Etiologies des syndromes néphrotiques Flashcards
1
Q
Etiologies des syndromes néphrotiques :
A
Syndrome néphrotique de l’enfant = idiopathique +++ (SNI ou « SN primitif ») :
- !! Syndrome néphrotique idiopathique = 90% des syndromes néphrotiques chez l’enfant (ex- « néphrose lipoïdique »)
- 3 types histologiques
- Lésions glomérulaires minimes (LGM): (80%): bon pronostic : corticosensible
- Hyalinose segmentaire et focale (HSF): (10%): corticorésistant / Insuffisance rénale chronique = 35% des cas
- Prolifération mésangiale diffuse (PMD) : (10%): corticosensibilité et pronostic intermédiaire
- Dans les 3 cas : tubules chargés de vacuoles lipidiques (d’où « néphrose lipoïdique »)
Syndrome néphrotique de l’adulte :
- Néphropathies glomérulaires primitives (60% des cas)
- Glomérulonéphrite extra-membraneuse primitive (GEM): 40%
- Syndrome néphrotique idiopathique : LGM ou HSF : plus fréquents: 20%
- Glomérulonéphrite membrano-proliférative primitive (GMP) : < 2%
- (Rarement, la néphropathie à dépôts diffus d’IgA peut donner un Syndrome néphrotique)
-
Néphropathies glomérulaires secondaires (40% des cas) :
- Diabète +++ : 20%
- Amylose (AL ou AA): 5%
- Lupus érythémateux disséminé (LED) : 5%
- 10% = formes secondaires de
- GEM : cancer / lupus / iatrogène / infectieux (VHB)
- LGM : lymphome / AINS / Lithium
- HSF : drépanocytose / VIH
- GMP : VIH / sepsis
2
Q
Etiologies des syndromes néphrotiques de l’enfant :
A
Syndrome néphrotique de l’enfant = idiopathique +++ (SNI ou « SN primitif ») :
- !! Syndrome néphrotique idiopathique = 90% des syndromes néphrotiques chez l’enfant (ex- « néphrose lipoïdique »)
- 3 types histologiques
- Lésions glomérulaires minimes (LGM): (80%): bon pronostic : corticosensible
- Hyalinose segmentaire et focale (HSF): (10%): corticorésistant / Insuffisance rénale chronique = 35% des cas
- Prolifération mésangiale diffuse (PMD) : (10%): corticosensibilité et pronostic intermédiaire
- Dans les 3 cas : tubules chargés de vacuoles lipidiques (d’où « néphrose lipoïdique »)
3
Q
Etiologies des syndromes néphrotiques de l’adulte :
A
Syndrome néphrotique de l’adulte :
- Néphropathies glomérulaires primitives (60% des cas)
- Glomérulonéphrite extra-membraneuse primitive (GEM): 40%
- Syndrome néphrotique idiopathique : LGM ou HSF : plus fréquents: 20%
- Glomérulonéphrite membrano-proliférative primitive (GMP) : < 2%
- (Rarement, la néphropathie à dépôts diffus d’IgA peut donner un Syndrome néphrotique)
-
Néphropathies glomérulaires secondaires (40% des cas) :
- Diabète +++ : 20%
- Amylose (AL ou AA): 5%
- Lupus érythémateux disséminé (LED) : 5%
- 10% = formes secondaires de
- GEM : cancer / lupus / iatrogène / infectieux (VHB)
- LGM : lymphome / AINS / Lithium
- HSF : drépanocytose / VIH
- GMP : VIH / sepsis
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Q
Etiologies des syndromes néphrotiques :
A
Syndrome néphrotique de l’enfant = idiopathique +++ (SNI ou « SN primitif ») :
- !! Syndrome néphrotique idiopathique = 90% des syndromes néphrotiques chez l’enfant (ex- « néphrose lipoïdique »)
- 3 types histologiques
- Lésions glomérulaires minimes (LGM): (80%): bon pronostic : corticosensible
- Hyalinose segmentaire et focale (HSF): (10%): corticorésistant / Insuffisance rénale chronique = 35% des cas
- Prolifération mésangiale diffuse (PMD) : (10%): corticosensibilité et pronostic intermédiaire
- Dans les 3 cas : tubules chargés de vacuoles lipidiques (d’où « néphrose lipoïdique »)
Syndrome néphrotique de l’adulte :
- Néphropathies glomérulaires primitives (60% des cas)
- Glomérulonéphrite extra-membraneuse primitive (GEM): 40%
- Syndrome néphrotique idiopathique : LGM ou HSF : plus fréquents: 20%
- Glomérulonéphrite membrano-proliférative primitive (GMP) : < 2%
- (Rarement, la néphropathie à dépôts diffus d’IgA peut donner un Syndrome néphrotique)
-
Néphropathies glomérulaires secondaires (40% des cas) :
- Diabète +++ : 20%
- Amylose (AL ou AA): 5%
- Lupus érythémateux disséminé (LED) : 5%
- 10% = formes secondaires de
- GEM : cancer / lupus / iatrogène / infectieux (VHB)
- LGM : lymphome / AINS / Lithium
- HSF : drépanocytose / VIH
- GMP : VIH / sepsis