La motivation Flashcards

1
Q

Définir ce qu’est la motivation

A

La motivation est ce qui propulse (ou énergise) et dirige le comportement. Lorsqu’on dit que le comportement est énergisé par la motivation, il est principalement question du côté affectif de la motivation ; les croyances, les affectes, les sensations, les craintes, etc. C’est ce qui indique à la personne qu’il doit agir.
La motivation dirige aussi le comportement ; face à une situation, un individu doit choisir, parmi plusieurs options, le comportement qui semble le plus approprié. Ce choix est la direction, par exemple : face au danger, la personne va-t-elle s’enfuir, figer ou combattre ? Chaque comportement corresponds à une direction.

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2
Q

Dans le cours sur la motivation, nous avons étudié 5 théories. Lesquels ?

A

La théorie de Hull : les besoins dans la motivation
La théorie de Tolman : l’introduction des cognitions
Les théories des contenus
Les théories des processus
Les théories de l’équilibre

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3
Q

La théorie de Hull : les besoins dans la motivation est basé sur 4 fondements. Lesquels ?

A
  • Il existe des besoins fondamentaux directement lié à la survie. Ces besoins se manifestent instinctivement à la personne puisqu’ils sont impératifs à la survie.
    L’individu, pour survivre, doit combler ses besoins.
    Lorsque ses besoins sont comblés, la personne est dites, dans un état d’homéostasie.
    Un déséquilibre dans les besoins (certains besoins ne sont pas combler) entraîne un état d’éveil chez l’individu ; qui cherchera alors à retrouver cet état homéostatique. Donc, les besoins énergisent la personne et l’amène à poser des comportements dans le but réduire la tension.
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4
Q

Quelle est la formule de Hull (cours sur la motivation) ?

A

M = D * H

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5
Q

Définir chacun des variable de la formule de Hull dans la théorie des besoins dans la motivation.

A
M = la motivation 
D = Drive (énergisation) : l’émergence de besoin nécéssaire à la survie (la motivation énergise le comportement) 
H = habitude comportemental (répertoire) : c’est par l’habitude que la personne sait quel comportement adopter (la motivation dirige le comportement)
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6
Q

Selon Hull et sa théorie des besoins dans la motivation, comment l’individu choisit-il le comportement à exécuter pour réduire l’état d’éveil lié à l’insatisfaction d’un besoin ?

A

Dans la formule de Hull, cette question serait lié à la variable H (habitude comportementale).
Lorsque la personne rencontre cet état d’éveil spécifique pour la première fois, celle-ci va procéder par essais-erreur pour tenter de réduire l’inconfort. L’individu va poser plusieurs comportements en espérant tomber sur celui qui réduira l’état d’éveil, d’inconfort.
Suite à un essais fructifiant, la personne va découvrir que certains comportements sont liés à la réduction des besoins et pourra faire un pairage entre cet état d’éveil et ce comportement. De ce pairage découlera un conditionnement : la pensée ne sera alors plus requise les prochaines fois que ce manifestera l’état d’éveil.

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7
Q

Pourquoi dans sa formule, Hull utilise-t-il une multiplication ?

A

Selon lui, si D = 0 ; c’est-à-dire que la totalité de mes besoins sont comblés
ou que H=0 ; c’est-à-dire que je n’ai pas de répertoire comportemental
Ma M = 0

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8
Q

En se basant sur la théorie des besoins dans la motivation de Hull, quels sont les liens qui unissent homéostasie, besoin et comportement ?

A
  1. État homéostatique
  2. Apparition instinctive d’un besoin (D)
  3. État d’éveil (D)
  4. Choix comportemental (H)
  5. Comportement
  6. Homéostasie
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9
Q

Dans la théorie des besoins dans la motivation, Hull dit qu’en pairant, chez un rat, un virage à droite dans un labyrinth et de la nourriture. Celui-ci va apprendre qu’en tournant à droite, il y a de la nourriture. Cette action ne nécessitera pas de pensée. Que dit Tolman ?

A

Tolman dit que ce n’est pas exactement ça le processus chez le rat. Il ne pense pas que c’était au départ un processus essais-erreur et que par la suite ce comportement est figé par un conditionnement.
Il pense que le cerveau est impliquer dans la motivation et le comportement. En fait, il croit que le rat enregistre une carte cognitive et apprend simplement que dans le labyrinth il se cache de la nourriture. Il croit que le rat a une compréhension plus abstraite de la situation. Tolman introduit ainsi l’aspect cognitif en motivation, d’où le nom de sa théorie : l’introduction des cognitions.

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10
Q

Quels sont les théories contemporaines de la motivation ?

A

Les théories de contenus

Les théories de processus

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11
Q

Décrire les théories de contenus en motivation.

A

Les théories de contenu sont semblable à la théorie de Hull dans le sens que celles-ci placent aussi les besoins au centre de leur intérêt. Elles s’intéressent aux conditions existantes chez l’individu qui énergisent et dirigent le comportement (conditions = besoins).

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12
Q

Décrire les théories de processus en motivation.

A

Les théories de processus sont davantage semblable à la théorie de Tolman dans le sens qu’elles placent le rôle de la cognition au centre de leur intérêt. Parmi les théories de processus on compte les théories instrumentales et les théories d’équilibres.
Les théories de processus s’intéresse à pourquoi un individu décide de poser un comportement ou de ne pas le poser. On s’intéresse donc au volet cognitif et décisionnel du comportement.

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13
Q

Quelles sont les quatre théories de contenus vu dans le cadre du cours sur la motivation ?

A

Maslow : la hiérarchie des besoins
McClelland : la théorie du besoin d’accomplissement
Herzberg : la théorie des deux facteurs
Elderfer : ERG

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14
Q

Quels sont les 5 niveaux de besoins décrits dans la théories de Maslow ?

A
En ordre hiérarchique : 
réalisation
estime
affection
sécurité
physiologique
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15
Q

Quelles sont les trois principales caractéristiques de la théories de Maslow ?

A

Tout d’abord, la caractéristique la plus importante est que c’est une théorie hiérarchique. Effectivement, il est nécessaire que les besoins inférieurs soient comblés pour s’intéresser aux besoins supérieurs.
Dans le même optique, les besoins supérieurs ne deviennent que motivationnels lorsque les besoins inférieurs sont comblés
Le besoin ultime (la réalisation) est constamment en développement, il est inatteignable, irréalisable et jamais fini. Dans ce sens, il ne perd jamais son aspect motivationnel.

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16
Q

Que dit Specter de la théorie de Maslow ?

A

Spector explique la théorie de Maslow en disant que la théorie dit que les gens s’intéresse au niveau de besoin le plus inférieur qui n’est pas comblé à un moment X.
Il est dit que cette théorie est vague et qu’il existe des exceptions (avoué par Maslow) ; des gens qui ont comblé des niveaux supérieurs de besoins et qui sont motivés par des niveaux supérieurs de besoins, en ayant toutefois un manque dans les besoins de bases. Pour cette raison, il semble que cette théorie prouve tout et son contraire . Spector souligne que malgré ces inconvénients, cette théorie a eu plusieurs conséquences dans le monde organisationnel : les organisations ont compris qu’il était nécessaire et primordial de combler tout d’abord les besoins de base de leurs employés pour entraîner de la satisfaction.

17
Q

Quels sont les prédictions que fait Maslow à travers la hiérarchie des besoins (motivation) ?
Ces prédictions sont-elles prouvées empiriquement ?

A

Les prédictions faites par cette théorie est que la corrélation entre un besoin X et le besoin supérieur devrait être négative. (plus je suis en recherche d’estime, moins je suis en recherche de réalisation ; moins je suis en recherche d’estime - mon besoin est comblé - , plus je suis à la recherche de réalisation).
La seconde prédiction est que plus le besoin X est important pour moi, plus je serai insatisfaite d’à quel point ce besoin est comblé.
Les données empiriques infirment ces deux prédictions : plus un besoin est comblés, plus il devient important.
Du coup, la théorie de la hiérarchie ne tient plus debout et la théorie de Maslow est infirmée.

18
Q

Décrivez la théorie ERG de Elderfer

A

La théorie ERG simplifie la théorie des besoins de Maslow. On passe de 5 besoins à 3 : besoins existentiels, relationnels, de croissances personnelles. Ces besoins sont placés sur un continuum de concrétisation. Les gens seront motivés à combler leur besoins moins concrets si les besoins plus concrets sont comblés.
Cette théorie diffère de celle de Maslow dans le sens où les changements ne sont pas unidirectionnel : en effet, les besoins plus concrets peuvent redevenir motivationnel si ceux-ci sont frustrés en un temps X.

19
Q

Décrire la théorie de l’accomplissement personnel

A

La théorie de l’accomplissement est la première théorie directement applicable au travail. Elle dit que le besoin d’accomplissement au travail est central au travail. Cette théorie dit aussi que les expériences antérieurs conditionnent nos choix futurs en associant des situations soit à l’échec ou au succès. Dans des conditions environnementales liés aux succès une personne va avoir tendance à s’impliquer, tandis que dans des circonstances environnementales associés à l’échec, l’individu va tenter d’éviter la situation.
Il faut aussi noter que le niveau de recherche d’accomplissement varie au niveau intra et inter-individus : les caractéristiques personnelles des individus influencent leur niveau de motivation.

20
Q

Si l’organisation se base sur la théorie du besoins d’accomplissement, que devrait-elle faire avant d’installer une stratégie organisationnelle (ex: augmenter le nombre d’initiative) ?

A

L’organisation devrait prendre en considération la personnalité et les perceptions qu’ont les employés quant aux initiatives.
L’organisation devrait, pour que l’adoption de la stratégie soit optimale chez les employés, prendre en considération le niveau de leurs besoins d’accomplissement.

21
Q

Décrire la théorie des deux facteurs de Herzberg ?

A

1ère théorie directement applicable au travail
Elle dit qu’il y a deux principaux facteurs : les facteurs hygiéniques (plus concrets :salaire, lieux, superviseurs) et les facteurs motivationnels (plus abstraits : lié à l’autonomie, à l’intérêt). Les facteurs hygiéniques ne sont pas liés à de la motivation, mais davantage à de la démotivation. Si les facteurs hygiéniques sont comblés, cela ne motive pas les employés, mais cela empêche la démotivation et ainsi potentialise une augmentation de la motivation. De leurs côtés, les facteurs motivationnels sont liés à de la motivation. Si les facteurs hygiéniques ne sont pas comblés, l’employé ne pourra pas être motivés (peu importe combien le travail est intéressant).
L’essentiel de la théorie est qu’il faut éliminer toute source démotivationnelle (Combler les besoins d’hygiène) avant d’instaurer des facteurs motivationnels (enrichissement verticale).

22
Q

Pour quelles raisons la théorie des deux facteurs est-elle populaire en pratique ?

A

1 ) l’enrichissement verticale amène la motivation (ne pas mélanger avec l’enrichissement horizontale qui est de rajouter des tâches sensiblement identiques à l’individu)
2) le salaire est un facteur hygiénique : il est nécessaire que la personne soit satisfaite sinon démotivation ; mais ce n’est pas un facteur motivationnel.

23
Q

La théorie instrumentale, une théorie de processus de la motivation, est une théorie hédoniste basé sur 3 prémisses. Lesquelles ?

A
  1. Les gens ont le choix de faire quelque chose ou de ne pas le faire
  2. Les gens font ce qu’il y a de mieux pour eux
  3. Ce qui est mieux est fonction de perceptions
24
Q

La théorie instrumentale, une théorie de processus de la motivation, explique la motivation à travers une formule. Quelle est-elle et, brièvement, que signifie-t-elle ?

A

La formulation de Vroom
F = Somme(VI)E où
F = le choix comportement fait
V = la valence ; l’attrait ou l’importance de la chose pour l’individu en question ; l’orientation affective envers un but
I = l’instrumentalité du comportement ; ses conséquences
Somme(VI) : la sommes des conséquences et la probabilité que celles-ci aient lieu
E = probabilité subjective qu’à l’individu que le comportement va mener aux conséquences souhaitées
Il s’agit d’une formule à forme multiplicative (comme celle de Hull), parce que si une composante est = 0, la motivation sera de 0.

25
Q

La formule de Vroom de la théorie instrumentale contient la composante V. En détail, que représente cette composante ?

A

V = valence = orientation affective envers un but
La valence peut être positive, négative ou de 0 si la personne est indifférente.
La valence de X dépends de son instrumentalité puisque la valence est positive ou négative en fonction de ce qu’elle permet.
Un comportement peut avoir une composante positive et une composante négative, la sommation des “arguments” détermineront si la valence sera positive ou négative.

26
Q

La formule de Vroom de la théorie instrumentale contient la composante I. En détail, que représente cette composante ?

A

I = Instrumentalité = conséquences du comportement
Les conséquences peuvent être positives ou négatives.
Habituellement les facteurs que l’ont prends en compte lors d’une décision, sont les instrumentalités.
La valence du comportement est basée sur l’instrumentalité.

27
Q

La formule de Vroom de la théorie instrumentale contient la composante E. En détail, que représente cette composante ?

A

E = Expectative (attente) = probabilité subjective du sujet qu’il va réussir le comportement et que celui-ci va mener aux conséquences souhaitées.
Puisque c’est une probabilité, E s’exprime entre 0 et 1.
E varie selon la perception qu’à le sujet de ses aptitudes, ainsi que du contexte.

28
Q

Quelles sont les avantages/désavantages de la théorie de l’instrumentalité ?

A

Avantages : bon soutien empirique
très flexible : elle peut expliquer la motivation derrière plusieurs comportements et expliquer pourquoi il y a de la variance entre la motivation de différentes personnes pour la même récompense
Désavantages : elle est davantage lié à l’effort qu’aux résultats (r = 0,30)
ce qui laisse croire que c’est une théorie déficiente (elle ne couvre pas totalement ce qui influence la motivation)

29
Q

Les théories d’équilibres et la théorie d’instrumentalité se confronte en un point. Lequel ?

A

La théorie de l’instrumentalité dit que les gens sont motivés par la maximisation de leur gain.
Tandis que la théorie de l’équilibre dit que les gens sont motivés par un désir de justice. Une injustice créer un inconfort qui amène la personne à adapter une stratégie qui diminuera la perception de l’injustice.

30
Q

Selon la théorie de Heider (motivation), si A m’aime pas B, mais que A et B aime C. Cela créer une situation de déséquilibre qui motivera A à adopter une stratégie pour diminuer le déséquilibre (ou la perception de ce déséquilibre). Quelles sont les stratégies que peuvent utilisées A ?

A

A peut changer sa perception de B.
A peut changer sa perception de C.
A peut rationnaliser et ce dire que les raisons pour lesquelles B aime C ne sont probablement pas les mêmes que les siennes.
A peut se dire que B n’aime pas particulièrement C finalement (diminution de la perception de cette relation).

31
Q

La théorie de Heider a subit une critique, laquelle ?

A

La théorie de Heider ne permet aucunement de prédire quelle stratégie l’individu utilisera pour réduire la tension.
De plus, Heider dit que la personne peut choisir de réduire la tension ou de ne pas la réduire. De ce fait la théorie devient intestable empiriquement.

32
Q

La théorie de l’équité de Adams a 2 avantages par rapport à la théorie de Heider. Quels sont-ils ?

A

La théorie d’équité de Adams permet de faire des prédictions claires du comportement et elle est directement applicable au travail.

33
Q

Expliquer la théorie de l’équité d’Adams (motivation) ?

A

La théorie de l’équité d’Adams dit que lorsqu’il y a un déséquilibre entre les contributions et le retours, cela créer de la tension. Cette tension énergise et dirige le comportement.
Les contributions sont les efforts et les qualités interpersonnelles nécessaire pour accomplir la tâche : tout ce que nous amenons à l’exécution d’une tâche.
Les retours sont les récompenses reçues : toutes les récompenses/punitions qui découlent de l’accomplissement de la tâche.

34
Q

Dans la théorie de l’équité d’Adams, la personne compare des ratios. Quels sont ces ratios ? d’où viennent-ils ?

A

Voici la démarche utilisée par l’individu A :
A établie la liste des contributions demandées par le travail
A établie la liste des retours que le travail lui procure
A fait un ratio C/R
A fait un ration analogue pour une personne de référence B
A compare son ratio au ratio de B

Si ils sont équivalent, il y a équité, dans le cas où les ratios seraient différents, il y aurait iniquité.

35
Q

Dans la théorie de l’équité d’Adams, l’individu se compare à une personne de référence. Qui est cette personne de référence ?

A

La personne de référence est une personne qui semble apporter des contributions semblables ou semble recevoir des retours semblable à l’individu.

36
Q

Dans la théorie de l’équité d’Adams, quelles sont les stratégies que peux utiliser l’individu s’il fait face à une situation d’inéquité ?

A

L’individu, pour réduire la tension, peut :
changer ses contributions ou ses retours
changer les contributions ou les retours de l’individu
changer de personne de référence
se retirer de la situation
faire une distorsion cognitive quant aux contributions et retours de soi ou des autres

La stratégie utilisée dépends de la facilité d’adaptation dans un contexte précis.

37
Q

Quelles sont les prédictions de la théorie de l’équité dans les situations suivantes : L’individu A est payé à l’heure et croit qu’est est :
1. sur-rémunérée
2. sous-rémunérée
L’individu B est payé à l’unité et crois qu’elle est :
3. sur-rémunérée
4. sous-rémunérée

A

A (à l’heure)
1. augmentation de la quantité et de la qualité du travail (augmentation des contributions)
2. diminution de la quantité de travail et diminution de la qualité du travail (diminution des contributions)
B (à l’unité)
3. diminution de la quantité de travail et augmentation de la qualité
4. augmenter la quantité de travail et diminuer la qualité

38
Q

Lorsque Haccoun, Wood et Smith ont testé les prédiction d’Adams, sont-ils arrivé aux mêmes résultats ?

A

Ils sont arrivé au même résultat qu’Adams pour ce qui est de la sous-rémunération :
payé à l’heure : diminution de la quantité et de la qualité
payé à l’unité : augmentation de la quantité, diminution de la qualité

Par contre, ils ont trouvé qu’il n’y avait pas de conséquence sur la quantité et la qualité lorsque la personne se considérait sur-rémunérée. Il y avait toutefois d’autres conséquences.

39
Q

Quelle est la valeur motivationnelle du salaire ?

A

Ce n’est pas la grandeur en tant que tel du salaire qui est motivationnelle, mais le fait de savoir qu’il est proportionnel aux contributions.