Module 12, chapitre 9 Flashcards
Vrai ou faux
La théorie de James-Lange a été formulée en réaction à celle de Cannon-Bard.
Faux
C’est la théorie de Cannon-Bard qui a été formulée en réaction à celle de James-Lange. Cannon et Bard ont mis de l’avant l’importance du thalamus dans le relais de l’information, alors que James et Lange affirmaient que ce sont les réactions somatiques et physiologiques qui provoquent les émotions. (p. 296)
Vrai ou faux
Selon l’hypothèse de la rétroaction faciale, une personne qui fronce les sourcils pourrait être davantage portée à être contrariée qu’une personne qui sourit.
Vrai
Selon l’hypothèse de la rétroaction faciale, le fait d’adopter la mimique caractéristique d’une émotion donnée tend à induire l’état affectif correspondant à celle-ci. (p. 296)
Vrai ou faux
Selon Arnold, l’évaluation cognitive que fait une personne d’une situation sera consciente et rationnelle.
Faux
Selon Arnold, le processus d’évaluation cognitive fonctionne d’abord et avant tout de façon intuitive. C’est une sorte de jugement perceptif qui s’effectue de façon directe, immédiate, automatique, non consciente et sans que l’on raisonne de façon intellectuelle. (p. 297-298)
Vrai ou faux
Selon LeDoux, il est possible de rendre compte des mécanismes associés à la peur à l’aide d’un modèle à deux circuits. Cependant, ces observations ne s’appliquent pas à d’autres émotions.
Vrai
Un circuit court et un circuit plus long ont été proposés par LeDoux afin d’expliquer la peur. La description faite par LeDoux des circuits de la peur ne vaut toutefois pas pour toutes les émotions. Il estime en fait qu’il existe plusieurs systèmes émotionnels selon l’émotion en jeu. (p. 299-300)
Vrai ou faux
La notion de marqueur somatique avancée par Damasio est en lien avec le circuit court proposé par LeDoux.
Faux
Dans la théorie de Damasio, la notion de marqueur somatique renvoie à un signal physiologique associé à un événement qui est reconnu et évalué par le cortex préfrontal qui, pour sa part, est associé au circuit long, proposé par LeDoux. (p. 300-301)
Marie-Josée est plus émue lorsqu’elle revoit son père que lorsqu’elle revoit sa mère, car elle voit son père seulement une semaine par année.
On parle ici d’une composante émotionnelle:
a) Corporelle
b) Affective
c) Cognitive
d) Situationnelle
d) Situationnelle
Marie-Josée vit une situation (le fait de revoir son père) qui déclenche une vive émotion. En fait, toute émotion a comme point de départ une situation. (p. 282)
Joshua a plus de facilité à exprimer sa colère qu’à exprimer sa tristesse.
On parle ici d’une composante émotionnelle:
a) Corporelle
b) Affective
c) Cognitive
d) Situationnelle
b) Affective
La composante affective renvoie à l’expérience émotionnelle, c’est-à-dire à ce qui est vécu et ressenti par l’individu. Bien que cette composante soit la plus difficile à étudier de façon scientifique, elle ne peut être ignorée en raison de son influence déterminante sur le comportement. (p. 282)
Cette composante de l’émotion renvoie aux liens entre les pensées et les émotions.
a) Corporelle
b) Affective
c) Cognitive
d) Situationnelle
c) Cognitive
Une situation donnée ne provoquera pas la même émotion chez tous les individus ou chez la même personne à divers moments. Ce n’est pas la situation en tant que telle qui est déterminante dans l’émotion éprouvée, mais sa composante cognitive, c’est-à-dire la façon dont cette situation est interprétée. (p. 282
Cette composante entre en jeu lorsque votre cœur bat rapidement et que vous avez les mains moites.
a) Corporelle
b) Affective
c) Cognitive
d) Situationnelle
a) Corporelle
Lorsqu’une personne est sous le coup d’une émotion, on observe un ensemble de réactions corporelles, dont les réactions physiologiques. (p. 282-283)
C’est une composante qui permet de différencier l’émotion de l’humeur.
a) Corporelle
b) Affective
c) Cognitive
d) Situationnelle
d) Situationnelle
L’humeur est un état plus diffus que l’émotion, et cette dernière survient en réaction à une situation. (p. 281-282)
Cette composante confère à une émotion son côté agréable ou désagréable.
a) Corporelle
b) Affective
c) Cognitive
d) Situationnelle
b) Affective
La composante affective renvoie à l’expérience émotionnelle, c’est-à-dire à ce qui est vécu et ressenti par l’individu. Bien que cette composante soit la plus difficile à étudier de façon scientifique, elle ne peut être ignorée en raison de son influence déterminante sur le comportement. (p. 282)
Deux aspects sont liés à cette composante : les réactions somatiques et les réactions physiologiques.
a) Corporelle
b) Affective
c) Cognitive
d) Situationnelle
a) Corporelle
Les réactions somatiques contribuent à l’expression non verbale des émotions et les réactions physiologiques correspondent aux réponses observées dans les principaux organes du corps. (p. 283)
Cette composante entre en jeu lorsqu’un étudiant a peur de ne pas passer un examen et qu’il croit que sa vie sera finie s’il échoue.
a) Corporelle
b) Affective
c) Cognitive
d) Situationnelle
c) Cognitive
Une situation donnée ne provoquera pas la même émotion chez tous les individus ou chez la même personne à divers moments. Ce n’est pas la situation en tant que telle qui est déterminante dans l’émotion éprouvée, mais sa composante cognitive, c’est-à-dire la façon dont cette situation est interprétée. (p. 282)
Cette émotion, considérée comme fondamentale, possède un caractère positif.
a) Colère
b) Surprise
c) Joie
d) Tristesse
c) Joie
Classée par Tomkins parmi les émotions à caractère positif, la joie est également vue comme une émotion fondamentale par Plutchik, Izard et Ekman, ainsi que par Johnson-Laird et Oatley. (p. 284)
Cette émotion n’est pas considérée comme fondamentale par Tomkins. (Photo avec des yeux larmoyant)
a) Colère
b) Surprise
c) Peur
d) Tristesse
d) Tristesse
Tomkins ne considérait pas la tristesse comme une émotion fondamentale, contrairement à la plupart des autres chercheurs. (p. 284)
Cette émotion n’est pas considérée comme fondamentale par Ekman. (Photo avec les yeux grands ouvert et les sourcils levés).
a) Joie
b) Surprise
c) Peur
d) Tristesse
b) Surprise
Ekman ne considérait pas la surprise comme une émotion fondamentale, contrairement à plusieurs autres chercheurs. (p. 284)
Selon Plutchik, cette émotion, combinée à de la surprise, se nomme «frayeur». (Photo avec les yeux grands ouvert et les sourcils levés).
a) Dégoût
b) Colère
c) Peur
d) Tristesse
c) Peur
Selon Plutchik, si on combine les émotions primaires de surprise et de peur, on obtiendra l’émotion secondaire de frayeur. (p. 285)
Selon Plutchik, combinée à de la colère, cette émotion donne le mépris. (Photo avec le nez et les sourcils froncés).
a) Dégoût
b) Surprise
c) Peur
d) Tristesse
a) Dégoût
Selon Plutchik, si on combine les émotions primaires de colère et de dégoût, on obtiendra l’émotion secondaire de mépris. (p. 285)