Cours 10.2 Flashcards
Quel sont les problèmes avec l’approche des niveaux de traitement? (3)
- il y a un raisonnement circulaire - la profondeur dépend de la performance, mais on sait que la tâche est profonde pcq la performance est meilleur.. On ne sait pas c’est quoi la cause originale ou la conséquence originale
- on met l’accent seulement sur les conditions d’apprentissage, mais jamais sur le processus de récupération
- souvent, l’apprentissage n’est pas concordant avec la récupération (non-adaptée)
Quel est le but de la tâche de Morris, Bransford & Franks sur le traitement approprié au transfert?
montrer que la profondeur de traitement n’est pas le facteur crucial pour produire des traces mnésiques fortes et durables. Mais que c’est plutot la relation entre l’encodage et la récupération qui influence la performance des participants.
Quels sont les résultats de la tâche de Morris, Bransford & Franks sur le traitement approprié au transfert ? (tâche rime vs sémantique)
la reconnaissance sémantique avait de meilleurs résultats que la reconnaissance de rime en générale. MAIS pour la reconnaissance de rimes, les participants sont meilleurs s’il on fait l’acquisition de rimes !
concordance de la reconnaissance et acquisition = meilleur performance (contredit les résultats de Craik & Lockhart)
Est ce que les résultats de la concordance entre l’acquisition et la récupération est durable?
oui, même résultats obtenus après 24h
Qu’est ce que le principe de la spécificité de l’encodage?
on considère que l’encodage d’une trace n’est pas seulement l’encodage de l’item, mais aussi l’encodage du contexte et d’indices de récupérations.
La condition de mémorisation peut être utile pour récupérer l’item.
décrivez l’expérience de Godden et Baddeley visant à montrer que ce qui est appris dans un env. donné est mieux rappeler dans ce même env. (effet de contexte)
ils ont demander à des participants de faire un rappel libre avec délai de 4 minutes, soit sous l’eau ou sur la terre (en ayant acquis les listes de mots soit sous l’eau ou sur la terre).
Hypothèse : les gens qui ne changent pas de condition entre l’acquisition et le rappel auront une meilleur performance
Qu’est ce qui a permis de rejeter l’explication alternative selon laquelle la performance serait pire dans les condition non-concordante en raison d’un effet de perturbation et non d’un effet de contexte?
une seconde étude ou les gens devait faire la même tâche que dans l’étude précédente, mais lors du temps d’attente, l’un des groupe plonge dans l’eau et reprend position sur terre (perturbation) avant de rapporter ses réponses.
Mais il n’y a pas de différence entre leur performances, donc c’est bien un effet de contexte qui est observé.
Est ce que l’effet de contexte était observable dans les 2 conditions de test dans l’étude avec les écouteurs qui coupent le sons et les bruit des cafétéria? (question court développement VS question choix multiples)
oui, l’effet d’apprentissage dépendant du contexte était présent dans les 2 cas!
support pour la spécificité de l’encodage
Pourquoi selon Eich et Metcalfe on devrait retrouver un interaction selon l’humeur du participant seulement dans la tâche de génération (et pas dans la tâche de lecture) ?
Parce que selon eux, la lecture est un évènement externe, alors que de générer les mots est une tâche interne (effort cognitif). Puisque l’humeur est aussi un phénomène interne, s’il y a concordance, la performance sera meilleur (mais seulement si interne-interne)
* Vrai : lorsque on regarde les résultats pour la tâche de génération on voit un effet d’apprentissage dépendant de l’état, mais PAS pour la tâche de lecture.
Décrivez l’expérience de Tulving et pearlstone qui tente de démontrer que le rappel de mot avec indice est plus facile si l’indice est présenté au rappel. (mots disponibles mais inaccessible)
lors de la phase d’acquisition, les participant écoute des listes de mots avec une catégorie (qu’on précise qui ne sera pas demandé plus tard). Pour le rappel, les participants sont divisé en 2 groupes (rappel libre OU rappel indicé : doivent rapporter les mots qu’il se souviennent, mais on leur présente la catégorie des mots qu’ils devaient retenir.)
Qu’est ce que les résultats l’expérience de Tulving et Pearlstone (qui tente de démontrer que le rappel de mot avec indice est plus facile si l’indice est présenté au rappel.) démontre quant à l’oubli?
il montre que le problème n’est pas l’interférence, mais plutôt un problème de récupération de l’information (les connaissances sont disponibles, mais seulement accessible avec des indices présenté à l’apprentissage. Il n’y a donc pas de preuve d’oubli!
Quels sont les résultats de l’étude où les participants devait générer 1 ou 3 caractéristique d’un objet et était par la suite testé soit en leur montrant leur indices ou en montrant les indices de quelqu’un d’autre?
c’était plus facile avec 3 caractéristiques dans tout les cas (plus de détails) ET le fait de générer soi-même ces indices permet d’associé les mots à notre propre expérience (chunking) plus facile de se rappeler des mots si on a créé les indices.
Quels sont les 2 caractéristiques d’un bon indice?
- la compatibilité : doit bien décrire le souvenir dont on veut se souvenir
- distinctivité : doit être associé aux moins d’autre souvenir possible.
Qu’est ce que la consolidation?
un processus qui transforme les souvenirs d’un état fragile (sensible) en un état permanent (résistant aux perturbations)
Lors de l’étude sur l’importance du sommeil pour la consolidation, qu’avons nous constaté dans les résultats concernant le groupe incident VS intentionnel
la performance des participants qui ont dormi 8h après l’apprentissage performent mieux s’il savait qu’ils allaient être testé, mais les participant qui on dormi sans savoir performent comme les gens qui sont resté éveillé.
Les gens qui savaient on passé plus de temps en sommeil profond (phase cruciale pour consolidation)
aucune différente entre apprentissage incident ou intentionnel sans le sommeil.