E1 - C6 - Codes mémoire Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’un code de mémoire ?

A

le format de l’information encodée dans la mémoire

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Q

Nommez trois types de codes de mémoire :

A

physique, phonémique, sémantique

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3
Q

Les codes facilitent _________ et la ______ de la matière encodée.

A

l’encodage et la durabilité de la matière encodé.

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4
Q

On a différentes façons de coder l’information, Baddeley, Papagno et Vallar (1988) travaillent avec une patiente amnésique (P.V.). Elle a un empan de mémoire auditive de 2 à 3 mots.

Qu’est-ce que l’empan de mémoire auditive et sa moyenne dans la population normale ?

A

• L’empan de mémoire auditive:
Le nombre d’items rappelés à partir de la MCT
immédiatement après leur présentation auditive (dans
l’ordre)

• Moyenne: +- 7

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5
Q

Baddeley, Papagno et Vallar (1988) travaillent avec une patiente amnésique (P.V.) et ont des sujets contrôle.

Tâche :
Apprentissage de 8 paires de mots associés: écouter ou lire (Écoute ou présentation visuelle).

a) Présentation auditive Mot – Non-Mot (rosa – svieti)
b) Présentation ______ Mot – Non-Mot
c) Présentation visuelle ____ – ____

Qu’est-ce qu’un non-mot (pseudo-mot) ?

Test :
Présentation du mot de la première paire, Sujet doit
nommer l’item associé.

• Résultats :

A

a) Présentation auditive Mot – Non-Mot (rosa – svieti)
b) Présentation visuelle Mot – Non-Mot
c) Présentation visuelle Mot – Mot

Pseudo-mot / non-mot = présentable, lisible mais pas de sens sémantique.

• Résultats :
Phonémique = les pires résultats
Visuel = amélioration de la performance
Sémantique = meilleur scores. (même pour la patiente amnésique)

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6
Q

Qu’est-ce qu’un non-mot (pseudo-mot) ?

A

Pseudo-mot / non-mot = présentable, lisible mais pas de sens sémantique.

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7
Q

les différents niveaux de traitement de l’information :

Craik et Lockhart (1972) font trois choses :

• Revue de littérature. Leur recherches concluent que
MCT:
MLT:

• Format de l’information:
MCT :
MLT :

• La théorie (approche) des niveaux de traitement:

A

• Revue de littérature :
- MCT = capacité limité, dégradation rapide (dure pas longtemps), capacité courte, vitesse de dégradation rapidement.
Comparativement
- MLT : pas d’oubli, pas bcp de dégradation ici très lente.

• Format de l’information: 
Chevauchement entre MCT et MLT 
(Par exemple, il y a aussi des codes sémantiques en MCT)
Capacité variable dans la MCT 
(ex., regroupements)
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8
Q

Vrai ou faux

Craik et Lockhart (1972) ont montré un chevauchement entre MCT et MLT.

A

VRAI

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9
Q

Vrai ou faux

Craik et Lockhart (1972) montre qu’il y a une capacité variable dans la MCT

A

VRAI

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10
Q

Selon Craik et Lockhart (1972),
Le type de mémoire qui a une capacité limité, une dégradation rapide, une capacité courte ainsi qu’une bonne vitesse de dégradation de l’information est la :

A) MLT
B) MCT
C) MPT
D) MS

A

A) - MCT = capacité limité, dégradation rapide (dure pas longtemps), capacité courte, vitesse de dégradation rapidement.
Comparativement

  • MLT : pas d’oubli, pas bcp de dégradation ici très lente.
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11
Q

• La théorie (approche) des niveaux de traitement de Craik et Lockhart (1972) affirme que les stimuli sont analysés & encodés à des……….

A

Les stimuli sont analysés-encodés à des niveaux de

traitement différents:

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12
Q

Nommez les deux niveau de traitement différent de la théorie (approche) des niveaux de traitement de Craik et Lockhart (1972) :

• Niveau ______
-

A

• Niveaux superficiels
(caractéristiques physiques/ sensorielles/ structurelles)

• Niveaux profonds
(reconnaissance de forme/ signification/ sémantique)

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13
Q

Le niveau de reconnaissance de forme, de signification sémantique est le niveau de traitement _________ théorie (approche) des niveaux de traitement de Craik et Lockhart (1972) dans la

A

Profond

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14
Q

Le niveau de reconnaissance des caractéristiques physiques, sensorielles ou structurelles est le niveau de traitement _________ théorie (approche) des niveaux de traitement de Craik et Lockhart (1972) dans la

A

superficiel

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15
Q

Est-ce que les modèles d’Atkinson-Shiffrin et de Craik et Lockhart peuvent coexister ?

OUI OU NON

A

OUI ! Ces deux modèles peuvent co-exister.

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16
Q

Selon Craik et Lockhart (1972), le produit final de cette analyse (peu importe le niveau de traitement) est une ________ _______

A

Trace mnésique

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17
Q

Selon Craik et Lockhart (1972), la persistance de la trace mnésique _________ en fonction de la _______de l’analyse.

A

La persistance de la trace mnésique augmente en fonction de la profondeur de l’analyse:

• Niveaux superficiels – trace fragile
(caractéristiques physiques/ sensorielles/ structurelles)

• Niveaux plus profonds – trace plus durable
(reconnaissance de forme/ signification/ sémantique)

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18
Q

Vrai ou faux

Selon Craik et Lockhart (1972), chaque niveau d’analyse a son code de mémoire et sa vitesse de dégradation propre.

A

VRAI

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19
Q

Selon Craik et Lockhart (1972), la façon dont la matière est traitée détermine le type de code de mémoire formé, ce qui en retour détermine la ____ ___ ______

IMP

A

détermine la qualité du rappel

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20
Q

Selon le modèle d’Atkinson-Shiffrin, est-ce que la répétition entraîne automatiquement
un apprentissage ?

A

OUI !

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21
Q

La théorie des niveaux de traitement de Craik et Lockhart (1972), est-ce que la répétition entraîne automatiquement un apprentissage ?

A

NON !

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22
Q

Répétition verballe entraine apprentissage OUI avec l’effet de ________ d’Atkinson-Shiffrin = répétition = MLT.

Il proposait que si on s’attarde au matériel (analyse de l’info = meilleur encodage).

Craik et Watkins soutiennent que la répétition n’entraînte pas __________ (théories des niv de trait aussi)

A

avec l’effet de primauté

Craik et Watkins soutiennent que la répétition n’entraînte pas d’apprentissage

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23
Q

Craik et Watkins (1973)
• TÂCHE:
- Écoute de listes de mots
- Rapporter le dernier mot entendu commençant
par une lettre précise
- La lettre était indiquée avant la présentation de la
liste

  • Présentation d’un total de 27 listes
  • Après les listes: test ‘’surprise’’ de rappel libre (MLT)

• MANIPULATION :

  • Nombre d’items (de 1 à 12) entre deux mots commençant par la lettre cible (= durée de répétition)
  • La probabilité de rappel d’un mot à la fin devrait changer en fonction de la durée _____________

• 2 CONDITIONS:

  • Peu d’items entre mots-cibles: peu de répétition / courte durée en MCT
  • …….

• Résultats :
Les mots immédiatement suivis par un autre mot-cible:
- 12 % de mots rappelés
Les mots _______ par 12 items avant un autre mot-cible:
- _____% de mots rappelés

int : On voit a peu prés mm résultats des deux conditions. Rappel très semblable dans les deux condition.

• 3 CONCLUSIONS :

  • Faible différence de rappel selon le nombre de répétition
  • La répétition n’entraîne pas ……
  • Le rappel ne dépend pas directement de ….
A

• MANIPULATION :
- La probabilité de rappel d’un mot à la fin devrait changer en fonction de la durée de maintien en MCT

• 2 CONDITIONS:
- Bcp d’items entre mots-cibles: plus de répétition / longue durée en MCT

• Résultats :
Les mots immédiatement suivis par un autre mot-cible:
- 12 % de mots rappelés
Les mots séparés par 12 items avant un autre mot-cible:
- 15 % de mots rappelés

• 3 CONCLUSIONS :
- Faible différence de rappel selon le nombre de répétition
- La répétition n’entraîne pas automatiquement un
apprentissage
- Le rappel ne dépend pas directement de la répétition

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24
Q

Vrai ou Faux
Selon Craik et Watkins (1973), la probabilité de rappel d’un mot à la fin devrait changer en fonction de la durée de maintien en MCT

A

VRAI

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25
Q

Vrai ou Faux

Selon Craik et Watkins (1973), la répétition n’entraîne pas automatiquement un apprentissage

A

VRAI

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26
Q

Vrai ou Faux

Selon Craik et Watkins (1973), le rappel ne dépend pas directement de la répétition

A

VRAI

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27
Q

Qui démontre que la répétition n’entraîne pas automatiquement un apprentissage ?

A

Craik et Watkins (1973)

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28
Q

Noice (1991) fait un étude sur l’apprentissage des dialogues d’une scène par acteurs et non-acteurs.

• Deux (2) CONDITION:
- Apprentissage « par coeur » (une ligne à la fois, sans possibilité de retour en arrière)
ou
- Apprentissage pour une audition fictive

PAUSE +distraction

• TEST: écrire les lignes dont ils se rappellent et leur état d’esprit associé à l’apprentissage des lignes

• RÉSULTATS:
- Plus _________ chez les acteurs
- Émotions et interaction entre les personnages
- Définition des traits physiques et mentaux du personnage
- Plus de rappel dans les condition___________ vs.
apprentissage par coeur

A

• RÉSULTATS:
- Plus d’élaboration chez les acteurs

  • Plus de rappel dans les condition d’audition fictive vs.
    apprentissage par coeur
29
Q

Qui démontre qu’il y a plus d’élaboration lors de l’apprentissage d’un texte chez les acteurs :

A) Noice (1991)
B) Craik et Watkins (1973)

A

A) Noice (1991)

démontre qu’il y a plus d’élaboration lors de l’apprentissage d’un texte chez les acteurs

30
Q

VRAI ou FAUX

Noice (1991) démontre qu’il y a plus de rappel dans les condition d’audition fictive vs. apprentissage par coeur

A

VRAI

31
Q

Dans la théorie des niveaux de traitement, deux études utilisent l’apprentissage incident et donnent des preuves en faveur de la théorie. Quels sont ces études ?

A

Hyde et Jenkins (1969)

Craik et Tulving (1975)

32
Q

Qu’est-ce qu’une tâche d’apprentissage incident ?

T.IMP.

A

Tâche d’APPRENTISSAGE INCIDENT:
Tâche dans laquelle le participant doit porter des
jugements au sujet de stimuli sans savoir que par la
suite, son rappel de ces stimuli sera testé. C’est donc d’apprendre sans vouloir.

33
Q

Les tâche d’apprentissage incident permettent de :

• Étudier le processus ______________
indépendamment de ________ de mémoriser un
matériel donné
• L’accent est alors mis sur le type de _________
effectué et son résultat sur l’apprentissage

A

• Permet d’étudier le processus d’encodage
indépendamment de l’intention de mémoriser un
matériel donné

• L’accent est alors mis sur le type de traitement
effectué et son résultat sur l’apprentissage

34
Q

Étude de Hyde et Jenkins (1969)
• TÂCHE:
-Apprentissage de 24 mots (12 paires de mots associées; ex.,
rouge – vert, table – chaise), présentés dans un ordre aléatoire

Rappel libre à la fin de l’apprentissage

• CONDITIONS/GROUPES:
1. Apprentissage intentionnel
2. Apprentissage incident: ne savent pas qu’ils doivent
rappeler
a) jugement agréable/désagréable (traitement
sémantique = profond)
b) Présence de la lettre E (traitement structural =
superficiel)
c) Estimation du nbre de lettres (traitement structural =
superficiel)

• HYPOTHÈSE:
- Le traitement _________ (_______) entraîne un meilleur rappel que le traitement ______ (______l)

• RÉSULTATS:

  • Meilleur dans condition 1 et 2a pour les mots rappelés et pour les groupement de mots rappelés
  • Encodage + profond = ______ Rappel ________ = meilleur.

• Conclusions:
Gr. 1 = Gr. 2a:
- L’intention de mémoriser n’a pas eu d’effet direct sur
la mémorisation.
- Ce sont les ___________________________
(_____________) qui déterminent la mise en
mémoire des items.
GR. 1, 2a > 2b, 2c:
Le groupe qui a effectué un traitement _________
lors de l’apprentissage a utilisé la ________ lors du
rappel.

A

• HYPOTHÈSE:
- Le traitement sémantique (profond) entraîne un meilleur rappel que le traitement structural (superficiel)

• RÉSULTATS:
Encodage + profond = rappel + de groupement. Rappel sémantique = meilleur.

• Conclusions:
- Ce sont les activités cognitives de l’encodage
(niveaux de traitement) qui déterminent la mise en
mémoire des items
- Le groupe qui a effectué un traitement sémantique
lors de l’apprentissage a utilisé la signification lors du
rappel. HINT à l’importance du rappel dans la mm ‘‘méthode’’ que l’encodage.

35
Q

Vrai ou faux
Selon Hyde et Jenkins (1969), Le traitement sémantique (profond) entraîne un meilleur rappel que le traitement structural (superficiel).

A

Vrai

36
Q

Craik et Tulving (1975) propose trois types de traitements pour l’encodage. Nommez les et donnez un exemple pour chacun :

• Traitement\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_:
P.ex. :
• Traitement \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_:
P.ex. :
• Traitement \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_:
P.ex. :
A

• Traitement structural:
Le mot est-il en majuscule?
-Code basé sur look du mot

• Traitement Phonémique:
Le mot rime-t-il avec FÊTE?
- Code basé sur prononciation.

• Traitement sémantique:
Le mot peut-il s’intégrer dans la phrase….?
- Code basé sur la mémoire (MLT) sur le sens du stimulus (sens du mot p.ex.)

37
Q

Selon Craik et Tulving (1975), quel traitement est basé sur la pronociation d’un mot ?

A

• Traitement Phonémique:
Le mot rime-t-il avec FÊTE?
- Code basé sur prononciation.

38
Q

Selon Craik et Tulving (1975), quel traitement est basé sur le sens d’un mot ?

A

• Traitement sémantique:
Le mot peut-il s’intégrer dans la phrase….?
- Code basé sur la mémoire (MLT) sur le sens du stimulus (sens du mot p.ex.)

39
Q

Selon Craik et Tulving (1975), quel traitement est basé sur l’écriture physique (police p.ex.) d’un mot ?

A

• Traitement structural:
Le mot est-il en majuscule?
-Code basé sur look du mot

40
Q

Étude de Craik et Tulving (1975) :

• TÂCHE:

  • Apprentissage incident de mots (présentation visuelle brève)
  • Chaque mot est précédé d’une question qui favorisait une des

Les participants ne savaient pas qu’ils allaient être testé sur les mots. = Apprentissage incident !

• 3 conditions:

  • Traitement ____________
  • Traitement ____________
  • Traitement ____________

• TEST:
Test de reconnaissance sur les mots présentés:
-On mesure la proportion de reconnaissance correcte
-On mesure aussi la vitesse de réaction (vitesse de la
réponse)

• HYPOTHÈSE:
La reconnaissance devrait changer en fonction de la
profondeur du traitement.

• RÉSULTATS:
- Vont en ordre de _________. I.e. : ….

• Reconnaissance en fonction de la ______ de traitement:

structural _____ phonémique ____sémantique

A

• 3 conditions :
- Traitement structural:
Le mot est-il en majuscule?
-Code basé sur look du mot

  • Traitement Phonémique:
    Le mot rime-t-il avec FÊTE?
  • Code basé sur prononciation.
  • Traitement sémantique:
    Le mot peut-il s’intégrer dans la phrase….?
  • Code basé sur la mémoire (MLT) sur le sens du stimulus (sens du mot p.ex.)

• HYPOTHÈSE:
La reconnaissance devrait changer en fonction de la
profondeur du traitement.

• RÉSULTATS:
Vont en ordre de profondeur. I.e. : Les résultats plus médiocre sont avec le traitement de surface : Le traitement structurale. Intermédiaire avec traitement phonémique et meilleur avec traitement sémantique. Les TR suivent le % de bonnes réponses. I.e. : Rapide dans le traitement de structurale, intermédiaire avec traitement phonémique et plus long avec traitement sémantique.

Temps de réponse:
Q sémantiques=TR plus long
Q structurales=TR moins long
Reconnaissance:
Q sémantique=meilleur
Q structurales=moins

• Reconnaissance en fonction de la profondeur de traitement:
structural < phonémique < sémantique

41
Q

Selon l’étude de Craik et Tulving (1975), ce n’est pas la durée de traitement qu’il fait en sorte de donner une meilleure reconnaissance. Les sujets ont __________ à une niveau plus ___________et c’est cela qui donne de meilleure reconnaissances (donc, de meilleurs résultats).

La durée du traitement n’est pas importante. Ce qui importe, c’est le __________ l’information à été encodé (la _______________)

A

Selon l’étude de Craik et Tulving (1975), ce n’est pas la durée de traitement qu’il fait en sorte de donner une meilleure reconnaissance. Les sujets ont encodé à un niveau plus profond et c’est cela qui donne de meilleure reconnaissances (donc résultats).

Durée du traitement non importante. Ce qui importe, c’est le comment l’information à été encodé (la profondeur de traitement & quel traitement utilisé)

42
Q

Vrai ou faux

Selon l’étude de Craik et Tulving (1975), la durée du traitement n’est pas importante. Ce qui importe, c’est le comment l’information à été encodé (la profondeur de traitement)

A

VRAI

43
Q

Craik et Tulving (1975) - VARIANTE
Créer une tâche structurale qui demande du temps

• TÂCHE d’apprentissage incident (même que précéd.)

• CONDITIONS:
-Traitement structural:
Le mot correspond-t-il à la séquence voyelle-consonne:
CCVVC ? (plaid – OUI, foire – NON)
- Traitement sémantique:
Le mot peut-il s’intégrer dans la phrase….?

• RÉSULTATS:
- Traitement sémantique s’est avéré …..

• Pourquoi cette manipulation de la tâche ?
T”IMP

A

• RÉSULTATS:
- Traitement sémantique s’est avéré plus court mais plus
efficace

  • C’est la qualité du traitement qui est critique et non sa
    durée

Pourquoi cette manipulation de la tâche ?
Car dans leur 1er étude, le traitement structural prenait le moins de temps et avait les moins bons résultats. Comment s’assurer que ce n’est pas simplement un effet de temps passer à apprendre / voir ces mots ? Faire une variante de la même tâche mais plus longue et regarder les résultats !

44
Q

Pourquoi cette variante / manipulation de la tâche de Craik et Tulving (1975) ?

A

Car dans leur 1er étude, le traitement structural prenait le moins de temps et avait les moins bons résultats. Comment s’assurer que ce n’est pas simplement un effet de temps passer à apprendre / voir ces mots ? Faire une variante de la même tâche mais plus longue et regarder les résultats !

45
Q

Peut-on avoir de la variabilité dans un type de code (p.ex. : traitement sémantique avec diff codes dedans) ?

A

OUI

46
Q

Élaboratoin c’est ce qu’on met autour de ______ à rapeller.

Ces codes se distinguent des autres. L’étendu de l’élaboration sémantique favorise rappel. Le nombre et le type autour de _____ à rapeller aide son rappel.

A

autour de l’item à rapeller

47
Q

Plus les codes se distinguent, meilleur sera ______

A

l’encodage donc la mémoire !

48
Q

Quels sont les deux limites aux théories des niveaux de traitement ?
1.
2.

A
  1. Degré d’élaboration:
    - les codes plus élaborés permettent une meilleure
    mémoire
  2. Singularité:
    - les codes les plus distinctifs entraînent une meilleure
    mémoire
49
Q

Le rôle de la complexité de l’élaboration est central dans l’élaboration des codes de mémoire. Craik et Tulving (1975) montre que plus c’est complexe / plus élaboré = plus ____________ stockées.

A

plus c’est complexe / plus élaboré = plus d’associations stockées

50
Q

Craik et Tulving (1975)
• TÂCHE:
- Jugement sémantique: est-ce qu’un mot peut compléter une phrase?

• CONDITIONS - 3 niveaux de complexité sémantique:

  1. Simple: Elle a cuit la _____
  2. Moyen: La _____ mûre avait un goût délicieux
  3. Complexe: La petite dame ramassa la _____ rouge avec colère

• Résultats principaux:
-La proportion de rappel correct augmente en fonction de _________________

-La performance est encore meilleure avec le ______________

A

• Résultats principaux:
-La proportion de rappel correct augmente en fonction de la complexité

-La performance est encore meilleure avec le rappel indicé

51
Q

-

A
  • Craik et Tulving (1975)

- Stein et Bransford (1979)

52
Q

Stein et Bransford (1979)
Le rôle de l’élaboration spécifique
• TÂCHE:
Apprentissage incident de mots inclus dans des phrases (n = 10)

• CONDITIONS:
1. Contrôle:
Le gros homme lisait le panneau

  1. Élaboration non-spécifique:
    Le gros homme lisait le panneau dont la hauteur était de soixante centimètres
    - Matériel additionnel sans lien avec le matériel remémoré
  2. Élaboration spécifique:
    Le gros homme lisait le panneau qui l’avertissait de la minceur de la glace
    - Information supplémentaire, en rapport avec le matériel remémoré
  3. Élaboration générée:
    - Le sujet génère lui-même une élaboration

TEST ‘‘surprise’’ – rappel indicé :

• Résultats :
1. Contrôle:

  1. Élaboration non-spécifique:
  2. Élaboration spécifique:
  3. Élaboration générée:

DONC :
Non spécifique = _________
Spécifique = _________

• CONCLUSIONS:
- La ________ de l’élaboration est déterminante pour le ____________
- Une _______ en lien avec les items à encoder favorise un meilleur _______ (gros homme dans le contexte glace peu épaisse)
- L’élaboration non-spécifique semble ______ au rappel
- Les élaboration auto-générées semblent aussi être
efficaces

A

• Résultats :

  1. Contrôle: 4,2 mots
    Le ____ homme lisait le panneau
  2. Élaboration non-spécifique: 2,2 mots
    Le ____ homme lisait le panneau dont la hauteur était de soixante centimètres
    - La hauteur du panneau n’est pas en relation avec gros
  3. Élaboration spécifique: 7,8 mots
    Le ____ homme lisait le panneau qui l’avertissait de la minceur de la glace
    - La minceur de la glace est en rapport avec le poids **
  4. Élaboration générée: 5,8 mots

DONC :
Non spécifique = baisse de performance
Spécifique = Meilleure performance

• CONCLUSIONS:
- La précision de l’élaboration est déterminante pour le
rappel
- Une élaboration en lien avec les items à encoder favorise un meilleur rappel (gros homme dans le contexte glace peu épaisse)
- L’élaboration non-spécifique semble nuire au rappel
- Les élaboration auto-générées semblent aussi être
efficaces

53
Q

La singularité des codes de mémoire mise de l’avant par Schmidt (1991). Qu’est-ce que la singularité ?

Elle diminue …

A

La singularité diminue l’interférence avec les autres souvenirs.

54
Q
Classification des différents types de singularité de Schmidt (1991):
1. 
2.
3.
4.
A

Classification de Schmidt (1991):

  1. Singularité primaire
  2. Singularité secondaire
  3. Singularité émotionnelle
  4. Singularisation
55
Q

Selon Schmidt (1991), qu’est-ce que la singularité primaire ?

Définition :

Exemple :

A

Définition :
La différence est relative au contexte immédiat.

Forte probabilité de rappel car singulier au contexte immédiat.

Inhibition proactive = ? Rappel de consonne VS chiffre (avoir exemple en tête)

Exemple :
table crayon assiette fenêtre livre tableau
= Mots tous en rouge sauf le mot livre en noir gras. = On s’en souviens plus de lui.

56
Q

Selon Schmidt (1991), qu’est-ce que la singularité secondaire ?

Définition :

Exemple :

-

A

Définition :
Dépend des informations contenues dans la MLT. (Par la forme autographique des mot que je connais en MLT.)

Exemple :
Une forme orthographique inhabituelle. Bizarrement écrit (nouvelle police)

MAIS effet disparaît si :

  • Lettres des mots sont toutes en majuscules similaires (même police d’écriture)
  • Présenté de façon auditive

Majuscule & auditif = effet disparaît

57
Q

Selon Schmidt (1991), qu’est-ce que la singularité émotionnelle ?

Définition :

Exemple :

A

Définition :
Items produisant une forte réaction émotionnelle

Exemple :
Flashbulb memory: souvenir d’un événement
important ayant causé une réaction émotionnelle

58
Q

Selon Schmidt (1991), qu’est-ce que la singularisation ?

Définition :

Exemple :

A

Définition :

Exemple :

59
Q

Qu’est-ce qu’un ‘‘Flashbulb memory’’ selon Schmidt (1991) ?

C’est un exemple de quel type de singularité ?

A

Flashbulb memory: souvenir d’un événement important ayant causé une réaction émotionnelle

Exemple de la singularité émotionnelle ?

60
Q

Weaver (1993) questionne le rôle de la singularité émotionnelle.

• Tâche :
Tester mémoire d’un événement émotionnel et d’un événement ordinaire 3mois et 1 ans.

• Résultats :

  • aucune différence au niveau de l’exactitude entre les 2 types de souvenirs
  • différences au niveau de la ________ (+ grande pour souvenir émotionnel)
  • En partie du à l’apport de l’amygdale
A

• Résultats :
- Les événements émotionnelle ne serait pas les mieux rapeller. Ils tests souvenirs. 3 mois et 1 ans après événements.

  • Gens rappel souvenir émotion = plus confiant de ce souvenir. Le niv confiance change et pas exactitude IMP

Différence au niveau de la confiance ! Le gens ne sont pas meilleur mais ils sont plus confiants.

61
Q

Qu’est-ce que la singularisation ?

A

Création d’un code de mémoire qui rend un souvenir
encore plus distinct des autres
• Ex., caricatures > visages originaux

62
Q

Mauro & Kubovy, 1992:

• Tâche :
Présentation de 100 visages
Sujet doit reconnaître parmi 300 visages (100 nouveaux, 100 vieux, 100 caricatures des vieux)

• RÉSULTATS:
- Meilleure reconnaissance des ______, traits exagérées vs reproduction exacte. Pourquoi ?

A

• RÉSULTATS:
- Meilleure reconnaissance des caricatures, traits exagérées vs reproduction exacte

Car : Crée une caricature = singularisation = exagérations de traits du visage = meilleur rappel visages

63
Q

Degré de singularité:

Les codes sémantiques > les codes phonémiques?

  • Le nombre relativement restreint de phonèmes implique que les codes phonémiques se chevauchent plus (moins singuliers)
  • Le nombre de significations (de sens qu’on peut attribuer et de lien qu’on peut faire entre des items) est illimité (donc plus singulières)
A

Les codes sémantiques > les codes phonémiques?

On ne peut pas dire

64
Q

Qu’est-ce que le principe de spécificité de l’encodage ?

A

Une théorie selon laquelle l’efficacité d’un indice de
rappel dépend de la mesure dans laquelle il établit un
bon rapport avec l’encodage initial d’un item

65
Q

La relation entre indice de rappel et les caractéristiques des traces mnésiques indique que le meilleur indice de rappel est un indice qui reproduit le contexte original.

Le rappel est meilleur lorsque les sujets sont testés
dans des conditions ____________ leur humeur au
moment de l’encodage.

Donnez un exemple :

A

Le rappel est meilleur lorsque les sujets sont testés
dans des conditions reproduisant leur humeur au
moment de l’encodage.

  • Ex.: Mémoire en fonction de l’humeur:

Se mettre dans mm contexte / état humeur (calme VS non calme) = meilleure rappel.

66
Q

Fisher & Craik, 1977

• TÂCHE apprentissage incident:
Encodage de mots (ex. grêle) dans des jugements différents: par exemple de rimes (phonémique) ou d’association (sémantique)
- Phonémique: « rime avec zèle? »
- Sémantique : « associé à neige? »

• RAPPEL : encodage phonémique:
Indice de rappel:
- Identique: « rime avec zèle? »
- Similaire: « rime avec frêle? »
- Différent: « associé à verglas? »

• HYPOTHÈSE:
Le contexte d’encodage identique devrait fournir le ___________, suivi du contexte similaire, et le contexte différent sera le ______ efficace ?

• RÉSULTATS :
Confirme l’hypothèse.
- Condition ….
- Encodage sémantique est meilleur lorsque ….

A

• HYPOTHÈSE:
Le contexte d’encodage identique devrait fournir le meilleur rappel, suivi du contexte similaire, et le contexte différent sera le moins efficace?

• RÉSULTATS :
Condition encodage et rappel Pareil = meilleur résultats.

Encodage sémantique = meilleur lorsque le rappel est indicé sémantiquement.

67
Q

Le traitement approprié au transfert, c’est d’avoir un encodage du matériel qui …..

A

Encodage du matériel qui tient compte de la façon

dont celui-ci sera utilisé ultérieurement

68
Q

Acquisition en vue de la résolution de problèmes nécessite un encodage du matériel sous une forme qui le rend utile dans le cadre d’une …..

ET

Acquisition en vue de la restitution des faits nécessite un encodage du matériel sous une forme …..

DONC:
Si on encode en fonction ….

A

Acquisition en vue de la résolution de problèmes nécessite un encodage du matériel sous une forme qui le rend utile dans le cadre d’une résolution de problème ultérieure

ET

Acquisition en vue de la restitution des faits nécessite un encodage du matériel sous une forme accentuant la
connaissance factuelle et non ses applications

DONC:
Si on encode en fonction de comment le rappel va devoir être fait = meilleur résultats.

69
Q

Différences et similarités entre

  • Spécificité de l’encodage (1)

et

  • Traitement approprié au transfert (2)

1 – > l’encodage –> 2 –> récupération / rappel.

Nous devons maximiser la similarité entre l’encodage et la récupération / rappel

Quelles sont les différences entre 1 et 2 ?
- Principalement, au niveau de la ______________.

A

2 veulent favoriser ++ similarité entre encodage et rappel.

Différence : au niveau de la prise de décision.
Pour la théorie sur spécificité encodage = au moment du rappel, on doit tenté d’aller trouver des indices de récupération pour retrouver info.

AUTRE : au moment de l’encodage, je réfléchi à comment je vais devoir rappeller afin d’avoir plus similitude.

Théories spécificité encodage = au moment rappel trouver cmt maximiser rappel. 2 Moments différent.

Faudrait faire les deux. Pendant deans rappel : comment aller récupéré. DIff = à quel moment on pense à ca