Module 3 Flashcards

1
Q

Qui décrit le pouvoir vs. l’autorité?

A

Gosselin vs. Parsons

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2
Q

Définit le pouvoir:

A

Habileté concrète d’influencer une autre personne, de diriger ses agirs parfois par la manipulation ou la séduction.

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3
Q

Quelle est la différence entre le pouvoir et l’autorité?

A

L’autorité est institutionnel, juste dans le cadre de notre travail.
Le pouvoir, c’est juste si le client le reconnait.

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4
Q

Quelles sont les devoirs généraux et obligations envers le public que doivent respecter les criminologues?

A

DEVOIRS GÉNÉRAUX ET OBLIGATIONS ENVERS LE PUBLIC
2.01. Dans l’exercice de ses activités, le criminologue tient compte des normes professionnelles généralement reconnues en criminologie. Il tient compte aussi, notamment, de l’ensemble des conséquences prévisibles de son activité professionnelle non seulement sur le client mais aussi sur la société.

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5
Q

Pourquoi est-il préférable d’utiliser l’autorité et non le pouvoir?

A

Le pouvoir est généralement utilisé dans un cadre de manipulation ou de séduction.
Il n’est généralement pas utilisé de la bonne façon.

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6
Q

Que veut t’on dire lorsqu’on dit que le pouvoir est une réflexion de la société? Quel lien avec nos clients?

A

Les personnes plus riches ont plus de pouvoir.
Nos clients sont rarement les personnes qui ont beaucoup de pouvoir.

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7
Q

Durkheim sur l’autorité? 1903

A

Éducation est essentielle pour la transmission des valeurs sociales. L’éducation morale est le noeud de la société.

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8
Q

Sutherland sur l’autorité? 1939

A

La personne doit avoir une autorité parentale non criminelle. On ne peut pas fonctionner
Selon Sutherland, les individus apprennent des définitions favorables et défavorables à la criminalité auprès de leurs pairs, la force de leur relation déterminant s’ils choisissent de favoriser les définitions anti-criminelles ou pro-criminelles[6].

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9
Q

Stanley Cohen sur l’autorité

A

La « théorie de l’autorité » de Stanley Cohen, principalement connue sous le nom de théorie de la « panique morale », postule que les médias et les figures d’autorité peuvent créer une frénésie publique en exagérant et en sensationnalisant la menace perçue d’un groupe spécifique, souvent qualifié de « démons populaires », ce qui entraîne une réaction sociale disproportionnée et parfois des actions oppressives à l’encontre de ce groupe ; essentiellement, les figures d’autorité peuvent utiliser leur influence pour définir une situation comme une crise, suscitant l’inquiétude du public et des changements de politique sur la base de ce récit construit.

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9
Q

Merton sur l’autorité?

A

En 1949, la principale théorie de Robert Merton relative à l’autorité, souvent appelée « théorie de la contrainte » ou « théorie de l’anomie », proposait que lorsque les individus sont incapables d’atteindre des objectifs culturellement valorisés par des moyens légitimes, ils peuvent avoir recours à des comportements déviants pour atteindre ces objectifs, ce qui entraîne une contrainte sociale potentielle et un effondrement des normes sociales ; cette théorie est souvent utilisée pour expliquer la criminalité et la déviance au sein d’une société.
C’est donc l’autorité des normes sociales.

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9
Q

Comment Parsons apporche t’il la notion de pouvoir/ d’autorité?

A

Pour Parsons, un pouvoir illégitime n’est pas un pouvoir authentique : cette expression trahit une extension abusive d’un concept. Le pouvoir est donc généralisé parce qu’il est légitime et symbolique.

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10
Q

Comment Mencher apporche t’il la notion de pouvoir/ d’autorité? 5 pilliers de l’autorité

A

L’autorité est arbitrairement établie. L’autorité c’est le pouvoir d’influencer les actions des autres. L’autorité dépend donc de comment nous sommes perçu par les autres.

1- pouvoir d’induire du changement
2- exercice de contrôle
S’il y a des conséquences, c’est parce que l’autorité a été excercé.
3- Dépendance de la perception et de l’acceptation
L’incompétence n,est pas de l,autorité
4- Nature relationnelle de l’autorité
Sociaux et hierarchique.
5- Contextualisation de l’autorité.
On n,a pas la même autorité sur ses étudiants vs sur ses clients.

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11
Q

Compare Mencher et Yelaja?

A

Yelaja dit que dans un contexte d’autorité, une personne est subordonnée à l’autre, mais les deux reconnaissent comme légitime.
Mencher ne parle pas de légitimité, plutot de perception.

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12
Q

Comment est décrit l’autorité selon Gosselin

A

Une personne, un groupe ou un organisme qui, sur mandat ou unilatéralement, par concertation ou par consultation, établit des règles qui régiront un ensemble social donné et veille à ce qu’elles soient appliquées ou respectées.

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13
Q

Exemples d’endroit dans la société ou l’on retrouve de l’autorité?

A

Emploi
École
Parents
Gérants de banque
Thérapeute ou personnes de la santé

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14
Q

Quelles sont les missions traditionnelle en intervention sociale?

A

Promouvoir le changement sociale.
Résoudre les problèmes dans le contexte des relations humaines.
Respecter les droits fondamentaux et la justice sociale.

15
Q

Quelles sont les 4 valeurs principales en intervention sociale?

A

Auto-détermination
Liberté de choix
Dignité inhérente de l’être humain
Participation volontaire et entière

16
Q

Autorité personnelle:

A

Inhérent à sa personnalité. Assurance.

17
Q

Autorité d’expertise

A

Fondé sur les compétences que le client reconnait, ce que tu mets sur ton CV

18
Q

Autorité de rôle

A

Dépendamment que tu sois intervenant, à la DPJ, agent de probation, etc.

19
Q

Autorité institutionnelle

A

Dépend de l’endroit ou on travail. Pas la même autorité si tu travailles en organisme, en prison, ou en organisme.

20
Q

Autorité légale

A

Dépend de la loi à laquelle on est assujetis. Pas pareil si LPJ, LSJPA, libération conditionnelle.

21
Q

Pour avoir de l’autorité, ça prend trois choses:

A

1) Une relation
2) Possibilité de contrôler avec des contraintes ou d’influencer
3) L’influence dépend de la perçeption des deux parties et de si elle est acceptée par le client.

22
Q

L’autorité, qu’elle soit légale ou non, est une notion qui confère4 choses

A

Droits et pouvoirs
Devoirs et statuts

23
L'autorité peut être perçue de 5 façons différentes:
Une récompense: - Si je la respecte, j'aurai des privilèges Une punition: - Désobéir entraine des conséquences Un modèle: - S’identifier au détenteur d’autorité et chercher à l’imiter. Un privilège: - Reconnaître au détenteur d’autorité une compétence d’agir et d’influencer. Il a un privilège Une soumission: - Admettre au détenteur d’autorité le droit de commander et de s’imposer aux autres. Plus difficile d'intervenir ici.
24
Les 6 façon de reçevoir l'autorité:
1) La collaboration: on voit des avantages 2) Conformité: Respect par peur. Il n'y a pas de cheminement, seulement discline et contrôle. 3) Non-coopération: Non-conformité. Manque de connaissance, de préparation, respecte pas les conséquences. 4) Résistance: Refus d'admettre l'autorité, résiste à l'autorité. Un peu hypocrite, fais semblant. 5) Le défi: Renégocie la relation, vise a rejeter la légitimité du rôle. 6) Le contrôle: Excerce le contrôle, ne confère pas d'autorité. Ne reste pas longtemps en thérapie.
25
Quels sont les 6 façon d'exercer son autorité en contexte d'involontariat?
1) Prévenir et protéger la société 2) Confronter 3) Dissuader (ceertains comportements) 4) Exiger (fasse des taches) 5) Neutraliser (le risque) 6) Punir (conséquences)
26
La relation d'aide dépend de 3 variables:
Contexte Client Intervenant
27
Différence entre autorité et autoritaire? Et la place de l'intervenant?
Autorité est quelque chose qu'on a. Autoritaire c'est une façon d'agir. Il doit se situer entre le rejet de l'autorité pour conserver son lien et le recours abusif à l'autorité qui empêche un lien.
28
L'autorité coercitive des intervenants se limitent à deux conditions: Dans les autres cas on...
Besoin de protection Forcer la réhabilitation. Favorise l'autodétermination
29
L'autorité des professionnels découlent de.. Et est modulé en fonction de...
la structure, la profession, du mandat, des besoins du client, définition du rôle professionnel.
30
L,autorité est une question de (3)
Conception, perception, réception
31
M’a-t-on délégué l’autorité légale de restreindre la liberté de cette personne dans cette circonstance ? Les comportements de ladite personne tombent-ils sous le coup de l’autorité qui m’est déléguée ? La décision de limiter la liberté de ladite personne est-elle fondée sur des critères clairs, non-biaisés ? Y a-t-il danger imminent (clair, présent, irréversible) pour ladite personne ou pour d’autres personnes ?
Il faut se rapporter au cadre légal. Il faut se rapporter au cadre légal. On ne peut pas limiter la liberté d’un citoyen sous la base d’un critère flou. Il faut que la loi soit claire, qu’il n’y ait pas matière à interprétation. Il faut également se rapport au cadre législatif. Cette question est relative à l’éthique. Cette question est relative à l’éthique.
32
Les stratégies qui facilient l'usage et la réception de l'autorité:
Faire preuve de transparence Exercer l’autorité selon les conditions établies Les décisions doivent être mise en application Rappeler la spécificité de son rôle et de ses limites Répondre aux questionnements du client quant à l’étendu de l’autorité À mesure que la relation progresse, l’intervenant peut exercer son rôle de manière plus souple Ces stratégies exigent flexibilité, créativité, ouverture et honnêteté de la part de l’intervenant
33
On dit que l'autorité est en conflit avec 3 valeurs, lesquelles?
La vérité: On veut que nos enfants nous disent la vérité, mais s'ils le font on les chicanent. L'ordre: Se produit quand une autorité tente d’imposer une règle et que certaines personnes ne sont d’accord. Par exemple, le convoie de la liberté. L’autorité n’est pas toujours conséquent avec l’ordre, peut entrainer des manifestations ou des conflits violents. La justice sociale: mais la justice sociale veut que présentement ce n’est pas équitable. Certaines personnes ont des privilèges de l’autorité. Certaines autorités ont des privilèges que les autres n’ont pas.