compréhension verbal et visuospatial, et l’efficacité cognitive
fonction cognitive sollicité dans l’apprentissage de concepts plus abstraits, résolution de problèmes complexes (adaptation à la société éduquée)
potentiel intellectuel =? éducation
non mais l’éducation stimule le développement de l’intelligence
intelligence ressort comme l’un des plus grand prédicteurs du rendement académique
batteries les plus utilisées pour mesurer le fonctionnement intellectuel
Échelles de Weschler (WPPSI, WISC et WAIS)
matrices de Raven
Échelle de Leiter
WPPSI et WISC
on voit une zone d’overlap où les deux tests sont appropriés
matrices de raven
indépendante du langage
matrices colorées (enfants, personnes âgées, handicaps physiques/intellectuels)
matrices avancées (adulte/ado avec QI en haut de la moyenne)
échelle de Leiter
indépendante du langage
évalue l’intelligence fluide, les capacités de visualiation, la mémoire et l’attention
Batterie de Weschler
chaque batterie de Weschler a une organisation similaire (ensemble de sous-tests principaux, sous-tests facultatifs, 4-5 échelles qui sont des indices du QI)
administration entre 60-90 minutes en moyenne
indices et échelles globales sont standardisées et normées (américaine/franco-canadienne)
en quels indice est divisé le WAIS-IV?
QI –> compréhension verbale, raisonnement perceptif, mémoire de travail et vitesse de traitement
quels sont les sous-tests associé aux indices du WAISC
compréhension verbale : similitudes, vocabulaire, connaissance
raisonnement perceptif : blocs, matrices, casse-têtes visuels
mémoire de travail : séquence de chiffres, arithmétique
vitesse de traitement : code, repérage de symboles
différence entre WISC et WAISC
raisonnement percetif est divisé en visuospatial (blocs et casse-tête visuel) et raisonnement fluide (matrices et balances)
indice de compréhension verbale (ICV)
capacité d’abstraction et de raisonnement verbale, comprendre et faire des liens entre des concepts
sollicité en compréhension de textes, de matière théorique, SENS explicite et implicite de matière verbal
sous-tests : similitude, vocabulaire et connaissances
Indice non-verbaux
capacités d’abstraction et de raisonnement non-verbales; comprendre, faire des liens et manipuler du matériel non-verbal
chez l’adulte ; indice de raisonnement perceptif (blocs, matrices et casse-têtes visuels)
chez l’enfant ; indice visuospatial (blocs et casse tete visuel) et indice de raisonnement fluide (matrices et balances)
blocs
reproduire des figures 2d à l’aide de blocs 3D
matrices
compléter une matrice visuelle de façon logique
casse-tête visuels
rotation mentales de formes géométriques pour former une image unifiée
balances
utiliser un raisonnement quantitatif pour équilibrer les balances
Indice de mémoire de travail
capacité à maintenir et manipuler de l’information mentalement
sous-tests : séquences de chiffres, arithmétique (résoudre des problème mentalement) et séquences d’images
d’autres tests associé à l’IMT (indice de mémoire de travail)
ne font pas partie des batteries de Wescher (moins associés au facteur g)
blocs de Corsi : retenir mentalement des séquences de positions sur une planche, puis reproduire la séquence à l’endroit (mémoire visuelle à CT) ou à l’envers (MDT visuel)
où se situe la mémoire de travail?
se situe entre les fonctions intellectuelles et attentionelles/exécutives
indice de vitesse de traitement de l’information (IVT)
représente la rapidité du traitement cognitif de bas niveau.
impliqué dans la prise de décision rapide.
sous-tests : code (reproduire le plus rapidement possibles des signes graphiques ) et repérage de symboles
analyse du profil intellectuel
profil intellectuel : homogène vs hétérogène
permet de dire aux gens que le client a une force relative, de dire qu’ils sont verbaux, visuel, instrumental
permet de comprendre les nunances de comment les gens pensent et résouds leurs problèmes
profil intellectuel homogène
pas d’écarts significatifs entre les indices
profil intellectuel hétérogène
au moins un écart significatif entre les indices
échelles globales permettant de caractériser le fonctionnement intellectuel
échelle globale de quotient intellectuel (EGQI) : tous les indices (profil homogène)
indice d’aptitude générales (IAG): composés des indices de compréhension et de raisonnement (profil hétérogène dont les inices de MDT et VT peuvent être affaissés)
à quoi sert le chiffre d’analyse du profil intellectuel
appuyer une conclusion à propos du fct intellectuel du patient
déficience < 70
limite ( 70-79)
lent/faible (80-89)
moyen/normal (90-109)
élevé (110-119)
supérieur (120-129)
très supérieur/douance intellectuelle (130+)
QI homogène
légère variation entre les individus
pas de différence significative
QI hétègorène
diverge beaucoup d’une zone
dresse un portait de la personne
langage
fonctions langagières peuvent être divisées en deux catégories: réceptif et expressif
peuvent être évaluées à l’aide des indices qualitatifs de toute tâches ayant une composante verbale et par des tâches formelles
langage = ? ICV
non, ICV = composante abstraite du langage, niveau de vocabulaire plus que l’étendue du vocabulaire
communication =? langage
non, atteinte d’un n’implique pas l’atteinte de l’autre
langage réceptif
décodage des mots, étendue du vocabulaire approprié au niveau intellectel et compréhension des phrases
si atteinte, évaluateur doit adapter ses consignes pour favoriser la compréhension du client tout au long de l’évaluation
indices qualitatifs du langage réceptif
si incapable de suivre consignes simple (sévère)
si incapable de suivre 2 consignes simples en 1 phrase (moins sévère)
si incapable de comprendre consignes avec négations, conditions
tests qui mesurent le langage réceptif
EVIP : choisir parmi 4 images celle qui illustre le mieux la signification d’un mot
ÉLO: signification d’une phrase
langage expressif
capacité à s’exprimer de façon fluide, organisée et avec un niveau de vocabulaire approprié à l’âge
tests utilisés pour mesurer le langage expressif
Boston Naming Test (dénomination d’images)
EOWPVT (dénomination d’images)
indices qualitatifs associé au langage expressif
pauvreté du discours, soit au niveau du vocabulaire ou de la structure, paraphrasies, désorganisation
distinguer parole et langage expressif
parole = motricité, articulation
langage expressif = richesse du vocabulaire et élaboration du discours
fonctions visuospatiales
habiletés permettant de percevoir adéquatement les objets dans l’espace
tests utilisés pour évaluer les fonctions visuospatiales
jugement d’orientation des lignes de Benton
hooper visual organisation test
Beery- VMI (visuomotor integration)
casse-tête visuels
Blocs
fonctions visuoconstructives
plus haut niveau que visuospatial et perceptif seulement
capacités à assembler des éléments de l’espace, de reproduire des modèles visuels
Tests utilisés
Blocs (Weschler)
Figure de Rey (Copie)
Test de l’horloge ou tout autre test de dessins
Beery-VMI
fonctions attentionnelles
capacité à mobiliser ses ressources cognitives sur un stimulus en ignorant les informations non pertinentes de l’environnement (et pouvoir la rediriger lorsque requis)
modalités : visuelle et auditive
types d’attention : sélective, divisée et soutenue
attention sélective
capacité permettant de centrer volontairement les mécanismes de perception vers un stimulus particulier et de traiter activement cette information en négligeant les stimuli non pertinent
filtre, ne pas être distrait par les stimuli
tests mesurant l’attention sélective
cloches, MESULAM, Tea-CH : recherche dans le ciel (chercher des cibles sur une feuille parmi des distracteurs–> attention sélective visuelle, où est charlie?)
TEA : elevator counting with distraction (se concentrer pour compter des tonalités et en ignorer d’autres –>attention sélective auditive)
D2 : se concentrer pour repérer le plus de cibles, ligne par ligne, attention soutenue visuelle
attention soutenue
capacité à mobiliser ses ressources afin de maintenir une performance sur une longue période de temps.
faire une tâche monotone pdt lgt et voir si reste concentré/nécessite une mobilisation interne
tests mesurant l’attention soutenue
CPT (pdt une longue période, repérer des cibles sur un écran pour donner une réponse motrice, ignorer les distracteurs, attention soutenue visuelle, sélective et inhibtion)
TEA-Ch : transmission de codes (attention soutenue auditive)
capacité de se concentrer
attention divisée
permet d’exécuter plusieurs tâches en même temps
tests utilisant l’attention divisée
TEA : écouter deux choses à la fois (tâche combinant deux éléments auditifs)
TEA : faire deux choses à la fois (tâche combinant élément auditif et visuel)
fonctions exécutives
ensemble de processus qui permettent de contrôler le comportement afin d’agir efficacement face à une situation nouvelle
fonctions exécutives sont hiérarchisées
MDT (fonction intellectuelle et exécutive)
inhibition
flexibilité cognitive
planification/organisation
autorégulation
jugement et autocritique
N.B. : les stratégies et comportements lors de toutes les tâches cognitives informent sur le fonctionnement exécutif
pourquoi les fonctions exécutives sont hiérarchisées
on a besoin de MDT pour pouvoir planifier et ainsi de suite
inhibition
capacité à résister aux distractions ou à inhiber une réponse attendue ou un commentaire qui nous traverse l’esprit
frein comportemental
inhibition VERBALE et MOTRICE
tests pour mesurer l’inhibition
Stroop
CPT : répondre alors qu’il fallait s’abstenir
les conditions du test de Stroop
condition de dénomination de couleurs
condition de lecture
condition d’inhibition (lire la couleur le plus rapidement)
condition de flexibilité (changer de règles)
mécanisme cognitif dans la Stroop : lecture, processus très automatisé
flexibilité mentale
capacité à s’adapter à la nouveauté et aux changements
tests qui évaluent la flexibilité mentale
color trails test ( en alternant couleur/chiffre)
fluence verbale : condition alternance
planification/organisation
capacité à utiliser des stratégies efficaces et établir des priorités, anticiper les étapes d’une tâche
attention lors de l’interprétation(lors d’évaluation de planif/organ)
échec à une tâche de planification peut être attribuable à une exécution impulsive/déficit d’inhibition, une rigidité de flexibilité ou difficulté en MDT et non un déficit de planification pur
tests qui évaluent la planification/organisation
tour de Londres
Écart entre nombre de mouvement requis et la stratégie optimale informe sur la capacité de planification.
autocritique
capacité à prendre conscience de ses capacités et performances
jugement
capacité à comprendre et comparer des alternatives, pour prendre une décision en gardant en tête un but à atteindre, des valeurs et des normes sociales
particularité à propos du jugement et autocritique
capacités cognitives très complexes qui ne s’inscrivent pas aisément dans les modèles théoriques mais qui sont évalués cliniquement
fonctions mnésiques
mémoire à long terme
trois processus mnésiques (encodage, consolidation, récupération)
mémoire à long terme
capacité de stockage de l’information sur une longue période (jusqu’à toute la vie)
explicite/déclarative : infos qui peuvent s’exprimer en mots/images
implicite/non-déclarative : mouvements/réponse émotionnelles
mémoire déclarative/explicite
épisodique : évènements
sémantique : connaissances générales
lobe temporal médian (hippocampe, amygdale)
*** on regarde plus la mémoire épisodique de façon standard
mémoire non déclarative/implicite
procédurale (striatum)
cndt classique (amygdale lorsque émotionnelle et cervelet lorsque musculaire)
apprentissage non associatif (voies réflexes)
amorcage (néocortex)
trois processus mnésiques
encodage : apprendre
consolidation : retenir
récupération : rappeler
3 modes de récupération
rappel libre : pas d’indice
rappel indicé : avec indice
reconnaissance : reconnaitre parmi un choix de réponse
test évaluant la mémoire
Figure de Rey : mémoire visuelle
Mémoire des figures de NEPSY : mémoire visuelle
histoire logiques : mémoire verbale
CVLT/15 mots de Rey : MLT verbale
processus d’apprentissages
il ne faut pas négliger l’impact du fonctionnement attentionnel et mnésique (MDT par exemple) à la capacité de lire, écrire et faire des maths
habiletés scolaire
doit être adapté au niveau scolaire
lecture, écriture et mathématiques
types d’erreurs informent si c’est un trouble ou un retard et pour voir quelles voies sont atteintes
deux voies de la lecture/écriture
voie d’assemblage
voie d’adressage
passe du mot écrit à la lecture à haute voix
voie d’assemblage
déchiffrage des lettres et syllabes
permet la lecture plus lente des nouveaux mots à l’aide de règles grapho-phonétiques
atteinte = mot est lu/écrit avec des phonèmes incorrects, ne se prononce pas comme il se dit = erreur phonétique
voie d’adressage
reconnaissance globale du mot
permet la lecture rapide et automatique par la reconnaissance rapide aux mots déjà connus
atteinte : lire/écrire un mot irrégulier selon les phonèmes = erreur de régularisation
mathématiques
évaluation du concept du nombre, les opérations numériques et la résolution de problèmes
cotation des tests
lors des tâches, l’évaluateur note des pointages (nombre de bonnes/mauvaises réponses) et/ou chronomètre des temps de réponse –> score brut
scores bruts sont ensuite normés
interpréter les tests va au delà des scores
testing de limites : demander de poursuivre malgré le temps d’arrêt, refaire la tâche, permettre de s’autocorriger –> informe sur la nature du déficit
comprendre ce que veut dire le type d’erreur sur l’étiologie ( problème psycho vs neurologique)
interprétation des résultats
les tests standardisés et normés pour permettre de comparer les habiletés cognitives d’un individu à celles d’un groupe contrôle/de référence et fournissent des scores normés
MAIS ; Les neuropsy peuvent conclure sur des tâches non normées, non standardisées en évaluation succès/échec.
distribution normale
faire l’équivalence du QI de 100 = score Z de 0 = percentile de 50 = pourcentage cumulé 100 et écart type de 0
intégration et interprétation globale
intégration des infos obtenues avec les résultats qualitatifs et dresser le profil cognitif global ainsi que les forces et faiblesses données
le neuropsy est un clinicien et non un diagnosticien
le neuropsy est un clinicien et non un diagnosticien
-comprendre les difficultés et cherche la solution dans le meilleur intérêt du client ce qui implique de réfléchir aux implications couts-bénéfices d’un diagnostic
-est ce que les difficultés/déficits du client rencontrent le critère diagnostic de trouble?
- profils atypiques/invalides : cas de stimulation
rapport neuropsycho - communication des résultats
- motif de consultation
- anamnèse
-procédure d’évaluation
-observations/comportement en entrevue
-résultats
-conclusions (profil neuropsy, dx)
-recommandations
recommandations
certain poids légal
choisis en fonction du motif, conclusion et information de l’anamnèse
exemples : références professionnels, acommodement scolaire/professionnels et pratiques personnelles
entrevue de bilan
explication vulgarisées sur le contenu du rapport et des recommandations, effectuée avec le client et/ou auprès de professionnels
permet de voir réaction du client face aux résultats et d’intervenir au besoin
entrevue de bilan = intervention psychologique