exam 4 trouble alimentaire Flashcards
Jeanne-Marcelle, 14 ans, a reçu un diagnostic d’anorexie mentale. Qu’est-ce que son médecin peut affirmer?
A. Il s’agit d’un trouble qui est diagnostiqué seulement au début de l’adolescence
B. L’indice de masse corporelle de Jeanne-Marcelle permet d’évaluer la sévérité de son trouble
C. Jeanne-Marcelle n’aura jamais de comportements de purges
D. C’est une problématique qui répond, généralement, très bien aux traitements
B. L’indice de masse corporelle de Jeanne-Marcelle permet d’évaluer la sévérité de son trouble.
La sévérité est basée sur l’indice de masse corporelle
o Faible: IMC ⩾ 17
o Modérée: IMC 16 à 16,99
o Sévère IMC 15 à 15,99
o Extrême: < 15
A (Il s’agit d’un trouble qui est diagnostiqué seulement au début de l’adolescence) est FAUX car l’Âge d’apparition de l’anorexie mentale = 2 sommets
Jeune adolescent (11-14 ans)
Jeune adulte (18-24 ans)
C (Jeanne-Marcelle n’aura jamais de comportements de purges) est faux car l’anorexie mentale à deux sous-types selon le comportement alimentaire adopté dans les 3 derniers mois:
o restrictive ou boulimique avec purges (mangé une grande quantité de nourriture en peu de temps)
D (C’est une problématique qui répond, généralement, très bien aux traitements ) est faux car les traitements ne marche pas full bien. - Efficacité faible, particulièrement pour l’anorexie
Lequel des éléments suivants ne peut pas être associé à l’hyperphagie boulimique?
A. Les individus qui font de l’hyperphagie boulimique ont habituellement un surplus de poids ou de l’obésité
B. Les individus qui font de l’hyperphagie boulimique n’ont pas de comportements compensatoires
C. Les individus qui font de l’hyperphagie boulimique ressentent une souffrance marquée
D. Les individus qui font de l’hyperphagie boulimique ont un intérêt obsessif envers la nourriture
D. Les individus qui font de l’hyperphagie boulimique ont un intérêt obsessif envers la nourriture.
Lesquels des critères diagnostiques du DSM-5 se rattachent à l’anorexie mentale, tous sous-types confondus?
A. Épisodes récurrents de crises de boulimie
B. Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps ou manque persistant de reconnaître la gravité
C. Restriction alimentaire conduisant à un poids corporel significativement bas
D. Peur intense de prendre du poids ou ou comportements persistants allant à l’encontre de la prise de poids
E. Des comportements compensateurs inappropriés sont adoptés de façon récurrente pour prévenir la prise de poids
F. Manger seul parce qu’on se sent gêné par la quantité de nourriture que l’on absorbe
B. Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps ou manque persistant de reconnaître la gravité
C. Restriction alimentaire conduisant à un poids corporel significativement bas
D. Peur intense de prendre du poids ou ou comportements persistants allant à l’encontre de la prise de poids
Les autres critères diagnostiques se rattache à la boulimie pour :
A. Épisodes récurrents de crises de boulimie
E. Des comportements compensateurs inappropriés sont adoptés de façon récurrente pour prévenir la prise de poids
et L’hyperphagie boulimique à
A. Épisodes récurrents de crises de boulimie
F. Manger seul parce qu’on se sent gêné par la quantité de nourriture que l’on absorbe.
Quelle intervention semble avoir les meilleurs effets pour réduire les symptômes de boulimie?
A. La médication seulement
B. La thérapie cognitive-comportementale seulement
C. La médication combinée à la thérapie cognitive-comportementale
C. La médication combinée à la thérapie cognitive-comportementale.
La deuxième meilleur c’est la tcc et la troisième meilleur la médication.
pour l’L’hyperphagie boulimique, c’est aussi la meilleur combinaison.
C’est l’intervention la plus efficace pour réduire le binge frequency, la préocuppation au poid et la dépression. Avec la meme ordre d’efficacité des autre intervention.
Qui suis-je? Je soutiens que les troubles alimentaires sont causés par une perturbation affective, cognitive et comportementale.
A. La théorie cognitivo-comportementale
B. L’activation psychophysiologique
C. Le modèle tripartite d’influences des troubles alimentaires
D. Le modèle de réponse à l’intervention
A. La théorie cognitivo-comportementale
Soutient que les troubles alimentaires sont causés par une perturbation parmi trois facteurs:
- Une perturbation affective: faible estime de soi
- Une perturbation cognitive: des perceptions erronées concernant le poids, l’image corporelle
- Une perturbation comportementale: restrictions alimentaires
B (L’activation psychophysiologique)
C. (Le modèle tripartite d’influences des troubles alimentaires) est faux car cest :
- L’influence social (des pairs, des parents, des médias) affecte:
- internalisation ou d’une comparaison sociale et entraine:
- Une insatisfaction corporel qui peux être en diete, boulimie, et faible estime de soi.
- *L’influence social peut directement influencer la diète, boulimie et faible estime.
le D est faux car le La réponse à l’intervention (RàI) est une approche récente destinée à contrer le phénomène de l’intervention tardive auprès des élèves en difficulté. Ce modèle est conçu pour améliorer l’apprentissage de tous les élèves. C’est pour les trouble d’apprentissage.
Vrai ou faux. Le trouble de la restriction ou évitement de l’ingestion alimentaire est plus commun chez les garçons que chez les filles.
A. Vrai
B. Faux
B. Faux
La disparité sexuelle est de 1G : 1F
Prévalence du trouble de la restriction ou évitement de l’ingestion alimentaire:
- Concerne environ 1-2% des enfants
o Disparité sexuelle: 1 garçon : 1 fille
- Plus commun chez les enfants qui ont:
o Une ou des maladies (10-49%)
o Une déficience intellectuelle (23-43%)
- Un handicap physique (26-90%)
o Environ le 2/3 de ces enfants sont considérés comme en retard de croissance
o Condition médicale
o Carence nutritionnelle
o Poids en dessous du cinquième percentile
Vrai ou faux? Les pistes d’intervention du pica sont la gestion des antécédents et la manipulation de l’appétit.
A. Vrai
B. Faux
B. Faux
- Les causes spécifiques n’ont pas encore été mises en évidence
o Pas d’évidence de facteurs génétiques - Carence en vitamines ou minéraux
- Peut-être un problème sérieux
o Risque d’intoxication par le plomb ou d’obstruction intestinale - Les traitements sont basés sur l’enseignement aux adultes responsables de l’enfant et le conditionnement opérant et renforcement positif:
o Renforcement positif: renforcement différentiel (renforcer un comportement différent du pica)
o Punition positive: surcorrection (ex : on lui fait laver les dents longtemps si on le prend en train de )