Cours 8 Physiologie Pt 2 Flashcards
À quoi correspond la sensibilité de la peau ? De quelles manières ?
= sensibilité de la peau, des muscles, des os, des tendons et des articulations
ex : toucher, pression, perception de la position des parties du corps, des mouvements des parties du corps, du chaud et du froid
Au niveau du toucher - pression, comment sont les récepteurs et que se passe-t-il ?
Les mécanorécepteurs sont encapsulés. Ces terminaisons permettent de répondre sélectivement aux informations mécaniques qui activent les fibres nerveuses.
De quels corpuscules sont composés les couches profondes ? + donne la def de chacun
Corpuscules de Pacini = longues capsules de tissus conjonctifs enlaçant les fibres nerveuses terminales (adaptation rapide aux vibrations fortes)
Corpuscules de Ruffini : sont des récepteurs enroulés autour de la fibre nerveuse terminale (en fuseau). Récepteurs à adaptation lente réagissant à l’étirement et au plissement de la peau (forme de l’objet). Ex. Rasoir sur la peau.
De quels corpuscules est composée la couche superficielle ?
- Corpuscules de Meissner ont une structure ovoïde remplie de liquide qui entoure les fibres nerveuses
terminales. Adaptation rapide au toucher léger et au frôlement. - Disques de Merkel sont de petites cellules épithéliales
entourant la fibre terminale. Adaptation lente aux pression soutenues et aux textures.
Quelle est la définition de la proprioception ? Qu’est-ce qui la compose ? (+definitions)
= sens de la position statique et du mvt des membres et du corps
- Récepteurs à l’étirement du fuseau musculaire :
Répondent à l’amplitude absolue de l’étirement et à la vitesse
de l’étirement
-Les organes tendineux de Golgi :
Surveillent la tension musculaire
Décrit les types de mécanorécepteurs de la sensibilité somatique toucher - pression ?
*Mécanorécepteurs
-La moitié des récepteurs sont à adaptation rapide : donne naissance aux sensations de toucher, de mouvement et
de vibration
-Récepteurs à adaptation lente : donne lieu à la sensation de pression
Comment sont les neurones au niveau de la sensation de la température ?
*Thermorécepteurs
- Neurones afférents de petit diamètre, peu ou non myélinisés.
- Les thermorécepteurs : sont des terminaisons libres qui contiennent des canaux ioniques répondant à une étendue
de changement de T - Appartiennent à la famille des protéines du potentiel de
récepteur transitoire (PRT). - Afférences activées par le froid (0 35 °) et la chaleur (30 50°)
Qu’est-ce qui est activé par une température extrême ?
- Nocicepteurs
Quels récepteurs vont être activés par une température extrême ?
Certaines protéines PRT peuvent être ouvertes par des
ligands chimiques
Ex : Capsaïcine/Éthanol = perçu comme du chaud
Menthol = perçu comme du frais
Quel type de récepteurs sont activés par le sensation de douleur ? À quoi sont-ils associés ? Par quoi sont-ils activés ?
Nocicepteurs,
-associés : aux terminaisons libres, à un stimulus qui provoque ou susceptible de provoquer des dommages tissulaires
- récepteurs de la douleur viscérale sont activés par l’inflammation
Que contiennent les nocicepteurs ?
Des canaux ioniques qui répondent à des déformations intenses, aux T excessives ou à des agents chimiques
Quelles sont les caractéristiques des nocicepteurs ?
= dépourvus de spécialisation, mais fortement modulés (augmentation/suppression)
Que se passe-t-il après la transduction du premier stimulus nociceptif ? De quelle manière ?
- la douleur subit des modifications : une augmentation ou diminution de la sensibilités aux stimulus douloureux
Par quoi peut être modulée la douleur ? (4)
Expériences passées, suggestion, émotions (anxiété), activation d’autres modalités sensitives
Qu’est-ce que l’hyperalgésie ? L’hypoalgésie ?
Hyperalgésie = augmentation de la sensibilité au stimulus douloureux. Fréquent dans les situation de brûlures sévères.
Hypoalgésie = diminution de la sensibilité au stimulus douloureux.
Les afférences primaires qui portent les terminaisons nociceptives font synapse sur quoi ? Quels sont les neurotransmetteurs libérés ?
Sur des neurones ascendants après leur entrée dans le SNC
Le glutamate et le neuropeptide substance P ;
Qu’est-ce qui est responsable du phénomène de douleur référée ?
L’activation d’interneurones par ces afférences nociceptives = responsable du phénomène de douleur référée
Qu’est-ce que la douleur référée?
Lorsque la douleur est perçue à un site différent de celui de la lésion
ex : Douleur du bras G lors d’une crise cardiaque.
Que se passe-t-il dans les voies descendantes qui régulent les informations nociceptives ?
Les influx descendants proviennent du tronc cérébral
= stimulent interneurones de la colonne dorsale
= induit libération de neurotransmetteurs opiacés endogènes
= inhibe la libération de neurotransmetteurs de la fibre afférente (qui eux stimule la douleur)
Qu’est-ce qui constitue la voie de la colonne dorsale ? + chemin
- proprioception
-toucher
-pression
chemin :
Ganglion de la racine dorsale
Colonnes dorsales
Medulla
Lemniscus médian
Thalamus
Cortex somatosensitif
Qu’est-ce qui constitue la voie antérolatérale ? + chemin
-température
-douleur
chemin :
Ganglion de la racine dorsale
Corne dorsale
Colonne antérolatérale
Branche provenant de la formation réticulée
Thalamus
Cortex somatosensitif
Quelles sont les principales caractéristiques à noter a/n des voies nerveuses (colonne dorsale et antérolatérale) ?
- Les deux voies traversent la ligne médiane.
- Les voies sensitives des récepteurs somatiques du côté
G du corps gagnent le cortex somatosensitif de l’hémisphère D. - L’information somatosensitive de la tête et du visage ne gagne pas le cerveau par ces voies spinales, mais par le tronc cérébral via les nerfs crâniens.
L’énergie radiante du système visuel est exprimée en quoi ? À quoi correspondent-elles ?
Longueur d’ondes: la distance entre deux pics d’ondes successifs de la radiation électromagnétique.
Fréquence : varie de façon inversement proportionnelle à la longueur d’onde.
DÉFINITIONS
Sclère, Cornée, Choroïde, Rétine
Sclère : capsule blanche entourant l’oeil, excepté la face antérieure. Point d’insertion des muscles mobilisant l’oeil.
Cornée : Surface antérieure de l’oeil
Choroïde : Couche sous jacente portant un pigment sombre permettant l’absorption des rayons lumineux en arrière du globe oculaire. En avant, elle se spécialise en iris, en muscle ciliaire et en fibres zonulaires.
Rétine : Surface interne, postérieure de l’oeil. Contient plusieurs types de neurones, dont les photorécepteurs.
DÉFINITIONS
Macula densa, Fovéa, Disque optique
Macula densa : région contenant
peu de vaisseaux sanguins
Fovéa : Zone contenant une forte
densité de cônes, peu de neurones
rétiniens entravant la propagation
de la lumière. Zone de la plus
grande acuité visuelle.
Disque optique : Zone de sortie des neurones vers le nerf optique de l’oeil.
Que fait une lentille courbe ?
Induit une réfraction quand une source lumineuse y pénètre (focalisation)
La lumière est réfractée par quelles parties de l’oeil ?
Cornée et cristallin
Qu’est-ce qui déterminent la force du cristallin (degré de focalisation) ?
L’activité du muscle ciliaire et la tension qui en résulte sur les fibres zonulaires
Les objets sont focalisés sur quelle partie anatomique de l’oeil ? Comment est l’image ?
Les objets sont focalisés sur la fovéa
L’image est inversée du haut vers le bas et de la droite vers la gauche p/r à la source.
= Le cerveau restaure notre perception de l’image.
TROUBLES VISUELS
Que se passe-t-il au niveau du cristallin lors d’un(e) :
- Astigmatisme ?
- Presbytie ?
- Cataracte?
- Glaucome ?
Astigmatisme : Cristallin ou cornée
n’ont pas une courbure uniforme.
Presbytie : Vieillissement du
cristallin qui empêche de voir
nettement les objets rapprochés
(fatigue visuelle)
Cataracte : Modification de la
couleur du cristallin.
Glaucome : Maladie caractérisée
par l’augmentation de la pression
intraoculaire.
Quelles sont les 5 types de neurones que comportent la rétine ?
Photorécepteurs ( Cônes, Bâtonnets)
Cellules bipolaires
Cellules ganglionnaires
Cellules horizontales
Cellules amacrines
Que font les photorécepteurs ? En fonction de quoi sont appelés les 2 types, soit les cônes et les bâtonnets ?
= transduction des ondes lumineuses en information visuelle
- En fonction de la forme de leur longueur et de leur segment externe photosensible
Comment sont les bâtonnets ?
Bâtonnets sont très sensibles et
répondent à de très faibles
éclairements
Comment sont les cônes?
Cônes sont moins sensibles et
répondent seulement à des lumières vives.
Quel est le processus qui fait en sorte que nous sommes en mesure de voir clairement?
La choroïde et l’épithélium pigmentaire de la partie postérieure de la rétine absorbent la lumière qui a traversé les
photorécepteurs empêchant la réflexion et la dispersion des
photons de retour vers les bâtonnets et les cônes.
VRAI OU FAUX : la lumière doit traverser toutes les couches cellulaires de la rétine pour atteindre les photorécepteurs ?
VRAI
Quelle cellule est la seule cellule sensitive dépolarisée au repos et hyperpolarisée en réponse à son activation ?
Le photorécepteur
Que se passe-t-il lors de la phototransduction (général) ?
Lorsque la lumière d’une longueur d’onde appropriée tombe sur une cellule photoréceptrice, une cascade d’événements aboutit à une hyperpolarisation de la membrane cellulaire.
Quelles sont les étapes de la phototransduction ?
1) Le rétinal prend une nouvelle conformation lors de l’absorption des photons.
2) Modification de la protéine opsine, ce qui déclenche une
interaction entre l’opsine et la transducine.
3) La transducine active l’enzyme GMPc GMPc-phosphodiestérase
dégradant la GMPc (Guanosine monophosphate cyclique).
4) La baisse de GMPc entraîne la fermeture des canaux
cationiques (Ca2+ et Na+) qui provoque une hyperpolarisation du potentiel de membrane.
Quelles sont les différences entre les mécanismes de transduction sur les bâtonnets et les cônes : lorsqu’il y a différentes gammes d’intensités lumineuses ?
Cônes : lumière vive = nécessite plus de 100 photons pour provoquer une réponse
Bâtonnets : lumière faible = répond à partir d’un seul photon
Quelles sont les différences entre les mécanismes de transduction sur les bâtonnets et les cônes : lorsqu’il y a saturation ?
Cônes : Ne se saturent pas aux niveaux d’éclairement élevés
Bâtonnets Se saturent
Quelles sont les caractéristiques des cônes versus les bâtonnets ?
Cônes : Faible sensibilité, vision diurne (colorée)
Moins d’opsine
Plus faible amplification
Réponse plus rapide dans le temps
Plus sensible aux rayons directs
Bâtonnets : Haute sensibilité, vision de nuit (noir et blanc)
Plus de rhodopsine (pigment), filtre
davantage la lumière.
Haute amplification, un seul photon ferme plusieurs canaux Na+
Réponse lente dans le temps
Plus sensible à la lumière dispersée.
Comment sont les systèmes des cônes versus ceux des bâtonnets ?
Cônes : Haute acuité : concentré dans la fovéa, moins de convergence
Chromatique : 3 types
d’opsine (trichromatique)
Bâtonnets : Faible acuité : pas présent dans la fovéa centrale, haute convergence
Achromatique : un type d’opsine
(photopigment)
Dans l’adaptation à l’obscurité, comment se comportent les bâtonnets et les cônes à la lumière vive ; puis à l’obscurité ?
LV : Bâtonnets = rhodopsine
complètement activée =
bâtonnets insensibles.
Cônes sont activés
OB : Cécité temporaire
jusqu’à la restitution de
la forme sensible de la
rhodopsine.
Dans l’adaptation à la lumière, comment se comportent les bâtonnets et les cônes à l’obscurité ; puis à la lumière vive ?
OB : Bâtonnets sont activés.
Cônes sont inactivés
LV : Cécité temporaire
jusqu’à ce que les cônes
(moins sensibles)
prennent la relève
rendant l’image moins
brillante et plus claire.
Comment la lumière est convertie en PA ?
Par l’interaction des photorécepteurs avec les cellules bipolaires et les cellules ganglionnaires
Les photorécepteurs interagissent avec ces cellules par quelles voies ?
Voies ON et voies OFF
Quelles sont les caractéristiques des voies ON versus les voies OFF ?
Voie ON : Le photorécepteur se dépolarise en l’absence de rayons lumineux.
La lumière hyperpolarise le
photorécepteur.
Baisse de la libération de glutamate sur la cellule bipolaire.
La cellule bipolaire se dépolarise et
libère plus de neurotransmetteur
excitateur.
La cellule ganglionnaire se dépolarise et
émet plus de potentiels d’action d’action.
Voie OFF :
Le photorécepteur se dépolarise en l’absence de rayons lumineux.
La lumière hyperpolarise le
photorécepteur.
Baisse de la libération de glutamate sur la cellule bipolaire.
La cellule bipolaire s’hyperpolarise et libère moins de neurotransmetteur excitateur.
La cellule ganglionnaire s’hyperpolarise et émet moins de potentiels d’action.
Quel est le chemin des voies ON et OFF dans l’obscurité et dans la lumière ?
voie ON
OB :
1. glutamate sur cell. bipolaire active mGluR
2. diminution GMPc
3. hyperpolarisation cell. bipolaire
4.pas de NT sur cell. ganglionnaire
Lumière :
1. moins de glutamate sur cell.
2.bipolaire n’active pas mGLuR
3. augmentation GMPc
4.dépolarisation cell. bipolaire
5.libération NT sur cell. ganglionnaire
6. PA
Voie OFF :
OB :
1. glutamate sur cell. bipolaire active rGlu
2. dépolarisation de cell. bipolaire
3. libération NT sur cell. ganglionnaire
4. PA
Lumière :
1. moins de glutamate sur cell. bipolaire n’active pas rGlu
2. pas de dépolarisation cell. bipolaire
3. pas de NT sur cell. ganglionnaire
VRAI OU FAUX : Les cellules ganglionnaires peuvent être à «centre ON/périphérie OFF» ou à «centre OFF/périphérie ON» ?
VRAI
Quelle voie est liée à la dépolarisation ? À l’hyperpolarisation ?
ON = dépolarisation
OFF = hyperpolarisation
L’unité de l’organisation des champs récepteurs à centre-périphérie a quel but ?
= augmentation du contraste améliorant ainsi l’acuité visuelle
Lorsque le périphérie est inhibitrice (-) et que le centre est excitateur (+, ON), quel type d’éclairage génère une augmentation de la fréquence des PA ? une absence ? un répartition uniforme ?
Augmentation : centre clair, pourtour sombre
Absence : centre sombre, pourtour clair
Uniforme : lumière uniforme
Lorsque le périphérie est excitatrice (+) et que le centre est inhibiteur (-, OFF), quel type d’éclairage génère une augmentation de la fréquence des PA ? une absence ? un répartition uniforme ?
Absence : centre clair, pourtour sombre
Augmentation : centre sombre, pourtour clair
Uniforme : lumière uniforme
Que font les cellules ganglionnaires rétiniennes à travers leurs champs récepteurs ?
Elles signalent les différences relatives de la lumière (contraste)
À quel longueur d’ondes correspondent les cônes : bleus? verts ? rouges ?
Les bâtonnets ?
bleus : 420nm
verts : 531nm
rouges : 558nm
Bâtonnets : 500nm
Pourquoi un objet apparaît rouge ?
Parce que l’oeil absorbe les ondes plus courtes qui nous apparaissent bleus = réfléchit simultanément les ondes les plus longues qui nous apparaissent rouges ; ces ondes excitent le photopigment de la rétine sensible au rouge
Que veut dire, en terme de vision des couleurs, la couleur blanche ? noire ?
Blanc = mélange de toutes les couleurs
Noir = absence de couleurs
Quelles sont les étapes qui permettent la vision des couleurs ?
1) Réception des influx des 3 types de cônes par les cellules
ganglionnaires (brillance générale).
2) Codage des couleurs par d’autres cellules ganglionnaires
appelées cellules à opposition de couleurs : elles reçoivent des influx excitateurs pour un certain type de
cônes et inhibiteurs pour un autre.
En obscurité, par quoi sont activés les bâtonnets ?
*En obscurité, les bâtonnets sont activés par des gammes de
longueur d’ondes qui chevauchent également celles activant
les cônes qui sont moins sensibles en obscurité.
Que peut-on conclure quant à la vision des couleurs ?
Les informations sont codées en fonction relative de la luminance et de la couleur.
Les informations visuelles atteignant le cerveau passe par quel chemin ?
image ppt p.97
1- image inversée dans l’oeil
2- nerf optique
3- partie G va à gauche et partie D va à droite au niveau du chiasma optique (décusse)
4- tractus optique
5- noyau géniculé latéral
6- radiation optique ?
7- cortex visuel
Le nerf optique reçoit des d’informations de quelle région?
Nerf optique : chaque oeil transmet des informations des deux champs visuels (nasal/temporal) = binoculaire
DÉFICITS VISUELS
Si on coupe :
1- le nerf optique
2- le chiasma optique
3- le tractus optique
4- la branche la plus à droite, après le noyau géniculé latéral
5- la branche la plus à gauche, après le noyau géniculé latéral
6- au niveau du cortex visuel
sur l’oeil droit, que se passe-t-il en terme de vision de l’image pour chacun de ces endroits?
p.98 ppt
1- cécité droite
2- hémianopsie bitemporale
3- hémianopsie homonyme gauche
4,5,6 - cécités partielles
TROUBLES VISUELS
La cécité des couleurs, qu’est-ce que c’est ? Qui en est le plus affecté ? À quoi est-elle dûe ?
= absence de pigment rouge ou pigment vert dans les cônes altérant la discrimination des couleurs
92% des hommes et 99% des femmes = vision normale MAIS la cécité des couleurs la plus fréquente est la cécité rouge-vert affecte :
* 1 homme sur 12
* 1 femme sur 200
- Due à une mutation récessive sur le chromosome X pour
les pigments rouges et verts.
OU
Due à une mutation récessive sur le chromosome 7 pour
le pigment bleu.
*Chez l’homme, la présence d’un seul chromosome X peut engendrer la cécité des couleurs si l’allèle reçu de la mère porte le gène récessif.
TROUBLES VISUELS
Qu’est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) ? Qui affecte-elle ?
= Correspond à une dégradation d’une partie de la rétine (la macula), pouvant mener à la perte de la vision centrale.
Affecte 30% des personnes âgées de plus de 75 ans.
Quels sont les deux types de DMLA ?
Sèche : modification de l’épithélium pigmentaire
rétinien altérant le maintien des photorécepteurs sains et fonctionnels. L’accumulation de déchets des photorécepteurs entraîne la formation de taches
jaunes. Finalement des zones d’atrophie choriorétinienne apparaissent.
Humide : Apparition de nouveaux vaisseaux sanguins anormaux sous la rétine. Un oedème maculaire ou une hémorragie localisée peuvent soulever la macula ou entraîner le décollement de l’épithélium
pigmentaire.
ARTICLE
VRAI OU FAUX : Le Db2 n’affectent pas le nombre de chutes
FAUX : Individus avec Db2 présentent un nombre de chutes plus élevé que ceux qui ne sont pas atteints de Db2.
ARTICLE SCIENTIFIQUE
Quel est le facteur de risque le plus fréquemment observé quant à la perte de l’équilibre ?
Le facteur de risque le plus fréquemment observé concerne les troubles d’équilibre associé à:
la neuropathie diabétique périphérique.
ARTICLE SCIENTIFIQUE
À quoi correspond l’équilibre ?
L’équilibre correspond à une habileté complexe qui
nécessite l’intégration de multiples processus cognitifs et sensorimoteurs.
ARTICLE SCIENTIFIQUE
Donc, le déclin de quels systèmes de fonctionnement liés au diabète contribue à l’augmentation du risque de chutes chez ces individus ?
Le déclin subtil du fonctionnement :
- des systèmes sensoriels lié au diabète (somatosensoriel, visuel et vestibulaire)
- fonctionnement du métabolisme musculaire
- fonctionnement exécutif