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Intervention intégrée en soins aigus > hygiène hospitalière et prévention des infections > Flashcards

hygiène hospitalière et prévention des infections Flashcards

1
Q

qu’est-ce qu’une infection nosocomiale

A

Infections acquises au cours d’un épisode de soins administrés par un établissement du réseau de la santé, quel que soit le lieu où ils sont administrés

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Q

vrai ou faux : les infections nosocomiales touchent les patients et les soignants de tous les milieux de soins

A

vrai

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3
Q

nomme des types d’infections nosocomiales

A

c. difficile
ERV (entérocoque)
SARM
BGNOC
influenza
gastro-entérite virale

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4
Q

quels sont les maillons de la chaine de transmission de l’infection?

A
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5
Q

Les modes de transmission les plus fréquents en milieu de soins sont

A

par contact direct ou indirect

  • par la projection de gouttelettes: particules assez grosses, qui ne restent pas en suspension dans l’air > 5 microns (moins de 2 mètres)
  • par la voie aérienne: particules microscopiques pouvant rester en suspension dans l’air < 5 microns (plus de 2 mètres et pouvant demeurer dans l’air plusieurs heures)
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6
Q

Vrai ou faux : les infections nosocomiales représente 15% des admissions

A

faux 10%

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7
Q

v ou f : les infections nosocomiales représente la 4e cause de décès en Amérique du nord

A

vrai

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8
Q

vrai ou faux : Des études américaines ont démontré qu’il est possible de réduire du 1/3 le
nombre de nouveaux cas d’infections nosocomiales , en mettant en place un programme bien structuré

A

vrai

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9
Q

v ou f : les infections nosocomiale prolonge l’hospitalisation et à un taux de mortalité 1 à 10%

A

vrai

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10
Q

quelles sont les principales infections nosocomiales qui requièrent une surveillance

A

c difficile
ERV
SARM

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11
Q

C difficile
signes et symptômes
dx
tx
évolution

A
  • Signes et Symptômes:
    Diarrhée, fièvre et crampes abdominales
    Présence de sang, mucus ou pus dans les selles
  • Diagnostic:
    Analyse des selles
  • Traitement:
    Antibiotique approprié

Évolution:
La plupart des patients guérissent, mais des personnes plus vulnérables peuvent compliquer et même en décéder (proportion de décès entre 10 à 30 jours, de 6,8 à 12,0 %).

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12
Q

vrai ou faux : les spores de la C difficile peuvent survivre longtemps à l’extérieur du corps, donc dans l’environnement (poignées de porte)

A

vrai

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13
Q

vrai ou faux : on peut être porteur de la bactérie c difficile dans l’intestin sans avoir de problème de santé et ne pas avoir recours à des traitements

A

vrai

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14
Q

v ou f : le C. difficile est très fréquent chez les moins de 2 ans

A

vrai

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15
Q

C difficile
mode de transmission
comment éviter la transmission
mesures prises en présence d’une personne infectée

A
  • Mode de transmission:
    Par contact (mains, surfaces, objets, etc.)
  • Comment éviter la transmission:
    Lavage des mains
    Nettoyage assidue des surfaces touchées par la personne infectée

Mesures prises en présence d’une personne infectée:
Isolement
Port de blouse et de gants par le personnel et les visiteurs
Mesures maintenues durant 72 heures après l’arrêt de la diarrhée

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16
Q

v ou faux : le risque de développer une diarrhée à c difficile est surtout présent chez les personnes âgées hospitalisée et qui reçoivent des antibiotiques

A

vrai

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17
Q

v ou f : le risque d’être infecté au c difficile est très élevé chez les personnes en bonne santé

A

faux très faible

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18
Q

v ou f : Les ERV sont des bactéries présentes dans la flore intestinale normale des humains et dans l’environnement.

A

vrai

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19
Q

v ou f : Les ERV ont développé une résistance aux antibiotiques, dont la Vancomycine

A

vrai

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20
Q

v ou f : les ERV ne causent pas d’infection chez les personnes en bonne santé

A

vrai

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21
Q

v ou faux : Le risque de transmission par une personne infectée au ERV à des membres de sa famille est faible

A

vrai

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22
Q

ERV
signes et symptômes
diagnostic
traitement

A
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23
Q

ERV mode de transmission, mesures prises en place en présence d’une personne porteuse et ou infecté

A

transmission : contact (mains contaminées du personnel), une personne peut demeurer porteuse de erv pendant des semaines voire des mois

mesures :
isolement, port de blouse, gants, désinfection fréquente, contrôle de la présence de l’erv chez la personne

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24
Q

v ou f ; Le SARM est un staphylocoque (bactérie) qui a développé une résistance à plusieurs antibiotiques, dont la méthicilline.

A

vrai

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25
Q

ou se retrouve habituellement les SARM

A

sur la peau ou dans les narines d’une personne et c’est

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26
Q

est-ce que le SARM est en général inoffensif pour une personne en bonne santé.

A

oui

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27
Q

v ou f : Le SARM ne causerait pas plus d’infection que les autres staphylocoques.

A

pas plus infectieux mais plus difficile à traiter (je crois? à confirmer)

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28
Q

le risque de transmission par une personne infectée au SARM à des membres de sa famille est très faible

A

vrai

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29
Q

SARM
signes et symptômes
dx
traitement

A
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30
Q

SARM mode de transmission et mesures prise en présence d’une personne porteuse et ou infectée

A

Mode de transmission:
* Essentiellement par les mains contaminées du personnel soignant
* Le SARM peut rester dans les narines ou dans une plaie pendant plusieurs mois, parfois des années. Les personnes porteuses peuvent donc l’être encore au moment d’une nouvelle admission à l’hôpital.
* Le SARM peut également se transmettre par gouttelettes si la personne porteuse est atteinte d’une pneumonie à SARM.

  • Mesures prise en présence d’une personne porteuse et/ou infectée: * Isolement
  • Port de blouse et de gants par le personnel et les visiteurs
  • Port d’un masque et des lunettes protectrices, ou un écran facial, ou un masque comportant une visière durant les interventions susceptibles de produire des gouttelettes ou des éclaboussures de sécrétions respiratoires, de sang ou de liquides organiques.
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31
Q

mode de transmission
signes et symptômes
dx
tx
mesures en place si cas +
pour
c difficile
erv
SARM

A
32
Q

v ou f : les BGNPC font partie de la flore normale de l’intestin

A

vrai

33
Q

v ou f : les BGNPC peuvent se retrouver dans les spécimens cliniques provenant d’autres sites de colonisation ou d’infection (ex. : urines, plaies, expectorations, etc.)

A

VRAI

34
Q

v ou f : les BGNPC ne compliquent le traitement des infections nosocomiales (SARM, ERV et C difficile)

A

faux compliquent

35
Q

vrai ou faux : la Première description des BGNPC a été fait en 2001 aux USA et depuis on remarque une dissémination mondiale

A

vrai

36
Q

mode de transmission et mesures prise en place si cas + BGNPC

A
  • Par contact direct et indirect
  • Par les mains du personnel soignant
  • Risque augmenté en présence de plaie avec écoulement, diarrhée, incontinence, présence de dispositif invasif

mesures :
isolement, gants, blouse, masque si pt porteur d’une trachéotomie

37
Q

pourquoi les infections nosocomilaes requièrent une surveillance particulière?

A

parce que ce sont des infections difficiles à soigner, étant résistantes aux antibiotiques, et causant des risques particulièrement chez des personnes âgées ou dont le système immunitaire est affaibli.

38
Q

vrai ou faux : Il est important de bien connaître la chaine de transmission des infections et de prendre conscience que toute action pouvant briser cette chaine peut éviter la propagation de maladies et sauver des vies.

A

vrai
nécessite 1 seule action et on brise complètement la chaine = plus de transmission possible

39
Q

quelle est la mesure la plus importante et la plus efficace pour prévenir les infections

A

Hygiène des mains:

40
Q

quelles sont les pratiques de base

A

Hygiène des mains
 Gants
 Masque
 Manipulation de la lingerie, entretien sanitaire, etc.

41
Q

v ou f : les pratiques additionnelles s’ajoutent toujours aux pratiques de base

A

vrai

42
Q

qu’est-ce que des précautions additionnelles?

A

ensemble de mesures qui sont appliquées simultanément, selon le ou les modes de transmission connus ou possibles d’un microorganisme présumé ou identifié tout en tenant compte des caractéristiques personnelles de l’usager, du type de soins impliqués et d milieu de soins.

43
Q

qu’est-ce qui est la pierre angulaire de la prévention et du controle des infections

A

LAVAGE DES MAINS

44
Q

qu’elle est la méthode la moins couteuse pour la prévention des infections

A

LAVAGE DES MAINS

45
Q

v ou f : le lavage des mains est l’une des mesures les plus efficaces pour prévenir la transmission d’infections et la dissémination des microorganismes dans l’environnement

A

vrai

46
Q

nomme 4 techniques d’hygiène des mains

A

lavage mains (eau savon)

lavage antiseptique (eau, savon,agent antiseptique)

friction hydroalcoolique ou désinfection des mains avec solution hydroalcoolique

antisepsie chirurgicale (eau, savon, savon antiseptique)

47
Q

comment prévenir l’irritation des mains suite à la pratique répétitive de l’hygiène des mains

A

Il est recommandé d’utiliser une crème à mains 2 à 4 fois par jour (souvent disponible dans les hôpitaux)
On doit éviter de laver ses mains à l’eau et au savon immédiatement avant ou après avoir frictionné ses mains avec la solution hydro-alcoolisée

Éviter d’utiliser de l’eau très chaude ou très froide pour se laver les mains

48
Q

il est recommandé d’utiliser une crème a mains 2 à 4 fois par jour pour prévenir l’irritation des mains suite à des lavages fréquents

A

vrai

49
Q

durée pour lavage eau et savon

A

15 à 30 sec

50
Q

15 à 30 sec est recommandée pour un lavage des mains avec eau et savon

A

vrai

51
Q

durée pour hygiène des mains avec mousse hydroalcoolique

A

15 sec

52
Q

15 secondes est recommandée pour le lavage de mains avec mousse hydroalcoolique

A

vrai

53
Q

le port des gants représente une barrière supplémentaire

A

vrai

54
Q

v ou f: le port de gant remplace un lavage de main

A

faux

55
Q

le port du masque fait partie des pratiques de base

A

il peut oui mais s’inscrit généralement comme une pratique additionnelle

56
Q

quand utiliser le masque de procédure

A

en situation de précautions additionnelles (isolement) pour gouttelettes

si vous êtes grippé, pour protéger les autres

en présence de toux ou infection respiratoire (portée à 1 m)

57
Q

v ou faux le masque de procédure protège la personne d’agents pathogènes contenus dans les gouttelettes

A

vrai

58
Q

le masque à épuration d’air nécessite tjrs un fit test

A

oui

59
Q

le masque à épurations d’air filtre pour les particules < 5 microns

A

oui

60
Q

comment retirer le masque

A

Toujours manipuler le masque par les cordons lors du retrait afin de ne pas se contaminer les mains

61
Q

contre quoi protège les protection oculaire

A

contre la projection de gouttelettes de sang ou de liquides biologiques

62
Q

la protection oculaire est réutilisable?

A

Réutilisable après désinfection OU à usage unique (préférable)

63
Q

la blouse doit arriver en dessous des genoux

A

oui

64
Q

pourquoi respecter en tout temps les mesures d’isolement

A
  1. Protéger les autres bénéficiaires (agent de
    propagation)
  2. Protéger le patient lui-même ( isolement neutropénique (↓globules blancs); par ex. post- chimio)
  3. Se protéger soi-même (infections)
65
Q

v ou f : parfois 1 seul patient peut être en isolement dans une chambre partagée

A

vrai

66
Q

v ou f: dans certains milieu il peut exister une section complète en isolement

A

oui

67
Q

v ou f : le matériel utilisé en chambre d’isolement doit être décontaminé à la sortie

A

oui
ex : goniomètre, galon à mesurer…
utiliser en priorité le matériel déjà à la chambre

68
Q

pression positive indiqué pour quoi

A

bloc opératoire
patient système immuniataire affaiblit (neutropénique)

69
Q

chambre pression négative indiqué pour

A

infections transmissibles par voie aérienne (tuberculose)

70
Q

qu’est-ce qu’une chambre à pression négative

A
71
Q

qu’est-ce qu’une chambre à pression positive

A
72
Q

quelles sont la procédure pour contact

A
73
Q

quelle est la procédure pour précautions gouttelettes

A
74
Q

quelle est la procédure pour précautions gouttelettes et contact

A
75
Q

quelle est la procédure pour précautions aériennes

A
76
Q

quelle est la procédure pour précautions aériennes et contact

A
77
Q

quelle est la procédure pour précautions aériennes contact renforcées

A

Intervention intégrée en soins aigus (9 decks)

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