module 2 : le cycle restriction / désinhibition Flashcards
Le fait de se restreindre, autant de façon cognitive que comportementale, entraîne une vulnérabilité à la _______.
désinhibition
Le cycle de restriction et de désinhibition a d’abord été étudié par_________ and Mack (1975) dans une étude expérimentale réalisée auprès d’étudiantes _____ américaines restreintes et non restreintes
C.P. Herman
universitaires
quelle était l’hypothèse de l’étude de C. P. Herman and Mack (1975) ?
En créant une transgression des règles et des interdictions alimentaires, les personnes en restriction cognitive seraient celles qui mangeraient le plus en réponse à des stimuli alimentaires externes
Dans l’étude de C.P. Herman and Mack (1975), les participants étaient divisées de manière aléatoire dans quels groupes (3)?
- témoin, sans lait frappé
- boire un lait frappé au chocolat de 75 oz
- boire 2 laits frappées de 75 oz (1 choco, 1 vanille)
que devaient faire les participantes après avoir bu les laits frappés ? (étude de C. P. Herman and Mack (1975) )
gouter et évaluer 3 saveurs de crème glacée (vanille, choco, fraise)
quels ont été les résultats de l’étude de C. P. Herman and Mack (1975) ?
- Parmi les participantes présentant une restriction alimentaire élevée, celles qui ont bu le(s) lait(s) frappé(s) ont mangé davantage de crème glacée (transgression règles)
- Les participantes avec un niveau de restriction plus faible ont naturellement ajusté et diminué leur consommation de crème glacée en fonction du volume de lait frappé consommé précédemment.
Les résultats de l’étude de C. P. Herman and Mack (1975) suggèrent donc qu’une fois les règles et interdictions alimentaires transgressées, la restriction alimentaire prédit une ______ accrue aux stimuli externes, ce qui peut mener à une _________ d’aliments et une perte de contrôle de la prise alimentaire
réactivité accrue
surconsommation
Faire cercle vicieux de la restriction alimentaire et les diètes amaigrissantes sur la consommation alimentaire et le poids corporel.
A. Désir de maigrir : « je veux perdre 10 lbs»
B. Restriction/privation : «Je me prive dans le but de perdre du poids»
C. Faim, frustration et obssesion : « J’ai tellement envie d’une poutine»
D. Perte de contrôle / surconsommation alimentaire : « J’ai vraiment trop mangé de poutine»
E. Culpabilité / sentiment d’échec (gain de poids) : «Je suis tellement dégoutée par moi-même»
RETOUR À «A»
V/F
les personnes en restriction cognitive sont moins sujettes à la surconsommation alimentaire que les personnes non restreintes
faux, plus sujettes
V/F
le simple fait d’être exposé, à répétition, à des aliments appétissants semble influencer les personnes restreintes à manger davantage
vrai
Qu’on proposé Stroebe, van Koningsbruggen, Papies et Aarts pour expliquer la difficulté qu’éprouvent les mangeurs restreints à réguler leurs apports alimentaires ?
GOAL CONFLICT MODEL OF EATING
Dans le modèle du «GOAL CONFLICT MODEL OF EATING», la difficulté qu’éprouvent les mangeurs restreints à réguler leurs apports alimentaires est attribuée à une dualité entre deux objectifs incompatibles. Lesquels ?
- le plaisir de manger
- le contrôle du poids corporel
V/F
Bien que les mangeurs restreints (ou les individus constamment à la diète) soient motivés à contrôler leur poids corporel, ils sont à risque d’échouer s’ils se trouvent dans des environnements où les stimuli en lien avec des aliments appétissants encouragent fortement le plaisir viscéral de manger ou la faim hédonique
Vrai