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PSY-4071 > E1 - C3 - Attention > Flashcards

E1 - C3 - Attention Flashcards

1
Q

Seon Willan James (1890), dans son livre ‘‘Principles of Psychology’’ (1890) l’attention c’est :

C’est la prise de possession par l’esprit, dans une forme claire et vive, d’un ________ parmi ce qui paraît être __________ _______ ou plusieurs _______ ___ _____ simultanément possible.

L’attention, c’est donc l’activité par laquelle un sujet augmente son efficacité à l’égard du traitement de ….

A

C’est la prise de possession par l’esprit, dans une forme claire et vive, d’un élément parmi ce qui paraît être plusieurs objets ou plusieurs cours de pensées simultanément possibles.

L’attention, c’est donc l’activité par laquelle un sujet augmente son efficacité à l’égard du traitement de certains contenus psychologiques

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2
Q

Qu’est-ce qui constitue l’essence de l’attention ?
1.
2.
3.

A
  1. Focalisation,
  2. concentration
    et
  3. conscience
    en constituent l’essence.
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3
Q

L’attention se divise en deux grand concepts :
1.
2.
Deux choses que l’attention donne.

A
  • SÉLECTIVITÉ

* CAPACITÉ

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4
Q

La sélectivité attentionnelle c’est :

Déf:

A

•Porter attention à certains aspects de l’environnement et en ignorer d’autres

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5
Q

Pourquoi la sélectivité attentionnelle est importante ?

I.e. : elle est nécessaire pour ….

A

Nécessaire pour éviter une surcharge d’informations

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6
Q

Donnez un exemple de sélectivité attentionnelle :

A

suivre une conversation dans un 5 à 7

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7
Q

Suivre une conversation dans un 5 à 7 est ce qu’on qualifie de ________ __________

A

sélectivité attentionnelle

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8
Q

-à un effort _____,
-À une capaicité, i.e., une ….

A

Concentration,
Effort mental,
capacité (quantité d’information / volume)

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9
Q

Qu’est-ce que signifie capacité (en tant que volume dans l’attention) ?

A

volume de capacité mentale nécessaire pour réaliser une tâche. Réfère aussi à la concentration et l’effort mental.

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10
Q

La capacité attentionnelle implique également que nous avons la capacité de ….

A

Implique avoir la capacité de partager son attention

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11
Q

Il y a plusieurs types d’attentions. Selon la définition où l’emphase est mises sur 3 concepts, nous allons focaliser sur les 3 principaux qui sont :

  1. Attention ______
  2. Attention ______
  3. Attention ______
A
  1. L’attention soutenue
  2. L’attention sélective
  3. L’attention divisée
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12
Q

Définissez 1. l’attention soutenue :

A

Capacité à garder des ressources mentales dans un état d’attente et de préparation pour réagir efficacement à un stimulus peu fréquent ou peu probable.

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13
Q

Donnez un exemple de l’attention soutenue :

A

La Vigilance

Aller à la pêche et quand canne bouge = attention soutenue.

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14
Q

La vigilence serait un exemple d’attention _______

A

attention soutenue

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15
Q

En laboratoire, on étudie l’attention soutenue avec des tâches de ________.

Par exemple, la tâche de _______ avec des soldats.
Décrivez la tâche :
Donnez les résultats :

Quelle est l’application clinique ?

A

des tâches de vigilances

Par exemple, la tâche de l’horloge avec des soldats.

Décrivez la tâche :
Détecter les bond irréguliers d’une aiguille pendant un long moment.

Donnez les résultats :
La performance baisse avec le temps.

Quelle est l’application clinique ?

  • Neuropsychologie par ex., évaluation du TDAH: CPT (attention soutenue visuelle), A-CPT (attention soutenue auditive).
  • Répondre a tous les signaux, sauf un, qui est peu fréquent.
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16
Q

Les tâches monotones, longues, et qui doivent être longues servent à tester ___________.

A

La vigilance

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17
Q

On mesure l’attention soutenue avec des tâches …

A

Tâches longues, monotones, qui demandent vigilance; sujet devra répondre d’une certaine façon à un stimulus peu fréquent pendant un long moment.

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18
Q
  1. L’attention sélective est..

Définition :
La capacité à …

Implication :

A

Définition :
Capacité à focaliser l’attention sur un type ou une source d’information en évitant les stimulations environnantes ou les messages non-pertinents

Implication :
Implique des stimulations multiples

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19
Q

Des exemples de l’attention sélective sont, selon les situations suivantes.

Dans la vie quotidienne :

En clinique :

En laboratoire :

A

•Dans la vie quotidienne:
Compléter un examen dans une classe où les gens parlent, les téléphones vibrent, etc…

•En clinique:
Barrer toutes les cibles en ignorant tous les distracteurs (ex; Tea-Chsous-test Recherche dans le ciel)

•En laboratoire:
Les études de shadowing (faire écho)

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20
Q
  1. L’attention divisée ou partagée, en bref c’est :
  • Traitement …
  • Implique que…

P.ex. :

A
  • Traitement simultané de plusieurs tâches ou informations
  • Implique des stimulations multiples et une distribution des ressources mentales

P.ex. : Lorsque le sujet a la volonté de suivre deux messages en même temps

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21
Q

Des exemples de l’attention divisée ou partagée sont, selon les situations suivantes :

Dans la vie quotidienne :
•
•
•

Dans les études en laboratoire :
•

A

Dans la vie quotidienne:
•Prendre des notes en écoutant le cours
•Conduite automobile
•Suivre deux conversations en même temps

Dans les études en laboratoire:
•Doubles tâches

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22
Q 
Quelles sont les deux principales théories de l'attention ?
• Théorie du \_\_\_\_\_\_
-Se divise en 3
• Les théories de la \_\_\_\_\_\_\_
-Se divise en 3
A
  • Théorie du goulot

* Les théories de la capacité

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23
Q

Les théories du goulot se divise en trois modèles :

1.
2.
3.

A
  1. Le modèle du filtre de Broadbent
  2. Le modèle d’atténuation de Treisman
  3. Le modèle de la mémoire sélective de Deutsch et Norman
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24
Q

Les théories du goulot (comme un entonnoir) affirment que :

  • L’attention agit comme un ….
  • Un seul message peut être traité à …
A
  • L’attention agit comme un filtre sélectif, un canal unique

* Un seul message peut être traité à un moment donné dans le temps: limite structurale du système

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25
Q

Broadbent a basé son modèle sur l’idée qu’un seul ________ peut être ______ à un ________ donné dans le temps. Ceci est une ________ __________ du système.

A

qu’un seul message peut être traité à un moment donné dans le temps.

Ceci est une limite structurale du système.

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26
Q

Le modèle du filtre de Broadbent (1958) est basé sur son expérimentation de 1954.

• Tâche:
Présentation de …

P.ex. :

• Deux groupe :
Groupe 1 :
Groupe 2 :

• Résultats :

A

•Tâche :
présentation de séquences de paires de chiffres différents simultanément dans 2 oreilles.

P.ex. :
Oreille gauche = 7, 4, 1.
Oreille droite = 3, 2, 5

•Groupes :
Grp 1:
- L’intervalle fixe de ½ sec entre les paires
- Rapporter les chiffres dans l’ordre de leur choix

Grp 2:

  • lntervalle variable (½ sec, 1 sec, 1½ sec, 2 sec)entre les paires
  • Rapporter les chiffres dans l’ordre de leur arrivée (la 1ere paire de chiffre, la 2, etc.) (ex., 73 –42 –15, ou 37 –24 -51)

• Résultats :
Grp 1 (ordre de leur choix) :
= 65% de bonnes réponses
- Presque toutes les bonnes réponses étaient rapportées pour une oreille d’abord et pour l’autre ensuite (741-325)

Grp 2 : (devait rappeler dans l’ordre d’arrivée)

  • Mauvaise performance intervalle court
  • Meilleure performance avec intervalle plus long
  • Globalement: performance moins bonne que le groupe 1
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27
Q

Qu’est-ce que le modèle du filtre de Broadbent (1958) ?

A

Selon cette proposition, un effet de goulot se produit lors de l’étape de la reconnaissance de formes et l’attention est ce qui détermine quelle information attendra cette étape. (Donc, l’attention agit en filtre & en sélection)

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28
Q

Dans le modèle du du filtre de Broadbent (1958), qu’est-ce que le canal perceptif à capacité limitée ?

A

Dans le modèle du du filtre de Broadbent (1958), c’est l’étape de la reconnaissance de formes qui est protégée par le filtre (l’attention) contre les surcharges d’informations perceptives.

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29
Q

Le filtre (l’attention) a également la charge de _________ la reconnaissance de forme contre les ________ __________ perceptives.

A

Le filtre (l’attention) a également la charge de protéger la reconnaissance de forme contre les surcharges d’informations perceptives.

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30
Q

Décrivez le modèle du du filtre de Broadbent (1958) :

Dessin et explications.

Le déplacement du dit clapet demande ?

A

Comme un Y où chaque traits du haut représente une oreille.

Il y aurait un clapet (une valve / porte) qui est une représentation du filtre attentionnel, qui décide de fermé une oreille (ouvrant l’accès à l’autre).

L’information se rendant dans la partie inférieur (linéaire) du Y, nommé canal perceptuel, sera celle qui sera traité.

Le déplacement de l’attention (le clapet) demande du temps et de l’effort!

Clapet décide ce qui entre dans canal perceptuel.

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31
Q

Dans le modèle de Broadbent (1958), le déplacement de l’attention (le clapet) demande :

A) du temps
B) de l’effort
C) de la concentration
D) A et B

A

D), A et B
I.e. :
Le déplacement de l’attention (le clapet) demande du temps et de l’effort

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32
Q

Vrai ou faux :

Le clapet décide ce qui entre dans canal perceptuel.

A

Vrai ! Dans le modèle de Broadbent, c’est le cas !

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33
Q

En prenant en compte le modèle du filtre (du clapet) de Boradbent (1958), les résultats expérimentaux du même auteur de 1954 signifique quoi ?

• Résultats de 1954 :
Grp 1 (ordre de leur choix) :
- = 65% de bonnes réponses
- Presque toutes les bonnes réponses étaient rapportées pour une oreille d’abord et pour l’autre ensuite (741-325)

Grp 2 : (devait rappeler dans l’ordre d’arrivée)

  • Mauvaise performance intervalle court
  • Meilleure performance avec intervalle plus long
  • Globalement: performance moins bonne que le groupe 1
  • À la lumière du modèle du filtre / clapet, les résultats signifie :
  • Ces résultats démontrent l’implication de la ________ ________
A

• Résulats avec le modèle du clapet :

Groupe 1: (ordre choix):

  • un seul déplacement du clapet.
  • Peu couteux en temps et en effort

Groupe 2:(ordre d’arrivée):

  • bcp de déplacement de clapet!
  • intervalle court: clapet n’a pas le temps d’aller et revenir
  • intervalle plus long: il y a plus de temps pour déplacer le clapet, la performance s’améliore

• Ces résultats démontrent l’implication de la mémoire sensorielle (MS)
+/- 2 secondes.
Donc on ne peut pas tout y conserver.
L’info en MS se dégrade rapidement

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34
Q

Le modèle du filtre de Broadbent (1958) supporte un modèle de la sélection précoce. Signifiant :

  • le filtrage se fait sur la base ……
  • le filtrage prend lieu …..
A
  • le filtrage se fait sur la base des caractéristiques perceptuelles, physiques
  • Le filtrage prend lieu avant que les stimuli soient analysés au niveau sémantique
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35
Q

Vrai ou faux ?

Selon le modèle du filtre de Broadbent (1958), qui supporte un modèle de la sélection précoce, le filtrage se fait sur la base des caractéristiques physiques et/ou perceptuelles

A

vrai

•le filtrage se fait sur la base des caractéristiques perceptuelles, physiques

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36
Q

Vrai ou faux

Selon le modèle du filtre de Broadbent (1958), qui supporte un modèle de la sélection précoce, le filtrage prend lieu après que les stimuli soient analysés au niveau sémantique.

A

Faux

Le filtrage prend lieu AVANT que les stimuli soient analysés au niveau sémantique

(Filtre avant reconnaissance des formes (RF) dans le modèle de Broadbent)

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37
Q

Dans le modèle du filtre de Broadbent (1958),

Input —>_________ —> ___________ Reconnaissance des formes (RF) (Détection) ___________ MCT —->

A

Input —> Registre sensoriel —> FILTRE Reconnaissance des formes (RF) (Détection) Sélection MCT —->

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38
Q

Vrai ou faux

Selon le modèle du filtre de Broadbent (1958), qui supporte un modèle de la sélection précoce, le filtrage prend lieu avant que les stimuli soient analysés au niveau sémantique.

Faire dessin au besoin

A

Vrai

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39
Q

Définissez les points 1 à 4 du modèle du filtre de Broadbent (1958) :

Input/Message —> 1.Registre sensoriel —> 2.FILTRE 3.Reconnaissance des formes (RF) (Détection) Sélection 4.MCT —->

1.
2,
3.
4.

A
  1. Le registre sensoriel: garde l’information pendant une courte période de temps
  2. Le filtre: trie, sélectionne et fait une analyse des messages basée sur les propriétés physiques seulement (le ton de la voix, la fréquence, la localisation de stimuli) Il fonctionne de façon sérielle (1 à la fois en série)**
  3. Le détecteur: traite l’information, détermine le sens (L’étape de la reconnaissance de formes)
  4. La mémoire à court terme: garde l’information pour le traitement plus général
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40
Q

Vrai ou faux

Selon Broadbent (1958) le filtre fonctionne de façon sérielle.

A

Vrai

Sérielle (1 à la fois en série)**

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41
Q

Ce qui trie et sélectionne et fait une analyse des messages basée sur les propriétés physiques seulement (le ton de la voix par exemple) est, selon le modèle de Broadbent 1958 …

A) La mémoire à court terme
B) Le détecteur
C) Le filtre
D) registre sensoriel

A

C) Le filtre

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42
Q

Ce qui conserve l’information pendant une courte période de temps est, selon le modèle de Broadbent 1958 …

A) La mémoire à court terme
B) Le détecteur
C) Le filtre
D) registre sensoriel

A

D) registre sensoriel

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43
Q

Ce qui garde l’information pour le traitement plus général est, selon le modèle de Broadbent 1958 …

A) La mémoire à court terme
B) Le détecteur
C) Le filtre
D) registre sensoriel

A

A) La mémoire à court terme

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44
Q

Ce qui traite l’information et détermine le sens (L’étape de la reconnaissance de formes) est, selon le modèle de Broadbent 1958 …

A) La mémoire à court terme
B) Le détecteur
C) Le filtre
D) registre sensoriel

A

B) Le détecteur

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45
Q

Cherry 1953 arrive avec une étude qui soutien le modèle de Broadbent. On peut dire que son étude soutien l’hypothèse du _____ ______ de Broadbent

A

soutien l’hypothèse du canal unique

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46
Q

Cherry 1953 a une tâche d’écoute __________.

A

D’écoute dichotique (‘dichotic listening’)

Cherry (1953)

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47
Q

Décrivez l’étude de Cherry 1953 (écoute dichotique)

•Présentation de stimuli différents à chaque oreille (comme Boradbent)

•Les participants doivent porter attention à …..
ET
•_________ __________ le message entendu à voix haute.

• Puis, on questionne le sujet sur …

A

•Présentation de stimuli différents à chaque oreille

•Les participants doivent porter attention à une seule oreille et ignorer l’autre
ET
•Répéter immédiatement le message entendu à voix haute

•On questionne ensuite le participant sur le contenu du message.

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48
Q

Donnez les résultats de Cherry 1953 (écoute dichotique)

Résultats :
1-
2-
•
•
•
A

Résultats:
1)Bonne performance de répétition du message écouté

2)Pour le message de l’oreille ignorée:
•Non-perçu : le contenu des message dans l’oreille ignorée (sémantique)
•Non-perçu : anglais –l’allemand (plus sémantique)
•Perçu : voix féminine –masculine (physique)

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49
Q

Les résultats de Cherry 1953 (écoute dichotique) soutiennent l’idée que le filtre se situe _______ que les stimuli soient analysés à un niveau plus profond (niveau _________)

A

le filtre se situe avant que les stimuli soient analysés à un niveau plus profond (niveau sémantique)

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50
Q

Quels sont les problèmes avec le modèle du filtre de Broadbent ?

Donnez un exemple :

A

Entendre son nom sans porter attention? Possible ! mais pas expliqué / explicable par ce modèle.

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51
Q

Les résultats de Moray (1959) montrent que :

• Les sujets entendaient ….
Donc :
•
•

A

• Les sujets entendaient leurs noms dans une séquence de stimuli présentés dans l’oreille ignorée.

Donc:
• Il est impossible d’ignorer certaines informations importantes (ex., son nom, le mot «feu»)

• On peut rapporter des informations provenant du canal ignoré

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52
Q

Vrai ou faux

Selon Moray, 1959, on peut rapporter des informations provenant du canal ignoré.

A

Vrai

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53
Q

Vrai ou faux

Selon Moray, 1959, est possible d’ignorer certaines informations importantes (ex., son nom, le mot «feu»)

A

FAUX

C’est impossible

• Il est impossible d’ignorer certaines informations importantes (ex., son nom, le mot «feu»)

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54
Q

Treisman (1960) remarque un autre problème dans e modèle du filtre de Broadbent (1958).

Principalement, il observe une …

Donc :

A

Principalement, il observe une intrusion du canal ignoré.

Donc :
1) Les sujets entendaient 2 messages distincts mais simultanés dans chaque oreille.

2) Ils devaient rapporter une seule oreille et ignorer l’autre.

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55
Q

Quels sont les deux problèmes majeurs avec le modèle du filtre de Broadbent (1958) ?

Nommez les auteurs qui ont rapporté ces problèmes.

A

Moray, 1959 montre qu’il est possible d’entendre un son sans y porter attention. De plus, il soutient qu’il est est impossible d’ignorer certaines informations importantes (ex., son nom, le mot «feu») et principalement, qu’on peut rapporter des informations provenant du canal ignoré.

Treisman (1960) a montré qu’on peut rapporter des mots du canal ignoré si le sens et le contexte sémantique, correspond mieux / bien.

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56
Q

Quels sont les résultats principaux de Treisman (1960) ?

A

RÉSULTATS:
• Environ 30% des sujets ont montré des intrusions du canal ignoré - On appel cela, un effet de contexte.

• Effet de contexte: on peut rapporter des mots du canal ignoré si le sens, le contexte sémantique, correspond mieux / bien. DONC on ne bloque pas tout le temps l’autre oreille !

–> confirme la nécessité d’un autre modèle.

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57
Q

Environ 30% des sujets de Treisman (1960) ont montré des intrusions du canal ignoré. Comment on nomme cela ?

A

un effet de contexte

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58
Q

Treisman (1960) a montré qu’on peut rapporter des mots du canal ignoré si le _______ et le _________ sémantique, correspond mieux / bien.

A

Treisman (1960) a montré qu’on peut rapporter des mots du canal ignoré si le sens et le contexte sémantique, correspond mieux / bien.

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59
Q

En réponse aux lacunes du modèle de Broadbent (modèle du filtre), Treisman propose le modèle de _____________.

A

Le modèlede l’atténuation de Treisman

‘Attenuation Theory’

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60
Q

Définissez le modèle de l’atténuation de Treisman
(‘Attenuation Theory’) :

• Le message ….

Atténuation = ?

• Un message particulièrement important peut être …..

A

• Le message ignoré est atténué, et non pas bloqué (comme dans Broadbent). On peut en saisir le sens (effet de contexte).

Atténuation= diminution de la force sonore d’un message auquel on ne prête pas attention

• Un message particulièrement important peut être reconnu même lorsqu’on n’y porte pas attention (nom propre, mots d’alerte, etc.)

61
Q

Nommez et décrivez les deux concepts du modèle de l’atténuation de Treisman (‘Attenuation Theory’) :
1)
2)

A

1) Un filtre sélectif de l’atténuation:
•Distingue les messages et leurs caractéristiques perceptuelles (localisation, ton, etc)
•Atténue le message qui doit être ignoré

2) Présence d’un dictionnaire:
•La reconnaissance d’un mot a lieu dans le dictionnaire si son intensité ou sa force subjective dépasse son seuil
•Le message ignoré peut être reconnu par le dictionnaire, si son seuil d’activation est assez bas.

62
Q

Selon le modèle de l’atténuation de Treisman, le message ignoré peut être reconnu par le dictionnaire si …..

T.IMP.

A

si son seuil d’activation est assez bas.

63
Q

Selon le modèle de l’atténuation de Treisman, qu’est-ce que le seuil ?

A

la quantité minimale d’activation nécessaire pour accéder à la reconnaissance d’un stimulus

64
Q

Selon le modèle de l’atténuation de Treisman, pour qu’un mot soit reconnu par l’oreille ignorée, le seuil d’activation de ce dernier (mot) doit être ________.

A

le seuil d’activation doit être plus bas pour un mot pour qu’il soit reconnu par l’oreille ignorée

65
Q

Selon le modèle de l’atténuation de Treisman, le ________ pour la _________ varie selon les mots.

A

Le seuil pour la reconnaissance varie selon les mots.

•Certains mots ont un seuil plus bas en permanence
(nom propre, signaux de danger –feu, etc.)

•Un seuil d’un mot peut-être abaissé temporairement par l’effet du contexte et augmente sa chance d’être reconnu

66
Q

Vrai ou faux :

Selon le modèle de l’atténuation de Treisman, certains mots ont un seuil plus bas en permanence.

A

VRAI

Certains mots ont un seuil plus bas en permanence
Par exemple : nom propre, signaux de danger –feu, etc.

67
Q

Donnez deux exemples de mots qui ont un seuil plus bas en permanence selon le modèle de l’atténuation de Treisman.

A

nom propre,

signaux de danger –feu,

68
Q

Vrai ou faux

Selon le modèle de de l’atténuation de Treisman, un seuil d’un mot peut-être abaissé temporairement par l’effet du contexte et augmente sa chance d’être reconnu.

A

VRAI

et imp

69
Q

Dans le modèle de l’atténuation de Treisman (‘Attenuation Theory’), un

Seuil haut signifie :

Seuil bas signifie :

Donc au feu et Marie seraient

A

Seuil haut signifie : difficile à détecter

Seuil bas signifie : facilement reconnu

Donc au feu et Marie seraient facilement reconnu car ils ont un seuil bas.

Seuil haut = difficile
Seuil bas = facile

70
Q

Le modèle de l’atténuation de Treisman (‘Attenuation Theory’) (T.IMP.)

• Est un modèle de ____ ______ :
- Le filtre agit avec la …
- Les messages du canal ________ sont traités avec priorité.
MAIS :
- Certains messages (input) du canal _________ ne sont pas ______ ou _______ et peuvent _____ ______

• Le filtre fait \_\_\_\_\_\_\_\_ des messages :
-
- Implication du ......
MAIS :
- Parfois \_\_\_\_\_ : par les attentions du contexte
A

• Modèle de sélection précoce :
- Le filtre agit avant la reconnaissance des formes
- Les messages du canal focalisé sont traités avec priorité
MAIS :
- Certains messages du canal ignoré ne sont pas bloqués ou effacés et peuvent être entendus

• Le filtre fait l’analyse des messages:
- Selon les propriétés physiques (fréquence, intensité etc.)
- Implication du seuil d’activation
MAIS :
- Parfois sémantique; par les attentes du contexte

71
Q

Vrai ou Faux

Selon le modèle de l’atténuation de Treisman, le filtre fait l’analyse des messages selon les propriétés physiques comme fréquence ou intensité (pour ne donner que ces exemples).

A

VRAI

72
Q

Le modèle de l’atténuation de Treisman explique deux choses fondamentales :

• Pourquoi on entend ____ _______ _____ dans l’oreille ignorée
ET
• Pourquoi on peut changer entre ….

T.IMP.

A

Modèle explique:

  • Pourquoi on entend son propre nom dans l’oreille ignorée
  • Pourquoi on peut changer entre 2 canaux pour faire des phrases cohérentes
73
Q

Nommez le modèle qui explique :

  • Pourquoi on entend son propre nom dans l’oreille ignorée
  • Pourquoi on peut changer entre 2 canaux pour faire des phrases cohérentes
A

Le modèle de l’atténuation de Treisman explique deux choses fondamentales :

74
Q

Le modèle de l’atténuation de Treisman contient certains problèmes. Mackay (1973) fait une expérience qui en montre un. Décrivez la tâche de Mackay :

• Tâche :

Exemple :

  • Résultats :
  • Conclusions (T.IMP.) :
A

• Tâche :
Phrases avec mot ambigu dans l’oreille focalisée.

Exemple : They were throwing stones at the bank
Bank= banque OU fleuve
- 1 des 2 Mots dansl’oreille ignorée en même temps:
river ou money
-Sujet devaient reconnaitre le sens general des phrases entendues dans l’oreille focalisée.

They threw stones towards the side of the water yesterday
OU
They threw stones towards the saving and loaning association yesterday

• Résultats :
Reconnaissance du sens général de la phrase en accord avec le mot de l’oreille ignorée.

• Conclusions:
- Les mots dans l’oreille ignorée étaient traités au niveau sémantique;
- Bien que ce n’étaient pas des noms propres
ou des mots d’alerte (sans seuil d’activation bas) !

Peut-on alors vraiment parler de sélection précoce pure ? (We don’t know but it looks like a no)

75
Q

Les conclusions de Mackay 1973 montrent clairement que le modèle d’atténuation de Treisman a des lacunes.

Ces résultats (de Mackay) montrent que :

A

• Conclusions:
- Les mots dans l’oreille ignorée étaient traités au niveau sémantique;

  • Bien que ce n’étaient pas des noms propres
    ou des mots d’alerte (sans seuil d’activation bas) !
76
Q

Un auteur démontre que les mots dans l’oreille ignorée étaient traités au niveau sémantique et bien que ce n’étaient pas des noms propres ou des mots d’alerte.

Nommez cet auteur :

A

Mackay 1973

77
Q

Vrai ou faux
Mackay (1973) démontre que les mots dans l’oreille ignorée étaient traités au niveau sémantique et bien que ce n’étaient pas des noms propres ou des mots d’alerte.

A

VRAI

78
Q

Le modèle de la mémoire sélective de Deutsch (1963) et Norman (1968) fait partie des théories de la ________ _______

A

fait partie des théories de la sélection tardive

79
Q

Le modèle de la mémoire sélective de Deutsch (1963) et Norman (1968) fait partie des théories de la sélection tardive. Cela signifie que le placement du goulot (la sélection) vient ‘‘tardivement’’, donc après l’étape de _____________ _____________ et avant l’enregistrement de stimuli dans la _______________ ____ _____________________

T.IMP.

A

après l’étape de reconnaissance de formes (RF) / détection

et avant l’enregistrement de stimuli dans la mémoire à court terme

80
Q

Le modèle de la mémoire sélective de Deutsch (1963) et Norman (1968) mentionne une limitation dans ________ qui est envoyé à la ________

A

Limitation dans l’information qui est envoyée à la mémoire

81
Q

Comparez le modèle de la sélection précoce à celui de la sélection tardive :

Précoce :
Input –> Caractéristiques physiques –> message sélectionné

Tardive :
Input –> Caractéristiques physiques –> caractéristiques _________ –> message sélectionné

A

Tardive :

Input –> Caractéristiques physiques –> caractéristiques sémantiques–> message sélectionné

82
Q

Les modèles de :

A- Broadbent se concentre sur le registre sensoriel suivi du filtre.

B- Treisman se concentre sur le filtre et la reconnaissance de formes (RF)

C- Deutsch et Norman se concentrent sur la reconnaissance de formes et la sélection.

Dans B, qu’est-ce que Treisman considère comme la reconnaissance de forme ?

Dans les deux premier modèle, le message entendu ___________________ être reconnu mais dans C oui !

A

B - Le Dictionnaire ! Dans son modèle, c’est un peu comme la reconnaissance de forme.

Dans les 2 premier modèles, le message entendu ne devrait pas être reconnu, mais dans le dernier oui !

Ces modèles était très centré sur le débat du OÙ est ce fameux ‘‘goulot’’. Plusieurs emplacement ont été théorisés.

83
Q

Les nouveau modèles (après A-B-C)
A- Broadbent se concentre sur le registre sensoriel suivi du filtre.

B- Treisman se concentre sur le filtre et la reconnaissance de formes (RF)

C- Deutsch et Norman se concentrent sur la reconnaissance de formes et la sélection.

ce sont concentré plus sur la ______ plutôt que le lieu de ce fameux goulot.

A

plus sur la capacité que le lieu !

84
Q

Dans les théories du goulot, le ‘‘focus’’ est sur l’étape de la _______________________.

IMP

A

sélection de l’attention

85
Q

Dans les théories de la capacité, le ‘‘focus’’ est sur la ___________________________

IMP

A

focus est sur la quantité d’effort mental nécessaire pour accomplir une tâche.

Donc, ici on s’intéresse plus à la façon dont l’effort est distribué entre différentes activités.

86
Q

Les théories s’intéressants plus à la façon dont l’effort est distribué entre différentes activités sont les théories de la _________

A

théories de la capacités.

87
Q

Les deux types de théories (goulot et capacité) impliquent des ___________ possibles entre des activités simultanées.

A

des interférences possibles entre des activités simultanées.

88
Q

Avec les théories du Goulot, 1 mécanisme = 1 stimulus traité dans 1 moment.

Dans les théories de la ________ on se questionne si les exigences dépassent nos capacités ou non ?

A

théories de la capacité

89
Q

Nommez les trois (3) modèles de la capacité :

  1. Le modèle de la ________ de ________
  2. La théorie multimodale de _______ et _______
  3. Le modèle de _______ (ressemble bcp à la théorie multimodale)

T.IMP.

A
  1. Le modèle de la distribution de Kahneman
  2. La théorie multimodale de Johnston et Heinz
  3. Le modèle de Pashler (ressemble bcp à la théorie multimodale)
90
Q

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman :

• Le réservoir de l’attention (déterminants divers) a deux composantes :

  1. ________
  2. _____________
  • Le volume de capacité disponible varie en fonction du __________________
  • Lorsqu’il parle de niveau d’activation, il fait référence à la ______________ (p.ex. : le rythme _______)
A

• Le réservoir de l’attention a deux composantes :

  1. Activation
  2. capacité disponible
  • Le volume de capacité disponible varie en fonction du niveau d’activation
  • Lorsqu’il parle de niveau d’activation, il fait référence à la physiologie (p.ex. : le rythme cardiaque).
91
Q

Vrai ou faux

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman, plus l’activation est élevé, plus la capacité est importante.

A

vrai

92
Q

Vrai ou faux

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman, moins l’activation est élevé, moins la capacité est importante.

A

vrai

93
Q

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman, les extrêmes ne sont pas idéales.

  • Après tout, cela signifie de varier entre (1) OU (2).
  • Donc, la situation _________ est meilleure
A
  • Varier entre stress hyper élevé OU fatigue hyper élevé

* Donc, la situation intermédiare est la meilleure

94
Q

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman, le ___________________ varie en fonction du _________________________

A) niveau d’activation; volume de capacité disponible
B) volume de capacité disponible; niveau d’activation
C) Stress; contenu de la mémoire sensorielle
D) Stress physiologique; niveau d’activation

A

B) volume de capacité disponible; niveau d’activation

Le volume de capacité disponible varie en fonction du niveau d’activation

95
Q

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman, les évaluations des demandes de capacité :

  • Exigences des activités en cours
  • Évalué pour chacune des activités (ex: examen)
  • L’ensemble des exigences ne doit pas ….
  • Influence les …..
A
  • Exigences des activités en cours
  • Évalué pour chacune des activités (ex: examen)
  • L’ensemble des exigences ne doit pas excéder la limite de la capacité.
  • Influence les choix de distribution
96
Q

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman, qu’est-ce qui influence les choix de distribution ?

A) Les déterminants divers
B) Les dispositions permanentes
C) Les intention temporaires
D) Les activités possibles
E) Les évaluations des demandes de capacité
F) B, C et E
A

F) B, C et E

+ imp :
Les évaluations des demandes de capacité influe sur le choix de distribution

97
Q

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman :

• Le réservoir de l’attention (déterminants divers) a deux composantes :

  1. ________
  2. _____________

Et influe sur …..

A
  1. Activation
  2. Capacité disponible

influe sur les différents niveaux d’activation

98
Q

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman, quels sont les deux (2) modules qui influences nos choix de distribution ?

1.
2.

A
  1. Les dispositions permanentes

2. Les intentions temporaires

99
Q

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman, l’évaluation des demandes de capacité est influencé par :

A) Activités possibles
B) Les réponses
C) Déterminants divers
D) Différens niveaux d'activation
E) Dispositions permanentes
F) Intentions temporaires
A

A) Activités possibles

l’évaluation des demandes de capacité est influencé par les Activités possibles

100
Q

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman, qu’est-ce que les dispositions permanentes ?

• Mécanismes _________

• Interviennent de façon ___________
(Ex; objet qui vole dans la classe)

A

• Mécanismes automatiques

• Interviennent de façon involontaire
ex; objet qui vole dans la classe

101
Q

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman, qu’est-ce que les intentions temporaires ?

• Mécanismes _________

• Interviennent de façon ___________
(Ex; brouillard apparaît soudainement sur la route)

A

• Mécanismes contrôlés

• Interviennent de façon volontaire
ex., brouillard apparaît soudainement sur la route

102
Q

Selon le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman, le bassin d’attention est ________ est doit donc être distribué.

A

Bassin d’attention est limité. On doit donc le distribuer.

103
Q

Le modèle de la distribution de la capacité de Kahneman soulève la question de l’interaction entre l’attention volontaire et involontaire.

Folk, Remington et Johnston (1992) proposent une Interaction entre les deux. (Pas dans le modèle de départ). Ils pensent que l’attention involontaire peut dépendre de l’attention volontaire; et vice-versa.

Ils font une tâche :

  • Indice d’où va apparaître la cible.
  • Cible (= ou X)
  • Réponse du sujet.

Trois conditions dans la tâche :
• Condition 1:
Indice aléatoire, neutre, pas fiable
(donc l’attention à l’indice = attention involontaire car on s’attend à ce que les sujets ignore ces indices car ils ne sont pas fidèle.)
• Condition 2:
Indice aléatoire et de la même couleur que la cible
(=attention involontaire, comme dans condition 1)
• Condition 3:
Indice aléatoire et neutre (noir) avec Cible en couleur

Résultats :
• Conditions 1 et 2 :
- Les résultats sont les même dans les deux premières conditions (1 et 2).
- Lorsque l’indice était pertinent ....
IMP :

• Condition 3 :

IMP +++

A

-Résultats:

• Conditions 1 et 2 :
- Lorsque l’indice était pertinent (marquait le même carré que la cible), le symbole était identifié plus rapidement
= Mobilisation involontaire de l’attention. (Par l’indice)

  • IMP = on ne veut pas le regarder, mais on y est porté pareille. Il y a une mobilisation involontaire de l’attention des sujets même s’ils ne veulent pas.

• Condition 3 :
- Pas de meilleure sélection
Si les sujets se basaient maintenant sur la couleur pour sélectionner la cible (attention volontaire), il fallait aussi que l’indice soit en couleur pour qu’il attire attention de façon involontaire.

** Ce qui = L’attention involontaire peut également dépendre de ce à quoi nous décidons de faire attention.**

Donc, attention volontaire peut dépendre attention involontaire

104
Q

Folk, Remington et Johnston (1992) démontrent ….

A

qu’il y a une interaction entre l’attention volontaire et involontaire.

Disposition permanentes & intentions temporaires

105
Q

Folk, Remington et Johnston (1992) démontrent que :

A) L’attention volontaire peut dépendre attention involontaire
B) L’attention involontaire peut également dépendre de ce à quoi nous décidons de faire attention.
C) Il y a une mobilisation involontaire de l’attention des sujets même s’ils ne veulent pas.
D) Toutes ces réponses

A

D) Toutes ces réponses

Folk, Remington et Johnston (1992) démontrent que :

Condition 3 :
A) L’attention volontaire peut dépendre attention involontaire
B) L’attention involontaire peut également dépendre de ce à quoi nous décidons de faire attention.

Condition 1 et 2 :
C) Il y a une mobilisation involontaire de l’attention des sujets même s’ils ne veulent pas.

106
Q

Dans leur théorie multimodale, Johnston et Heinz (1978) postulent que :

  • On peut déplacer la position du _____ ou du ______
  • L’attention est ________ (selon la demande de la tâche). Ça dépend de ce qui convient le mieux à la tâche. On peut prendre n’importe quel mode d’attention tant que ça correspond à la tâche
  • Modes de sélection tardifs exigent plus de capacité que modes précoces. .
  • Le traitement sémantique exige plus de capacité.
A
  • On peut déplacer la position du filtre ou du goulot
  • L’attention est flexible (selon la demande de la tâche)
  • Modes de sélection tardifs exigent plus de capacité que modes précoces. Ça dépend de ce qui convient le mieux à la tâche. On peut prendre n’importe quel mode d’attention tant que ça correspond à la tâche.
  • Le traitement sémantique exige plus de capacité.
107
Q

Selon la théorie de Johnston et Heinz (1978),

le mode de sélection _______ est le plus coûteux.

A

tardif

Modes de sélection tardifs exigent plus de capacité que modes précoces.

108
Q

Selon la théorie de Johnston et Heinz (1978), le traitement _______ exige plus de capacité.

A

• Le traitement sémantique exige plus de capacité.

109
Q

Selon la théorie de Johnston et Heinz (1978),

le mode de sélection _______ est le moins coûteux.

A

précoce

110
Q

Vrai ou faux:

Selon la théorie de Johnston et Heinz (1978), on peut déplacer la position du filtre ou du goulot.

A

VRAI

on peut déplacer la position du filtre ou du goulot.

111
Q

Selon la théorie de Johnston et Heinz (1978), l’attention est __________.

A

L’attention est flexible
(selon la demande de la tâche).
Ça dépend de ce qui convient le mieux à la tâche. On peut prendre n’importe quel mode d’attention tant que ça correspond à la tâche

112
Q

L’expérimentation de Johnston et Heinz (1978) contient deux (2) tâches pendant l’expérimentation. Décrivez en quoi consiste ces deux tâches :

  1. Tâche principale (shadowing ‘faire écho’) ; répéter un …
  2. Tâche subsidiaire-concurrente (répondre à un signal lumineux) tout au ….
A
  1. Tâche principale (shadowing ‘faire écho’) ; répéter un mot entendu à une oreille et ignorer le mot de l’autre oreille
  2. Tâche subsidiaire-concurrente (répondre à un signal lumineux) tout au long de la tâche principale
113
Q

Selon Johnston et Heinz (1978), en faisant varier uniquement le niveau d’attention requis dans la tâche principale, on peut mesurer les résultats (TR) à la tâche subsidiaire. Cela nous donne la capacité utilisée par …

A

par la tâche principale.

114
Q

Décrivez en détails la tâche principale de l’expérience de Johnston et Heinz (1978) :

  • Paires de mots simultanément aux 2 oreilles:
  • Tâche principale de ‘faire écho’, deux listes de mots:
A

Tâche principale = une liste de mots :

  • Paires de mots simultanément aux 2 oreilles:
    a) Répéter les mots de voix H ou F (filtre perceptuel)
    b) Répéter les mots selon catégorie (filtre sémantique)
  • Tâche principale de ‘faire écho’, deux listes de mots
    a) Répéter les mots de voix H ou F (filtre perceptuel)
    b) Répéter les mots selon catégorie (filtre sémantique)

Filtre perceptuel = attention précoce
Filtre sémantique = attention tardive

115
Q

Dans le modèle de Johnston et Heinz (1978), le filtre perceptuel est équivalent à l’attention ________ alors que le filtre sémantique est équivalent à l’attention __________.

A) Tardive; précoce
B) Sélective; temporelle
C) Spatiale; perceptuelle
D) Précoce; tardive
E) Toutes ces réponses
A

D) Précoce; tardive

Filtre perceptuel = attention précoce
Filtre sémantique = attention tardive

116
Q

Pour Johnston et Heinz (1978), le filtre perceptuel c’est de l’attention _______

A

Filtre perceptuel = attention précoce

Filtre sémantique = attention tardive

117
Q

Johnston et Heinz (1978), en bref :

• Il faut ____ de _______ pour traiter l’information au
niveau d’une sélection tardive.
Filtre __________ (attention _______ et plus_____) = TR plus long au signal lumineux et + d’erreurs

• La performance varie selon la ________ de la tâche
principale
- I.e. : 2 listes demandent plus de capacité qu’une liste

A

1) Il faut plus de capacité pour traiter l’information au
niveau d’une sélection tardive.
Filtre sémantique (attention tardive et plus couteuse) = TR plus long au signal lumineux et + erreurs

2)La performance varie selon la charge de la tâche
principale
- 2 listes demandent plus de capacité qu’une liste

118
Q

Les deux conclusions de Johnston et Heinz (1978), sont :

A
  • L’attention sélective nécessite de la capacité
  • La quantité de capacité investie dans la tâche va de façon croissante, depuis les modes précoces de sélection vers les modes tardifs de sélection
119
Q

Selon Johnston et Heinz (1978), on peut-être en mesure d’accroître l’étendue de notre attention mais au prix d’une ________ en _______ et d’une ______ en ______.

IMP

A

au prix d’une dépense en capacité et d’une perte en précision…

120
Q

Selon le modèle de Pashler (1998), il y a deux étapes principales de sélection :
• Sélection ______ =
• Sélection _______ =

A

• Sélection précoce = mécanisme de filtrage
- S 1–voix féminine; S 3–voix masculine
Si on se fait dire écoute juste msg fille = on bloque l’autre.

• Sélection tardive = analyse sémantique
- S 1–nom de ville; S 2 –nom de profession
Traiter es deux pour en choisir 1. Prend plus de ‘‘jus’

121
Q

Le modèle de Pashler (1998) intégre les étapes de sélection _____ et _____.

A

précoce et tardive

122
Q

Pashler (1998) montre que la pratique d’une tâche peut la rendre __________, ce qui réduit la capacité _________ associée.

A

la pratique d’une tâche peut la rendre automatique, ce qui réduit la capacité attentionnelle associée.

123
Q

Qu’est-ce que signifie le traitement automatique ?

A

C’est d’accomplir des opérations mentales qui nécessitent très peu d’effort mental.

124
Q

+ on pratique + on _____________________ pour la réalisation. = Automatisation qui nécessiste peu et même très peu d’efforts mentales

IMP

A

+ on réduit capacité attentionnelle demandé

125
Q

Une tâche traitée automatique ne nécessite plus la ________ postulée par Kahneman.

A

capacité

126
Q

Qu’est-ce que sont les processus automatiques et l’encodage automatique ?

Ils représentent le fait que certaines tâches peuvent devenir automatiques et ne plus ______ (ou presque) les _________ _____________.

A

et ne plus mobiliser (ou presque) les capacités attentionnelles

127
Q

Posner& Snyder, 1975; Hasher& Zacks, 1979 ont travaillée sur les processus automatiques. Ils montrent que ces processsus sont :

  • Sans __________
  • Sans _____________
  • N’interfèrent pas avec les autres
  • S’effectuent rapidement et de façon _________
  • Peu influencés par la _____ ________
A
  • Sans intention
  • Sans conscience
  • N’interfèrent pas avec les autres
  • S’effectuent rapidement et de façon constante
  • Peu influencés par la quantité d’information
128
Q

Donnez un exemple d’encodage automatique :

A

La lecture

129
Q

Hasher & Zacks (1979) : Théorie de l’encodage automatique = deux types de traitements mnésiques.

• 1. Ceux qui nécessitent un ….
VS
• 2. Ceux qui nécessitent ….

A

• 1. Ceux qui nécessitent un effort important et qui s’accompagnent de stratégies
Exe.: imagerie visuelle, élaboration, répétition, etc.
(Demandant)

Vs.

• 2. Ceux qui nécessitent très peu d’effort, voir aucun (Automatique)

130
Q

Selon la théorie de l’encodage automatique de Hasher & Zacks (1979), qu’est-ce que l’apprentissage incident ?:

A

Apprentissage qui se produit en l’absence d’un effort conscient.

Par exemple : Se souvenir ! Ce soir, question = t’as fait quoi ce matin ? Sans vouloir t’en souvenir tu le sais.

131
Q

Selon la théorie de l’encodage automatique de Hasher & Zacks (1979) il y aurait trois (3) types d’informations que nous sommes capables d’enregistrer automatiquement. Nommez et décrivez ces trois types d’informations :

1. Information fréquentielle :
-
2. Information \_\_\_\_\_\_\_\_ :
-
3. Information \_\_\_\_\_\_\_\_\_ :
-
A
  1. L’information fréquentielle:
    - à quelle fréquence différents stimuli se produisent
  2. L’information spatiale:
    - où se trouvent les objets
  3. L’information temporelle:
    - le moment d’apparition des événements et leur durée
132
Q

Selon la théorie de l’encodage automatique de Hasher & Zacks (1979) , il y a cinq (5) critères de distinction entre traitement automatique et traitement avec effort mental. Nommez les :

1.
2.
3.
4.
5.

T.IMP.

A
  1. Apprentissage intentionnel vs. incident
  2. Consignes et pratique
  3. Interférence entre les tâches
  4. États émotionnels et activation
  5. Effet de l’âge
133
Q

Selon Hasher & Zacks (1979), quelle est le situation où l’apprentissage intentionnel est égal, en performance, à l’apprentissage incident ?

A

Dans le traitement automatique.

134
Q

Selon Hasher & Zacks (1979), un seul des 5 critères affecte le traitement automatique. Quel est ce critère ?

A

Apprentissage intentionnel vs. incident

Dans le traitement automatique, l’apprentissage intentionnel est égal, en performance, à l’apprentissage incident.

Dans le traitement avec effort, l’apprentissage intentionnel est supérieur, en performance, à l’apprentissage incident.

135
Q

Selon Hasher & Zacks (1979) :

Dans le traitement automatique, l’apprentissage intentionnel est ___________, en performance, à l’apprentissage incident.

Dans le traitement avec effort, l’apprentissage intentionnel est __________, en performance, à l’apprentissage incident.

A

Dans le traitement automatique, l’apprentissage intentionnel est égal, en performance, à l’apprentissage incident.

Dans le traitement avec effort, l’apprentissage intentionnel est supérieur, en performance, à l’apprentissage incident.

136
Q

La lecture automatique est un bon exemple de ________________ ____________ car sinon, ça serait super exigent lire.

A

bon exemple de traitement automatique.

137
Q

Une compétence complexe (la lecture) doit pouvoir compter sur le traitement automatique de une ou plus de ses composante (LaBerge & Samuels, 1974)

Sinon, la demande pour l’ensemble des composants de compétences excèderait la capacité disponible pour exécuter la tâche.

Donc, on voit plutôt le ___________________, que des lettres succinctes

IMP

A

on voit plutôt le mot dans son ensemble, que des lettres succinctes

138
Q

Si les processus automatiques sont sans efforts et demandent peu d’attention, alors, pour bloquer ces mécanismes (inhiber), _____________ est nécessaire.

Un exemple de cela est l’effet Stroop.

A

L’attention !

139
Q

Qu’est-ce que l’effet Stroop ?

Définition :

Conclusion :

A

Interférence produite par une information non pertinente lors de l’exécution d’une tâche cognitive automatique.

La difficulté à ignorer, ou ‘‘filtrer’’, l’information non pertinente se traduit par un ralentissement du temps de réaction.

140
Q

Décrivez la tâche Stroop qui a mené à découvrir l’effet :

On demande à des participants de …..

-

Conclusions :

A

Nommez la couleur de l’encre des mots

2 conditions :
-Condition congruente (clr mot fit mot)
P.ex. : rouge est en rouge et on doit dire couleur pas mot.
-Condition non-congruente (clr mot fit pas mot)
P.ex. : rouge est en vert et on doit dire couleur pas mot.

Conclusions :
Il faut plus de temps pour nommer la couleur de l’encre d’un mot imprimé lorsque le mot est le nom d’une autre couleur (condition non-congruente).

TR plus lent = pour tout le monde c’est plus lent mais on regarde la norme

141
Q

Kantowitzet Knight (1976) et McLeod(1977) ont travaillés sur les _____________ et l’attention ________.

A

Les ressources multiples et l’attention partagée

142
Q

Décrivez l’hypothèse des ressources multiples :

  • L’attention est un ensemble de ressources ayant différentes fonctions
  • Deux tâches peuvent être réalisées ….. ***

IMP

A
  • L’attention est un ensemble de ressources ayant différentes fonctions
  • Deux tâches peuvent être réalisées simultanément si elles exploitent des ressources (capacités) différentes
143
Q

L’expérience de Kantowitz et Knight (1976) :

TÂCHE 1 :
•Appuyer sur 2 boutons au rythme indiqué par des lumières
•Difficulté =

TÂCHE 2 :
•Transformation de nombre

Ici, ils vont du moins difficile au plus difficile.

A

TÂCHE 1:
•Appuyer sur 2 boutons au rythme indiqué par des lumières
•Difficulté = distance variable entre les boutons et leur dimension

TÂCHE 2:
•Transformation de nombre
1. Répéter le nombre (N) moins difficile
2. N –1 = ?
3. N + 3 = ?
4. 9 –N = ?
144
Q

L’expérience de Kantowitz et Knight (1976) :

Résultats :
• Tâche 1 (frappe) isolée:
-
• Tâche 2 (calcul) isolée:
-

Conclusions :
•

Tâches effectuées simultanément :
•Pas d’interaction entre les deux tâches (si on augmente la difficulté uniquement d’une tâche, la performance de l’autre n’est pas affectée)
•Pourtant les deux tâches exigent de l’__________ car elles ne sont pas _________.

Conclusion :
•

A 
Résultats :
• Tâche 1 (frappe) isolée:
-la performance varie selon la grosseur des boutons et la distance qui les sépare
• Tâche 2 (calcul) isolée:
-Répéter N = 101 nombres en 90 sec
-9 –N = 64 nombres en 90 sec

Conclusions :
• Les deux tâches isolées exigent de l’attention, car une augmentation du degré de difficulté affecte la performance.

Tâches effectuées simultanément :

•Pourtant les deux tâches exigent de l’attention car elles ne sont pas automatiques.

Conclusion :
• Existence de ressources attentionnelles distinctes, indépendantes.
-car ces tâches ne semblent pas solliciter le même bassin de ressources

145
Q

L’expérience de McLeod (1977), 2 tâches simultanément avec modalités différentes (IMP modalité différentes.) :

TÂCHE 1:
•Poursuite de cible avec une manette: (nature motrice)
•Les 2 groupes: réponse motrice
TÂCHE 2 de discrimination:
•Discriminer des sons; soit aigu ou grave
•GR 1: réponse verbale
•GR 2: réponse motrice (avec la main libre)

Résultats :

A

•La performance est nettement moins bonne quand la réponse à la tâche de discrimination est motrice GR 2 = à modalité identique

ressources semblables = performances moins bonne

146
Q

Donnez une application des études sur l’attention :

A

Conduite automobile : Cellulaire au volant:
•En 2001: 85% des 116 millions d’utilisateurs de tél. cellulaire l’utilisent en conduisant.

C’est supposé être 2 modalités mais ça ‘‘surcharge’’ = pas bon !

EN LABO :

  • 24% des accidents arrivent dans les 10 minutes suivant un appel.
  • Le risque d’accident dû à l’utilisation du tél. cellulaire est comparable à celui associé à la conduite en état d’ébriété.
147
Q

Expérience de Stryer & Johnston (2001), sur la conduite automobile simulée :

Tâche SIMULTANÉE :
Réponse/inhibition à un signal lumineux

Trois (3) conditions :
•Écoute de la radio
•Conversation cellulaire
•Conversation mains libres

Résultats :

A

Résultats soutiennent Hypothèse:
•Les sujets manquaient plus souvent le signal rouge dans la double-tâche avec un cellulaire (main ou main-libre) et TR était plus lent.

•Pas d’effet de l’écoute de radio sur la performance
Conversation téléphonique interfère avec les demandes attentionnelles élevées spécifiques à la conduite

148
Q

Expérience de Stryer& Johnston (2001): 2e étude. Conduite auto simulée.

Conditions différentes :
Condition simple ET double tâche cellulaire en plus de :
•Trajet facile
•Trajet difficile

Tâche simultanée :

  • Répéter des mots
  • Générer des mots

Résultats :

A

• Résultats: générer des mots demande plus d’effort mental que la simple répétition (trajet facile ou difficile!)

PSY-4071 (13 decks)

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