Cours 9 Physiologie Pt 2 Flashcards

1
Q

La transduction de la saveur sucrée est opérée par quoi ? Selon quoi ?

A

Par les complexes hétéromériques des récepteurs T1R2 et T1R3 ; selon un processus dépendant de l’IP3 qui va mener à l’activation d’un canal calcique TRPM5

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Q

Résume le fonctionnement des récepteurs T1R2 et T1R3 lors du goût de sucré

A

Les récepteurs induisent la transduction où intervient la prot. G ; Après activation de quelques molécules, il y a augmentation de la concentration d’inositol triphosphate (IP3) et ouverture
des canaux calciques. Ceci provoque l’entrée de Ca2+ et la dépolarisation de la cellule.

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3
Q

Qu’est-ce qui est différent entre la transduction de la saveur umami et la saveur sucrée ?

A

Le récepteur associé au T1R3 est plutôt le T1R1 au lieu du T1R2 (il est spécifique aux a.a)

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4
Q

Que fait intervenir la transduction du goût amer ? Explique le processus

A

Elle fait intervenir un autre groupe de récepteurs couplés aux prot. G = T2R . Ces récepteurs peu connus seraient associés à la gustducine , protéine G propre aux cellules gustatives, mais absente des cellules gustatives exprimant les récepteurs du sucré et du umami.

Le processus global demeure le même que pour le sucré et l’umami.

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5
Q

L’information gustative va circuler en provenance de quels nerfs crâniens?

A

des nerfs facial, glossopharyngien et vague vers le
SNC.

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6
Q

Quel est le chemin des voies du goût en partant des nerfs VII, IX et X ?

*image ppt p.55

A
  1. Bourgeons du goût : 2/3 antérieurs de la langue (n. VII) ; 1/3 postérieur de la langue (n. IX) ; épiglotte (n. X)
  2. Noyau du faisceau solitaire (interagit dans les 2 directions avec hypothalamus et amygdale)
  3. Noyau ventro postéro médian du thamalus
  4. Insula et cortex frontal
  5. Amygdale
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7
Q

Le système olfactif correspond à quel % du sens du goût ?

A

80%

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8
Q

Donne la définition qui résume le système olfactif

A

= Circuits nerveux assurant l’olfaction
-doivent coder l’information à partir de structures chimiques différentes
-stocker (apprendre) les différentes
modalités de codage qui correspondent aux différentes
structures
-décrypter le code nerveux pour identifier
l’odeur.

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9
Q

Les neurones récepteurs olfactifs donnent naissance à quoi ? Où sont-ils situés ? Quelle est leur durée de vie et comment se regénèrent-ils ?

A

À l’odorat ; situés dans l’épithélium olfactif dans la partie supérieure de la cavité nasale ; 2 mois, ils sont remplacés constamment par des cellules souches de l’épithélium olfactif

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10
Q

Que possèdent les neurones à l’extrémité de la dendrite ? Que contiennent-ils ?

A

Ils possèdent des cils non mobiles ( noyés dans le mucus) ; ils contiennt des protéines réceptrices fournissant les sites de fixation pour les molécules olfactives

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11
Q

Quelles structures forment le nerf olfactif ? 1er nerf crânien

A

Axones des neurones afférentes du système olfactif

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12
Q

Comment peut-on résumer la transduction des odeurs ? (3)

A

= Diffusion de molécules dans l’air puis dans l’épithélium olfactif
Dissolution dans le mucus
Fixation sur les récepteurs

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13
Q

La stimulation des récepteurs de l’odorat active quoi ? Explique le processus complet

A

Active une voie médiée par la protéine G qui augmente la concentration de protéine AMPc , ce qui engendre l’ouverture des
canaux cationiques non sélectifs et dépolarise la cellule.

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14
Q

Les axones font synapses dans quelle(s) structure(s) ? Et dans quelle structure le syst. olfactif est le seul syst. sensitif à NE PAS faire synapse avant d’atteindre le cortex ?

A

1- bulbe olfactif (2), situé dans le lobe frontal

2- Le thalamus ; Le système olfactif est le seul système sensitif qui ne
fait pas synapse dans le thalamus avant d’atteindre le cortex.

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15
Q

Quelle est la définition de l’état de conscience ?

A

= niveau de vigilance (éveillé,
endormi, somnolent, etc.). Se définit par le comportement et par le mode d’activité cérébrale.

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16
Q

Quelle est la définition de l’expérience consciente ?

A

Expérience consciente (ce dont nous avons conscience) : pensées, sentiments, perceptions, idées, rêves, raisonnement au cours d’un état de conscience quelconque.

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17
Q

Que permet l’EEG ? Quel aspect a-t-il ?

A

EEG permet d’enregistrer électriquement l’activité cérébrale ; a un aspect d’ondes

EEG = électroencéphalogramme

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18
Q

Que représente l’amplitude des ondes de l’EEG ? Et la fréquence ?

A

L’amplitude des ondes est la fonction de la synchronisation des décharges. Donc, une grande amplitude reflète l’activation simultanée de nombreux
neurones.

La fréquence est fonction de la sensibilité de l’activation.
Elle indique le nombre d’oscillations de l’onde.

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19
Q

Nomme et donne le nombre de gammes possibles. Aussi, quelle est la différence entre les basses et les hautes fréquences p/r à l’état de conscience ?

A

4 gammes : alpha, bêta, thêta, gamma

Basses fréquences = états moins réactifs (sommeil)
Hautes fréquences = états plus réactifs (vigilance)

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20
Q

Quels sont les caractéristiques de la gamme alpha ? Et bêta ?

A

alpha : 8 à 13 Hz
Lobes pariétaux et occipitaux
Faible niveau d’attention, relaxé et heureux (Basse fréquence)

bêta : > 13 Hz
Lorsque le sujet est attentif à un stimulus externe (Haute fréquence)

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21
Q

Quelle est la fréquence associée aux gammes thêta et delta ?

A

Rythme thêta : 4 à 8 Hz
Rythme delta : < 4 Hz

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22
Q

Au stade 1,3 et 4 de sommeil, que peut-on dire quant aux ondes ?

A

1 : ondes thêta s’entremêlent avec ondes alpha

3 : ondes delta commencent à apparaître au rythme thêta

4 : Aspect dominant du rythme delta

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23
Q

Comment est la fréquence des ondes au stade 2 de sommeil ? Comment les appelle-t-on ?

A

Des bouffées de haute fréquence, appelées fuseaux du sommeil et des complexes K.

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24
Q

Dans le sommeil paradoxal, que se passe-t-il a/n des :

  • mvts oculaires ?
  • mvts des muscles du cou ?
  • fréquence cardiaque ?
A

1- augmentation des mtvs oculaires
2- Silence musculaire ( mais soubresauts peuvent survenir)
3- augmentation de la fréquence cardiaque et de la respiration

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25
Q

Qu’est-ce que l’apnée du sommeil fait en termes de changements physiologiques ?

A

Réduction soudaine de la respiration

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26
Q

Comment les épisodes de sommeil et d’éveil alternent ? Selon quel rythme ?

A

: Alternent 1 fois par jour, c à d qu’ils suivent un rythme circadien qui se compose en moyenne de 8 heures de sommeil et de 16 heures d’éveil.

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27
Q

La fonction du rythme circadien est assurée par quoi ?

A

: noyau suprachiasmatique stimulant la production de
mélatonine par la glande pinéale (épiphyse).

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28
Q

Quel est le rôle de l’aire pré-optique ?

A

Elle induit le sommeil à ondes lentes par des influx GABAergiques inhibiteurs vers les neurones
thalamocorticaux et la formation réticulée du mésencéphale.

Elle inhibe également l’activité d’un centre de l’hypothalamus postérieur qui stimule l’éveil.

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29
Q

Quels chemins (aug./dim de quelle subst.) mènent à l’éveil ?

p. 75 ppt

A

1- Hypothalamus avec centre circadiens et homéostatiques, dim. GABA, aug. histamine, aug. activation du thalamus et du cortex = éveil
* Augmentation de l’histamine

  1. Noyau du tronc cérébral faisant partie du système réticulé activateur, aug. noradrénaline et sérotonine, dim. acétylcholine = éveil
    *Neurones aminergiques sont activés
30
Q

Quel chemin (aug./dim de quelle subst.) mènent au sommeil à ondes lentes ?

ppt p.75

A

1- Hypothalamus avec centre circadiens et homéostatiques, aug. GABA, dim. histamine, dim. activation du thalamus et du cortex = Sommeil à ondes lentes
* Augmentation de l’inhibition

31
Q

Quel chemin (aug./dim de quelle subst.) mènent au sommeil paradoxal ?

ppt p.75

A

1- Noyau du tronc cérébral faisant partie du système réticulé activateur, dim. noradrénaline et sérotonine, aug. acétylcholine = sommeil paradoxal
*Neurones cholinergiques sont activés

32
Q

Quelle est la définition de l’attention sélective ?

A

= : évitement de distractions par
des stimulus momentanément importants. Elle dépend de mécanismes volontaires et réflexes.

33
Q

Que pourrait-on voir sur l’EEG d’un sujet relaxé ? Et sur le stimulus ? (en termes d’ondes)

A

Sujet relaxé : ondes alpha à l’EEG
Stimulus : apparition des ondes bêta

34
Q

Avec l’attention sélective, qu’est-ce que ça signifie si le stimulus est suffisamment significatif ?

A

Si le stimulus est suffisamment significatif : l’individu cesse ses activités et s’oriente vers le stimulus (comportement appelé réponse orientée)

35
Q

Que se passe-t-il au niveau de l’évaluation du traitement de l’information dans l’attention sélective pour rester concentrer sur le stimulus d’intérêt ?

A

1- Le SN évalue la signification de l’information sensitive entrante

2- Avant même que l’information devienne consciente, une
partie de l’information est déjà traitée (traitement préattentif)

3- Le traitement préattentif dirige notre attention vers la partie du monde sensitif qui est d’intérêt particulier et prépare les processus de perception cérébrale.

4- Lorsqu’un stimulus est répété et considéré comme sans intérêt, la réponse comportementale diminue progressivement (habituation).

36
Q

Donne un exemple d’attention sélective

A

ex : hotte de cuisine que l’on entend plus

Premier son de la cloche : entraîne une réponse orientée, après plusieurs reprises, nous pouvons finir par ignorer ce son.

37
Q

Quel est le mécanisme nerveux de l’attention sélective ?

A
  1. L’attention doit être détournée de l’activité en cours
  2. L’attention doit être déplacée vers le nouveau centre d’intérêt
  3. Il doit finalement y avoir une augmentation du degré de vigilance pour pouvoir y porter une
    attention prolongée.
38
Q

Quelle partie du cerveau jour un rôle important dans l’orientation et la sélection de l’attention ?

A

Le tronc cérébral

39
Q

Du tronc cérébral, quelle partie se projette sur le cortex pariétal et les autres structures du SNC en plus d’intervenir dans l’attention sélective ?

A

Le locus cerulus (noyau du pont)

40
Q

Quels sont les actions du locus cerulus ?

A

1- Contribue à déterminer quelle aire cérébrale doit être
temporairement privilégiée dans l’expérience consciente

2- La noradrénaline (neurotransmetteur) se comporte comme un neuromodulateur accentuant les signaux transmis par certains influx sensitifs.

3- Ainsi, le locus cerulus améliore le traitement de l’information
au cours de l’attention sélective

41
Q

Le thalamus est impliqué dans quoi ? Et quels sont ses actions ?

A

Le thalamus est une autre région cérébrale impliquée
dans l’attention sélective.

1- Relais synaptique pour la plupart des voies sensitives
ascendantes

2- Filtre pouvant modifier sélectivement la transmission de
l’information sensitive.

42
Q

Qu’est-ce que le THDA ? Quelle est son incidence et par quoi se caractérise-t-il ?

A

THDA : trouble hyperactif avec déficit de l’attention

Anomalie neurocomportementale la plus répandue chez l’enfant d’âge scolaire
Incidence : 3 à 7%
Se caractérise par une difficulté anormale à maintenir une attention sélective et/ou par une impulsivité et une hyperactivité.

43
Q

Que peut-on dire a/n de la participation des neurones au cours d’une expérience consciente ?

A

La participation est simultanée de plusieurs groupes de neurones

44
Q

Qu’est-ce qui aboutit à la prise de conscience ? Explique ce qui se passe

A

Les neurones des différentes parties de l’encéphale qui traitent simultanément l’information reliée à un objet représentent un «regroupement temporaire».

= On pense que l’activité synchrone des neurones de
ces regroupements aboutit à la prise de conscience.

45
Q

Qu’est-ce que la négligence sensorielle ? À quoi peut-elle être due ?

A

Lésions des aires d’association du cortex pariétal entraînant la
négligence par l’individu des parties du corps ou du champ visuel.

Souvent, AVC pariétal

46
Q

Quelles sont les caractéristiques de la motivation ?

A

-Est responsable des comportements dirigés
-Peut déclencher des réponses hormonales, autonomes et
comportementales
-Comportement motivé primaire : relié à l’homéostasie (ex. boire)
-Motivation secondaire : non relié à l’homéostasie (ex. jus d’orange VS jus de pomme).

47
Q

Quelles sont les caractéristiques des émotions ?

A

-Accompagnent nos expériences conscientes
-Implication importante de l’amygdale
-Le comportement émotionnel est sous le contrôle des systèmes nerveux autonome et somatique.

48
Q

Qu’est-ce que la voie mésolimbique dopaminergique ?

A
  • composante participant à la motivation
  • Naît dans la partie mésencéphalique du tronc cérébral
  • émet des fibres vers le système limbique et ses fibres libèrent de la dopamine (neurotransmetteur)
49
Q

Qu’est-ce que l’autostimulation électrique par les électrodes a/n de l’encéphale ?

A
  • Stimulation de l’hypothalamus
    latéral est gratifiante
  • Davantage gratifiante que la
    récompense externe (ex.
    nourriture)
  • Les animaux pouvaient actionner
    le levier de récompense jusqu’à
    tomber d’épuisement.
50
Q

Les sites gratifiants se regroupent plus densément à quel niveau ?

A

a/n de l’hypothalamus latéral, mais peut aussi se produire dans plusieurs territoires cérébraux

51
Q

VRAI OU FAUX : L’hippocampe n’est pas impliqué dans le processus de mémoire ?

A

FAUX ; il l’est

52
Q

Qu’est-ce que la schizophrénie ? Quelle est son incidence?

A

Les Sx cognitifs sont très variables d’une personne à l’autre. Les hallucinations (ex. voix) et le sentiment d’avoir été choisi pour une mission, ou de se sentir persécuté par autrui, sont des Sx fréquents.

Incidence : 1% de la population

53
Q

Au niveau des troubles de l’humeur, qu’est-ce que la dépression ?

A

Diminution de l’activité du système limbique antérieur et dans le cortex préfrontal avoisinant

Les traitements augmentent le niveau de sérotonine et de la noradrénaline dans l’espace extracellulaire autour des synapses

54
Q

Au niveau des troubles de l’humeur, qu’est-ce que le trouble bipolaire ?

A

Oscillation entre la manie et la dépression

Les traitements incluent le lithium, lequel réduit la réponse nerveuse
postsynaptique

55
Q

Donne un exemple de schizophrénie et d’Alzheimer

A

S : peintre anglais ; obsession pour les chats ; peut voir un changement a/n de son art avec la détérioration de la schizophrénie

A : Autoportraits de William Utermohlen ; détérioration de ses autoportaits avec le temps

56
Q

Que font les substances pyschoactives ? Elles agissent sur quoi ?

A

1- Elles améliorent l’humeur et ressemblent chimiquement à la sérotonine/ dopamine

2- voie mésolimbique dopaminergique

57
Q

Quelle est la définition de l’apprentissage ?

A

Apprentissage : Acquisition et stockage d’informations suite à une expérience.

58
Q

Quelle est la définition de la mémoire ?

A

Stockage à long terme de l’information apprise.

59
Q

Qu’est-ce que l’encodage de la mémoire ?

A

Définit les processus nerveux qui
transforment une expérience en souvenir de cette expérience,
soit les événements physiologiques qui aboutissent à la
formation de la mémoire.

60
Q

Comment appelle-t-on le passage d’informations de la mémoire à court terme vers la mémoire à long terme ?

A

La consolidation

61
Q

De quelle type de mémoire s’agit-il :
Court terme : Hippocampe et autres structures du lobe temporal

Long terme : Nombreuses aires
corticales d’association

= Expériences conscientes qu’on
peut exprimer par des mots

A

Mémoire déclarative

62
Q

De quel type de mémoire s’agit-il :

Court terme :
Distribution importante (plusieurs aires)

Long terme : Noyaux de la base, cervelet, cortex prémoteur

= Comportements qualifiés (comment on fait les choses)

A

Mémoire procédurale

63
Q

Qu’est-ce que l’amnésie rétrograde ?

A

Perte de la mémoire des événements précédant un
traumatisme

64
Q

Qu’est-ce que l’amnésie antérograde ?

A

= incapable d’apprendre
* Perte de la capacité de consolidation de la mémoire
déclarative à court terme en mémoire à long terme.
* Lésion associée à l’hippocampe, le thalamus et l’hypothalamus
* Peut être induit pharmacologiquement (ex) lors
d’interventions chirurgicales où le patient doit demeurer éveillé.

65
Q

Que possède chaque hémisphère ?

A

Chaque hémisphère, bien que quasi symétrique, possède ses spécialisations anatomiques, chimiques et fonctionnelles.

66
Q

Dans quoi est spécialisé l’hémisphère G ?

A
  • production du langage,
  • la conceptualisation de ce qu’on veut dire/écrire,
  • le contrôle nerveux de l’acte de la parole/écriture
  • la mémoire verbale récente
67
Q

Quelles sont les deux aires qui participent au langage ?

A

Aire de Broca et aire de Wernicke

68
Q

Quelle sont les deux types d’aphasie ?

A

Aphasie de Broca et aphasie de Wernicke

69
Q

Quelles sont les caractéristiques de l’aphasie de Broca ?

A

-Aphasie expressive
-Difficulté à coordonner les mouvements respiratoires et buccaux participant au langage
-Difficulté à former les mots malgré qu’ils comprennent le langage parlé et savent ce qu’ils veulent exprimer
-Individus conscients de cette aphasie

70
Q

Quelles sont les caractéristiques de l’aphasie de Wernicke ?

A

-Aphasie de compréhension
-Difficulté à comprendre le langage parlé ou écrit alors que la vision
et l’audition sont intactes
-Langage fluide, mais mélange des mots
-Individus rarement conscients de cette aphasie