Cours 9.2 Flashcards
Est-ce que le nombre de mots dans la liste influence la forme de la courbe sérielle?
Non, il y a toujours un avantage pour les mots du début, suivit d’un plateau pour la section du milieu et un avantage pour les environ 6 derniers mots.
L’ajout de mot ne fait qu’allonger la partie du milieu.
Qu’elle résultat empirique montre que la répétition a un effet sur la «force» de la trace en MLT et que c’est donc un processus nécessaire?
le fait que la probabilité de rappel pour le début de la courbe est directement liée au nombre de répétition effectué.
Si l’on désire éliminer l’effet de récence, mais ne pas affecter l’effet de primauté, comment devons nous s’y prendre?
on va devoir faire la tâche de présentation de la liste avec rappel libre comme d’habitude, mais imposer un délai avant le rappel où on compte à haute voix. (le contenue de la MCT sera disparue après 30 secondes sans répétition.
De quelle façon pourrions nous améliorer l’effet de primauté sans affecter l’effet de récence?
puisque l’effet de primauté est dû au fait qu’on répète les items plus souvent, le fait de lire la liste plus lentement devrait améliorer l’effet de primauté. (pcq on a le temps de répéter les mots plus souvent
Quel est la preuve que les système de mémoire à court terme et long terme sont des systèmes indépendant?
La double dissociation entre les 2 système démontré empiriquement.
Qu’est ce que la mémoire explicite?
c’est la capacité de rappel conscient des faits et évènements. C’est souvent elle qui est affecté par l’amnésie. Elle est représentationnelle, c’est à dire que on peut se représenté ces souvenirs de façon consciente
Qu’elle est la distinction qu’on a établit entre les termes «se souvenir» et «savoir» quelque chose?
le fait de «se souvenir» est lié à la mémoire épisodique (mémoire d’évènements spécifiques : qui est distingué particulièrement par le fait qu’elle permet le voyage dans le temps mental (capacité de retourner consciemment dans la mémoire pour chercher le souvenir)) Tandis que le fait de «savoir» quelque chose est lié à la mémoire sémantique (mémoire des faits généraux et significations)
Quelle sont les résultats obtenues par Knowlton et Squire lors de l’expérience ayant pour but de montrer une différence dans l’oubli pour la mémoire épisodique et sémantique avec une tâche de reconnaissance où on demandait aux participants s’il se souvenait ou savait que le mot avait été présenté.
après un délai de 10 minutes, les participants répondent majoritairement qu’ils se «Souviennent» avoir vu le mot VS savoir.
Après une semaine, il y a de l’oubli dans les 2 cas, mais beaucoup plus important pour les réponses «se souvenir» que pour les réponse «savoir». De plus, bcp de réponse qui était «se souvenir» après 10 minutes se sont transformé en réponse «savoir» après une semaine, mais pas l’inverse.
(la mémoire passerait de l’épisodique au sémantique avec le temps.)
Quel est l’indice qui a permit de penser que nous avons 2 systèmes de mémoire explicites séparées?
le fait des les réponses «se souvenir» ont un patron d’oubli différent que les réponses «savoir» et ça montre que la mémoire épisodique devient sémantique avec le temps
Comment avons nous tenter de montrer un différence dans l’évolution de la mémoire épisodique VS sémantique?
avec l’étude de Petrican et al. ou on avait 2 groupe (moins âgées : 58-69ans ET plus âgées : 74-85ans). On leur a présenté 150 évènements réels (entre 1952 et 2001) et ils devaient indiquer s’il se : souvenait ; savait ; ou ne savait pas de l’évènement.
Qu’elles sont les résultats de l’étude de Petrican sur la différence dans l’évolution des 2 types de mémoire explicite?
Les participants «se souviennent» de moins en moins avec l’âge (dégénérescence causé par l’âge de la mémoire épisodique). MAIS on sait de plus en plus de chose avec l’âge (on acquiert de plus en plus de connaissances/faits
Qu’est ce qui a permit de déterminer que la mémoire sémantique et la mémoire épisodiques sont distinct ? (2)
- ils ont des patrons d’oublis différents
- ils ont une évolution différente dans le temps (l’un se dégénère (épisodique) et l’autre continue de se construire (sémantique)
décrivez l’expérience de Sashs qui a pour but d’étudier la rétention d’information syntaxique et sémantique.
il fait écouter une histoire courtes à ses participant où ils seront testé sur une phrase critique. Le nombre de syllabe présenté après la phrase critique va varier (immédiatement ; 80 syllabes ; 160 syllabes) et le type de changement de la phrase critique aussi (identique ; changement formel ; passif/actif ; sémantique). Leur tâche est d’indiquer si la phrase présenté dans la phase test est la même que dans l’histoire court ou non. On tente de tester si la mémoire est un dictaphone. (parfaite)
Quelle est l’hypothèse de Sachs si notre mémoire ne fonctionne pas comme un dictaphone, mais qu’il préserve surtout l’information sémantique générale?
Les participants vont remarquer si le sens de la phrase est changé, mais ne devrait pas remarquer aucune autre condition. (???)