Examen final - amputation et dystrophie musculaire Flashcards

1
Q

définition amputations

A

chirurgicale : ablation membre ou segment de membre ou partie saillante
congénitale : malformation consistant en une section incomplète membre ou partie membre
traumatique : section membre ou partie membre par trauma

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2
Q

facteurs de risque amputations

A

âge : > 55 ans
sexe :
4.2 H : 1 F = < 60 ans
1.2 H : 1F = > 60 ans

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Q

causes amputations

A

vasculaire (artérite, diabète, Buerger)
non-vasculaire :
- traumatique (accident, brûlure, engelure, guerre)
- tumorale (ostéosarcome, chondrosarcome)
- congénitale (thalidomide)
- paralysie (complication plaie, lésion plexus brachial)
- infectieuse (ostéomyélite, bactérie mangeuse de chair)

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4
Q

fréquence amputations

A

DI = 30/100000 a

ratio MI/MS = 2.4/1 - 16/1

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5
Q

distribution des causes

A
vasculaire = 70%
non-vasculaire :
-traumatique = 22%
-tumorale = 3%
-malformation congénitale = 4%
-infectieuse = 1%
*45% amputations = réamputations
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6
Q

prévention amputations vasculaires

A
éviter trauma et réduction circulation sanguine
hygiène
surveillance quotidienne
activité
lutte contre tabagisme et obésité
semelle et orthèse
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7
Q

prévention amputations traumatiques

A

améliorer normes de sécurité au travail
améliorer sécurité transports automobiles
prévenir guerre, terrorisme et conséquence

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8
Q

sites et niveaux amputations

déterminants majeurs des incapacités

A

plus amputation est proximale = plus incapacités

MS vs MI

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9
Q

sites et niveaux amputations

paramètres à considérer

A
préhension
logement possible des objets mécaniques
bras de levier de propulsion
qualité des tissus et vascularisation
possibilité mise en charge distale
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10
Q

principales amputations

A
tibiale
pied
cuisse
orteils
genou-cheville
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11
Q

principales maladies qui entrainent amputations

A
diabète
maladie/infection vasculaire
trauma
cancer
congénital
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12
Q

amputations au-dessus du coude

A

union 1/3 inférieur et 2/3 supérieur humérus = niveau idéal
plan plastique = longueur humérus représente avantage de soutien masse musculaire antérieure et postérieure qui pourront être utilisées dans myoplastie
moignon confectionné permettra appareillages adhérence musculaire presque totale réduisant harnais au minimum
préserve deltoïde + presque totalité triceps, autorise insertion au-dessous du manchon appareillage coude mécanique valable et dissimulé

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13
Q

amputations en-dessous du coude

A

longueur idéale = union 2/3 supérieur et 1/3 inférieur ou un peu plus bas au 1/4 inférieur ce qui permet de préserver la pro-supination

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14
Q

amputations membres inférieurs

A

tous moignons peuvent être appareillés mais avec certaines préférences quantaux hauteurs
union 1/3 moyen - 1/3 inférieur, éventuellement tout 1/3 moyen = recherche bras levier le plus long possible sans atteindre 1/3 inférieur pour pouvoir placer genou prothéique
avec amélioration apportée dans appareillage, désarticulation genou est une option intéressante

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15
Q

malformations congénitales

A

nommer diverses façons selon type
plusieurs malformations facilement appareillables
recourir chirurgie complexe et inusitée voire amputation plus proximale pour façonner moignon
décision doit tenir en compte fonction déjà présente, risques de problèmes durant croissance, esthétique, gains de fonctions envisageables = requiert bonne information égard des parents (choisir pour lui)
pas de membre fantôme pour malformation

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16
Q

malformations congénitales

déficiences terminales

A
transversales (perpendiculaire axe corps) :
- amélie : absence membre
- hémimélie : absence extrémité membre
paraxiales (long axe corps) :
- hémimélie : absence extrémité membre
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17
Q

malformations congénitales

déficiences intercalaires

A

touchent section membre qui est insérée entre 2 autres sections
paraxiales :
- hémimélie : absence partie segment moyen 1 membre avec préservation partielle ou totale extrémité
- phocomélie : atrophie segments moyens membre

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18
Q

paralysies amputations

A

lésions plexus brachial = plus souvent
séquelles paralytiques avec troubles sensibilité, on peut envisager amputations à la limite du territoire sensitif, mais appareil sera parfois mal supporté du fait des troubles trophiques

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19
Q

conditions associées

A
diabète
insuffisance cardiaque
cancer
paralysie
PAR
déficience sensorielle
psoriasis
santé mentale, neurologique, musculosquelettique
tabagisme/alcoolisme
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20
Q

complications amputations

A

peau : dermatose, blessure, greffe
cicatrice : adhérence, situation, retard guérison
musculature : atrophie, flexum (15 genou, 30 hanche)
vascularisation : réparation
fantôme douloureux
névrome, hypersensibilité
ostéophytes

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21
Q

incapacités amputations en fonction de :

A

en fonction :
site amputation
niveau amputations
nombre amputations

douleur fantôme

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22
Q

incapacités amputations MS

A
affectent surtout jeu
travail
loisirs
activités domestiques
alimentation
soins corporels
habillement déplacement
conduite automobile
communication écrite
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23
Q

incapacités amputations MI

A
affectent surtout
ambulation
déplacements
travail
loisirs
activités domestiques
habillement
soins corporels
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24
Q

déterminants situations handicap amputations

A
âge, sexe
cause, site, niveau
nombre, appareillage, aide technique
niveau autonomie
environnement physique et social
autostigmatisation
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25
double amputation MS
``` impact variable sur incapacités requiert réadaptation par équipe spécialisée membre plus long = dominant composante flexion poignet ambulation affectée (équilibre) technique et aide technique ```
26
double amputation MI
simultanée ou non fauteuil roulant, aide technique transfert, accessibilité double appareillage et exigences
27
dystrophies musculaires
origine du terme provient apparence du muscle au microscope biopsie musculaire montrant des changements dystrophiques fibre musculaire de grosseur et coloration différente dite hétérogène architecture dérangée foyers de nécrose er dégénérescence (macrophage) tissu adipeux fibrose
28
protéines du cytosquelette
permettent maintien intégrité structurale du muscle contre forces de contraction au niveau membrane cellulaire ancrent les structures internes du muscle à la matrice extracellulaire
29
principales protéines impliquées
dystrophine complexe dystrophine-glycoprotéine (dystroglycan, sarcoglycan) mérosine (laminine)
30
pathophysiologie dystrophie
si une des protéines impliquées est déficiente : ancrage défectueux défaut membrane cellulaire et intégrité sarcolemme favorise : sortie composants cytoplasmiques, influx Ca, destruction de fibres cycle dégénération - régénération qui s'épuise dégénérescence musculaire progressive
31
créatine kinase CK
enzyme exprimée par divers types de tissus surtout muscle squelettique intervient dans mise en réserve énergie par mécanisme appelé phosphorylation créatine libérées dans sang lorsque muscle est endommagé lésions tissulaires avec lyse cellulaire (dosage dans sang représente excellent biomarqueur de intégrité musculaire, dosage sanguin environ 250 chez adulte normal, proportionnel à la masse musculaire, augmentation activité physique
32
activité-repos CK
repos : CK ajoute un acide phosphorique, provenant ATP, à la créatine pour produite la phosphocréatine, formant une réserve énergie à moyen terme en cas de besoin, organisme puise dans les réserves et une réaction inverse se déclenche à partir de la phosphocréatine permettant de reconstituer ATP
33
généralités cliniques des dystrophies musculaires
faiblesse proximale principalement (retard développement moteur grossier, perte des acquis moteurs) caractère dégénératif atteinte cardiaque possible souvent peu ou pas atteinte du SNC
34
épreuve de Gower
façon facile de tester et démontrer en clinique une faiblesse proximale des MI doit s'appuyer sur sa cuisse pour compenser faiblesse proximale
35
impacts sur posture
lordose lombaire : faiblesse muscle du tronc, abdomen et dos pseudohypertrophie des mollets : remplacement muscle par tissu adipeux et fibrose donnant impression d'avoir des gros mollets (pas muscle) rétraction tendons Achille : secondaire à la fibrose du muscle, équinisme
36
scoliose dystrophie
secondaire à la faiblesse musculaire tronculaire
37
modes de transmission
``` autosomique dominant (AD) : transmission provenant 1 seul des 2 parents, peu importe mère ou père, parent atteint autosomique récessif (AR) : transmission provenant des 2 parent, non-atteints, seulement porteurs liée à X : transmission provenant mère et transmise à son fils ```
38
dystrophinopathies
2 phénotypes : dystrophie musculaire de Duchenne (DMD) = + sévère dystrophie musculaire de Becker (DMB) = + légère type mutation du gène (génotype) influence sévérité maladie zone du gène touchée influence sévérité
39
pathophysiologie dystrophinopathies
protéine dystrophine déficiente : très grosse protéine, 5 domaines située surface cytoplasmique du sarcolemme aussi présente an cerveau
40
génétique dystrophinopathies
``` transmission récessive, liée à X (transmission maternelle typiquement mais, sporadique dans 1/3 cas mère pas porteuse mutation spontanée) locus Xp21 (gène responsable expression dystrophine) ```
41
dystrophie musculaire de Duchenne | incidence
1 sur 3500 nouveau-nés masculins
42
dystrophie musculaire de Duchenne | présentation clinique
``` début vers 3-5 ans faiblesse proximale MI > MS difficulté à monter escaliers difficulté à se relever de la position assise sur plancher ```
43
dystrophie musculaire de Duchenne | étapes
``` 5-6 ans = pseudohypertrophie musculaire due au tissu adipeux et fibreux contraction tendon Achille assez précoce lordose lombaire puis scoliose 8-10 ans = appareillage marche 10-12 ans = fauteuil roulant aggravation des contractures (hanche, genou, pied équinovarus) ```
44
dystrophie musculaire de Duchenne | atteinte cardiaque
30% patients à 14 ans 100% patients à 18 ans souvent asymptomatique au début (importance dépistage) cardiomyopathie dilatée (insuffisance cardiaque) trouble du rythme (arythmie) = rare
45
dystrophie musculaire de Duchenne | atteinte intellectuelle
possible en raison présence de dystrophine au niveau du cerveau statique (ne s'empire pas avec le temps) QI moyen : 83 (environ 2 déviations standards sous moyenne) QI < 75 chez 1/3 des patients
46
dystrophie musculaire de Duchenne | atteinte gastointestinale
mégacolon volvulus malabsorption dilation gastrique aigue
47
dystrophie musculaire de Duchenne | atteinte respiratoire
faiblesse musculaire des muscles impliqués dans respiration scoliose insuffisance respiratoire obstructive
48
dystrophie musculaire de Duchenne | atteinte orthopédique
rétraction tendons Achille scoliose contractures : genou, hanche, MS
49
dystrophie musculaire de Duchenne | décès
médiane : 18 ans (parfois 30 ans maintenant avec tx) cause pulmonaire = + fréquente (insuffisance respiratoire, pneumonie) cause cardiaque
50
investigations dystrophie musculaire de Duchenne
CK 10000 à 20000 (dosage sanguin) CK diminuent avec progression maladie, masse musculaire décline - électromyogramme (unité motrice type myopathique, faible amplitude, courte durée, polyphasique) - biopsie musculaire (changement dystrophique, fibre musculaire taille variable, foyers nécrose et régénération, tissu conjonctif et adipeux) - coloration immunohistochimique : monoclonaux dystrophine - test génétique
51
traitement dystrophie musculaire de Duchenne
- multidisciplinaire - essai clinique en cours pour thérapie génique - stéroïde (ralenti progression, retard 2 ans FR, suivi effet secondaire) - ergo/physio (exercices étirement pour contracture, orthèse tibiale (nuit), aide marche, ajustement fauteuil) - suivi cardiologie - suivi pneumologie - suivi orthopédie
52
dystrophie musculaire de Becker | incidence
1 sur 20000 nouveau-nés masculins
53
dystrophie musculaire de Becker | présentation clinique
``` début 5-15 ans (plus tard que Duchenne) faiblesse musculaire proximale MI > MS pseudohypertrophie mollets crampe musculaire exercice typique ambulation 15-40 ans cardiomyopathie plus précoce et fréquente (90%) incidence moins élevée lenteur intellectuelle pronostic vital : 40-50 ans ```
54
dystrophie musculaire de Becker | investigations
``` dosage CK : 400-5000 biopsie musculaire (changement moins marqué, coloration dystrophine diminuée) test génétique (même gène mais type et emplacement différent) ```
55
dystrophies musculaires des ceintures | LGMD
toutes autres dystrophies avec faiblesse proximale groupe hétérogène de maladies 2 sous-groupes : LGMD 1 = autosomique dominant (<10% LGMD) LGMD 2 = autosomique récessif prévalence 1: 15000 à 1: 100000 F = H
56
dystrophies musculaires des ceintures | présentation clinique
début variable : 1 = adulte 2 = enfance sévérité variable : plus sévère forme récessive progression variable : plus lente dans formes dominantes faiblesse prédomine an ceinture MI >MS épargnent + souvent : muscle visage, mvt extra-oculaire, muscle pharyngé) pseudohypertrophie mollet variable (forme récessive) cardiomyopathie moins fréquent CK variable normal à 20000 (récessive > dominante)
57
dystrophies musculaires des ceintures | sarcoglycanopathies
plus fréquents des sous-types près de 70% des LGMD à début dans enfance LGMD2D > LGMD2E > LGMD2C > LGMD2F
58
dystrophies musculaires des ceintures | formes plus sévères
``` ressemblent DMD début avant 5 ans perte ambulation vers 12 ans CK 10000 à 20000 pseudohypertrophie mollet, contracture, scoliose cardiomyopathie moins fréquente décès vers 20 ans ```
59
dystrophies musculaires des ceintures | investigations
dosage CK élevé récessif > dominant EMG : myogène biopsie : changement dystrophique non-spécifique, immunohistochimie disponible pour détecter sarcoglycans, calpain, dysferline test génétique
60
dystrophie facioscapulohumérale (Landouzy-Dejerine) génétique
transmission autosomique dominante mais sporadique dans 20% des cas (mutation novo) chromosome 4 (4q35) délétion (taille délétion proportionnelle sévérité) sévérité augmente avec génération
61
dystrophie facioscapulohumérale | prévalence
1 : 20000 | F = H
62
dystrophie facioscapulohumérale | présentation clinique
début 10-50 ans (souvent à adolescence) faiblesse musculaire an visage précoce (incapable siffler, gonfler joue, vider fond cuillère, yeux entrouverts, sourire, air bête) préservation muscle extra-oculaire, bulbaire, pharyngé, respiratoire faiblesse muscle ceinture scapulaire (deltoïde préservé, décollement omoplate, ext > flex) faiblesse MI dorsiflexion pied, psoas + quad
63
dystrophie facioscapulohumérale | présentation clinique atteinte non-musculaire
``` surdité neurosensorielle fréquente syndrome de Coat (télangiectasie + décollement rétine) HTA labile intelligence normale trouble cardiaque rare ```
64
dystrophie facioscapulohumérale | investigations
CK : N ou légèrement augmenté EMG : myopathique dans muscle atteint biopsie musculaire : changement dystrophique non-spécifique test génétique : faire emblé suspicion clinique
65
dystrophie facioscapulohumérale | traitement
support et réadaptation chirurgie orthopédique (stabilisation omoplate) atelle ou orthèse pour pied tombant
66
dystrophie myotonique de Steinert | génétique
transmission autosomique dominante (19) répétition trinucléotide : CTG phénomène anticipation (nb répétitions augmente transmission maternelle) gène DMPK (encode protéine kinase myotonin, rôle conduction intercellulaire)
67
dystrophie myotonique de Steinert | incidence
1 : 8000 | F = H
68
dystrophie myotonique de Steinert | présentation clinique
``` variable dépend nb de répétitions N = 5- 27 < 800 = début âge adulte moins sévère > 1500 = début période néonatale, plus sévère ```
69
dystrophie myotonique de Steinert | forme classique
début ado à 50 ans faiblesse distale peut s'étendre cou, musculature proximale visage typique : allongé, atrophie masséter, temporal, diplégie faciale, lèvre supérieure en alcôve dysphagie, dyspnée, somnolence, cataracte, endrocrinopathie, calvitie, trouble cognitif, muscle extra-oculaire, myotonie, atteinte cardiaque, réponse ventilatoire
70
dystrophie myotonique de Steinert | forme congénitale (transmission maternelle)
``` hypotonie succion faible, difficulté déglutition diplégie faciale arthrogrypose (contracture) insuffisance respiratoire (fatale 25% des cas) retard mental 75% retard moteur myotonie (plus tard) ```
71
dystrophie myotonique de Steinert | investigations
``` dosage CK : légèrement élevé EMG : myogène, myotonie biopsie musculaire test génétique IRM cérébrale (épaississement voûte crâne, atrophie cérébrale, hypersignaux T2) ```
72
dystrophie myotonique de Steinert | traitement
``` myotonie : dilantin tégrétol procaïnamide mexiletine ```
73
dystrophie oculopharyngée | pathophysiologie
transmission autosomale dominante (haute pénétrance) chromosome 14 protéine PABPN1 (noyau, rôle ARN) répétition trinucléotide GCG (N= 6, DOP = 8 À 13) pas phénomène anticipation prévalence 1 : 1000
74
dystrophie oculopharyngée | présentation clinique
``` début 40-60 ans ptose palpébrale diminution des MEOs (asymptomatique) dysphagie dysphonie faiblesse s'étend ; cou, visage, mastication, ceinture ```
75
dystrophie oculopharyngée | investigations
``` dosage CK : normale à léger élevé test tensilon EMG biopsie (vaccuole autophagique, filament intranucléaire) test génétique ```
76
dystrophie oculopharyngée | traitement
chirurgie ophtalmologique pour ptose myotomie crycopharyngée gastrostomie