Module 5 Flashcards
quels sont les 3 principaux contextes d’examen?
- dépistage
- diagnostic
- pronostic
quel est l’objectif d’un examen de dépistage?
reconnaitre une maladie à un stade précoce chez les personnes asymptmatiques
nommer 3 caractéristiques d’un examen de dépistage.
- simple
- peu couteux
- peu invasif
vrai ou faux? aussitôt qu’une personne présente des symptôme d’une maladie grave, il faut lui passer un test de dépistage.
Faux, test de dépistage = chez pt asymptomatique, ici on doit faire un test diagnostic
quel est l’objectif d’un test diagnostic?
réduire l’incertitude dans la prise en charge
d’un patient présentant déjà des symptômes (confimer ou infirmer une hypothèse diagnostique basée sur des signes cliniques observés)
vrai ou faux? les test diagnostiques sont souvent plus complexes, plus coûteux et plus invasifs que les tests de dépistages.
vrai!
quel est l’objectif des tests pronostic?
prédire la probabilité qu’un individu développe une
maladie ou subisse un événement médical.
chez qui utilise-t-on un test pronostic?
chez les personnes à risque pour anticiper l’évolution de leur état de santé ou la survenue d’un problème médical
qu’est-ce que le seuil test?
la probabilité minimale nécessaire pour considérer une maladie comme plausible.
qu’est-ce que le seuil de traitement ?
la confiance nécessaire dans le diagnostic pour le confirmer et
entamer un traitement.
nommer 7 facteurs pouvant affecter les seuil de test et de traitement?
- sécurité
- coûts
- acceptabilité des tests
- pronostic de la maladie diagnostiquée
- disponibilité
- efficacité des traitements
- sécurité des traitements
que fait-on si nous obtenons une probabilité de maladie sous le seuil test?
probabilité diagnostic trop faible, aucun test.
que fait-on si nous obtenons une probabilité de maladie supérieure au seuil thérapeutique?
traitement sans autre examen, puisque probabilité très élevée
que fait-on si nous obtenons une probabilité de maladie entre le seuil de test et le seuil de traitement?
examens complémentaires afin d’obtenir une probabilité inférieure au seuil diagnostique ou supérieure au seuil thérapeutique.
quelles sont les 4 étapes de l’approche probabiliste du raisonnement diagnostic?
- Générer une probabilité prétest lors de l’évaluation clinique
- Comparer cette probabilité prétest aux seuils de décision clinique
- Générer une probabilité post-test à partir des nouvelles informations apportées par l’examen complémentaire (si nécessaire)
- Comparer la probabilité post-test aux seuils de décision clinique pour guider les décisions d’examen(s) complémentaire(s) et de traitement.
à partir de quoi pouvons-nous générer une probabilité prétest?
- Basée sur les symptômes et les caractéristiques du patient (âge, sexe, comorbidités, antécédents, etc.).
- En l’absence d’informations pertinentes supplémentaires, on peut utiliser la prévalence de l’affection suspectée pour estimer la probabilité pré-test
quels sont les deux types de résultats pouvant être obtenus suite à un test?
- qualitatif (présence ou absence d’une caractéristique)
- quantitatifs (valeur numérique)
Lorsque les résultats d’un test sont quantitatifs (par exemple, la concentration d’un biomarqueur sanguin), les résultats sont différents d’un individu à l’autre en raison de la _____________. Si on examine un groupe de personne, on observera alors une ____________.
- variabilité biologique
- distribution
dans un contexte clinique, il est souvent préférable de ramener des résultats quantitatifs à des résultats __________ (positif/négatif, normal/anormal) pour faciliter __________.
- dichotomiques
- l’interprétation
que faut-il faire pour transformer un résultat quantitatif en variable dichotomique?
déterminer une valeur seuil, appelée seuil de positivité ou seuil de normalité.
que doit-on faire pour juger la validité d’un test?
comparer le résultat de cet examen à la réalité,
c’est-à dire à la présence ou l’absence réelle de la maladie chez les individus testés.
qu’est-ce qu’un vrai positif?
résultat positif chez un individu
réellement malade
qu’est-ce qu’un faux positif?
résultat positif chez un individu
qui est en réalité sain
qu’est-ce qu’un faux négatif?
résultat négatif chez un
individu qui est en réalité malade
qu’est-ce qu’un vrai négatif?
résultat négatif chez un individu
réellement sain
QSJ? méthode diagnostique la plus valide disponible dans une situation donnée.
examen de référence (gold standard)
pourquoi n’utilise-t-on pas systématiquement l’examen de référence (3)?
- coût
- invasivité
- complexité
qu’utilise-t-on comme point de comparaison pour évaluer la validité des examens?
l’examen de référence
QSJ? vérifie si le test permet d’identifier adéquatement la présence ou l’absence de maladie.
validité intrinsèque
qu’est-ce que la sensibilité?
Capacité d’un test à identifier correctement les individus qui sont atteints de la maladie. C’est la probabilité qu’un test soit positif en présence de la maladie.
quelle est la formule de la sensibilité?
Se = vrais positifs / malades totals
= vrais positifs / (vrais positifs + faux négatifs)
qu’est-ce que la spécificité?
Capacité d’un test à identifier correctement les individus qui ne sont pas atteints de la maladie. C’est la probabilité qu’un test soit négatif en l’absence de maladie.
quelle est la formule de la spécificité?
Sp = vrais négatifs / non malades
= vrais négatifs / (vrais négatifs + faux positifs)
Vrai ou faux? il est fréquent d’avoir une valeur seuil permettant une sensibilité et une spécificité de 100%.
Faux, cela est rare puisque la distribution des valeurs des sujets malades et des valeurs des sujets sains présentent habituellement un chevauchement.