Neuro 9 : Pathologies médulaires Flashcards
V/F : La voie spinothalamique (extra lemniscale) véhicule le tact épicritique + sensibilité profonde
FAUX
La voie spinothalamique (extra lemniscale) véhicule LA SENSIBILITE THERMOALGIQUE ET LE TACT PROTOPATHIQUE
V/F : La voie lemniscale véhicule le tact épicritique + sensibilité profonde
VRAI
V/F : La voie spinothalamique (extra lemniscale) croise à chaque niveau métamérique et chemine dans le cordon médial de la moelle du même côté
FAUX
La voie spinothalamique (extra lemniscale) croise à chaque niveau métamérique et chemine dans le cordon LATERAL de la moelle du COTE OPPOSE
V/F : La voielemniscale croise plus haut à la partie inférieure de la moelle allongée (bulbe) et chemine dans le cordon antérieur de la moelle homolatérale
V/F : La voielemniscale croise plus haut à la partie inférieure de la moelle allongée (bulbe) et chemine dans le cordon POSTERIEUR de la moelle homolatérale
V/F : Le signe de Lhermitte est un signe témoignant d’une lésion de la moelle cervicale et se caractérise par une décharge ou paresthésie des MI / rachis lors de l’extension du cou
Le signe de Lhermitte est un signe témoignant d’une lésion de la moelle cervicale et se caractérise par une décharge ou parésthésie des MS / rachis lors de la FLEXION du cou
V/F : La dysréflexie autonome est souvent due à une lésion de la moelle épinière en T8 ou sup
FAUX
La dysréflexie autonome est souvent due à une lésion de la moelle épinière en T6 ou sup
V/F : La dysréflexie autonome apparait plus souvent lors de lésions médullaires complètes et est une affection potentiellement mortelle
VRAI
V/F : La dysréflexie autonome est généralement de courte durée
VRAI
V/F : Le syndrome syringomyélique est centromédullaire donc provoquera un déficit sensitif dissocié (purement épicritique)
FAUX
Le syndrome syringomyélique est centromédullaire donc provoquera un déficit sensitif dissocié (purement thermoalgique)
V/F : Le syndrome de la queue de cheval est une urgence neurochirurgicale, caractérisée par une atteinte pluri radiculaire lombosacrée avec atteinte sensitive, motrice des MI, génito- sphinctérienne
VRAI
V/F : Dans le syndrome cordonal postérieur, il y a une atteinte de la voie spinothalamique (hypoesthésie thermoalgique) présente du côté homolatéral à la lésion, avec paresthésies lors du signe de Lhermitte
FAUX
Dans le syndrome cordonal postérieur, il y a une atteinte de la voie LEMNISCALE (anomalies pallesthésies, position, tact fin) présente du côté homolatéral à la lésion, avec paresthésies lors du signe de Lhermitte
V/F : un syndrome spinothalamique se situe en postéro-latéral et engendre une atteinte de la voie spinothalamique (hypoesthésie thermoalgique) présente du côté controlatéral à la lésion
FAUX
un syndrome spinothalamique se situe en ANTERO-latéral et engendre une atteinte de la voie spinothalamique (hypoesthésie thermoalgique) présente du côté controlatéral à la lésion
V/F : Le syndrome de Brown séquard se situe en postéro-latéral et engendre
- une atteinte de la voie lemniscale (anomalies pallesthésies, position, tact fin) présente du côté homolatéral à la lésion
- une atteinte de la voie spinothalamique (hypoesthésie thermoalgique) présente du côté controlatéral à la lésion
- un syndrome pyramidal du côté controlatéral à la lésion
FAUX :
Le syndrome de Brown séquard se situe au niveau de l’HEMI MOELLE et engendre /
- une atteinte de la voie lemniscale (anomalies pallesthésies, position, tact fin) présente du côté homolatéral à la lésion
- une atteinte de la voie spinothalamique (hypoesthésie thermoalgique) présente du côté controlatéral à la lésion
- un syndrome pyramidal du côté HOMOLATERAL à la lésion
V/F : Le syndrome syringomyélique est centromédullaire et engendre une atteinte de la voie spinothalamique en uni ou bilatéral et est limité à quelques métamères
VRAI
Dans structures et fonctions, quels tests choisis tu pour un blessé médullaire ?
A. ASIA
B. 6MWT
C. Brief pain inventory
D. IADM
E. Braden scale
A. Score ASIA : dans les 72h post trauma
C. : Brief pain inventory : autoquestionnaire sur intensité de la douleur et degré d’interférence avec la fonction
E. Prévention des escarres