INC 1 Flashcards
1
Q
Les trois côtés du triangle du feu figurent :
A — le comburant, le combustible, l’oxygène de l’air
B — le combustible, le matériau qui brûle,
l’énergie d’activation
C — le combustible, le comburant, l’énergie d’activation
A
C — le combustible, le comburant, l’énergie d’activation
2
Q
Les feux de classe C sont les feux de :
A — liquides ou solides liquéfiables
B — gaz
C — métaux
D — solides
A
B — gaz
3
Q
La norme européenne EN 2 range les feux en :
A — quatre catégories définies par les lettres A, B, C et D
B — quatre types définis par les chiffres 1, 2, 3 et 4
C — quatre classes définies par les lettres A, B, C et D
D — quatre classes définies par les chiffres 1, 2, 3, 4
A
C — quatre classes définies par les lettres A, B, C et D
4
Q
Les feux d’hydrocarbures (essence, fioul, pétrole) sont des feux de :
A — classe A
B — classe B
C — classe C
D — classe D
A
B — classe B
5
Q
Les feux de graisses, huiles, pétrole sont des feux de :
A — classe A
B — classe B
C — classe C
D — classe D
A
B — classe B
6
Q
Les feux de métaux sont des feux de :
A — classe A
B — classe B
C — classe C
D — classe D
A
D — classe D
7
Q
Les feux de classe A sont des feux de :
A — métaux
B — hydrocarbures
C — graisse, huiles, pétrole
D — matériaux solides
A
D — matériaux solides
8
Q
Le mode de transmission de la chaleur dans la masse du matériau, de proche en proche, sans aucun transfert de matière s’appelle :
A — propagation par rayonnement
B — propagation par conduction
C — propagation par convection
A
B — propagation par conduction
9
Q
La propagation d’un incendie par projection
de brandons ou escarbilles est une propagation :
A — par conduction
B — par déplacement de gaz en combustion
C — par déplacement de solides en combustion
D — par rayonnement
A
C — par déplacement de solides en combustion
10
Q
On considère qu’un incendie provoqué par l’échauffement de conducteurs électriques est dû à une cause :
A — humaine
B — naturel le
C — énergétique
A
C — énergétique
11
Q
Pour être utilisable, un point d’eau naturel doit posséder, entre autres, les caractéristiques suivantes :
A — avoir une hauteur d’aspiration qui ne soit pas supérieure à 4 m
B — être à une distance maximale de 500 m des risques à défendre
C — être répertorié, et le cas échéant aménagé
A
C — être répertorié, et le cas échéant aménagé
12
Q
Parmi les ressources en eau, les bouches d’incendie font partie des :
A — points d’eau naturels
B — réserves artificielles
C — hydrants alimentés par un réseau de distribution
A
C — hydrants alimentés par un réseau de distribution
13
Q
La circulaire n°465 du 10 décembre 1951 fixe la quantité minimale d’eau que les sapeurs-pompiers doivent trouver sur les lieux d’un sinistre. Cette quantité est de :
A – 60 m3 pendant une heure
B – 60 m3 pendant deux heures
C – 120 m3 pendant une heure
D – 120 m3 pendant deux heures
A
D – 120 m3 pendant deux heures
14
Q
Un poteau d’incendie doit être implanté à une certaine distance d’une chaussée accessible aux engins d’incendie. Cette distance est de :
A – plus de 1 m et moins de 5 m
B – moins de 2 m
C – plus de 2 nn
D– plus de 2 m et moins de 5 m
A
A – plus de 1 m et moins de 5 m
15
Q
La bouche d'incendie modèle 1901 est une bouche de : A – 100 mm B – 2 x 100 mm C – 150 mm D – 65 mm
A
A – 100 mm
16
Q
Pour éviter tout risque de gel, une soupape est placée au-dessous du niveau du sol sur la colonne montante d’une Bl. Cette soupape est à une profondeur de :
A – 0,50 m
B – 1 m
C – 1,50 m
D – 1,80 m
A
B – 1 m
17
Q
Pour ouvrir une BI, il faut tourner dans le sens de dévisser :
A – 7 tours
B – 9 tours
C – 11 tours
D – 13 tours
A
D – 13 tours
18
Q
Lors de l’ouverture d’une BI, 85 % du débit
est obtenu lors :
A – du premier tours
B – des 2 premiers tours
C – des 3 premiers tours
D – des 4 premiers tours
A
B – des 2 premiers tours
19
Q
L’ouverture et la fermeture d’un PI de 2 x 100 mm s’effectuent en :
A – 11 tours
B – 13 tours
C – 15 tours
D– 17 tours
A
D– 17 tours
20
Q
Si un PI est doté d’un coffre de protection, l’ouverture de celui-ci se fait au moyen :
A – d’une tricoise
B – d’une clé à poteau
C – d’une clé de barrage
D – d’un crochet d’amarre
A
B – d’une clé à poteau
21
Q
Pour raccorder entre eux des raccords de type identique qui n’ont pas le même diamètre, on utilise :
A – un raccord de réduction
B – un raccord intermédiaire
C – un coude d’alimentation
D – une division
A
A – un raccord de réduction
22
Q
La pièce de jonction qui se monte sur une BI et qui possède deux tubulures de refoulement de 65 mm s’appelle :
A – une division
B – une retenue
C – un coude d’alimentation
D – une crépine
A
B – une retenue
23
Q
Pour alimenter, par un ou deux établissements de 70, un engin en relais ou une colonne sèche, il faut utiliser :
A – un coude d’alimentation
B – une division
C – un collecteur d’alimentation
D – une retenue
A
C – un collecteur d’alimentation
24
Q
La division dite « mixte » est une division :
A – de 65 x 2 fois 40
B– de 65 x 3 fois 40
C – de 65 x 65 x 2 fois 40
D– de 65 x 2 fois 65
A
C – de 65 x 65 x 2 fois 40
25
Des demi-raccords de types différents et de même diamètre peuvent être réunis au moyen :
A – d'un raccord intermédiaire
B – d'un raccord de réduction
C – d'un raccord de transformation
A – d'un raccord intermédiaire
26
```
La pièce de jonction qui permet l'évacuation de l'eau dans un établissement, en particulier au pied d'un établissement sur une échelle aérienne,, s'appelle :
A – collecteur d'alimentation
B – vanne à purge
C – crépine
D – hydro-éjecteur
```
B – vanne à purge
27
Un tuyau souple de 70 mm est rangé dans la catégorie :
A – des petits tuyaux
B – des tuyaux d'aspiration dits « aspiraux »
C – des tuyaux de la lance du dévidoir tournant
D – des gros tuyaux
D – des gros tuyaux
28
Les tuyaux d'alimentation servent à :
A – acheminer l'eau de la pompe aux lances
B – alimenter la pompe par aspiration
C – transporter l'eau d'un hydrant à l'engin pompe
C – transporter l'eau d'un hydrant à l'engin pompe
29
Les tuyaux semi-rigides sont des tuyaux :
A – d'alimentation
B – de refoulement
C – d'aspiration et de la lance du dévidoir tournant
C – d'aspiration et de la lance du dévidoir tournant
30
Les tuyaux qui permettent d'acheminer l'eau de la pompe aux lances s'appellent :
A – tuyaux d'alimentation
B – tuyaux de refoulement
C – tuyaux d'aspiration
B – tuyaux de refoulement
31
```
Les tuyaux semi-rigides qui équipent la LDT ont une longueur de :
A – 5 m
B – 10 m
C – 20 m
D – 40 m
```
C – 20 m
32
On appelle petite lance, une lance de :
A – 20/7
B – 40/14
C – 65/18
D – 100/25
B – 40/14
33
Une lance à débit variable :
A – est composée d'un fût, d'un robinet et d'un ajutage
B – fait partie des lances spéciales
C – possède un ajutage interchangeable à volonté par le porte lance
C – possède un ajutage interchangeable à volonté par le porte lance
34
Une grosse lance a un débit de :
A – 58 I/min
B – 250 1/min
C – 500 1/min
D – 1 000 I/min
D – 1 000 I/min
35
Pour former un « écran de protection », le porte-lance doit utiliser :
A – le jet plein
B – le jet diffusé
C – le jet « bâton »
B – le jet diffusé
36
Les lances qui s'emploient fichées dans une masse en ignition pour noyer un feu de charbon ou de fourrage sont :
A – des lances auto-régulées
B – des lances-canon
C – des lances Bourgeois
D – des lances pivotantes
C – des lances Bourgeois
37
Une lance à grande puissance est une lance de
A – 20 – 7
B – 40 – 14
C – 65 – 18
D – 100 – 25
D – 100 – 25
38
Une petite lance (40-14) a un débit de :
A – 58 l/min
B – 250 l/min
C – 500 I/min
D – 1 000 l/min
B – 250 l/min
39
Pour réaliser un très long établissement de tuyaux de 110 mm, il faut utiliser :
A – le dévidoir tournant
B – le dévidoir mobile dit « à bobine »
C – le dévidoir automobile
C – le dévidoir automobile
40
```
Le véhicule équipé de tuyaux disposés en écheveau qui se déroulent pendant qu'il avance s'appelle :
A – dévidoir tournant
B – dévidoir mobile
C – dévidoir à bobine
D – dévidoir automobile
```
D – dévidoir automobile
41
En général, les dévidoirs à bobine fixés à l'arrière des FPT sont équipés de :
A – 3 tuyaux de 70x40
B – 4 tuyaux de 70 x 40
C – 5 tuyaux de 70x40
D – 6 tuyaux de 70 x 40
C – 5 tuyaux de 70x40
42
Le dévidoir tournant est :
```
A – un véhicule automobile qui déroule
les tuyaux en roulant
B – équipé de 5 tuyaux souples de 70 mm
C – équipé de 80 m de tuyaux à spires de 20 mm
D – équipé d'un support
```
C – équipé de 80 m de tuyaux à spires de 20 mm
43
```
Pour soulever une plaque d'égout, il faut utiliser :
A – une tricoise
B – une clé de barrage
C – une clé de poteau
D – un crochet d'amarre
```
B – une clé de barrage
44
Pour arrêter la circulation de l'eau dans un tuyau sans fermer la sortie de refoulement d'une pompe, on utilise :
A – un obturateur
B – un étrangleur
C – une clé de barrage
B – un étrangleur
45
Une crépine sert à :
A – maintenir la ligne d'aspiration à une
certaine profondeur
B – arrêter la circulation de l'eau dans
un établissement sans fermer de tubulure
C – éviter l'introduction de boues ou corps solides dans un tuyau d'aspiration
D – manoeuvrer l'ouverture des dispositifs
de protection des poteaux-relais
C – éviter l'introduction de boues ou corps solides dans un tuyau d'aspiration
46
Pour procéder à l'extinction d'un foyer peu important ou de foyers secondaires difficiles d'accès, on utilise :
A – une pompe électrique
B – un seau-pompe
C – un hydro-éjecteur
D – un DFT
B – un seau-pompe
47
Pour ouvrir ou fermer une BI, on utilise :
A – une clé de poteau
B – une clé de barrage
C – un étrangleur
D – une tricoise
B – une clé de barrage
48
Le serrage des demi-raccords des tuyaux s'effectue au moyen :
A – d'une clé de barrage
B – d'une clé à poteau
C – d'une clé de fontainier
D – d'une tricoise ou polycoise
D – d'une tricoise ou polycoise
49
```
La commande prioritaire d'un ascenseur dans un bâtiment d'habitation de la 4' famille peut se manoeuvrer au moyen :
A – d'une clé de barrage
B – d'une clé à poteau
C – d'une clé à gaz
D – d'une tricoise
```
D – d'une tricoise
50
```
Constitué de l'assemblage fixe d'un seau et d'une pompe à main, le seau-pompe a une contenance de :
A – 5 l
B – 10 l
C – 15 l
D – 20 l
```
C – 15 l
51
Pour s'amarrer sur un échelon d'une échelle aérienne, le porte-lance utilise :
A – un collier d'amarre
B – un crochet d'amarre
C – une courroie d'amarre
D – un harnais d'amarre
C – une courroie d'amarre
52
Pour mélanger à l'eau une quantité déterminée d'émulseur afin d'obtenir la solution moussante, on utilise :
A – un déversoir
B – une lance canon à mousse
C – un injecteur
C – un injecteur
53
Le rapport du volume d'émulseur au volume de solution moussante s'appelle :
A – taux de foisonnement
B – taux de concentration
C – injecteur ou proportionneur
B – taux de concentration
54
```
Une lance à mousse à main a une capacité de production de :
A – 2 à 4 m3/min
B – 20 m3/min
C– 30 à 40 m3/min
D – 90 m3/min
```
A – 2 à 4 m3/min
55
Une lance canon mousse alimentée dans de bonnes conditions a une portée de :
A — une dizaine de mètres
B — une vingtaine de mètres
C — 30 à 40 m
D — 50 à 70 m
D— 50 à 70 m
56
```
Le rapport du volume de mousse produit au volume de solution moussante utilisée s'appelle :
A — taux de foisonnement
B — taux de concentration
C — débit critique
D — taux d'application
```
A — taux de foisonnement
57
Une solution contenant 90 litres d'eau et 10 litres d'émulseur est une solution à :
A — 5%
B — 10%
C— 20%
D — 90%
B — 10%
58
L'appareil intercalé entre deux tuyaux d'un établissement et servant à mélanger l'émulseur à l'eau s'appelle :
A — déversoir
B — générateur
C — injecteur
D — raccord
C — injecteur
59
Les 3 composants nécessaires pour fabriquer de la mousse sont :
A — eau — air — émulseur
B — eau — air — solution moussante
C — émulseur — eau — solution moussante
A — eau — air — émulseur
60
Pour obtenir de la mousse, il faut disposer au long d'un établissement :
A — un injecteur et une lance
B — un générateur et une lance
C — un générateur et un injecteur
D — un générateur et un déversoir
A — un injecteur et une lance
61
Est considéré comme un élément important de la protection collective sur intervention :
A — le port des gants de protection
B — le port de l'ARICO
C — l'utilisation des avertisseurs lumineux pour baliser les lieux de l'intervention
C — l'utilisation des avertisseurs lumineux pour baliser les lieux de l'intervention
62
La composition de la tenue d'intervention est fixée par l'arrêté :
A — du 10 décembre 1999
B — du 13 décembre 1f999
C — du 6 mai 2000
C — du 6 mai 2000
63
Lequel de ces éléments ne fait pas partie de la tenue d'intervention de base?
A — le casque
B — le ceinturon d'incendie
C — le gilet de signalisation de haute visibilité
D — les gants de protection
C — le gilet de signalisation de haute visibilité
64
L'arrêté du 6 mai 2000 fixant la composition de la tenue d'intervention prévoit la dispense du port du ceinturon d'intervention dans certaines conditions :
A — vrai
B — faux
A — vrai
65
Le fourgon-pompe-tonne (FPT) doit disposer d'une tonne d'eau d'une capacité minimale de :
A — 500 I
B — 1000 l
C — 1 500 I
D — 2 000 I
D — 2 000 I
66
Le véhicule de lutte contre l'incendie comportant au minimum une tonne de 2 000 l d'eau et une pompe 1500-15 est un :
A — FPTL
B — FPT
C — CCF
B — FPT
67
Les CCF sont classés en types selon leur masse totale en charge. tl en existe :
A – 2 types
B – 3 types
C – 4 types
B – 3 types
68
Un CCF ayant une masse totale à 14 t est:
A – un CCF de type L
B – CCF de type M
C – un CCF de type S
C – un CCF de type S
69
Un FPT doit comporter au minimum :
A – 5 places assises
B – 6 places assises
C – 8 places assises
D – 12 places assises
C – 8 places assises
70
Un FPTL doit disposer d'une pompe minimale de :
A – 1 000 l/min – 75 bars
B – 1 500 l/min – 15 bars
C – 2 000 l/min – 15 bars
D – 500 l/min – 15 bars
A – 1 000 l/min – 75 bars
71
Un FPT doit comporter au minimum une réserve d'émulseur de :
A – 100 I
B – 150 I
C – 180 I
D – 200 l
C – 180 I
72
Un CCF ayant une masse totale en charge comprise entre 7,5 et 14 t est :
A – de type L
B – de type M
C – de type S
B – de type M
73
C'est la norme NF S 61 800 qui établit le système de désignation des véhicules des services de secours et de lutte contre l'incendie :
A – vrai
B – faux
B – faux
74
VAR veut dire véhicule ambulance de réanimation :
A – vrai
B – faux
B – faux
75
Afin d'éviter de détériorer les tuyaux,
quelle attitude adopter?
A – il ne faut pas heurter les raccords à des objets durs
B – on peut marcher dessus pour les vider avant de les rouler
C – ifs doivent être pliés et roulés même s'ils sont gelés
D – les véhicules peuvent les franchir à allure réduite si les dispositifs de franchissement n'ont pas été disposés
A – il ne faut pas heurter les raccords à des objets durs
76
Quel est le devoir principal du porte-lance?
A – il se place légèrement en dessous du plan du feu
B – il manoeuvre d'abord sur le foyer principal puis sur les foyers secondaires
C – évite d'atteindre les objets que l'eau peut dégrader
D – il ne doit projeter que l'eau strictement
nécessaire à l'extinction
B – il manoeuvre d'abord sur le foyer principal puis sur les foyers secondaires
77
Le porte-lance doit se conformer à un autre devoir important, lequel ?
A – il ne se rapproche du feu que sur ordre
B – il dirige initialement le jet diffusé vers la base du foyer puis vers fa partie haute des flammes
C – il ferme le robinet de sa lance quand
il n'aperçoit plus le feu
D – Il attaque le feu face au vent
C – il ferme le robinet de sa lance quand
| il n'aperçoit plus le feu
78
Le porte-lance peut changer d'emplacement si les circonstances l'exigent et il fait prévenir son chef de secteur :
A – vrai
B – faux
A – vrai
79
Lorsqu'il n'aperçoit plus le feu, le porte-lance fait demander au chef de secteur l'autorisation de fermer sa lance :
A – vrai
B – faux
B – faux
80
Lorsque le feu s'arrête sous l'effet d'une substance qui fait cesser la combustion (par exemple extinction au halon), on parle de procédé d'extinction par :
A – soufflage
B – inhibition
C – refroidissement
D – étouffement
B – inhibition
81
Le procédé d'extinction qui consiste à soustraire le foyer du contact de l'air s'appelle :
A – dispersion
B – refroidissement
C – étouffement
D – soufflage
C – étouffement
82
Pour bâcher une toiture après un incendie :
A – on utilise de préférence des petites bâches
B – on commence par recouvrir le faîtage
C – les bâches ne doivent pas être attachées entre elles
D – il n'est pas utile que !es bâches se chevauchent
B – on commence par recouvrir le faîtage
83
En général, les grandes bâches ont des dimensions de :
A.– 3,50 m x 3 m
B – 6 m x 4 m
C – 5 m x 5 m
D – 4 m x 4 m
B – 6 m x 4 m
84
```
Séparer les éléments constitutifs du foyer pour que la température s'abaisse et devienne insuffisante pour que la combustion continue, est un procédé d'extinction :
A – par soufflage
B – par dispersion
C – par refroidissement
D – par étouffement
```
B – par dispersion
85
Les petites bâches ont généralement des dimensions de :
A – 1 m x 1 m
B – 2 m x2 m
C – 3,5 m x 3 m
D – 6 m x 4 rn
C – 3,5 m x 3 m
86
Pour réaliser des amarrages (véhicules, enseignes) au cours des interventions diverses, il faut utiliser :
A — le matériel du LSPCC
B — un cordage armé
C — une sangle
D — le cordage dit « de manutention »
D — le cordage dit « de manutention »
87
```
Dans une reconnaissance sous ARI, pour établir la liaison entre le binôme en exploration et le binôme en sécurité à l'extérieur, on utilise :
A – un cordage
B – une sangle
C – une commande
D – une ligne de vie
```
C – une commande
88
La longueur d'une commande est de :
A – 20 m
B – 25 m
C – 2,66 m
D – 30 m
B – 30 m
89
Après emploi, les cordages, commandes et sangles doivent être lavés à grande eau, mis à sécher à l'ombre puis brossés pour éliminer d'éventuels petits cailloux :
A – vrai
B – faux
A – vrai
90
Une échelle à coulisses grand modèle permet, lorsqu'elle est développée, de supporter sur le deuxième plan :
A – une personne
B – deux personnes
C – trois personnes
D – quatre personnes
B – deux personnes
91
L'échelle à crochets :
A – peut être employée posée sur les pieds des montants
B – possède deux plans qui coulissent l'un sur l'autre à l'aide d'une corde
C – doit être réservée aux sauvetages
D – peut supporter deux sapeurs-pompiers et une victime
C – doit être réservée aux sauvetages
92
L'échelle qui permet de progresser en façade, d'étage en étage, s'appelle :
A – échelle à coulisses
B – échelle à crochets
C – échelle automotrice
D – échelle aérienne
B – échelle à crochets
93
```
Le lot de sauvetage et de protection contre les chutes de l'EPA se trouve dans un sac :
A – bleu
B – rouge
C – jaune
D – vert
```
A – bleu
94
L'échelle aérienne qui ne peut réaliser que deux mouvements (dresser, développer et pivoter) simultanément s'appelle :
A – échelle sur porteur
B – échelle pivotante semi-automatique
C – échelle pivotante automatique
D – échelle mécanique
B – échelle pivotante semi-automatique
95
On parle d'inondation par débordement direct lorsque :
A – le cours d'eau sort de son lit mineur pour occuper son lit majeur
B – les eaux remontent par les nappes alluviales
C – les eaux remontent par les réseaux d'assainissement
A – le cours d'eau sort de son lit mineur pour occuper son lit majeur
96
On considère comme un effet indirect d'une inondation :
A – le risque de pollution par produit toxique dont l'emballage ne résiste pas à l'eau
B – les cultures ravagées
C – l'asphyxie de la faune et de la flore menaçant l'équilibre écologique
A – le risque de pollution par produit toxique dont l'emballage ne résiste pas à l'eau
97
L'utilisation des embarcations de secours en cas d'inondation impose le respect de mesures de sécurité suivantes, laquelle est exacte?
A – le port du gilet de sauvetage n'est pas
obligatoire pour tous les occupants
B - la capacité du bateau peut être dépassée pour une mission très courte
C – le gilet de sauvetage doit se porter toujours attaché
C – le gilet de sauvetage doit se porter toujours attaché
98
En cas d'inondation, les sauvetages d'animaux :
A – ne nécessitent pas la présence d'un vétérinaire
B – ne doivent être effectués que s'ils n'exposent pas la vie des sauveteurs
C – ne peuvent pas s'effectuer dans une embarcation
B – ne doivent être effectués que s'ils n'exposent pas la vie des sauveteurs
99
En cas de risque d'inondation, le maire de chaque localité concernée :
A – n'a pas la responsabilité d'alerter la population de la commune
B – peut consulter un répondeur placé à la préfecture délivrant des messages sur le déroulement de la crue
C – ne possède pas le pouvoir de prendre
des mesures de protection
B – peut consulter un répondeur placé à la préfecture délivrant des messages sur le déroulement de la crue
100
```
Un déplacement vertical instantané de la surface du sol par rupture brutale d'une cavité souterraine s'appelle :
A – une crue
B – un effondrement
C – une coulée de boue
D – un flambage
```
B – un effondrement
101
Lorsqu'un immeuble s'effondre, certains espaces restent libres grâce à un mur, du mobilier, un plancher. On les appelle :
A – éléments verticaux porteurs
B – fondations
C – lieux de survie
D – éléments horizontaux
C – lieux de survie
102
Lorsqu'un élément de construction est soumis à un effort de compression dans le sens de son axe longitudinal, il risque :
A – de s'effondrer
B – de flamber
C – de glisser
D – de se rompre
B – de flamber
103
Les planchers constituant les différents niveaux d'une construction s'appellent :
A – les fondations
B – les éléments verticaux porteurs
C – les éléments horizontaux
C – les éléments horizontaux
104
En cas d'effondrement, il existe un risque d'intoxication monoxycarbonée lié essentiellement à la rupture des conduites de gaz de ville :
A – vrai
B – faux
A – vrai
105
On considère qu'un chien de recherche est capable de découvrir une victime ensevelie jusqu'à :
A – 1 m de profondeur
B – 2 m de profondeur
C – 4 m de profondeur
D – une dizaine de mètres de profondeur
C – 4 m de profondeur
106
Une unité GRIMP, élément de base susceptible d'intervenir, est composée au minimum de :
A – 3 spécialistes GRIMP
B – 3 spécialistes GRIMP encadrés par un chef d'unité
C –4 spécialistes GRIMP encadrés par un chef d'unité
D – 6 spécialistes GRIMP encadrés par un chef d'unité
C –4 spécialistes GRIMP encadrés par un chef d'unité
107
L'échelle à crochets doit être portée :
A – les crochets vers l'extérieur
B – légèrement inclinée vers le bas, en avant
C – par un binôme
D – sous le bras
B – légèrement inclinée vers le bas, en avant
108
Pour dresser l'échelle à crochets, il faut saisir le montant le plus proche :
A – entre le 1" et le 2e échelon
B – entre le 3e et le 5e échelon
C – entre le 5' et le 7e échelon
B – entre le 3e et le 5e échelon
109
L'échelle à coulisses grand modèle :
A – est toujours manoeuvrée par un homme seul
B – ne peut pas être manoeuvrée par un homme seul
C – est en principe manoeuvrée par un binôme, mais peut être mise en oeuvre par un homme seul
C – est en principe manoeuvrée par un binôme, mais peut être mise en oeuvre par un homme seul
110
Lorsque l'échelle à coulisses grand modèle
est portée par un binôme :
A – les déplacements s'effectuent aux ordres du chef d'équipe qui se place devant
B – les déplacements s'effectuent aux ordres du chef d'équipe qui se place derrière
C – il n'existe pas de règle en ce qui concerne
les déplacements
B – les déplacements s'effectuent aux ordres du chef d'équipe qui se place derrière
111
Lorsque l'échelle à coulisses est développée, la corde doit être rattachée à un échelon avant toute utilisation :
A – vrai
B – faux
A – vrai
112
La distance à adopter entre le pied du mur et les sabots d'une échelle à coulisses développée est égale :
A – à la moitié de la longueur développée
B – au tiers de la longueur développée
C – à la hauteur de l'échelle
D – à la hauteur de l'échelle divisée par 2, plus 1,80 m
B – au tiers de la longueur développée
113
Pour effectuer l'ascension d'une échelle aérienne :
A – le sapeur-pompier déplace simultanément le pied gauche et la main gauche
B – les bras sont tendus, à l'écartement des épaules
C – les pieds sont engagés profondément sur les échelons
B – les bras sont tendus, à l'écartement des épaules
114
La mise en sécurité d'une personne valide au moyen d'une échelle aérienne répond à l'une de ces affirmations, laquelle?
A – cette manoeuvre est interdite, il faut utiliser le LSPCC
B – une personne valide peut utiliser seule
l'échelle aérienne
C – elle descend l'échelle accompagnée d'un sauveteur qui saisit l'armature des plans
C – elle descend l'échelle accompagnée d'un sauveteur qui saisit l'armature des plans
115
Pour se croiser sur une échelle aérienne :
A – le sapeur-pompier montant s'efface
en se plaçant à l'extrémité d'un échelon
B – le sapeur-pompier descendant s'efface
en se plaçant à l'extrémité d'un échelon
C – c'est le plus gradé qui a fa priorité
A – le sapeur-pompier montant s'efface
| en se plaçant à l'extrémité d'un échelon
116
Une échelle aérienne (EPA ou EPS) supporte :
A – 2 petites lances à des niveaux différents ou 1 grosse lance
B – 2 petites lances à des niveaux différents et 1 grosse lance
C –2 petites lances à des niveaux différents
et 2 grosses lances
D – 2 petites lances à des niveaux différents ou 2 grosses lances
A – 2 petites lances à des niveaux différents ou 1 grosse lance
117
La pièce de jonction disposée au pied de l'échelle aérienne dans le cas d'établissement de lances s'appelle :
A – une retenue
B – une vanne à purgeur
C – un collecteur d'alimentation
D – une crépine
B – une vanne à purgeur
118
Dans le cas d'établissement de lances sur échelle aérienne, la vanne purgeur est disposée au pied de l'échelle :
A – par le chef d'équipe
B – par l'équipier
C – par le binôme alimentation
B – par l'équipier
119
Dans le cas d'établissement de lances sur échelle aérienne, l'équipier ne raccorde et n'ouvre la tubulure qu'au commandement du porte-lance :
A – vrai
B – faux
A – vrai
120
Dans le cas d'établissement de lances sur échelle aérienne, l'équipier dispose un crochet d'amarre réglable :
A – à environ 10 échelons de la lance
B – à environ 15 échelons de la lance
C – à environ 20 échelons de la lance
D – à environ 5 échelons de la lance
A – à environ 10 échelons de la lance
121
Dans le cas d'établissement de lances sur échelle aérienne, l'excédent de tuyau doit être disposé dans l'axe de l'échelle :
A – vrai
B – faux
A – vrai
122
Laquelle de ces phases de la marche générale des opérations précède les établissements?
A – les sauvetages
B – l'attaque
C – la protection
D – le déblai
A – les sauvetages
123
Pour limiter les dégâts matériels, certaines opérations sont menées d'emblée avec l'attaque. Il s'agit d'opérations de :
A – sauvetage
B – protection
C – déblai
D – surveillance
B – protection
124
La phase qui n'appartient pas à la marche générale des opérations est :
A – l'alerte
B – la reconnaissance
C – la surveillance
D – la protection
A – l'alerte
125
Quelle phase de la marche générale des opérations vient immédiatement après les établissements?
A – la reconnaissance
B – les sauvetages
C – l'attaque
D – le déblai
C – l'attaque
