Def Flashcards

1
Q

neuroimagerie

A

outil de mesure qui essaie de rendre compte (avec image) de l’activité électrique du cerveau

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2
Q

syndrome cognitif

A

un ensemble de symptômes cognitifs mis en évidence par le jeu des dissociations et des doubles dissociations

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3
Q

np exp

A

l’étude de séries de patients et/ou de sujets sains et l’utilisation de paradigmes standardisés

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4
Q

np fonctionnelle

A

mettre en relation un comportement (et plus précisément une activité cognitive) et une activité cérébrale

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5
Q

anatomo-clinique

A

lié symptome clinique à structure mentale

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6
Q

np Hécaen, 1983

A

La neuropsychologie est la discipline qui traite des fonctions mentales supérieures dans leurs rapports avec les structures cérébrales

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7
Q

étalonage

A

fournit des données normatives qui permettent de situer un sujet dans une population de référence

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8
Q

test mental

A

épreuve standardisée dans sa consigne, son matériel, ses conditions de passation et dans l’interprétation des résultats

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9
Q

psychométrie

A

l’emploi de tests mentaux, aussi appelés tests psychométriques

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10
Q

test efficience intellectuelle

A

censés « mesurer les effets de l’intelligence »

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11
Q

fidélité

A

capacité de reproductibilité des résultats d’un examinateur à l’autre et d’un moment à l’autre

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12
Q

validité

A

une mesure spécifique de ce qu’il est censé mesurer

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13
Q

sensibilité

A

la capacité à détecter les individus qui s’écartent significativement de la norme

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14
Q

syndrome de Korsakoff

A

on retrouve une atteinte bilatérale des corps mamillaires de l’hypothalamus

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15
Q

Gradient de Ribot

A

gradient temporel ou les souvenirs récents sont altérés alors que les souvenirs anciens sont conservés

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16
Q

amn rétrograde

A

déficit du rappel d’informations acquises avant l’épisode pathologique

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17
Q

amnésie antérograde

A

impossibilité d’acquérir des informations nouvelles depuis la survenue de l’affection

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18
Q

syndromes amnésiques

A

comportent tous des perturbations sévères de la mémoire où sont associées une amnésie antérograde et une amnésie rétrograde

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19
Q

apraxie: def, difficulté

A

trouble acquis de l’exécution intentionnelle d’un comportement moteur, consécutif à une lésion cérébrale

difficulté à effectuer un geste ou une série de gestes sur commande alors que l’exécution spontanée est possible

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20
Q

apraxie motrice

A

Altération de la mélodie des gestes automatiques et des gestes volontaires, en dehors de tout déficit, empêchant d’accomplir des mouvements fins et sélectifs rapides, alternatifs, ou en série

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21
Q

apraxie idéatoire

A

Difficultés à réaliser des gestes complexes, impliquant la manipulation d’objets réels

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22
Q

apraxie idéomotrice

A

difficultés dans la réalisation sur ordre verbal ou sur imitation visuelle de gestes porteurs ou non d’une signification et ceci sans objet

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23
Q

apraxie de l’habillange

A

difficulté à agencer, à orienter et à disposer des vêtements en relation avec le corps

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24
Q

apraxie bucco-faciale

A

Impossibilité de générer volontairement, sur consigne verbale ou imitation des mouvements à but non langagier

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25
Q

apraxie constructive

A

Trouble de l’exécution des dessins (spontanés ou dessinés) de la réalisation ou de la construction bi ou tri dimensionnelle.

26
Q

apraxie de la marche

A

incapacité de disposer convenablement de ses membres inférieurs

27
Q

prosoagnosie

A

C’est une agnosie visuelle affectant sélectivement la capacité d’identifier les visages antérieurement familiers, en l’absence de tout autre altération des fonctions perceptives élémentaires ou cognitive

28
Q

Anosognosie

A

Elle désigne la méconnaissance par l’individu de sa maladie, de son état, de la perte de capacité fonctionnelle dont il est atteint, particulièrement, dans le cas d’affections comme la cécité, l’hémiplégie, ou le membre fantôme. Différent du dénie et consécutif à lésion cébrébrale.

29
Q

L’héminégligencese

A

définit comme l’incapacité à prendre en compte des stimuli venant de l’hémi-espace opposé à la lésion cérébrale (ne voit pas un des 2 hémisphères

30
Q

agnosie visuelle

A

Les patients sont incapables de reconnaître visuellement les objets mêmes les plus usuels

31
Q

L’agnosie

A

la perte de la capacité à identifier les stimuli de l’environnement à travers une modalité perceptive donnée

32
Q

agnosie associative

A

les processus perceptifs sont préservés mais la représentation de l’objet correctement construit n’est pas « associée » aux propriétés fonctionnelles et sémantiques de l’objet d’où l’échec à comprendre sa signification

33
Q

agnosie aperceptive

A

déficit des processus perceptifs, empêchant de construire une représentation interne d’un objet.

34
Q

aphasie

A

Trouble acquis du langage consécutif à une lésion cérébrale qui affecte la compréhension et/ou l’expression du langage à l’oral et/ou à l’écrite

35
Q

troubles majeurs lorsque lésion frontale (Luria)

A

difficultés d’anticipation et de planification des conduites, qui se répercutent dans beaucoup de comportements et d’activités sociales

36
Q

La théorie de l’esprit

A

représente la capacité permettant à un individu d’attribuer des états mentaux (intention, désir, croyance…) à soi-même ou à d’autres individus

37
Q

théorie de l’esprit: La composante affective

A

la capacité à se représenter les états mentaux affectifs d’autrui, à comprendre et à déduire ses sentiments, émotions et intentions dans un contexte social

38
Q

théorie de l’esprit: La composante cognitive

A

la capacité à se représenter les états mentaux épistémiques d’autrui et donc de comprendre, d’inférer ou raisonner sur les pensées, croyances ou intentions, indépendamment de toute connotation émotionnelle

39
Q

cognition sociale

A

l’ensemble des aptitudes, expériences émotionnelles et sociales régulant les relations entre les individus et permettant d’expliquer les comportements humains

40
Q

processus de décodage

A

capacité à décoder des états mentaux en se fondant sur des éléments disponibles dans l’environnement perceptif (observation des actions, reconnaissance des émotions à partir des expressions faciales, contagion émotionnelle)

41
Q

processus de raisonnement

A

permet d’inférer un état mental en se fondant sur des informations qui ne sont pas directement observables dans l’environnement

42
Q

récursivité

A

propriété de pouvoir appliquer une même règle plusieurs fois en elle-même

43
Q

L’empathie

A

L’empathie fait référence à une compétence socio-émotionnelle permettant de former et de maintenir des liens sociaux

44
Q

faux pas

A

peut se définir comme une maladresse embarrassante dans un contexte social

45
Q

autisme

A

se définit par la présence chez l’enfant de signes, plus ou moins nombreux, se rattachant à

  1. « restriction des comportements sociaux »
  2. « restriction de la communication »
  3. « comportements répétitifs et intérêts restreints
46
Q

épilepsie symptomatique

A

la présence de lésions mises en évidence par la neuro-imagerie

47
Q

épilepsie cryptogénique

A

où une lésion peut être suspectée sur la base de la présence de troubles cognitifs et autres manifestations cliniques mais n’est pas objectivée

48
Q

aphasie acquise chez l’enfant

A

Il s’agit d’« un trouble du langage consécutif à une atteinte du système nerveux central et survenant chez un sujet ayant déjà acquis un certain niveau de connaissance verbale

49
Q

dyslexie développementale

A

un trouble sévère et durable de l’apprentissage de la lecture, pour lequel aucune cause particulière ne peut être mise en évidence

50
Q

dyspraxie développementale

A

La dyspraxie est un trouble de la conceptualisation, de la planification et de la coordination volontaire des séquences de gestes orientées vers un but

51
Q

dyscalculie développementale

A

un trouble de l’apprentissage de l’arithmétique (calcul et traitement des nombres) qui apparaît chez un enfant ayant une intelligence normale et qui a bénéficié d’une scolarité appropriée ainsi que d’un contexte social équilibré, sans trouble sensoriel pouvant expliquer le trouble d’acquisition

52
Q

échelles d’hétéro-évaluation

A

reposent sur l’observation par les proches des modifications du comportement susceptibles d’être présentées par le patient

53
Q

DFT

A

syndrome clinique associé à une dégénérescence des lobes frontaux et temporaux, qui se traduit chez les patients par:
–des profonds changements de personnalité et des conduites sociales
–des troubles des fonctions exécutives et de la mémoire

54
Q

réflexe de préhension (grasping)

A

qui consiste en une flexion réflexe pathologique des doigts, déclenchée par un stimulus tactile

55
Q

enf: retard
VS
enf: trouble neurodéveloppemental

A

délai d’apparition de l’acquisition d’une habileté cognitive

organisation des étapes d’acquisition est perturbée

56
Q

démence

A

syndrome avec une
altération progressive de la mémoire et de l’idéation
–suffisamment marquée pour retentir sur les activités de la vie quotidienne
–apparue depuis au moins six mois,
–et un trouble d’au moins une fonction instrumentale (cognitive) comme le langage ex: praxie, langage, etc

57
Q

veillissement cognitif

A

des changements dans les capacités cognitives liées aux modifications neurophysiologiques qui s’opèrent avec l’avancée en âge

58
Q

L’épilepsie

A

une anomalie du fonctionnement d’une population de neurones (décharge épileptique) provoque une crise épileptique

59
Q

La composante affective (empathie)

A

correspond à une résonnance émotionnelle face à l’émotion ressentie par autrui conduisant à partager un affect avec lui (contagion émotionnelle, reconnaissance des émotions, partage de douleur)

60
Q

La composante cognitive (empathie)

A

est la capacité à reconnaître, comprendre et prendre en compte la perspective émotionnelle d’autrui

61
Q

démence souscorticale

A

regroupe paralysie supranucléaire progressive, maladie de huntington, certains cas de démence dans maladie de prakinson, avec troubles neurologiques avant déficits cognitifs et troubles ralentissement idéique, perso, humeur