Cours 4 - Identité de genre (partie 2) Flashcards

1
Q

Explique le principe de la rationalité contextualisée.
Être rationnel ça veut dire quoi, ça comprend quoi ?
Est ce que la rationalité est universel ?

A

“La rationalité n’existe que partiellement dans toutes les cultures et tous les groupes sociaux “ (Lukes, S. 1986 et Young A. 1982)

“Afin de saisir le sens des comportements individuels, il importe d’adopter une posture plus ouverte aux différentes formes de logiques qui régissent les croyances et la rationalité. (Lukes, S. 1986 et Young A. 1982).

« reconnaître que la logique et la rationalité sont fonction des prémisses culturellement conditionnées et que toute rationalité doit être contextualisée. » (Massé 1995).

Dans mes mots : être rationnel n’a pas la même définition selon le contexte, le pays et la culture. La logique varie d’une personne à l’autre et d’une culture à l’autre.

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2
Q

Est ce bien bien la subjectivité ?

A

il faut redonner une crédibilité à la subjectivité…

Oui, ça ramène au vécu de la personne. Comment une personne se sent dans une situation particulière. C’est à prendre en considération.

“On est amené à distinguer la signification objective d’une réalité (ce qu’elle signifie par consensus social), de sa signification subjective (ce qu’elle signifie pour tel individu l’ayant vécue.” (Massé, 1995)

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3
Q

Complète la phrase

“La reconnaissance de rationalités divergentes passe par ??? et par l’élargissement de la conception de la signification.” (Schweder, 1986)

A

une science de la subjectivité

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4
Q

Définition du terme childfree et introduit en quel année ?

A

[…] introduit par le magazine Time en 1972 lors de la création de laNational Organization for Non-Parents qui avait pour but de soutenir les personnes qui ne voulaient pas d’enfant et lutter contre le pro-natalisme.

C’est une subculture.

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5
Q

En quel année le terme childfree a été popularisé ?

A

Popularisé dans les années 1990 à 2000 en Amérique du Nord et en 2014 en France. Sinon, aucun terme spécifique ne désignait le fait de demeurer sans enfant.

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6
Q

Qu’est ce qui se passe lorsque un concept n’a pas de nom?

A

Or un concept n’ayant pas de nom n’a pas d’existence concrète dans l’imaginaire collectif.

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7
Q

Différence entre childfree et childness ?

A

Différent du childness : groupe de personne qui voulait des enfants et qu’ils n’ont pas pu en avoir.

Le terme « childfree » ou « sans enfant par choix », est souvent confondu, autant dans la littérature scientifique que dans l’usage courant, avec le terme « childless » (Blackstone, 2014; Vinsonet al., 2010). Dans le premier cas, on parle de personnes ayant fait un choix conscient de ne pas avoir d’enfant, alors que dans le second, on parle de personnes n’ayant pas d’enfant, mais qui en désir ou en désiraient (Blackstone, 2014, Blackstone et Stewart, 2016)

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8
Q

Vrai ou faux ?
Le taux de natalité en Amérique du Nord a chuté de façon significative.

A

VRAI
Le taux de natalité en Amérique du Nord a chuté de façon significative (Blackstone, 2014). D’ailleurs, le choix de ne pas avoir d’enfant gagne en popularité (Ashburn-Nardo, 2017). En 2016, au Québec, les couples sans enfant représentaient environ 43 % de l’ensemble des couples, contre 37 % en 2001 (Institut de la statistique du Québec, 2018).

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9
Q

Quel est l’impact du genre sur la stigmatisation en lien avec le choix de ne pas avoir d’enfant ?

A

Plus forte stigmatisation des femmes qui affirment ne pas vouloir d’enfant.

Le discours est que “tu vas le regretter” ou un jour tes “hormones” vont se réveiller.

Les études le montrent : ce sont les femmes qui s’occupent des tâches ménagères, les femmes qui prennent en charge les soins les plus rébarbatifs et les moins valorisés liés aux enfants, les femmes qui touchent un salaire inférieur et à qui la situation familiale impose les temps partiels, les femmes encore qui, lors d’un divorce, se
voient confier la garde des enfants à 80%. Le fait de devenir parent pèse donc toujours considérablement plus sur les femmes que sur les hommes et cette donnée est parfaitement intégrée par les femmes qui ne souhaitent pas avoir d’enfant.

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10
Q

« Avez-vous subi des remarques désobligeantes
concernant votre choix ? (d’être childfree) »
Femme et homme.

A

Femme 11% non
Homme 46 % non

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11
Q

Pourquoi faire ce choix, quels sont les rationnels des
personnes childfree ?

A
  • Il y a déjà trop d’enfant sur la terre. (environnement)
  • Ne veut pas reproduire des patterns familiales
  • Je veux garder mon mode de vie
  • Le budget
  • Processus biologique/image corporel
  • Seulement pas envie d’être parent
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12
Q

En lien avec les réseaux sociaux, pourquoi créer des
groupes childfree safe ?

A
  • Certaines groupes deviennent rigide et sans nuance.
  • Parfois des propos violents peuvent subvenir (des deux cotés)
  • Le stigma peut aller dans les deux sens.
  • Le childfree peut faire apparaitre des biais en se mettant au dessus des gens qui décide d’avoir des enfants.
  • Le biais est l’ethnocentriste

Le childfree est très occidentale pas réaliste dans d’autres pays

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13
Q

Que veut dire le terme Matrescence ?
Par qui il a été créé et en quel année ?

A
  • Terme créé par l’anthropologue Dana Raphael en 1973, elle a également popularisé le terme « doula ».
  • La «matrescence» signifie : la naissance d’une mère = un événement de passage important.
  • Plusieurs nouvelles mamans pensent souffrir de dépression post-partum alors qu’elles ressentent un flot d’émotions liées à leur récente maternité. (Alexandra Sacks, psychiatre, 2020).
  • Le concept de « patrescence» n’existe pas en science, il existe qu’en tant que déclinaison du concept de « matrescence»
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14
Q

Pourquoi le terme Matrescence est pertinant en soin et en accompagnement des personnes ?

A
  • «[…] devenir mère entraîne un changement d’identité doublé d’une transformation physique et psychologique qui sont aussi éprouvant que ceux vécus à l’adolescence. » (Alexandra Sacks, psychiatre, 2020).
  • «La nouvelle mère a plusieurs deuils à faire, […] elle doit renoncer à une certaine liberté, à sa vie et son corps d’avant […], puis elle doit se
    construire une nouvelle identité qui intègre le statut de mère. » (Nathalie Parent, psychologue clinicienne en périnatalité, 2020).
  • Il est important pour les nouvelles mères de mieux comprendre cette période et d’en parler. (Alexandra Sacks, psychiatre, 2020).
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15
Q

Pourquoi ce concept (matrescence) est toujours peu utilisé et peu connu, en comparaison avec l’adolescence, par exemple ?

A
  • Ce n’ai pas obligé de passer par la comparativement à l’adolescence.
  • Les rituels ont été un peu perdu au fil des année
  • L’instinct maternel n’aurait pas encore été prouvé
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16
Q

Étude de cas :
«Les femmes qui vivent en milieu d’extrême pauvreté sont forcément soumises à des conditions de vie difficiles. Souvent, ces femmes proviennent de familles désunies, ont été victimes d’abus et de négligences de toutes sortes de la part de leurs parents, connaissent des expériences désastreuses avec des conjoints successifs et n’ont aucun espoir de voir leur situation s’améliorer. Pourtant, elles décident consciemment d’avoir plusieurs enfants et d’en assumer les conséquences. Aux yeux du reste de la population et de plusieurs professionnels de la santé et des services sociaux, une telle décision est purement irrationnelle. »

En vous inspirant du concept de rationalité contextualisée, tentez d’expliquer la rationalité de ce choix en fonction du contexte dans lequel se trouvent ces femmes.

A
  • Construire ce que nous n’avons pas eux
  • Vouloir faire différent
  • Créer notre noyau familiale à nous
  • Statut social : je suis mère !
  • Espoir que ton enfant va faire mieux que toi = un espoir
  • la famille est une forme d’affection/ amour
  • Adolescente = processus d’autonomie vers la vie “d’adulte”.
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17
Q

Quels sont les données/statistiques sur les violences basés sur le genre au Québec ?

A

Au Québec : « Selon les données déclarées en 2019 par
les corps de police au Québec, les femmes représenteraient :
* 76% des victimes de violence en contexte conjugal;
* 88% des victimes d’agression sexuelle;
* 95% des victimes de crimes relatifs au proxénétisme et à la traite de personnes

18
Q

Résumé du projet Mobilis 3 de la police de l’agglomération de Longueuil : ancien directeur Fady Dagher (maintenant directeur du SPVM)

A
  • Comprendre l’ensemble du système dans lequel se trouve la jeune fille en situation de prostitution et faire en sorte qu’elle ne soit
    pas criminalisée.
  • Travailler en partenariat, trouver les ressources : travail, logement, etc.
  • Exemple de partenariat avec une anthropologue en santé publique : Rose Dufour
19
Q

Qui est rose dufour ? Qu’est ce qu’elle a fait ?

A

Une anthropologue en santé publique
Fondatrice de la Maison de Marthe à Québec qui accueille et encadre les femmes qui veulent sortir de la prostitution.

20
Q

Comment on en arrive à mieux comprendre la réalité, le contexte de la prostitution pour les femmes et les filles mineures ?

A

En observant le système en entier. Plus comprendre le client : la raison de son acte .

21
Q

Quelles actions sont mises en place afin de mettre les femmes et les filles mineures au centre des interventions ?
* Nommez des éléments en lien avec leur vécu et leur situation qui expliquent la logique, le sens de leur comportement et de leur choix (s’il y a choix) ?

A

Le “choix” comporte tout de même des raisons financières, discriminations, etc… C’est pt un choix de dernier recours.

22
Q

Le milieu de la prostitution implique plusieurs acteurs.trices, dont les clients : qui sont-ils et comment briser certains mythes en lien avec la prostitution ?

A

Des hommes avec femme et enfants. C’est des personnes qui ont des “réputations”.

23
Q

ROQHAS

A

Regroupement des
organismes
québécois pour les
hommes agressés
sexuellement

24
Q

4 faits sur la réalité des hommes au Québec et au Canada

A
  • Un homme sur 5 ayant vécu un abus sexuel dans son enfance, aurait également vécu une période d’incarcération.
  • Les groupes plus à risque de subir de la violence sexuelle sont les
    personnes de la diversité de genre et sexuelle (3 fois plus que les hommes hétérosexuels).
  • Non-reconnaissance des victimes elles-mêmes: 80% des hommes,
    dans les recherches, qui « coche » avoir vécu des comportements
    reliés à de la violence sexuelle, selon la définition légale, mentionne ne pas avoir été et/ou être victime d’abus sexuel. Ils ne le reconnaissent pas.
  • Conséquences : on ne les voit pas dans les statistiques et une
    majorité des hommes abusés sexuellement ne font pas le lien avec
    certaines problématiques qu’ils vivent dans le présent.
25
Q

Comment pourrions-nous expliquer cette non-reconnaissance plus
importante chez les hommes d’une victimisation en lien avec un abus sexuel ?

A
  • Honte
  • Connotation de faiblesse
  • Peu d’étude
  • Les hommes jugent que ce n’est pas assez grave
  • Les hommes = fort, en controle
26
Q

Vrai ou Faux
Au Canada, les femmes sont majoritaire en milieu carcéral.

A

Faux
« Au Canada, les femmes sont minoritaires en milieu carcéral : 10% au provincialet 6% au fédéral. »

27
Q

Qu’est qu’on peut observer par rapport aux autochtones dans les milieux carcéraux ?

A
  • « Au Québec, les femmes autochtones représentent 1,8% de la
    population générale féminine3; pourtant, elles représentent 9,4% de la population féminine sous sentences provinciales (58% sont inuit).
  • Du côté des pénitenciers fédéraux, les femmes autochtones
    représentent actuellement 50% de la population carcérale féminine,
    alors qu’elles ne constituent que 4% de la population féminine canadienne. »

C’EST UN PROBLÈME SOCIAL

28
Q

Conséquence de la minorité des femmes en milieu carcéral ?

A
  • Politiques et pratiques correctionnelles calquées sur la réalité masculine.
  • «Cela a pris plusieurs décennies avant qu’on s’intéresse à la spécificité de leurs besoins et que les gouvernements reconnaissent la nécessité de développer un modèle de gestion correctionnelle spécifique aux femmes et des infrastructures adaptées à leurs besoins.»
29
Q

Les enjeux liés aux conditions des femmes en milieux carcéraux sont-ils toujours d’actualité ?

A

OUI

30
Q

En lien avec le vécu de Louise Henry, ex-détenue
à la prison Leclerc …

  • Quels éléments de son parcours en détention vous permettent
    d’illustrer les conséquences de l’état minoritaire des femmes
    dans les milieux carcéraux ?
A
  • Ne prennent pas en compte le cycle menstruel des femmes lors des fouilles.
  • Les vêtements (soulier), produits d’hygiène
  • Fouille à nu excessive
  • Femme en situation d’itinérance
31
Q

Réflexion sur la gestion des corps en milieux carcéraux
(Daphné B. maquillée, 2020)

A

« Le détenu est réduit à sa plus simple expression: un
corps asexué dans un uniforme impersonnel. »

C’est une autre exemple où cette règle est plus lourde sur le
vécu des femmes incarcérées que sur celui des hommes.

32
Q

Qu’est ce que les femmes revendiquaient à la Prison Leclerc ?
Qui est la porte parole ?

A

Elles dénoncent :
- des fouilles à nu systématiques et dégradantes
- des soins de santé déficients
- des conditions de détention déplorables dans un édifice insalubre

Louise Henry

33
Q

3 faits que rapporte le ministère de la sécurité publique au Québec sur les femmes.

A
  • Les femmes contrevenantes sont relativement jeunes, moins scolarisées que les autres femmes, sans-emploi pour la plupart et aussi nombreuses à prendre des médicaments d’ordonnance.
  • Les femmes étant en général plus souvent victimes de maltraitance que les hommes, cette situation les rend plus vulnérables à adopter des comportements criminels et à être judiciarisées. (Une femme incarcérée sur deux aurait subi un abus sexuel et une femme sur 10 aurait vécu de la violence conjugale (ministère de la sécurité publique 2011).
  • «Nous pouvons considérer que les femmes détenues ou suivies dans la communauté sont, la plupart, autant des contrevenantes que des victimes.
34
Q

Le programme de justice réparatrice au Québec
provient, en partie, des avancées en lien avec la
????.

A

science de la victimologie

35
Q

2020, réforme : Loi visant à aider les victimes d’infractions criminelles et à favoriser leur rétablissement (LAPVIC) :
6 points

A
  • l’élargissement de la notion de victimes;
  • la couverture du régime pour toutes les victimes de crimes contre la personne;
  • un soutien psychologique illimité pour certaines catégories de victimes;
  • l’abolition du délai pour déposer une demande (victimes de violences sexuelles et conjugales);
  • l’admissibilité pour les victimes de crimes commis à l’étranger;
  • l’élargissement de la gamme des professionnel.les pouvant offrir du soutien aux victimes
36
Q

Qu’est ce que la justice réparatrice ?

A

« La justice réparatrice est une approche de la justice qui se concentre sur la réparation des torts causés par un crime et sur la satisfaction des besoins des personnes concernées. Les processus de
justice réparatrice offrent essentiellement des possibilités
d’échanges sûrs et volontaires entre les victimes, les [délinquant.es] et les collectivités. »

37
Q

La justice réparatrice met l’accent sur la ???? et offre des ??? de médiation entre la personne victime et la personne délinquante ou criminelle.

A

Réconciliation
Services post-sentenciels

38
Q

Réseau Équijustice c’est quoi ?

A

« Équijustice est une association provinciale à but non lucratif comptant 23 membres à travers tout le Québec. Le
réseau offre une expertise en matière de justice réparatrice et de médiation citoyenne. »

« La justice réparatrice est avant tout une justice humaine qui laisse toute sa place aux personnes, à leur singularité et à
l’expression de leur vécu. Chaque démarche de justice réparatrice et de médiation est une expérience unique. »

39
Q

Les quatre (4) principes de l’approche relationnelle

A

1) Ne doit prétendre à aucun autre objectif que le dialogue
2) La seule méthode utilisée pour parvenir à cet objectif est également le dialogue, pour ce faire il est essentiel de bien comprendre les attentes des personnes impliquées.
3) L’approche relationnelle est basée sur la préparation des participant.es, par des ateliers de communication
4) La posture du médiateur.trice est déterminante, il ou elle doit demeurer dans l’écoute et l’accompagnement.

40
Q

À quoi il faut faire attention dans l’approche relationnelle dans une processus de justice réparatrice ?

A

« Le risque de victimisation secondaire est certainement ce que l’on redoute le plus […]. Rendre possible la rencontre réparatrice, cela revient à faire se rencontrer deux personnes autour d’un vide immense […]. Le médiateur relationnel doit faire tomber ces incertitudes, une à la fois. »

41
Q

Posture de la personne médiatrice relationnelle - Écoute « attentive »
4 actions

A
  1. Se détacher du rôle d’expert.e.
  2. Tenter le plus possible de ne pas influencer la personne et ne pas la pousser à changer ou à se transformer.
  3. Éviter la suggestion.
  4. Se rappeler constamment l’influence possible qu’un.e médiateur.trice peut avoir sur un.e participant.e.
42
Q

Précision sur l’acceptation « inconditionnelle »
4 précisions

A
  • Ne pas juger ou diagnostiquer la personne en fonction de ses propres distorsions personnelles ou professionnelles.
  • Ne pas juger les raisons qui poussent les personnes à faire ce cheminement.
  • Ne pas juger les réactions de la personne.
  • Ne pas juger son vécu.

« […] dans toutes ces situations, chaque participant est libre de parole. La parole libre est la seule chose que le médiateur a le devoir de protéger : il doit avoir, à son égard, une acceptation inconditionnelle.»