Les troubles de la personnalité Flashcards
Définir ce terme : personnalité
« La personnalité est un ensemble de caractéristiques personnelles et stables influençant les pensées, les comportements et les émotions ».
Ces caractéristiques diffèrent d’un individu à l’autre. Conséquemment, les délimitations du normal et du pathologique ont été et sont encore un enjeu comme le témoigne les discussions présentent sur l’élaboration d’une nouvelle classification sur la meilleure façon de décrire un trouble de la personnalité. Cette définition tient compte des caractéristiques psychophysiques inhérentes à l’individu, mais aussi des réactions des autres envers l’individu en tant que stimulus social, y compris les effets sociaux susceptibles de contribuer à sa réputation.
Bref : Concept moins restrictif (que tempérament et caractère) des aspects psychologiques et social d’une personne
Définir ce terme : caractère
Ensemble de dimensions de la personnalité qui est peu héritable (contrairement aux dimensions du tempérament), de développement plus tardif et influencées par les processus de maturation et les relations interpersonnelles.
Bref : Est acquis lors du vécu de l’individu.
Définir ce terme : tempérament
Ensemble de traits ou types de comportements habituels que l’on retrouve chez l’individu. Il est stable dans le temps et dans différentes circonstances.
Bref : Est acquis de façon « génétique » / hérité des parents.
Définir ce terme : trait (de personnalité)
Disposition de base innée donnant lieu à des patterns d’affects, de cognitions et de comportements stables. Chaque trait est une dimension qui s’exprime sur un continuum que l’on qualifie de facteur.
Bref : Les constituants du tempérament.
Lequel des énoncés suivant est faux?
a. La notion de personnalité réfère à la fois à un aspect d’observation externe (objectif) et la référence à une description de l’état émanant du patient (subjectif)
b. La personnalité décrit un fonctionnement relationnel public et privé
c. Le concept de personnalité implique la notion d’imprévisibilité du comportement
d. Le trouble de personnalité est généralement ego syntone
c. Le concept de personnalité implique la notion d’imprévisibilité du comportement
Quels sont les 3 grandes classes d’étiologie des TP?
- Biologiques
- Psychologiques
- Sociales
Décrire l’étiologie biologique des TP
Lorsque l’on réfère au déterminant biologique des troubles de personnalité (TP), on réfère au tempérament d’une personne.
Plusieurs études ont été réalisées sur des jumeaux afin de montrer la part d’héritabilité des TP. Il demeure raisonnable de dire que les facteurs héréditaires sont responsables d’environ 50% de l’apparition d’un TP.
Autrement dit, chez un certain individu au bagage génétique particulier, le risque de développer un TP est plus élevé en présence d’un environnement prédisposant. Il faut également comprendre que ces mêmes gènes peuvent augmenter le risque d’être exposé à un environnement prédisposant. Les résultats de ces études sont corroborés par des études sur les systèmes neurobiologiques qui sous-tendent le tempérament.
Les facteurs environnementaux ont-ils un rôle à jouer dans le développement d’un TP?
Il est probable que les facteurs environnementaux aient un rôle à jouer sur le tempérament. Effectivement, l’exposition in utero à la cigarette, l’alcool ou la cocaïne par exemple, a été reliée à une augmentation du risque de présenter un ou des troubles des comportements perturbateurs, eux-mêmes associés à l’apparition ultérieure d’un TP. Certains facteurs environnementaux non reliés aux parents ont une influence
Comment se forment les traits de personnalité selon Freud?
Selon Freud, un individu peut présenter des conflits intrapsychiques non-résolus, qui amènent une fixation à l’un ou l’autre des phases du développement psychosexuel. Ces fixations se traduisent par la suite par des troubles de la personnalité. Ex :
- TP dépendant → phase orale
- TP obsessionnel-compulsif → phase anale
- TP histrionique → phase génitale
Un point important dans l’étude de la personnalité est celui du trait (par opposition au trouble). Son évaluation est aujourd’hui une partie intégrante du diagnostic. On en comprend donc que les TP ne sont pas des entités diagnostiques discrètes, mais plutôt l’extrême de traits de personnalité qu’on retrouve dans la population normale.
Quel est l’apport de McCrae et Costa à l’étude de la personnalité?
Modèle à cinq facteurs (Big Five)
- Les 5 facteurs sont connus sous l’acronyme OCEAN et sont par la suite subdivisé en plusieurs sous-traits ou facettes
- Selon les auteurs, bien que les traits demeurent très stables dans le temps, les caractéristiques d’adaptation que développe un individu lors de ses interactions avec l’environnement peuvent changer sous l’effet du processus de maturation biologique, des changements survenant dans l’environnement ou d’interventions thérapeutiques spécifiques.
- L’élément clé dans leur stratégie de classification est la distinction entre les tendances fondamentales (les 5 facteurs) et les adaptations caractéristiques découlant de l’interaction avec l’environnement.
- Selon la théorie, la culturel a une influence réduite voire nulle sur les traits eux-mêmes, mais a une influence spectaculaire sur les composantes des adaptations caractéristiques (croyances, valeurs, habitudes, rôles et relations)
Nommer 6 facteurs prédicteurs augmentant le risque de souffir d’un TP
1) Faible niveau socio-économique
2) Fait d’être issu d’une famille monoparentale
3) Discorde parentale
4) Présence de conduites antisociales chez les parents
5) Maladie ou décès d’un ou des deux parents en bas âge
6) Expériences d’abus et de négligence (facteur important)
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Abus sexuel → relié aux TP du groupe B (particulièrement TP limite)
Abus émotionnel → relié plus spécifiquement au TP limite
Nommer 4 facteurs prédicteurs de trouble de personnalité liés aux figures d’attachement
1) Une faible proximité physique ou psychologique avec la mère ou le père
2) Les punitions trop sévères
3) Le contrôle parental par la culpabilité
4) Être né d’une grossesse non désirée
Décrire l’influence des facteurs culturels et ethniques sur le développement de TP
Il est difficile d’évaluer si l’influence des facteurs ethniques et culturels agit en rehaussant des traits de personnalité ou en permettant le développement de trouble de la personnalité. On note toutefois quelques tendances, selon la société étudiée :
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- Les sociétés modernes, en mettant l’accent sur l’individuation, l’autonomie et la compétitivité, favorisent le développement de la personnalité narcissique.
- Les sociétés plus traditionnelles, en mettant l’accent sur la conformité au groupe et aux normes sociales, pourraient induire plus de traits dépendants.
- La proportion du trouble de la personnalité antisociale varie selon la région du monde : les prévalences les plus faibles sont notées là où les structures sociales sont les plus cohésives.
À quels 3 troubles de la personnalité associe-t-on une hypoactivité sérotoninergique?
- Schizophrénie et TP schizotypique
- Personnalité antisocial
- Personnalité limite
Quel est le neurotransmetteur impliqué dans la schizophrénie et TP schizotypique? Quelles sont les trouvailles à l’investigation?
Dopamine
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- L’élévation des métabolites de la dopamine corrobore l’intensité des symptômes.
- Trouvailles comparables mais en plus faible intensité chez les TP schizotypique que chez les schizophrènes : attention soutenue et mémoire de travail.
- Présentent tous deux une poursuite visuelle anarchique ou saccadée
- Augmentation de la taille des ventricules cérébraux, diminution du volume du lobe temporal.
- L’anatomie du lobe frontal est préservée chez les TP schizotypique, mais altérée chez les schizophrènes.
- L’injection d’amphétamine produit une plus grande activité du striatum (sécrétant de la dopamine) chez ces deux groupes.
Quel est le neurotransmetteur impliqué dans la personnalité limite et antisocial? Quelles sont les trouvailles à l’investigation?
Sérotonine
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- Présentent une hypoactivité sérotoninergique.
- On recueille moins de métabolite de la 5HT chez les personnes avec des ATCD de comportements agressifs ou suicidaires.
- La stimulation de ces systèmes pharmacologiquement n’est pas démontré efficace.
Quelles sont les trouvailles à l’investigation biologique de la personnalité antisocial?
- Difficile d’interpréter les altérations structurales du cerveau de ces personnes compte tenu de la grande quantité d’alcool consommé chez ces derniers.
- On note une diminution du métabolisme de plusieurs régions frontales, surtout dans la zone orbitofrontale qui intervient dans la régulation des comportement sociaux
- On note un métabolisme diminué des zones traitant des informations émotionnelles, ce qui est compatible avec déficit d’empathie observé chez ces patients.
Quelles sont les trouvailles à l’investigation biologique de la personnalité limite?
- Réduction de plusieurs structures cérébrales, dont : amygdale, hippocampe et cingulum. Difficile de dire si ces changements sont à l’origine ou la conséquence d’une épigénétique.
- Il y a une plus grande activation de l’amygdale en réponse à des images émotionnellement chargées chez ces personnes. Sans la stimulation, on observe aucune différence.
Quelles sont les caractéristiques épidémiologiques des troubles de personnalité?
- 10.3 % de la population présente au moins un trouble de la personnalité
- Les troubles narcissique, limite, antisociaux et histrionique sont généralement présents plus jeune (symptomatologie élevée dans la vingtaine / trentaine)
- La présence de plus d’une pathologie psychiatrique est la norme plus que l’exception au niveau des TP
La grande majorité des TP ont une étiologie multifactorielle
Quels sont les 6 critères diagnostiques du trouble général de la personnalité ?
A. Modalité durable de l’expérience vécue et des conduites qui dévie notablement de ce qui est attendu dans la culture de l’individu. Cette déviation est manifeste dans au moins deux des domaines suivants
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1) La cognition (c.-à-d. la perception et la vision de soi-même, d’autrui et des événements).
2) L’affectivité (c.-à-d. la diversité, l’intensité, la labilité et l’adéquation de la réponse émotionnelle).
3) Le fonctionnement interpersonnel.
4) Le contrôle des impulsions.
B. Ces modalités durables sont rigides et envahissent des situations personnelles et sociales très diverses.
C. Ce mode durable entraîne une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
D. Ce mode est stable et prolongé et ses premières manifestations sont décelables au plus tard à l’adolescence ou au début de l’âge adulte.
E. Ce tableau n’est pas mieux expliqué par les manifestations ou les conséquences d’un autre trouble mental.
F. Ce mode durable n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. drogue donnant lieu à abus ou médicament) ou d’une autre affection médicale (p. ex. un traumatisme crânien).
** Lorsqu’un patient répond à ces critères sans répondre totalement aux critères d’un des TP spécifique, il convient de porter un diagnostic de trouble de la personnalité non spécifié. **
Quels sont les 3 catégories de troubles de la personnalité ? Quels 10 troubles sont associés à ces catégories?
Groupe A (bizarre / excentrique) :
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- Schizotypique
- Paranoïaque
- Schizoïde
Groupe B (intense / dramatique) :
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- Limite (borderline)
- Antisociale
- Narcissique
- Histrionique
Groupe C (anxieux / craintif) :
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- Évitant
- Obsessionnel-compulsif
- Dépendant
Quelle est la prvalence de la personnalité paranoïde?
1.7 % de la population (haute)
Comment se pose le diagnostic de personnalité paranoïde?
- Les patients ne consultent pas d’eux-mêmes ; ils se font référer
- Présence sur une longue période de temps de cognitions paranoïdes envahissantes sans être psychotique
Quels sont les critères diagnostiques de la personnalité paranoïde
A. Méfiance soupçonneuse envahissante envers les autres dont les intentions sont interprétées comme malveillantes, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présente dans divers contextes, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes
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- Le sujet s’attend sans raison suffisante à ce que les autres l’exploitent, lui nuisent ou le trompent.
- Est préoccupé par des doutes injustifiés concernant la loyauté ou la fidélité de ses amis ou associés.
- Est réticent à se confier à autrui en raison d’une crainte injustifiée que l’information soit utilisée de manière perfide contre lui.
- Discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes dans des commentaires ou des événements anodins.
- Garde rancune (c.-à-d. ne pardonne pas d’être blessé, insulté ou dédaigné).
- Perçoit des attaques contre sa personne ou sa réputation, alors que ce n’est pas apparent pour les autres, et est prompt à la contre-attaque ou réagit avec colère.
- Met en doute de manière répétée et sans justification la fidélité de son conjoint ou de son partenaire sexuel.
B. Ne survient pas exclusivement pendant l’évolution d’une schizophrénie, d’un trouble bipolaire ou d’un trouble dépressif avec caractéristiques psychotiques ou d’un autre trouble psychotique et non imputable aux effets physiologiques d’une autre affection médicale.
** Si les critères sont remplis avant l’apparition d’une schizophrénie, indiquer « prémorbide », par exemple : « personnalité paranoïaque (prémorbide) ».
Quel est le pronostic de la personnalité parpanoïde?
Rarement présent sans comorbidité
Quel est le traitement de la personnalité paranoïde?
Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée pour le TP paranoïde
Quelle est la prévalence de la personnalité schizoïde?
0.9 % de la population (relativement faible)
Comment se fait le diagnostic de la personnalité schizoïde?
Les patients ne consultent pas d’eux-mêmes ; ils se font référer
Quels sont les critères diagnostiques de la personnalité Schizoïde?
A. Mode général de détachement par rapport aux relations sociales et de restriction de la variété des expressions émotionnelles dans les rapports avec autrui, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes
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- Le sujet ne recherche, ni n’apprécie les relations proches, y compris les relations intrafamiliales.
- Choisit presque toujours des activités solitaires.
- N’a que peu ou pas d’intérêt pour les relations sexuelles avec d’autres personnes.
- N’éprouve du plaisir que dans de rares activités, sinon dans aucune.
- N’a pas d’amis proches ou de confidents, en dehors de ses parents du premier degré.
- Semble indifférent aux éloges ou à la critique d’autrui.
- Fait preuve de froideur, de détachement, ou d’émoussement de l’affectivité.
B. Ne survient pas exclusivement pendant l’évolution d’une schizophrénie, d’un trouble bipolaire ou d’un trouble dépressif avec caractéristiques psychotiques, d’un autre trouble psychotique ou d’un trouble du spectre de l’autisme et n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une autre affection médicale.
* Si les critères sont remplis avant l’apparition d’une schizophrénie, indiquer « prémorbide », par exemple : « personnalité schizoïde (prémorbide) ». *
Quel est le pronostic de la personnalité schizoïde?
Presqu’uniquement diagnostiqué en contexte de comorbidité
Quel est le traitement de la personnalité schizoïde?
Malgré que l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert ait été étudiée sur les TP limite, elle peut en principe être utilisée pour le TP schizoïde
À quels troubles de personnalité la schizophrénie est-elle associée?
La schizophrénie est associée au trouble de la personnalité schizotypique avant tout.
Effectivement, le profil clinique des TP schizotypiques a été décrit à partir de proches de patients schizophrènes. De plus, les études en neuro-imagerie ainsi que des études du système dopaminergique suggère que plusieurs altérations biologiques similaires existent entre ces deux classes de patients.
Certains suggère que le TP schizotypique serait en fait une forme atténuée de schizophrénie.
Quelle est la prévalence de la personnalité schizotypique?
0.9 % de la population (relativement faible)
Quelles sont les étiologies de la personnalité schizotypique? (3)
- Forte héritabilité (tempérament)
- Lien avec l’élévation des métabolites dopaminergiques
- Abus physiques en bas âge
Quels sont les critères diagnostics de la personnalité schizotypique?
A. Mode général de déficit social et interpersonnel marqué par une gêne aiguë et des compétences réduites dans les relations proches, par des distorsions cognitives et perceptuelles et par des conduites excentriques. Le trouble apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes :
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- Idées de référence (à l’exception des idées délirantes de référence).
- Croyances bizarres ou pensée magique qui influencent le comportement et qui ne sont pas en rapport avec les normes d’un sous-groupe culturel (p. ex. superstition, croyance dans un don de voyance, dans la télépathie ou dans un « sixième » sens ; chez les enfants et les adolescents, rêveries ou préoccupations bizarres).
- Perceptions inhabituelles, notamment illusions corporelles.
- Pensée et langage bizarre (p. ex., vagues, circonstanciés, métaphoriques, alambiqués ou stéréotypés).
- Idéation méfiante ou persécutoire.
- Inadéquation ou pauvreté des affects.
- Comportement ou aspect bizarre, excentrique ou singulier.
- Absence d’amis proches ou de confidents en dehors des parents du premier degré.
- Anxiété excessive en situation sociale qui ne diminue pas quand la personne se familiarise avec la situation et qui est due à des craintes persécutoires plutôt qu’à un jugement négatif de soi-même.
B. Ne survient pas exclusivement pendant l’évolution :
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- d’une schizophrénie ;
- d’un trouble bipolaire ;
- d’un trouble dépressif avec des caractéristiques psychotiques ;
- d’un autre trouble psychotique ;
- ou d’un trouble du spectre de l’autisme.
* Si les critères sont remplis avant l’apparition d’une schizophrénie, indiquer « prémorbide », par exemple : « personnalité schizotypique(prémorbide) ». *
Quel est le pronostic de la personnalité Schizotypique?
Pronostic pauvre et faible niveau de fonctionnement à long terme
* Atteinte très significative du fonctionnement *
Quel est le traitement du TP schyzotypique?
Aucune psychothérapie ciblant ce TP n’a été élaboré à ce jour. Il est souvent traité comme le trouble psychotique atténué
Quelle la prévalence du TP limite?
- 1.6 % de la population (le plus fréquent dans la pratique )
- F ˃ H (ratio suggéré en clinique 3 : 1)