Macro k Flashcards

1
Q

Le problème avec une égalité macroéconomique

A

Elle peut masquer un déséquilibre ( trop de stock donc chômage)

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2
Q

Accroche, Keynes (1936), dans la théorie générale

A

“Les deux vices manquants du monde sont que le plein emploi n’y est pas assuré, le second que la répartition de la fortune et du revenu y est arbitraire et manque d’équité “

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3
Q

Grosse définition macroéconomie

A

Discipline modérée, CAD composée de modèles mathématiques. Elle poursuit une démarche d’équilibre général s’intéressant à une économie prise dans son ensemble mais représentée de manière simplifiée. C’est une discipline appliquée, ses modèles abstraits doivent se prêter à la mesure empirique. Enfin, elle a une visée de politique économique. Elle doit servir à la prospective et à l’évaluation des effets de politiques économique alternatives.

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4
Q

Quelle était l’idée avec laquelle Keynes s’est ramené?

A

Ce qui ce passe sur le marché du L ne suffit pas, il faut ouvrir à tout ce qui ce passe sur l’économie

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5
Q
  • Dans les travaux contemporains, il existe 3 grands modèles économétriques
A
  • Les modèles keynésiens traditionnels (IS-LM, OG-DG) : réputés pour décrire les faits stylisés passés et sont adaptés à la prévision de CT.
  • Les modèles nouveau classique (RBC) : décrivent un cadre d’équilibre général walrassien. Ils sont réputés pour la prévision de croissance à LT.
  • Les modèles nouveau keynésien (DSGE = modélisation dynamique stochastique d’E général) : ils sont remplacés les deuxièmes en intégrant des éléments de concurrence imparfaite. Ce sont les modèles dominants pour la mise en œuvre de la politique économique (notamment monétaire).
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6
Q

Explication crise du modèle Keynésien à la fin des années 60:

A

La stagflation
Friedman et Phelbs constatent que les politiques monétaires ne parviennent pas à faire baisser durablement le chômage structurel

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7
Q

1ère rupture avec le modèle Keynésien

A

R. Lucas en 1972, “expectation and the neutrality of money “.
La macro K n’a pas de fondement microéconomique et par conséquent elle ne peut pas intégrer le comportement des agents et leurs anticipations. Il faut s’appuyer sur ces comportements car ils peuvent changer.

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8
Q

NEK (période et actions)

A

Dans la fin des années 80’s: NEK reprend la critiquer de Lucas mais en conservant un certain nombre d’idée Keynésienne. CAD ils ont utiliser la macro k avec des fondements néoclassique et des anticipations rationnelles.

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9
Q

Politique contracyclique

A

Politiques conjoncturelles qui tend à freiner l’économie quand elle s’emballe, ou inversement

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10
Q

1) Le marché des biens et services

A

On retrouve les hypothèses classiques de micro concernant l’offre et la demande (croissance, décroissance,…). On rappelle que l’équilibre général correspond à la situation dans laquelle il y équilibre sur tous les marchés.

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11
Q

Le marché du travail

A

Le L est un bien comme les autres avec une offre et une demande.

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12
Q

Citation chômage ( auteur, date )

A

Pigou,1933 “ le chômage est nécessairement vertueux”
Car il est déterminé par le refus d’accepter le salaire correspondant au niveau de productivité du L

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13
Q

Théorie du chômage volontaire

A

Décourage à l’embauche de certains travailleurs car le SMIC est supérieur à la productivité de ces travailleurs . Selon certains économistes, c’est ce qui expliquerait la crise de 29

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14
Q

Les trois chômages chez J.RUEFF

A
  • chômage structurel
    -chômage frictionnel
    -chômage conjoncturel
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15
Q

le marché des fonds prêtables dans la théorie classique

A

Les ménages sont les offreurs d’épargnes et les entreprises sont demandeurs ( pour investir )

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16
Q

Arbitrage chez Fisher

A

Les ménages arbitrent entre consommation présente et épargne selon leur fonction d’utilité intertemporel. Pour que cela fonctionne, il faut que les agents aient accès à un marché parfait du capital.

La contrainte intertemporelle dépend du revenu, du patrimoine et de l’épargne.

Des préférences des individus et de la préférence intertemporel.

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17
Q

effet de substitution

A

L’agent a intérêt à épargner davantage pour pouvoir consommer encore plus à la 2nde période, grâce à la hausse du taux d’intérêt => effet de substitution.

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18
Q

effet revenu

A

Le taux d’intérêt augmente donc en épargnant moins j’obtiens le même revenu. Je consomme plus dans le présent

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19
Q

Revenu courant
Revenu permanent

A

Ce que je gagne maintenant.
Revenu permanent = chez les néoclassiques, les revenus sont pris en compte avec les patrimoines.
Les agents peuvent donc anticiper.

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20
Q

logique d’investissement des entreprises

A

Les entreprises demandent de l’épargne pour investir.

Elles réalisent ces investissements tant que le rendement de ces investissements (c.-à-d. la productivité marginale d’une unité de capital supplémentaire) est supérieur au taux d’intérêt.

Selon la loi des rendements décroissants, le rendement du capital est décroissant lorsque la quantité de capital augmente (donc la demande d’épargne est décroissante).

Une hausse du taux d’intérêt réel réduit l’investissement et la demande d’épargne.

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21
Q

loi de Say

A

” Tout ce qui n’est pas consommé est épargné et investi”.

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22
Q

Affirmation de Keynes

A

Il peut y avoir des équilibres der sous-emploi.

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23
Q

Rôle du taux d’intérêt réel

A

Il égalise l’offre et la demande de fonds prêtables, il empêche un déséquilibre

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24
Q

Article sur les différents taux d’intérêt

A

K. Wicksell ( 1898) “ Interest and prices”

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25
Q

Taux d’intérêt naturel

A

Taux qui correspondrait à l’équilibre sans inflation. C’est un concept ( pas observable). Il dépend de facteurs structurels CAD qu’il varie lorsque les économies sont réévaluées.

26
Q

Facteurs qui font varier le taux d’intérêt

A

-PT
-mutations des structures de productions
-qualification de la main d’œuvre
-démographie
-déformation de la répartition des revenus
-des crises (ce taux naturel a beaucoup baissé avec la crise de 2008).

27
Q

Tx d’intérêt de marché

A

Il est décalé du taux naturel, ce qui créer des fluctuations économiques.
Si le taux naturel ( rendement du k ) > taux de marché ( coût du k ) , les entreprises investissent.
Si le taux de marché < taux naturel, on observe un ralentissement de l’économie, voir une récession.

28
Q

déf coût du k

A

” coût qu’une entreprise doit consentir pour se procurer du k + coût d’opportunité de placement de l’argent”.

29
Q

Fisher 1907, théorie quantitative de la monnaie

A

MV=PT
M= quantité de monnaie dans l’éco
V= vitesse de circulation de la monnaie
P=prix
T= volume de transaction

30
Q

Que pourrait on constater à CT?

A

V est une constante et T est donnée par la quantité d’utilisation des facteurs de production, on a donc M=P CAD que créer de la monnaie génère de l’inflation. Cela marche si T est bornée.
Cependant pour Keynes T n’est pas bornée donc créer de la monnaie ne génère pas de l’inflation.

31
Q

Notion d’encaisses réelles chez Pigou

A

les agents souhaitent détenir une certaine quantité de monnaie qui varie en fonction des prix. Si l’encaisse des agents augmentent c’est que les prix augmentent

32
Q

1ère hypothèse si on créer de la monnaie

A

les ménages consomment plus ou épargnent plus, cependant à cours terme l’offre est constante ce qui provoque de l’inflation.

33
Q

Pigou,1930

A

Augmenter la quantité de monnaie n’a pas d’effets réels. Il faut aussi laisser faire le processus de déflation faire son cours. ( baisse de la demande conduit à baisse des prix et donc augmentation du PA des ménages et retour à l’équilibre).
Ce raisonnement se base sur l’hypothèse de rigidité à de l’offre à CT ( on ne peut pas produire davantage, il y a donc un plein emploi ou un chômage volontaire).

34
Q

Keynes 1930

A

T n’est pas bornée donc il y a un sous-emploi des FDP. Dans ce cas il faut créer de la demande pour soutenir l’activité éco et conduire au plein-emploi des facteurs de production.

35
Q

OJD que ce passe-t-il si on augmente l’activité éco?

A

Il y aura plus de produit (Keynes), et aussi plus d’inflation ( néoclassiques ). En conclusion : MV=PT n’est pas vraie ou fausse, cela dépend de la situation.

36
Q

Pk Keynes dit que c’est pas bien la détention durable de monnaie?

A

car en cas d’anticipation pessimiste les ménages vont détenir de la monnaie liquide et les entreprises vont renoncer à investir. Cette baisse de la conso conduit à une baisse de l’investissement ( pas bien). De plus, les entreprises seront court termistes, elles prennent des décisions selon le présent.

37
Q

Les 2 décisions des ménages chez Keynes

A
  • Consommer ou épargner cela dépend de la première loi psychique fondamentale CAD que la propension à consommer baisse lorsque le revenu augmente ( en part relative)
  • Choisir la répartition entre monnaie et titre. Les agents ont une préférence pour la liquidité ( monnaie plus fiable que titre ). De plus le taux d’intérêt est une renonciation à la liquidité.
38
Q

Jacques Rueff

A

Parabole du diner = pour évoquer le problème du supplément d’épargne ( décourage à investir )

39
Q

Ou va l’épargne non investie ?

A

En monnaie liquide improductive ( une des deux formes de l’épargne ), notamment quand l’incertitude grandit.

40
Q

Paradoxe de l’épargne à CT ( Keynes ).

A

Plus les ménages épargne, plus la demande diminue, il y a donc moins de production et moins d’emploi et aussi moins de revenu et donc moins d’épargne. CAD plus il y a d’épargne moins il y a d’épargne.
Ce qui est souhaitable à l’échelle individuelle cesse de l’être à l’échelle agrégée.

41
Q

Comment résoudre pb du paradoxe de l’épargne

A

K évoque “ l’euthanasie des rentiers “, les taux d’intérêts doivent être bas pour inciter les agents à consommer et les producteurs à investir.

42
Q

déf demande effective

A

Niveau d’activité/ de production qui est anticipé par les entreprises. C’est ce niveau de Demande qui détermine le niveau de production qui détermine le niveau d’emploi. On obtient pas soustraction le nv de chômage. C’est une théorie macroéconomique ( le nv de chômage ne se joue pas uniquement sur le marché de l’emploi ).

43
Q

courbe de demande

A

c’est la demande anticipée, les entreprises versent un certain niveau de revenus en s’attendant à un certain niveau de dépenses. Concave car plus d’emploi = plus de revenus. Mais plus de revenus = plus d’épargne = moins de demande.

44
Q

courbe d’offre

A

à chaque niveau de demande elle associe un niveau d’emploi ( rien ne garantie que ce soit le un plein emploi ).

45
Q

Raisonnement de la théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie ( 1936 ).

A

Il commence par la fin :
le taux d’intérêt se détermine sur le marché de la monnaie ( préférence pour la liquidité ).
Ce même taux et l’EMC détermine le niveau d’investissement. L’investissement détermine si on est en plein emploi.

46
Q

Problème avec l’investissement

A

Il est déterminé par des facteurs imprévisibles ( préférence monnaie et EMC ).

47
Q

Comment se fixe le taux d’intérêt ?

A

Intersection entre offre et demande de monnaie ( détention de monnaie ).

48
Q

EMC

A

efficacité marginale du capital,
1ère théorie: les anticipations quant à l’EMC se matérialisent en bourse et quand un titre augmente c’est qu’on s’attend à qu’il prenne de la valeur.
2ème théorie: la bourse fonctionne par des mécanismes mimétiques ( inquiétant car EMC est alors déterminé par opinion majoritaire ). Donc l’investissement dépend le l’opinion dominante et le chômage aussi.

49
Q

les 3 éléments de la lettre de Keynes à Roosevelt ( 1933 ).

A

jsp trop c’est éparpillé wallah

50
Q

Que faire pour avoir un investissement au niveau de l’épargne ( plein - emploi )

A

Politique de soutien à la demande ( Harrod disait pas de plein emploi si pas de politique de demande).

51
Q

EX du Japon

A

Equilibre de sous-emploi, menacé de récession. Trop d’épargne et pas assez de demande (chez les ménages) donc entreprises investissent pas . En 2023, PIB japonais a reculé de 2,1%.

Comment résoudre?
Finance des plans de relance avec la dette qui est colossale. Mais peu efficace car ménages japonais sont rationnels et savent qu’ils vont payer par les impôts la dette plus tard. Comportements Ricardiens, ce que l’état ajoute et de nouveau épargner par les ménages.

52
Q

définition de l’incertitude

A

Elle peut désigner l’état futur des choses non probabilisables ou un état incertain mais probabilisable.

53
Q

Indice EPU

A

il mesure le degré d’incertitude à partir d’une analyse textuelle. On observe d’ailleurs une corrélation négative entre incertitude et niveau d’investissement des entreprises.

54
Q

Fonction de consommation Keynésienne

A

elle établit une relation entre le revenu courant et la consommation. On remarque la propension marginale à consommer est positive mais décroissante.

Ce qui est chelou, c’est que à LT on observe une baisse de la propension des ménages ( théorie pas validé) à conso mais si on étudie les déciles la théorie est validée.

55
Q

3 approches de l’équilibre macro

A

1) La production : Y ( offre sans importation) = C+I
2) Les revenus sont consommés ou épargner Y = C+S
3) Condition d’équilibre entre offre et demande: C+S=C+I
Si S > I il y a un excès d’épargne

56
Q

le multiplicateur keynésien en éco fermée

A

Il fait le lien entre revenu et PIB. Ainsi, la variation des dépenses dépend de la variation du revenus fois un multiplicateur.
Plus le multiplicateur est grand, plus la politique budgétaire est efficace.
Ex: Avec une propension à conso de 0,8 et un multiplicateur de 5, en mettant 100 dans l’éco, on obtient 500.

57
Q

Courbe de Philips 1958

A

met en évidence le rapport entre taux d’inflation et taux de chômage.

58
Q

Les effets de la baisse du taux d’intérêt selon les économies :

A

Dans des économies sans contraintes de liquidité, les emprunteurs sont en mesure d’emprunter davantage (ex. Etats-Unis);

Dans des économies avec contraintes de liquidité, les plus âgés épargnent davantage pour compenser le plus faible revenu d’intérêt.

59
Q

première courbe de philips

A

Plus le chômage baisse, plus les salaires nominaux augmentent.

60
Q

2ème courbe de philips ( Richard Lipsey en 1960)

A

Relation inflation/chômage mais dans les années 70 il y a stagflation donc pb d’aplatissement de la courbe ( plus d’inflation pour moins diminuer le chômage).

61
Q

PIB potentiel

A

Niveau maximal qu’on peut atteindre dans une économie sans provoquer d’inflation.