Cours 9 - Aînés Flashcards
TROIS (3) PRINCIPES DE BASE DE LA SÉCURISATION
CULTURELLE :
- Des soins qui sont prodigués dans le respect
de l’identité culturelle de la personne soignée. - Des soins qui visent l’équité.
- Des soins qui sont exempts de relations de
pouvoir nocives entretenues par le système
de santé dominant.
BIAIS EN LIEN AVEC LA RELIGIOSITÉ ET LA
SPIRITUALITÉ DANS LES SOINS
L’âge : certains membres du personnel
présument que la religiosité concerne
principalement les personnes âgées et que les
besoins de ces personnes sont principalement
de voir un prêtre.
La compréhension de l’intervention des ISS se
limite parfois pour les membres du personnel
et les personnes usagères à « jaser ».
On perçoit les SS principalement liés au rites religieux ou à des sacrements.
Souvent le plus associés aux soins de fin de vie
Le résultat des biais ?
impact important sur l’accès aux
soins spirituels
Vrai ou faux
Le réseau ne semble pas mesurer la profondeur du
lien des besoins relationnels, d’autonomie et de récit
de sens avec le service des soins spirituels.
Vrai
Plus qu’une méconnaissance du service de soins spirituels : tant les membres du personnel que les personnes usagères ne semblent pas en mesure ???? un besoin spirituel
d’identifier un besoin spirituel
Nous ne sommes pas capable de déterminer lorsqu’une personne aurait besoin de SS.
Dans quel unité les SS sont plus présent ?
dans les unités de soins palliatifs et d’oncologie
une représentation plus holiste des soins y est présente. Les membres du personnel et les personnes usagères voient davantage l’importance de la dimension spirituelle dans la guérison et les soins, se traduisant par
une meilleure collaboration avec les ISS
Vrai ou faux
Il faut attendre qu’un usager nous demande des SS avant de référer.
Faux
Il faut prendre les devants et proposer les services.
MÉTAPHORE DE L’ICEBERG QUI DÉMONTRE COMMENT LA
CULTURE ÉCHAPPE À LA PERCEPTION, SELON EDWARD HALL
- Comportements, coutumes, habillement,
nourriture, etc. - Règles, normes, symboles, etc.
- Attitudes, croyances, modes de
pensées, valeurs, visions du monde, etc. (ce qu’on ne voit pas)
Les données qualitatives et quantitatives
confirment la transformation du religieux
dans notre société (3 données) :
Plusieurs estiment que leurs convictions religieuses ou spirituelles sont assez ou très importantes dans la manière de vivre leur vie.
Les pourcentages augmentent lorsque les personnes sont atteintes d’une maladie chronique.
Toutes catégories d’âge confondues, une majorité
de personnes témoigne de l’importance de
leurs valeurs spirituelles pour leurs donner de la
force au quotidien (facteur de protection)
Vrai ou faux
Le fait que des personnes aient oui ou non des pratiques religieuses n’est pas un prédicteur de l’importance des valeurs
spirituelles dans leur quotidien
Vrai
Vrai ou Faux
le fait que des valeurs spirituelles soient importantes
dans le quotidien se traduit nécessairement par des pratiques religieuses.
Faux
Les recommandations centrales par rapport au SS (5)
S’ouvrir à une conception holiste des soins de santé.
Prendre en compte le pluralisme religieux et moral ou philosophique
Les soins spirituels devraient être pleinement intégrés aux équipes soignantes et leur contribution spécifique reconnue.
Le réseau doit développer des stratégies pour désamorcer les biais
Unifier les représentations des soins et des services spirituels des membres du personnel et des personnes usagères, ce qui peut clairement en restreindre l’accès
LES SOINS SPIRITUELS
Définir les intervenants en soins spirituels (5 faits )
- Formation universitaire.
- Intervenants et intervenantes laïques et religieux.euses: formés.es à accompagner des personnes usager.èresde toutes religion ou spiritualité, ainsi qu’athé.es, etc.
- Contribue à recréer des rituels : naissance, décès, etc.
- «Prendre la personne là où elle est».
- Accompagne les personnes de tout âge
Vrai ou faux
Les personnes plus scolarisées n’ont pas
nécessairement un niveau élevé de littératie en santé.
Vrai
Jargon en santé compliqué et unique
Demande des capacités à comprendre, utiliser les
ressources et les trouver.
Informations peu familières ou transmises dans un
contexte peu favorable.
Vrai ou faux
Les deux tiers des adultes canadiens participants à l’Enquête
internationale sur l’alphabétisation et les compétences des
adultes, présentent un faible niveau de littératie en santé
Vrai
Pour les personnes âgées de 65 et plus on parle de 95%.
Quels sont les deux principaux sentiments des personnes vivant avec des problèmes de littératie ?
Sentiment de honte et de culpabilité
Dans la troisième vidéo, on propose des pistes
de solutions, nommez en deux (3)
pour adapter nos interventions avec les personnes avec un faible niveau de littératie.
Traduire en image. Pensée différemment. Sortir de sa façon de pensée “universitaire”.
Prendre conscience que certaines choses vont paraître évidente pour moi mais elle ne le sont pas nécessairement pour l’autre.
Exemple : Ne pas prendre pour acquis que les personnes savent comment se rendre à certains endroits. (si on vient à donner des références)
Simplifier et adapter notre vocabulaire et notre langage.
Le risque de demander de répéter pour savoir si la personne a bien compris.
Comment mieux orienter cette question?
Menace à l’égo. Risque la personne le prenne “mal” et brise le lien de confiance.
Prendre la responsabilité sur nous “je voudrais savoir si j’ai bien expliquer la démarche” pouvez vous répéter ce que je viens de dire.