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Psychologie Sexuelle > Cours 9 - Traumas Et Violences Sexuelles > Flashcards

Cours 9 - Traumas Et Violences Sexuelles Flashcards

1
Q

Vrai ou faux

Ca ne peut pas être une agression sexuelle lorsque c’est mon conjoint

A

Faux

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Q

Vrai ou faux

Il avait une érection/elle était lubrifiée, c’est parce qu’il/elle était consentant/e.

A

Vrai

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Q

Vrai ou faux

Si la personne n’est pas émotive quand elle en parle, ça doit être faux et elle recherche l’attention.

A

Faux

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4
Q

Vrai ou faux

La majorité des agressions sexuelles sont commises par des inconnus.

A

Faux
Majorité t des personnes que l’on connaît

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5
Q

Vrai ou faux

Il y a une pensée qu’il ne peut pas avoir commis une agression sexuelle si il est tellement gentil.

A

Vrai

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6
Q

Vrai ou faux

Les agressions sexuelles commises par des femmes sont extrêmement rares.

A

Faux
Moins rapporté car souvent enfant peut confondre avec amour maternel

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7
Q

Vrai ou faux

Des prédispositions biologiques rendent l’homme plus à risque de commettre des agressions sexuelles puisqu’ils sont plus besoin d’assouvir des pulsions sexuelles.

A

Faux
C’est multifactoriel

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8
Q

Vrai ou faux

Toutes les victimes d’agression sexuelle ont des conséquences lourdes au le long terme.

A

Faux
I y en a qui vivent une belle vie quand même

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9
Q

Vrai ou faux

Les personnes qui commettent des agressions sexuelles sur des enfants ne sont pas toutes des pédophiles.

A

Vrai
Pédophile vs agresseur d’enfant

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10
Q

Vrai ou faux

Un adulte qui soupçonne un enfant d’être victime d’une agression sexuelle devrait le questionner à ce sujet.

A

Faux
Ne faux pas mettre des mots dans sa bouche

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11
Q

Qu’est-ce qu’une agression sexuelle

A

Geste à caractère sexuelle commis sans le consentement libre, éclairé et explicite (avec ou sans contacts physiques)

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12
Q

Quelles sont les 3 composantes pour pouvoir donner son consentement

A

• Être conscient
• Avoir un niveau de maturité affective et intellectuelle suffisante
• Âge

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13
Q

Pour donner son consentement :
Selon les 3 catégories d’âge

A

• Avant 12 ans : impossibilité de consentir
• 12 à 15 ans : consentement reconnu si absence de dynamiques de pouvoir (autorité) ou trop grande différence d’âge***
• 16 ans : âge légal pour consentir

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14
Q

Pourquoi c’est difficile de dénoncer une agression sexuelle (6)

A

• Culpabilité/honte
• Impression de responsabilité
• Peur de nuire à l’auteur de l’agression sexuelle
• Peur des représailles
• Stigmatisation
• Ex. la personne victime peut être perçue comme infidèle, « l’avoir cherché », etc.
• Peur de ne pas être cru
• Fausse croyance que les fausses dénonciations sont fréquentes

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15
Q

Qu’est ce que le harcèlement sexuel

A

Comportement sexiste ou à caractère sexuel non désiré de nature verbale ou physique qui se manifeste de façon répétée ou lors d’un seul événement grave.

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16
Q

Nommer 4 exemples d’harcèlement sexuel

A

• Blagues ou commentaires à caractère sexuel
• Pression répétée pour avoir un rendez-vous intime ou des rapports sexuels
• Se faire offrir des avantages au travail en échange de faveurs sexuelles
• Commentaires hostiles à l’égard du genre ou de l’orientation sexuelle

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17
Q

Quelle est la zone grise de l’harcèlement sexuel (2)

A

° Faire la différence avec la séduction
° Attention à ce qu’on étiquette comme agression sexuelle

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18
Q

Pourquoi parfois dénoncer légalement coûte plus cher à la victime (émotionnellement) que de ne pas dénoncer (5).

A

° Doit revivre la situation a plusieurs reprises (témoignage)
° Processus très long
° Pression de la famille de ne pas tout dire vice-versa
° Peur et gêne de devoir dire l’histoire devant tout le monde
° Message difficile dans les cas ou l’agresseur sexuel est jugé non-coupable (dommage émotionnel)

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19
Q

Harcèlement sexuel : zone grise

Nommer deux exemple de faire la différence avec la séduction

A

• Exemple dans un bar
• Exemple dans un couple

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20
Q

Harcèlement sexuel : zone grise

Nommer 2 exemples de faire attention à ce qu’on étiquette comme agression sexuelle

A

• Étiqueter l’autre comme agresseur a un impact (pour tout le monde impliqué, y compris pour la personne victime)
• Importance de la zone grise, sinon on tend dans les extrêmes:
• Masculinisme
• Évitement

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21
Q

Types de délinquants sexuels

Nommer 3 types d’auteurs d’agression sexuelle d’adultes t le pourquoi

A

• Dynamiques de pouvoir
• Désir de domination
• Colère, sentiment d’injustice
• Parfois envers une femme qui l’a rejeté
• Problèmes au niveau du consentement
• Besoin de psychoéducation

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22
Q

À quoi le professionnel doit faire attention quand on reçoit un dévoilement d’agression sexuelle

A

À sa réaction

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23
Q

Quels sont les deux types d’auteur d’agression sexuelle d’enfants

A

° Pédophile primaire
° Pédophile secondaire

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24
Q

Nommer 5 caractéristiques du pédophile primaire

A

• Fixation
• Préférence sexuelle pour l’enfant marquée depuis environ le début de la vie sexuelle de l’individu
• Identification aux enfants
• Méfiance envers les adultes
• Réclament parfois que ce soit reconnu comme une orientation sexuelle

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25
Q

Nommer 5 caractéristiques du pédophile secondaire

A

• Régression
• Investit peu le monde des enfants
• Problématique survenue plus tard (après un fonctionnement sexuel adéquat)
• Distorsions cognitives
• Plus de manipulation fine

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26
Q

Traumas interpersonnels à l’enfance

Quels sont les deux types de gestes des agresseur

A

° Gestes de commission
° Gestes d’omission

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27
Q

Traumas interpersonnels à l’enfance

Nommer 3 exemple de gestes de commissions

A

• Abus sexuel
• Abus physique
• Abus psychologique

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28
Q

Traumas interpersonnels à l’enfance

Nommer e exemples de gestes d’omission

A

• Négligence psychologique
• Négligence physique

29
Q

Vrai ou faux

A

Selon les études, l’intimidation et l’exposition à la violence conjugale peuvent aussi être inclus

30
Q

Quelles sont les 5 catégories qui peuvent créer des traumas interpersonnels à l’enfance

A

° Agression sexuelle
° Négligence physique
° Négligence psychologique
° Abus physique
° Abus psychologique

31
Q

Quel type de comportement a le plus de prévalence des traumas interpersonnels à l’enfance

A

Abus psychologique
• 36% de la population

32
Q

Quels sont les deux types de traumas cumulatif à l’enfance

A

° Cooccurrence de plus d’un type de trauma à l’enfance
° Trauma complexe

33
Q

Cooccurrence de plus d’un type de trauma à l’enfance :
Nommer 3 caractéristiques

A

• 35-40% de la population rapporte avoir vécu au moins un type de TIE
• 30% de la population rapporte avoir vécu au moins deux types de TIE
• La plupart des individus ayant vécu une forme de maltraitance rapportent en avoir vécu au moins un autre

34
Q

Trauma complexe :
Nommer deux caractéristiques

A

• Notion introduite en raison de la complexité clinique observée avec l’accumulation des différents types de traumas
• Exposition à de multiples traumas (souvent prolongés ou répétés dans le temps)

35
Q

Pourquoi le % de prévalence est différencié entre les deux sexes contrairement aux autres abus/négligences

A

° Car différence entre les deux sexe est très grande comparé aux autres
° 18% femmes
° 8% hommes

36
Q

Nommer les 5 types de conséquences multidimensionnelles

A

° Individuelles
° Relationnelles
° Sexuelles
° Financières
° Santé physique

37
Q

Conséquences multidimensionnelles

Nommer 6 caractéristiques des conséquences individuelles

A

• Détresse psychologique
• Dépression
• Faible estime de soi
• Risque suicidaire
• Abus de substance
• Attachement

38
Q

Conséquences multidimensionnelles

Nommer 5 caractéristiques des conséquences relationnelles

A

• Difficultés conjugales
• Instabilité conjugale
• Faible intimité
• Violence conjugale
• Effets sur le/la partenaire*

39
Q

Conséquences multidimensionnelles

Nommer 3 caractéristiques des conséquences sexuelles

A

• Insatisfactions sexuelles
• Dysfonctions sexuelles
• Détresse sexuelle

40
Q

Conséquences multidimensionnelles

Nommer 4 caractéristiques des conséquences financières

A

• Difficulté au niveau de l’emploi
• Perte d’efficacité au travail d’autres…
• Arrêts de travail
• Coûts médicaux plus importants

41
Q

Conséquences multidimensionnelles

Nommer 4 caractéristiques des conséquences sur la santé physique

A

• Douleurs
• Somatisation
• Risque plus élevé d’obésité
• Difficultés de sommeil

42
Q

Quelles sont les 3 composantes du Triangle de Karpman

A

° Victime
° Persécuteur
° Sauveur

43
Q

Quelles sont les 4 composantes du modèle des dynamiques traumagéniques

A

° Sexualisation traumagénique
° Stigmatisation
° Trahison
° Impuissance

44
Q

Nommer caractéristiques du modèle des dynamiques traumagéniques

A

• Permet surtout de comprendre certaines conséquences des agression sexuelles à l’enfance
• Reconnait que certaines dynamiques
peuvent aussi permettent de
comprendre les conséquences d’autres TIE
• Suggère que ces dynamiques altèrent la vision du monde, de soi, des autres et des capacités affectives de l’enfant

45
Q

Qu’est-ce que le Triangle de Karpman (3 éléments)

A

° Représentation que l’on fait quand a vécu une agression sexuelle, catégorisation
° Va se catégoriser plus tard parfois sans même s’en rendre compte
° Quand se catégorise/s’identifie - on projette les autres rôles aux autres

46
Q

Modèle des dynamiques traumagéniques

Qu’est-ce que la sexualisation traumagénique

A

Développement de la sexualité de l’enfant se crée d’une façon inappropriée et dans un contexte interpersonnel dysfonctionnel qui peut affecter la sexualité à l’âge adulte

47
Q

Modèle des dynamiques traumagéniques

Qu’est-ce que l’impuissance

A

Réfère à l’apprentissage de l’impuissance de l’enfant face à ses propres choix, frontières, désirs et sentiment d’efficacité personnelle

48
Q

Modèle des dynamiques traumagéniques

Qu’est-ce que la trahison

A

Lié à la découverte qu’une personne aimée par l’enfant et dont ce dernier dépend peut lui causer du mal
* Trahison aussi liée aux témoins : un membre de la famille qui échoue à protéger l’enfant

49
Q

Modèle des dynamiques traumagéniques

Qu’est-ce que la stigmatisation

A

Connotations négatives (culpabilité, honte, mal, etc.) qui finissent par s’intégrer à l’image de soi de l’enfant

50
Q

Quelles sont les 3 caractéristiques du modèle du trauma au soi (Brière, 1996)

A

• Permet de mieux comprendre comment les traumas interpersonnels à l’enfance peuvent être associés à des difficultés à l’âge adulte
• Fait référence aux associations conditionnées, aux souvenirs liés au trauma et aux souvenirs inconscients de celui-ci
• Fait référence au fait que les traumas peuvent ralentir ou empêcher les apprentissages et le développement affectif et social normal de l’enfant

51
Q

Modèle du trauma au soi (Brière, 1996)

Quelles sont les 3 grandes sphères

A
  1. Les relations interpersonnelles
  2. Le développement identitaire
  3. La régulation émotionnelle
52
Q

Modèle du trauma au soi (Brière, 1996)

Sphère des relations interpersonnelles :
Quels sont les 2 éléments

A

° Attachement insécure entre l’enfant et la figure d’attachement
° Attentes faibles à propos de leur sécurité, leur confiance, leur estime de soi, leur intimité et leur contrôle

53
Q

Modèle du trauma au soi (Brière, 1996)

Sphère du développement identitaire :
Quels sont les 3 éléments

A

° Apprentissage tôt dans la vie à faire des suppositions concernant soi-même et les autres (représentations internes)
° Attention portée vers l’extérieur (sur les autres) pour demeurer vigilant face aux dangers, limitant l’attention vers ses états internes
° Lié à un sentiment de vide sans nomes, valeurs et attributs clairs internalisés (augmente la vulnérabilité aux jugements des autres et à l’influence des normes externes)

54
Q

Modèle du trauma au soi (Brière, 1996)

Sphère du développement identitaire :
Quels sont les 3 éléments

A

° Apprentissage tôt dans la vie à faire des suppositions concernant soi-même et les autres (représentations internes)
° Attention portée vers l’extérieur (sur les autres) pour demeurer vigilant face aux dangers, limitant l’attention vers ses états internes
° Lié à un sentiment de vide sans nomes, valeurs et attributs clairs internalisés (augmente la vulnérabilité aux jugements des autres et à l’influence des normes externes)

55
Q

Modèle du trauma au soi (Brière, 1996)

Sphère de la régulation émotionnelle :
Quels sont les 3 éléments

A

° Manque d’opportunités pour développer des habiletés d’identification et de régulation des émotions
° Favorise les stratégies d’évitement des émotions (fuir des situations de détresse émotionnelle insoutenable par la suppression de pensées, la dissociation, la distraction, etc.)
° Associations parfois inconscientes entre des stimuli associés aux traumas et des émotions fortes

56
Q

Modèle du trauma au soi (Brière, 1996)

Sphère de la régulation émotionnelle Vrai ou faux :
Peut mener à la répétition inconsciente des traumas : tentative de revisiter le trauma pour le comprendre, le contrôler ou triompher

A

Vrai

57
Q

Trajectoires : inhibition et désinhibition

Nommer 7 caractéristiques de l’inhibition

A

• Émotions négatives lors de l’activité sexuelle
• Faible fonctionnement sexuel
• Faible satisfaction sexuelle
• Plus d’évitement de la sexualité
• Plus de problèmes sexuels (ex. dysfonctions)
• Dissociation lors de l’activité sexuelle
• Aversion de la sexualité

58
Q

Trajectoires : inhibition et désinhibition

Nommer 5 caractéristiques de la désinhibition (ou compulsion)

A

• Comportements plus externalisés
• Augmentation du risque d’ITSS
• Comportements sexuels à risque
• Impulsivité (dans la sexualité)
• Infidélité

59
Q

Trajectoires : inhibition et désinhibition

Vrai ou faux :
Les trajectoires ne vont pas s’entrecroiser

A

Faux
Il peut y avoir un croisement dans les deux trajectoires

60
Q

Théories de l’apprentissage

Nommer deux éléments de la sensibilisation au conflit

A

• Hypersensibilité amenant un dérèglement devant les conflits
• Violence comme réponse apprise devant un stress

61
Q

Théories de l’apprentissage

Nommer 4 éléments de l’identification à l’agresseur

A

• Stratégie de survie pour :
• Conserver une image positive de l’agresseur (surtout lorsqu’il s‘agit d’une figure significative)
• Conserver l’image d’un monde sécuritaire
• Conserver l’idée d’un soi invulnérable (illusion de contrôle, omnipotence)
• Augmente le risque pour:
• Répétition des abus envers soi-même ou les autres

62
Q

Vrai ou faux :
Pour n’importe qu’elle approche thérapeutique, l’ingrédient le plus important est la relation thérapeutique

A

Vrai

63
Q

En psychothérapie, quels sont les deux éléments de l’importance de se voir aller

A

• Voir comment le patient nous amène dans le triangle de Karpman
• Voir comment nous-même on peut se mettre dans le triangle

64
Q

En psychothérapie, lorsque la personne se dévoile, que doit-on faire (2)

A

• Accueillir : jamais minimiser ou amplifier (même si fréquent que la personne minimise)
• Se tenir à jour sur les données scientifiques et les ressources (CAVAC, IVAC*, etc.)
[Attention! IVAC regarde la loi, pas la zone grise. Parfois on doit attendre d’avoir plus d’information, un refus peut être très bouleversant]

65
Q

Vrai ou faux :
Souvent, la personne veut en parler mais ne sait pas comment

A

Vrai

66
Q

Que doit-on faire, comme proche, lorsqu’une personne se dévoile (sur son agression sexuelle) (4)

A

• Comme proche, nous ne sommes PAS des
psychologues, psychothérapeutes, etc.
• Oui, importance d’avoir une attitude empathique et de l’écoute
• MAIS : pas de confrontation, pas d’interprétation, pas d’intervention
• Même si c’est tentant
• Croire la personne
• Respecter son rythme
• Valider

67
Q

Puisque l’auteur de violences sexuelles est TRÈS souvent connu (conjoint, ami, famille, etc.), que doit faire les proches lorsque la personne qui a été agressée se dévoile

A

Besoin de NUANCES pour accueillir sans heurter davantage

68
Q

Qu’est ce que le mouvement #metoo

A

• Mouvement contre la violence sexuelle

69
Q

Quel est le but du mouvement #metoo

A

BUT: support aux survivants de violence sexuelles (en particulier pour les filles et femmes noires, racisées et issues de milieux défavorisés)

Psychologie Sexuelle (10 decks)

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