Mémoire et oubli - cours 12 Flashcards

1
Q

Que propose le modèle d’Atkinson et Shiffrin (1968) ?

A

modèle qui où stimulus –> registre sensoriel –> mémoire à court terme –> mémoire à long terme
et MCT –> réponse

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2
Q

Qu’y a-t-il dans la mémoire à court terme/long terme dans le modèle d’Atkinson et Shriffrin ?

A

MCT : processus de contrôle, autorégulation, encodage, décision, stratégie de récupération

MLT : réseaux sémantiques, expériences, images

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3
Q

Définition de échoïque et iconique en lien avec la mémoire sensorielle

A

iconique : sens de la vue, yeux
échoïque : l’ouïe, oreille

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4
Q

Comment appellent-on le fait de se concentrer uniquement sur un son émis dans une des deux oreilles, puis changer son attention de côté ?

A

Écoute dicotoïque

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5
Q

Vrai ou Faux : On reçoit plus d’information visuelle et donc celle-ci dure plus longtemps, se dégrade moins rapidement.

A

Faux : on reçoit plus d’info visuelle mais dure moins longtemps (se dégrade en environ 250ms

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6
Q

Qui a modélisé la mémoire de travail en 1974 ?

A

Baddeley & Hitch

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7
Q

Qu’est ce que la mémoire de travail et comment est-elle mesurée ?

A

mémoire un peu plus longue que la mémoire sensorielle, mesurée avec une tâche ex : lettre + images

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8
Q

Comment Baddeley & Hitch ont-ils illustrés leur modèle de la mémoire de travail ?

A

Administrateur central
–> registre phonologique (qui possède boucle phonologique)
–> buffer épisodique (= mémoire tampon)
–> tablette visuo spatiale (avec scribe interne)
les trois se “cristallisent” vers langage, MLT épisodique et visuels sémantiques

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9
Q

Vrai ou Faux : la mémoire à long terme permet le traitement de l’info, en particulier de l’info sensorielle.

A

Faux : aucun traitement de l’info dans la mémoire à long terme

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10
Q

Que démontre le modèle de Baddeley & Hitch ?

A

L’indépendance des modules du registre phonologique et de la tablette visuo-spatiale.

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11
Q

à quoi sert le buffet épisodique ?

A

à absorber l’information quand trop rapide, la partie qui n’est pas traitée passe par cette mémoire tampon.

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12
Q

Quel modèle vient compléter celui de Baddeley & Hitch ?

A

Le modèle de Tulving :
selon ce modèle la qualité de la trace mnésique est fonction de la nature du traitement cognitif effectué sur le contenu à mémoriser.

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13
Q

Que démontre le modèle de Tulving ?

A

Rôle significatif de la profondeur de traitement + existence de plusieurs types de mémoire à long terme (épisodique, sémantique et procédurale)

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14
Q

Aujourd’hui, par quoi ont étés remplacées/catégorisées les mémoires sémantiques, épisodiques et procédurales ?

A

Mémoires déclaratives vs non déclaratives

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15
Q

Le modèle de Tulving est-il similaire au modèle actuel ?

A

Oui, il s’agit du modèle actuel

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16
Q

Que permet la mémoire à long terme ?

A

réduit la complexité de l’environnement, permet d’identifier rapidement des objets, réduit le besoin d’apprendre continuellement,
permet de déterminer rapidement l’action appropriée selon la situation.

17
Q

Vrai ou Faux : La mémoire sémantique contient généralement des informations abstraites.

A

Vrai

18
Q

Définition mémoire sémantique

A

Permet le stockage des concepts, représente la base de nos connaissances. Son organisation va déterminer notre performance dans des tâches qui sollicitent la connaissance (ex dans un examen)

19
Q

Quels principes illustre le modèle de Quillian ?

A

Les principes de réseaux formels : mémoire sémantique représentée sous forme de réseaux hiérarchique

20
Q

Quelle caractéristique partagent la mémoire sensorielle et la mémoire à court terme ?

A

= mémoires temporelles, dépendent du passage du temps

21
Q

Qu’est ce que la consolidation ?

A

Transformation d’une trace mnésique temporaire en mémoire à long terme.

22
Q

Qu’en est-il de la loi de la pratique de Thorndike en lien avec la mémoire ?

A

Mémoire = apprentissage favorisé par la répétition

23
Q

Comment est formé le modèle de Quillian ?

A

Sur des bases de noeuds (concepts) et liens (relations entre noeuds ou propriétés) ayants plusieurs niveaux

24
Q

Quel autre modèle peut être associé à celui de Quillian des réseaux hiérarchique ?

A

Modèle de Donders : lien direct = accès plus rapide que si nécessite plusieurs connections

25
Q

Quelle tâche expérimentale est utilisée pour déterminer si des connaissances sont en réseau, selon le modèle hiérarchisé de Collins et Quillian ?

A

Déterminer le plus rapidement possible la véracité d’un énoncé avec structure en 2 temps ( ex : “concept” est un “concept” )
Calul ensuite les différents temps de réponse

26
Q

Quelle critique peut-on faire par rapport aux modèles hiérarchiques ?

A

A) L’effet d’inversion des niveaux : le jugement est plus rapide pour comparer des concepts non adjacents (ex: canari et poulet = oiseau)
= s’oppose à l’organisation hiérarchique
B) L’effet de typicalité : les membres d’une classe ne sont pas équivalents

27
Q

Quels travaux a effectué Loftus dans le monde psycholégal ?

A

A affirmé que la mémoire était imparfaite et que le modèle de la distribution de l’activation n’était pas hiérarchique (tous les éléments ont la même valeur)

28
Q

Dans le modèle d’organisation de réseaux non hiérarchiques, comment sont renforcées les connections entre noeuds (concepts).

A

par la fréquence d’activation
ou la motivation

29
Q

Selon le modèle de la distribution de l’activation, de quelle manière est distribuée l’activation ?

A

L’activation est distribuée à travers les liens reliants les concepts

30
Q

La diffusion de l’activation se fait-elle selon une intention délibérée ?

A

Non, sans intention délibérée

31
Q

Vrai ou Faux : les évènements sous formes d’histoires et de phrases permettent un encodage plus riche tant en terme épisodiques que relationnel.

A

Vrai

32
Q

Que peut on noté comme biais par rapport à la reconnaissance et la plausibilité ?

A

Les individus vont plus avoir tendance à affirmer qu’ils se souviennent d’un élément non présenté si celui-ci est plausible/si la question sous entend qu’il y en avait.