Les troubles des fonctions exécutives - quiz Flashcards

1
Q

Quelles sont les processus de contrôle liés aux fonctions exécutives ?
a) La formulation d’une hypothèse ou d’un but, l’anticipation, la planification, la sélection adéquate des actions, l’inhibition active d’autres réponses, la surveillance du bon fonctionnement du plan d’actions, l’adoption d’un comportement flexible et la prise de décision.
b) La compréhension du langage, la coordination motrice, la mémoire à long terme, la perception visuelle et la régulation des émotions.
c) La digestion, la respiration, la régulation de la température corporelle et la reproduction.

A

Réponse : a

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2
Q

De quelle région du cerveau dépendent largement les processus de contrôle liés aux fonctions exécutives ?
a) Le lobe pariétal
b) Le lobe temporal
c) Le cortex préfrontal

A

Réponse : c

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3
Q

Quelle est l’origine de l’expression “fonctions exécutives” ?
a) Les sciences du management
b) Les sciences de la psychologie
c) Les sciences de la biologie

A

Réponse : a

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4
Q

Pourquoi le bon fonctionnement des processus exécutifs nécessite-t-il la contribution d’un réseau cérébral plus large que le cortex préfrontal ?
a) Car les processus exécutifs sont également liés à d’autres régions du cerveau comme le lobe pariétal et le lobe temporal.
b) Car le cortex préfrontal ne peut pas fonctionner de manière autonome sans l’aide des autres régions cérébrales.
c) Car le cortex préfrontal est la seule région du cerveau impliquée dans les processus exécutifs.

A

Réponse : a

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5
Q

Qu’est-ce que la scissure de Rolando ?
a) La limite entre le lobe frontal et le lobe pariétal.
b) La limite entre le lobe frontal et le lobe temporal.
c) La limite entre le lobe temporal et le lobe pariétal.

A

Réponse : a

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6
Q

Qu’est-ce que le lobe préfrontal ?
a) Le pôle très antérieur du cerveau qui est situé en avant des aires prémotrices.
b) La partie du cerveau responsable de la perception visuelle.
c) La partie du cerveau responsable de la coordination motrice.

A

Réponse : a

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7
Q

Comment qualifie-t-on le tableau clinique associé à une lésion au niveau des aires 9 et 46 du cortex préfrontal ?
a) Pseudo-dépressif
b) Pseudo-psychopathique
c) Pseudo-démentiel

A

Réponse : a

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8
Q

Quelles sont les régions composant le cortex préfrontal dorso-latéral ?
a) Les aires 9 et 46
b) Les aires 10, 11, 12 et 47
c) Les aires 23, 24 et 32

A

Réponse : a) Les aires 9 et 46

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9
Q

Qu’est-ce qui peut être frontal?
a) Un traumatisme crânien sévère
b) La maladie de Parkinson avec démence
c) La SLA/Charcot
d) Toutes les réponses sont correctes et bien d’autres

A

Réponse: d) d) Toutes les réponses sont correctes et bien d’autres

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10
Q

Quel est le risque pour un clinicien inexpérimenté avec le SPF?
a) Le méconnaître s’il est peu démonstratif
b) Le confondre avec une confusion mentale ou des troubles psychiatriques
c) Les deux réponses sont correctes

A

Réponse: c) Les deux réponses sont correctes

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11
Q

Quels sont les deux tableaux cliniques opposés qui caractérisent le SPF?
a) Le tableau de nature déficitaire et le tableau clinique productif
b) Le tableau de nature déficitaire et le tableau clinique compulsif
c) Le tableau clinique productif et le tableau clinique compulsif

A

Réponse: a) Le tableau de nature déficitaire et le tableau clinique productif

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12
Q

Quels sont les troubles cognitifs qualifiés de dyséxecutifs ?
a) Des troubles mnésiques
b) Des troubles attentionnels
c) Des troubles de la planification des activités
d) Des difficultés dans la résolution de problèmes
e) Des prises de décisions erronées
f) Toutes les réponses sont correctes

A

Réponse : f) Toutes les réponses sont correctes

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13
Q

Quels sont les symptômes les plus souvent observés dans le syndrome préfrontal ?
a) Des troubles mnésiques
b) Des troubles attentionnels
c) Des difficultés dans la résolution de problèmes
d) Des prises de décisions erronées
e) Une apathie-dépression
f) Une désinhibition comportementale
g) Toutes les réponses sont correctes

A

Réponse : g) Toutes les réponses sont correctes

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14
Q

Comment qualifie-t-on le syndrome préfrontal dorso-latéral (aires 9 et 46) ?
a) De syndrome pseudo-psychopathique
b) De syndrome pseudo-dépressif
c) De syndrome orbitaire externe

A

Réponse : b) De syndrome pseudo-dépressif

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15
Q

Comment qualifie-t-on le syndrome préfrontal orbitaire externe et/ou interne (aires 10, 11, 12, 47) ?
a) De syndrome pseudo-psychopathique
b) De syndrome pseudo-dépressif
c) De syndrome dorso-latéral

A

Réponse : a) De syndrome pseudo-psychopathique

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16
Q

Quels sont les deux types de troubles oculomoteurs liés à une lésion préfrontale ?
a) La dépendance extrême vis-à-vis de la stimulation sensorielle et la perte de la stratégie du regard
b) L’agrippement du regard et la perte de la stratégie du regard
c) L’agrippement du regard et la dépendance extrême vis-à-vis de la stimulation sensorielle

A

Réponse : b) L’agrippement du regard et la perte de la stratégie du regard

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17
Q

Qu’est-ce que la perte de la stratégie du regard ?
a) Incapacité à fixer le regard sur un point
b) Dépendance extrême vis-à-vis de la stimulation sensorielle
c) Incapacité d’explorer du regard une image complexe
d) Aucune des réponses ci-dessus

A

Réponse : c) Incapacité d’explorer du regard une image complexe

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18
Q

Les troubles psycho-comportementaux sont souvent :
a) Secondaires
b) Inauguraux
c) Résolutifs
d) Sans rapport avec les lésions préfrontales

A

Réponse : b) Inauguraux

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19
Q

Quel est le type de comportement observé chez les patients atteints d’un état maniaque permanent ?
a) Tristesse et apathie
b) Énergie débordante, euphorie, hyperactivité et impulsivité
c) Paranoïa et méfiance
d) Aucune des réponses ci-dessus

A

Réponse : b) Énergie débordante, euphorie, hyperactivité et impulsivité

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20
Q

Question 3 : Quel est le symptôme caractérisé par une incapacité à entreprendre des actions, même la capacité de vouloir faire est atteinte ?
a) L’aboulie
b) L’apragmatisme
c) L’arithmomanie

A

Réponse : b) L’apragmatisme

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21
Q

Question 6 : Quel est le symptôme qui correspond à une grande difficulté, voire à l’incapacité de faire un choix ?
a) L’apathie
b) L’indécision chronique
c) L’aboulie

A

Réponse : b) L’indécision chronique

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22
Q

Quel est le trouble observé chez un patient éveillé avec les yeux grands ouverts, qui est quasi-muet et totalement immobile ?
a) Aboulie
b) Apathie
c) Mutisme akinétique
d) Bradypsychie

A

rep : c

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23
Q

Quel comportement peut être observé chez un patient présentant une grande difficulté à faire un choix ?
a) Répéter les mêmes activités quotidiennement
b) Regarder très souvent les mêmes programmes de télévision
c) Manger toujours la même chose
d) Toutes les réponses précédentes sont correctes

A

rep d

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24
Q

Qui est António Damásio ?
a) Un neurologue et neuropsychologue lusitano-nord-américain
b) Un psychiatre français
c) Un psychologue allemand
d) Un neurochirurgien japonais

A

rep : a

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25
Q

Quel est le nom du patient célèbre de la littérature neuropsychologique dont le cas clinique a été réanalysé par António Damásio ?
a) John Harlow
b) Phineas Gage
c) Hanna
d) Descartes

A

rep : b

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26
Q

Qui est E.V.R ?
a) Un neurochirurgien
b) Un expert-comptable
c) Un professeur de médecine

A

Réponse : b) Un expert-comptable.

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27
Q

Où travaillait le professeur Damasio au moment où il a suivi E.V.R ?
a) A l’université de Paris
b) A l’université de l’Iowa
c) A l’université de New York

A

Réponse : b) A l’université de l’Iowa.

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28
Q

Quelle est la taille de la tumeur cérébrale d’E.V.R ?
a) La taille d’un grain de raisin
b) La taille d’une pomme de terre
c) La taille d’une petite orange

A

Réponse : c) La taille d’une petite orange.

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29
Q

Quelles sont les fonctions cognitives qui posent problème à E.V.R après son opération ?
a) Les fonctions exécutives
b) Les fonctions attentionnelles
c) Les fonctions perceptives

A

Réponse : a) Les fonctions exécutives.

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30
Q

Quelle est la définition de la volition ?
a) L’activation cérébrale qui nous permet de passer de l’inaction à une décision d’agir
b) La capacité à reconnaître des objets
c) La capacité à maintenir son attention sur une tâche

A

Réponse : a) L’activation cérébrale qui nous permet de passer de l’inaction à une décision d’agir.

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31
Q

Selon les cartésiens, les émotions :
a) sont nécessaires à la raison
b) entravent la raison
c) n’ont aucun impact sur la raison

A

Réponse : b) entravent la raison

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32
Q

Le droit pénal français considère que la passion peut constituer :
a) une circonstance aggravante
b) une circonstance atténuante
c) aucune des deux

A

Réponse : b) une circonstance atténuante

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33
Q

Qu’a démontré Damasio et son équipe ?
a) La raison n’a pas besoin des émotions pour être raisonnable
b) La raison a besoin des émotions pour être raisonnable
c) Les émotions sont nuisibles à la raison

A

Réponse : b) La raison a besoin des émotions pour être raisonnable

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34
Q

Les fonctions exécutives sont-elles nécessaires pour les tâches nouvelles et complexes ?
a) Oui
b) Non
c) Ça dépend

A

Réponse : a) Oui

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35
Q

Comment les schémas sont-ils activés dans le modèle théorique de Norman et Shallice ?
a) Ils sont hiérarchisés en fonction de leur complexité.
b) Ils sont activés à partir des stimuli perçus dans l’environnement.
c) Ils sont stockés dans un réservoir de solutions envisageables.

A

Réponse : a, b) et c)

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36
Q

À quel âge la maturation de la flexibilité mentale est-elle achevée ?
A. 10 ans
B. 20 ans
C. 30 ans

A

Réponse : B

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37
Q

Quelles sont les deux formes de flexibilité mentale distinguées par Eslinger et Grattan ?
A. Réactive et spontanée
B. Cognitive et comportementale
C. Associative et stratégique

A

Réponse : A

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38
Q

A quoi servent les fonctions exécutives et où se trouvent-elles ?

A

Elles permettent à un organisme de se comporter à un moment donné et en adéquation avec les caractéristiques de son environnement et à s’adapter à des nouvelles situations. elles dépendent du cortex préfrontal.

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39
Q

A quoi vont concourir les fonctions exécutives (8) ?

A
  • formulation d’hypothèses ou but à atteindre
  • anticipation
  • planification
  • hiérarchisation et sélection des actions adéquates
  • inhibition de réponses
  • surveillance du plan d’actions et du résultats
  • adoption d’un compt flexible
  • prise de décision
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40
Q

Quelles sont les 3 régions distinctes qui composent le cortex préfrontal associatif (CPA)?

A
  • CPF dorsolatéral
  • CPF orbitaire externe et/ou interne
  • CPF cingulaire antérieur
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41
Q

De quoi est composé et quel est le rôle du CPF dorsolatéral ?

A

Composé des aires 9 et 46 –>
- entraîne des syndromes dysexécutifs (ex: mdt, mlt, planification…)
- tableau clinique pseudo-dépression : réduction des activités auto-générées + indifférence cognitive

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42
Q

De quoi est composé et quel est le rôle du CPF orbitaire externe et/ou interne (ventro-médian ou mnésiale) ?

A

Composé des aires 10,11,12,47 –> entraine tableau pseudo-psychopathique : désinhibition, irritabilité, labilité de l’humeur, modification des conduites alimentaires, apparition des compt d’utiliation ou d’imitation de F l’Hermitte.

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43
Q

De quoi est composé le CPF cingulaire antérieur?

A

composé des aires 23,24 et 32

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44
Q

Dans quel cas observe-t-on des troubles de la marche et de la station debout dans le cas troubles pré-frontaux ?

A

lors de lésions bilatérales étendues

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45
Q

qu’est-ce qu’une astasie frontale ?

A

impossibilité partielle ou totale pour le patient de rester debout

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46
Q

Qu’est-ce qu’une abasie frontale ?

A

Une marche au cours de laquelle les pieds semblent être collés au sol ou une impossibilité de marcher

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47
Q

Qu’est-ce qu’une apraxie de la marche et par qui a-t-elle été qualifiée ?

A

qualifiée ainsi par Denny Brown = le malade ne peut exécuter correctement les mvts de la marche et il tombe

48
Q

Qu’est-ce que l’aspontanéité motrice ?

A

réduction globale de l’activité se traduisant par une rareté des mvts spontanés/automatiques

49
Q

Qu’est-ce qu’un réflexe cutané de préhension forcée ?

A

présent chez les nouveau-nés = flexion des doigts suivi par l’accentuation de la force de flexion lorsqu’un objet quelconque est mis en contacte de la paume

50
Q

Qu’est-ce qu’un réflexe de préhension orale ? (sucking reflex)

A

= contraction de la commissure des lèvres lorsque stimulées

51
Q

Quels sont les 5 troubles neurologiques moteurs d’origine pré-frontale ?

A

1) astasie frontale
2) abasie frontale
3) réflexes archaïques pathologiques (agrippement et succion, aimantation)
4) syndrome de dépendance de l’environnement avec compt d’utilisation et imitation (signe de l’hermitte)
5) des troubles oculomoteurs (agrippement du regard + perte de stratégie du regard)

52
Q

qu’est-ce que le réflexe d’aimantation ?

A

la main ou bouche irrésistiblement attiré pour s’emparer de n’importe quel objet qui est présenté ds le champ visuel du patient

53
Q

Qu’est-ce qu’un compt d’utilisation ?

A

La patient utilise l’objet sans avoir reçu l’ordre de le faire.

54
Q

Qu’est-ce que le trouble oculomoteur d’agrippement du regard ?

A

Le regard ne peut pas s’échapper d’un point dans le champ visuel. Il y a une dépendance extrême à la stimulation sensorielle.

55
Q

Qu’est-ce que le trouble oculomoteur de perte de stratégie du regard ?

A

incapacité d’explorer du regard et d’appréhender de façon globale une image donc ne tire aucune signification

56
Q

Quelle est l’explication du retour de réflexes archaïques moteurs lors de troubles préfrontaux ?

A

Dans le lobe pariétal = intégration associative des messages sensoriels et moteur donc lien de dépendance à l’environnement. Normalement le lobe pariétal est soumis à un contrôle du lobe préfrontal -> le lobe préfrontal ne peut plus remplir sa fonction d’inhibition

57
Q

Qu’est-ce qu’un comportement d’imitation ?

A

Le patient imite le soignant alors qu’il n’a pas été invité à le faire.

58
Q

Quels sont les deux grands troubles (sous-syndromes) psycho-comportementaux (ou troubles de la personnalité et de l’humeur) d’origine préfrontale ?

A
  • sous-syndrome désinhibé (état maniaque permanent + conduites impulsives et irréfléchies)
  • sous-syndrome inhibé (aboulie + apathie)
59
Q

de quoi est qualifié le syndrome désinhibé ?

A

de pseudo-psychopathie acquise

60
Q

Quelle est l’étiologie du sous-syndrome préfrontal désinhibé ?

A

d’origine orbitaire externe

61
Q

Quels sont les deux grands symptômes du sous-syndrome préfrontal désinhibé ?

A

1) Etat maniaque permanent
2) conduites impulsives et irréfléchies = désinhibition des conduites sociales

62
Q

En trois mots, comment peut-on décrire le patient dans un état maniaque permanent (préfrontal) ?

A

Euphorique, hyperactif et impulsif (avec caractère enfantin et niais)

63
Q

Comment caractériste-t-on un comportement de grand excitation pyschomotrice (dans les troubles préfrontaux -> état maniaque) et où est située la lésion ?

A

Syndrome /Comportement moriatique (Jastrowitz, 1888)

Lésion du cortex préfrontal ventro-médian.

64
Q

Comment peut se traduire les conduites impulsives des patients désinhibés ? (7)

A
  • discordance entre connaissances théoriques et compt réel (ex: il sait que c’est impoli de dire des gros mots)
  • Impatience
  • Ne peut plus réfréner ses envies (alcool, nourriture, sexe)
  • ne peut différer son compt (ex: urination)
  • colérique / agressif
  • familiarité excessive
  • dépourvu de filtre
65
Q

De quoi est qualifié le sous-syndrome inhibé (préfrontal) ?

A

De pseudo-dépression

66
Q

Quelle est l’étiologie du sous-syndrome inhibé (préfrontal) ?

A

Dorsolatéral

67
Q

Quels sont les deux signes majeurs du sous-syndrome inhibé (préfrontal) ?

A

l’aboulie et l’apathie

68
Q

Qu’est-ce que l’aboulie ?

A

Perte de la capacité d’exécuter une action motrice que le patient avait pourtant l’intention de faire et/ou perte de la capacité de prendre la décision d’agir qui a pourtant été planifié.

Le mot aboulie veut dire privé de volonté. Ce terme désigne un trouble psychique : la personne qui en souffre veut faire des choses mais ne peut pas passer à l’acte. En pratique, elle n’arrive pas à prendre de décisions et à les réaliser.

69
Q

Qu’est-ce que l’apathie ?

A

Une passivité, une nonchalance, une inertie , une indolence du comportement voire une insensibilité totale.

70
Q

Quelles sont les différences entre le sous-syndrome frontal pseudo-dépressif et la dépression ?

A

Dans la dépression, il y a présence d’anxiété, de tristesse, de désespoir, de douleur morale, de culpabilité, d’auto-dévalorisation, d’idées noires et trouble de l’appétit et du sommeil.

71
Q

Quels sont les 13 manifestations possibles du sous-syndrome préfrontal inhibé ?

A

1) aboulie
2) absence d’initiative
3) adynamie (= fatigue très intense qui va engendrer un état de prostration)
4) apragmatisme (incapacité à entreprendre des actions car la capacité même de vouloir faire est atteinte.
5) ralentissement idéatoire (= ou bradypsychie)
6) mutisme akinétique (patient éveillé avec les yeux grand ouverts, à la fois quasi-muet et totalement immobile (au max du trouble ac lésion gyrus cingulaire))
7) TOC
8) apathie
9) absence de désir et de projection dans l’avenir
10) répétition des mêmes activités ( → incapacité à prendre une décision → liée à la non activation des marqueurs somatiques)
11) une négligence corporelle, vestimentaire
12) un comportement sexuel indifférent
13) anosognosie possible.

72
Q

Qu’est-ce que l’adynamie ?

A

fatigue très intense

73
Q

Qu’est-ce que l’apragmatisme aprivatif ?

A

= incapacité à entreprendre des actions car la capacité de vouloir faire est atteinte

74
Q

A quoi serait liée l’indécision chronique des syndromes préfrontaux ?

A

A la non-activation des marqueurs somatiques

75
Q

Quel est le cas le plus célèbre de sous-syndrome de désinhibition et par qui est-il rapporté et en quelle année ?

A

Phineas Gage -> l’ouvrage de A.Damasio dans “l’erreur de Descartes” en 1995

76
Q

Quel est le cas le plus célèbre de sous-syndrome d’inhibition et par qui est-il rapporté ?

A

E.V.R par A.Damasio -> un de ses patients

= comme si le cortex préfrontal orbitaire et ventro-médian et le système limbique était rompu

77
Q

Quel est la théorie des marqueurs somatiques ?

A

= perte du jgt perso et social, dégradation de la personnalité et dégradation de la capacité à évaluer les csqces de ses actions et difficultés à décider sont les conséquences de lésions du cortex préfrontal orbitaire et/ou ventromédian

78
Q

L’atteinte des marqueurs somatiques est la conséquence de quelles lésions ?

A

csqces de lésions du CPF orbitaire et/ou ventromédian.

79
Q

Les régions préfrontales associatives sont la confluence de quoi?

A

Infos sur élaboration rationnelle (logiques, prise de décision)

+

infos représentant le poids/valence affective attribué à des solutions (poids émotionnel positif/bon/ favorable/ à reproduire/ à recherche vs négatif/ mauvais/ défavorable / à éviter)

80
Q

Quel est le point de vue de Damasio sur les marqueurs somatiques ?

A

→ prise de décision = guidées par csqces prévisibles en termes de plaisir/déplaisir. → Marqueurs somatiques = traces de l’inscription corporelle des contextes plaisants/déplaisants → déclenchement rapide non conscient de notre système nerveux autonome (SNA) + activation partielle du système limbique (+ système musculosquelettique). → modification de paramètres biologiques (RED, rythme cardiaque, fréquence respiratoire, tension musculaire)

81
Q

Que se passe-t-il dans le CPF orbitaires et/ou ventro-médian en ce qui concerne les marqueurs somatiques ?

A

→ création de sensations corporelles correspondant aux émotions ressenties comme étant la csqce directe de nos actions/évènement/décision → réactivation de nos marqueurs somatiques (= traces émotionnelles, somatiques, viscérales) lors de chaque action/intention d’agir/ prise de décision → permet de faire un tri express → anticipation non conscience des csqces → priviligation sensations somatiques gratifiantes et évitement de la punition.

82
Q

Pour Damasio, quelle est la conséquence d’un cortex préfrontal lésé ?

A

= perte de la capacité à ressentir les marqueurs somatiques associés à leurs émotions et à les intégrer dans leurs prises de décisions.

83
Q

Comment s’appelle le chercheur dans l’équipe de Damasio et quelle expérience a-t-il mené ?

A

Antoine Bechara –> tâche du casino

84
Q

En ce qui concerne l’impact des émotions sur les prises de décisions rationnelles, il y a :
a) voies nerveuses - nombreuses amygdale vers PF
b) voies nerveuses + nombreuses amygdale vers PF

A

b) voies nerveuses + nombreuses amygdale vers PF = influence de l’émotion sur la pensée et la raison

85
Q

Qu’est-ce que le phénomène de potentialisation à long terme (LPT en anglais) ?

A

= Lorsque deux neurones sont activés simultanément, cela peut entraîner un renforcement durable de la communication entre ces deux neurones.

86
Q

La théorie marqueurs somatiques complémentaire au phénomène de potentialisation à long terme :

a) faux
b) vrai

A

b) vrai - car qd activation neuronale provoquée par des réactions émotionnelles lors d’un événement→ ajout à l’activation produit par l’événement lui-même = provoque une PLT → on mémorise mieux les faits associés à une émotion forte.

87
Q

Qui a fait des travaux pionniers en matière de marqueurs somatiques ?

A

Santiago Ramón y Cajal (prix nobel 1906)

88
Q

Qui a avancé l’idée que l’activation simultanée d’une pop de neurones pourrait modifier de façon durable leurs connexions synaptiques et que ces modifications constituent les bases cellulaires de la mémoire ?

A

Donald Hebb

89
Q

Qui a mis en évidence le phénomène de modification synaptique chez le lapin (→ stimulation à haute fréquence des neurones cibles de l’hippocampe qui entraîne par la suite une manifestation de seuil d’excitation diminué = PLT = un des supports neurophysiologiques de la MLT.) et en quelle année ?

A

1873 → Bliss et Lomo

90
Q

Que sont les fonctions exécutives ?

A

un ensemble de d’opérations et de mécanismes neurocognitifs essentiels qui nous permettent d’agir de manière organisée afin d’atteindre un but précis.
Elles correspondent à des capacités neurocognitives de haut niveau grâce à l’activation du cortex PF et absolument nécessaire pour pouvoir adapter en temps réel notre comportement lorsque nous sommes confrontés à des situations nouvelles (vs automatiques).

91
Q

Qui a crée le modèle théorique du contrôle du fonctionnement exécutif et en quelle année ?

A

Donald Norman et Tim Shallice (1988)

92
Q

A quoi correspond le modèle théorique du contrôle du fonctionnement exécutif de D.Norman et T.Shallice (1988) ?

A

→ schémas de pensée ou d’actions (= qui demandent peu ou pas de contrôle attentionnel, hiérarchisés en fonction de leurs complexité) activés (à partir de stimuli perçus ds l’environnement) pour produire une réponse spécifiquement attendue. = présuppose une qté énorme stockées dans les réseaux neuronaux préfrontaux.

93
Q

Quels sont les deux processus gèrent le fonctionnement des schémas du modèle théorique du contrôle du fonctionnement exécutif de D.Norman et T.Shallice (1988) ?

A

1) “le gestionnaire des conflits”
2) système attentionnel superviseur (SAS)

94
Q

Comment fonctionne le “gestionnaire de conflit” du modèle de Norman et Shallice (1988) ?

A

Qd plusieurs schémas possibles pour une situation → un module neurocognitif spécialisé → sélection du schéma → inhiber les activités inappropriées → très rapide (= régulation semi-automatique)

95
Q

Comment fonctionne le SAS (système attentionnel superviseur) du modèle de Norman et Shallice (1988) ?

A

(contrôle le gestionnaire de conflits) = un module neurocognitif de très haut niveau mais lent (délai de 8 à 10 sec) + utilise stratégies flexibles pour la résolution de pb nouveaux et complexes + gestion de manière consciente + entre en jeu qd le gestionnaire des conflits fait défaut ou est débordé + capable de gérer l’activation du schéma approprié et inhibition du déclenchement des réponses habituelles ou schémas erronés.

96
Q

Quand on est confronté à une nouvelle tâche, quelles sont les phases qui rentrent en jeu ?

A

→ phase mentale (volation → formulation d’un but → planification des ≠ étapes → comparaison entre le plan et le degré de probabilité de faisabilité pour atteindre le but)

+ phase d’effectuation (= observable = mise en oeuvre du plan d’action → évaluation de la pertinence et de la justesse du plan → contrôle et modification en cas d’échec)

97
Q

Quelles sont les 6 principales fonctions remplies par le SAS (système attentionnel superviseur) du modèle de Norman et Shallice (1988) ?

A

1) l’inhibition/ le contrôle inhibiteur
2) la mise à jour (“updating”)
3) la flexibilité mentale
4) la récupération active d’infos en MLT
5) L’attention partagée/divisée
6) la planification/programmation

98
Q

Qu’est-ce que l’inhibition/ le contrôle inhibiteur ?

A

= capacité à produire une réponse immédiate (= automatique) ou à arrêter la production d’une réponse en cours (svt motrice), d’écarter les stimulations et ou les infos non pertinentes.

99
Q

Qu’est-ce que l’updating ?

A

= capacité à rafraîchir le contenu de sa MDT en tenant compte des infos nouvelles qui lui sont transmises.

100
Q

Qu’est-ce que la flexibilité mentale (réactive versus spontanée (ou encore autogénérée)) ?

A

= capacité de passer de façon consciente d’une situation ou bien d’un comportement ou bien d’une action, d’une stratégie à une autre et d’y réagir en faisant preuve de souplesse et ce compte tenu des exigences ou des réalités que nous imposent notre environnement. (flexibilité achevé à 20 ans.

101
Q

ESLINGER et GRATTAN (1993) distinguent 2 sortes de flexibilités mentales. Lesquelles ?

A
  • réactive = s’exprime lorsque le contexte environnemental change et que de ce fait la ou les contraintes de la tâche exigent un changement de réponses pour obtenir une conduite qui soit adaptée.
  • spontanée ou autogénérée = s’exprime lorsque l’ind fournit des réponses variées dans un environnement stable qui n’impose pas nécessairement un changement. Elle renvoie plutôt à l’habileté à résoudre des problèmes de façon “fluide” (cad non stéréotypé, de façon plutôt créative).
102
Q

Qui distinguent 2 sortes de flexibilités mentales ?

A

ESLINGER et GRATTAN (1993)

103
Q

Moscovitch distingue 2 processus de récupération active. Lesquels ?

A
  • associatif

= impliqué dans le rappel facile → seulement si recouvrement suffisant (= correspondance suffisante entre l’indice et la trace mnésique) → info ecphorique. → automatique

  • stratégique

= impliqué dans le rappel difficile → recherche active lente dans la MLT/ autogénérée / nécessité un effort attentionnel → essai de revivre le contexte d’encodage permettant de générer des indices de récupération pour mettre en œuvre le processus de récupération associatif.

104
Q

Qui distingue deux processus de récupération active (associatif et stratégique) ?

A

Moscovitch

105
Q

Pour TULVING (1983), qu’est-ce que l’info ecphorique ?

A

= Information combinant une trace mnésique et un indice de récupération, produit du processus d’ecphorie = souvenir conscient.

106
Q

Qu’est-ce que l’attention divisée ou partagée ?

A

= capacité de traiter au moins 2 activités ou 2 sources de stimuli pertinentes en même temps. L’attention divisée est aussi mobilisée au cours des tâches de flexibilité mentale.

107
Q

Qu’est-ce que la planification ou la programmation mentale?

A

= capacité à organiser de façon optimale une action selon une séquence ordonnée d’étapes visant à atteindre un but. La planification permet aussi d’estimer le temps nécessaire à la réalisation d’une tâche.

108
Q

Qu’est-ce qu’entraînent les altérations de l’inhibition, du contrôle inhibiteur et quelles épreuves d’évaluation pouvons-nous utiliser ?

A

= Difficultés voire impossibilité à s’empêcher de produire des actions inadaptées.

Épreuves d’évaluation : Stroop, Hayling, Go no-go, Gestes contradictoires.

109
Q

Qu’est-ce qu’entraînent les altérations de la mise à jour, updating et quelles épreuves d’évaluation pouvons-nous utiliser ?

A

= Absence de remplacement d’une info ancienne par une information nouvelle en MdT.

Épreuves d’évaluation : Tâche d’updating de Morris et Jones (on propose au sujet une séquence orale de consonne, qui peut être de 4 ou de 6 ou de 8 ou de 10. Restitution des 4 dernières consonnes.) ; (BG)HVPQ (restituer les 4 derniers. Nécessité de dégager les premiers).

110
Q

Qu’est-ce qu’entraînent les altérations de la flexibilité mentale, cognitive (switching, shifting) et quelles épreuves d’évaluation pouvons-nous utiliser ?

A

= Difficultés, voire une impossibilité à passer d’une attitude, d’un comportement ou d’une stratégie à une autre en dépit des exigences de l’environnement qui peuvent s’avérer être nouvelles, changeantes, inattendues

Épreuves d’évaluation :

Flexibilité spontanée (auto-générée) : tâche de fluence verbale (= alphabétique ou littérale, phonémique) / tâche de fluence verbale (= catégorielle, sémantique) / tâche de fluence graphique (= de Ruff)
Flexibilité réactive : TMT A ou TMT B / test de Brixton / tâche de fluence verbale catégorielle alternée / test de flexibilité de Stroop à 4 conditions

111
Q

Qu’est-ce qu’entraînent les altérations de la récupération active en MLT et quelles épreuves d’évaluation pouvons-nous utiliser ?

A

= Difficulté majeure, voire impossibilité à se rappeler des épisodes, à utiliser sa mémoire épisodique, autobiographique qui ont eu lieu dans le passé. Cependant, le fait d’arriver à produire et donc à récupérer des indices efficaces issus du contexte de l’encodage originel auto-généré par l’intermédiaire du processeur attentionnel (SAS et AC), et donc qui met en jeu le rôle du lobe PF, peut alors permettre de retrouver ces épisodes parfois, qui seront alors évoqués par l’individu lui-même.

(Ces difficultés de récupération active peuvent aussi concerner des connaissances générales, qui renvoient à la mémoire sémantique, acquise anciennement. )

Épreuves d’évaluation :
Mémoire Épisodique antérograde :
évaluer la mémoire auditivo-verbale : RL/RI 16 (Grober-Buschke)
évaluer la mémoire visuo-spatiale : figure de Rey, test de reconnaissance des portes (Doors and people) version A, le test de reconnaissance DMS-48 (Barbot), le test de reconnaissance de visages (extrait de la batterie de mémoire MEM3 Wechsler)

112
Q

Qu’est-ce qu’entraînent les altérations de l’attention divisée ?

A

= Difficultés à effectuer au moins deux tâches en même temps, alors que chacune des tâches peut être réalisée seule sans difficulté.

113
Q

Qu’est-ce qu’entraînent les altérations de la planification, programmation et quelles épreuves d’évaluation pouvons-nous utiliser ?

A

= Difficultés à organiser, à hiérarchiser une série d’actions en une séquence optimale visant à atteindre un but.

4 niveaux différents :
- La difficulté à maintenir un but.
- La difficulté à planifier à l’avance et à choisir les différents plans d’action qui permettront d’atteindre le but.
- La difficulté à choisir le meilleur plan d’action.
- La difficulté à démarrer un plan d’action adéquat tout en tenant compte d’incident ou de changement nécessaire pour atteindre le but fixé.

Epreuve d’évaluation : Tour de Londres /tâche d’estimation cognitive concernant le jugement temporel (BADS, behavioral assessment of the dysexecutive syndroms) / tâche d’estimation de prix (des objets) / tâche de programmation d’une action (problème de Klosowska, épreuve écologique, BADS aussi)

114
Q

Quels sont les 4 niveaux de difficultés de l’altération de la planification mentale ?

A

4 niveaux différents :
1) La difficulté à maintenir un but.

2) La difficulté à planifier à l’avance et à choisir les différents plans d’action qui permettront d’atteindre le but.

3) La difficulté à choisir le meilleur plan d’action.

4) La difficulté à démarrer un plan d’action adéquat tout en tenant compte d’incident ou de changement nécessaire pour atteindre le but fixé.

115
Q

Quelles épreuves d’évaluation pouvons-nous utiliser pour les altérations des processus d’apprentissage de concepts ou de règles permettant de classer les objets dans des catégories?

A

Epreuve d’évaluation : Test de tri de carte de Wisconsin : WCST version de Miller 1964, deuxième version modifiée pour personnes âgées Nelson 1976 / Test de Brixton ;

Épreuves d’évaluation écologiques de FE : Test des commissions multiples / Tâche de la photocopieuse (1997) / The Party Task (tâche d’organisation d’une soirée (Projet X task) 1996) / BADS / Test du Casino (côté émotionnel et prise de décision, permet de savoir si apte à la prise de décision) / Échelle de Iowa (modifications personnalité)