Cours 9 Flashcards

1
Q

Pourquoi corrélationnels?

A
  1. On s’intéresse à la validité externe (souvent plus facile à obtenir avec un devis corrélationnel car on s’intéresse à des situations réelles et non en laboratoire, le participant a moins de désir de bien paraître, critères d’inclusion/exclusion (ex: inclusion, on veut des participants qui ont un TDAH))
  2. Validation d’instruments de mesure (examiner la validité convergente et divergente (avec d’autres instruments))
  3. Documenter l’existence d’un phénomène et ses corrélats (ex: le suicide chez les premières nations et la structure sociale, étude avec analyse factorielle de l’intelligence)

voir 5 circonstances du manuel

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2
Q

Comment sont les variables en devis corrélationnel?

A

Pas manipulées, pas contrôlées, simplement observées et mesurées (ce qui peut arriver en même temps).

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3
Q

Qu’est-ce qui est un agent antécédent et proximal à la base d’une séquence d’événements qui sont nécessaires et suffisants pour produire les effets observés?

A

Une cause.

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4
Q

Qu’est-ce qu’un agent qui est nécessaire mais non suffisant pour expliquer les effets observés?

A

Une raison. Variables associées aux effets observés, mais besoin de présence d’autres facteurs, en interaction.

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5
Q

Est-ce qu’il y a nécessairement une VI et une VD en corrélationnel?

A

Non, cela peut être descriptif. On ne peut pas vraiment tirer de conclusion, même si on cherche à s’approcher de la causalité.

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6
Q

Qu’est-ce qu’une analyse corrélationnelle?

A

Il s’agit d’une procédure statistique qui vise à évaluer la covariation entre deux variables.

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7
Q

Qu’est-ce qu’un plan corrélationnel?

A

Il s’agit d’un plan de recherche qui n’implique pas une manipulation d’une VI. La nature de ce plan ne permet pas l’inférence de causalité entre les variables. Il s’agit d’un rationnel bien précis.

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8
Q

Qu’est-ce qu’une corrélation?

A

Une variation de 1 unité dans X est associé à une variation de 1 unité dans Y.
r
Corrélations positives (augmentation d’une variable veut dire augmentation de l’autre, même direction) et négatives parfaites (variation dans un sens veut dire que l’autre varie dans un sens opposé): (+1, -1)
0 veut dire pas de corrélation.

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9
Q

Qu’est-ce que l’erreur de type 1?

A

Voir quelque chose qui n’est pas réel.

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10
Q

Qu’est-ce qu’opérationnalisation erronée (raison de pourquoi une corrélation est non significative)?

A

Possible que le questionnaire ou la mesure ne correspond pas au concept qu’on souhaite mesurer.

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11
Q

Manque de variation (raison de pourquoi une corrélation est non significative).

A

Les données doivent varier pour qu’on parle de corrélation. Si les scores à une des variables ne varient pas, il ne peut y avoir une corrélation avec une autre variable.

  1. Effet de plafond/effet plancher (ex: tout le monde est bon, tout le monde est pas bon)
  2. L’échantillon est trop restreint (pas assez pour que ce soit significatif)
  3. L’opérationnalisation ne permet pas une évaluation précise (ex: desfois le nombre de mois est meilleure si on mesure chez les 4-5 ans)
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12
Q

Quels seraient des critères de causalité?

A
  1. la présence de la première variable est une condition pour que l’événement se produise et son absence fait que l’événement ne se produit pas
  2. la cause de l’événement est la totalité de la condition qui a été créée (par la VI, uniquement)
  3. la cause se produit AVANT les effets observés (période de temps importante)
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13
Q

Qu’est-ce qu’une relation causale directe?

A

Une variable a un effet sur une autre car toutes les autres causes sont éliminées. En étude corrélationnelle, on rectifie au niveau de l’analyse statistique, en contrôlant les différentes variables: étude de nature multivariée. Voir comment les variables interagissent pour produire l’effet observé.

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14
Q

Dans les relations non-causales, qu’est-ce que l’association descriptive?

A

Corrélation simple entre deux variables (descriptif, genre attention à la temporalité qui empêche de mener à la causalité).

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15
Q

Dans les relations non-causales, qu’est-ce que que deux variables peuvent…

A

Deux variables peuvent être associées à un même construit (latent). Alors, on confond par-rapport à savoir si ces variables sont corrélées entre elles. Puis, vient une difficulté à savoir si ces variables ne seraient pas liées à des construits différents, mais associés.

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16
Q

Dans les relations non-causales, qu’est-ce que que deux variables peuvent…

A

Deux variables peuvent être associées à un même construit (latent). Alors, on confond par-rapport à savoir si ces variables sont corrélées entre elles. Puis, vient une difficulté à savoir si ces variables ne seraient pas liées à des construits différents, mais associés.

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17
Q

Dans les relations non-causales, qu’est-ce que la causalité renversée?

A

C’est lorsque les variables vont dans le sens inverse à celui prévu. Cela arrive souvent lorsque les variables sont mesurées au même moment (ex: état dépressif comme cause ET conséquence d’un accident de voiture).

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18
Q

Dans les relations non-causales, qu’est-ce que la relation factice ou erronée?

A

C’est lorsqu’une troisième variable permet d’expliquer l’association entre deux variables que l’on croit corrélées (ex: symptômes dépressifs et cancer, la troisième variable expliquant le lien est le traitement pharmacologique du cancer, induisant des symptômes dépressifs).

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19
Q

Comment appelle-t-on cela lorsqu’une variable n’a pas un effet direct sur une autre variable?

A

Il s’agit de relations causales complexes.

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20
Q

Quelles sont les trois formes des relations causales complexes?

A
  • Relation de réciprocité entre deux variables: A influence B comme B influence A.
  • Relation de causalité indirecte: une VI influence une VD par l’intermédiaire d’une variable médiatrice, lien direct ou indirect entre les V (analyse multivariées, ou on annule l’effet d’une variable médiatrice par corrélation partielle)
  • Causalité interactive: les effets d’une variable dépendent du niveau d’une autre variable, variable modératrice (soit séparément ils ne font rien, soit les deux variables ont chacune un effet, soit l’effet d’une dépend de la présence de l’autre… plan factoriel, l’effet d’une variable est le produit des différents effets en interaction)
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21
Q

Comment est le sexe comme variable, provoquée ou invoquée?

A

Invoquée, on ne peut manipuler le sexe (alors corrélation).

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22
Q

Comment est le TDAH quand on l’étudie (invoqué, provoqué)?

A

Il est invoqué.

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23
Q

Donnez un exemple de devis mixte avec le TDAH.

A

TDAH (VI invoquée)
Excitation, pas d’excitation (VI provoquée, manipulée)
VD ennui
On pourrait tirer des conclusion sur l’excitation car il y a manipulation.

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24
Q

Est-ce que l’analyse corrélationnelle est l’unique manière d’observer les résultats quand on parle de plan corrélationnel?

A

Non, il existe plusieurs manières d’examiner les résultats.

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25
Q

Ex: On s’intéresse au rôle du soutien social dans la dépression, on émet l’hypothèse qu’un haut soutien social est associé à un bas nombre de symptômes dépressifs. Hypothèse d’une corrélation nulle.

A

Ici, on pourrait administrer un inventaire des symptômes négatifs, et un questionnaire sur le soutien social de l’échantillon. On ne pourra pas inférer la causalité, étant donné qu’on n’a rien provoqué ici. Ce sont des mesures continues.

26
Q

On administre un inventaire des symptômes dépressifs auprès des élèves qui pratiquent un sport en équipe versus un sport individuel. De quel type de devis s’agit-il?

A
  • C’est invoqué. Il y a deux catégories de la VI, mais on n’a rien provoqué. Ce sont des groupes non-équivalents (genre différents niveaux de VI).
  • Mais ce n’est pas parce qu’on observe des groupes non-équivalents que c’est quasi-expérimental.
  • On pourrait scinder notre échantillon en deux et comparer les moyennes des deux groupes (faible, élevé).
  • De manière similaire, on peut mener une analyse corrélationnelle sur des variables dichotomiques (ex: sport en équipe vs. sport individuel)
  • Différentes manières d’analyser les données mais ça reste corrélationnel.
27
Q

Pourquoi utiliser une analyse corrélationnelle (et mesures continues)?

A

On capture plus précisément la nature de la relation entre les variables. Il faut ajuster l’analyse pour tenir compte de modèles non linéaires (ex: curvilinéaires).

28
Q

Comment renforcer la causalité dans les plans corrélationnels?

A
  1. Utiliser une théorie ou modèle clair afin de prédire la covariation (on va utiliser des covariables)
  2. Mesurer des variables confondantes pour les contrôler
  3. Ajouter une dimension temporelle.
29
Q

Que permet l’ajout de covariables?

A
  • Contrôle statistique
  • Isoler l’effet de la VI invoquée sur la VD
  • Ex: corrélation de 1 entre la dépression et la régulation émotionnelle, mais avec l’ajout de covariables, cela peut descendre à 0,4 ou 0,5
  • Ex: avec l’ajout de distorsions cognitives comme covariable, la corrélation diminue à 0,2 (part d’explication)
30
Q

Qu’est-ce qu’il faut retenir analyse corrélationnelle vs plan corrélationnel?

A

Il y a une différence entre les deux, mais il faut reconnaître que l’analyse corrélationnelle est celle privilégiée pour les plans corrélationnels.

31
Q

Les VI sont les variables qui ont un effet sur la VD. Ce sont des définition liées à l’expérience, issu de quoi?

A

Du cadre conceptuel.

32
Q

Est-il nécessaire d’établir des VI et des VD en plan conceptuel?

A

Non. Si on examine l’association entre des variables, c’est pas nécessaire. Pa contre, on conserve souvent un modèle conceptuel (causal) en tête.

33
Q

Est-ce que le principe d’association est conservé en corrélationnel?

A

Oui. Lorsqu’une V cause une autre V, les deux sont corrélées.

34
Q

La corrélation peut servir de point de départ à quoi?

A

À une recherche expérimentale.

35
Q

À quoi sert une étude multivariée?

A

À ajouter des variables concomitantes pour contrôler statistiquement pour d’autres causes possibles. On peut également contrôler l’effet de variables médiatrices.

36
Q

Est-ce que les devis corrélationnels mesurent habituellement plusieurs variables?

A

Oui. Plusieurs variables qui sont susceptibles d’être associées à la VD. Même rationnel pour l’ajout d’un prétest dans les devis quasi-expérimental.

37
Q

Peut-on être certain que le principe d’isolation est respecté dans les devis corrélationnels?

A

Jamais. Il s’agit d’un niveau de confiance.

38
Q

Quel est le principe temporel?

A

Principe selon lequel la cause se produit avant l’effet.

39
Q

Mesure-t-on les V en même temps dans un plan corrélationnel?

A

Souvent oui.

40
Q

Dans quel ordre faut-il administrer les variables?

A

Mesurer dans un premier temps une VI et dans un deuxième temps une VD avec un écart temporel entre les deux mesures. On veut se rapprocher de la causalité.

41
Q

Qu’est le but d’un plan corrélationnel prospectif?

A

Prédire la variation dans la VD. On pourrait tirer des explications causales, mais peut-être que des caractéristiques individuelles peuvent expliquer les différences.

42
Q

Quels sont les types de relations?

A
  1. Relation causale
  2. Relation non-causale
    - Association descriptive
    - Association reflétant un construit latent
    - Causalité renversée
    - Association reflétant une variable confondante
  3. Relations complexes
    - Influence réciproque
    - Influence d’une variable médiatrice
    - Influence d’une variable modératrice
43
Q

Qu’est-ce que l’association descriptive?

A

Corrélation simple entre deux variables. Aucune causalité ne peut être inférée, mais souvent le début d’une théorie ou d’un plan de recherche expérimental. Souvent on ne peut pas interpréter une corrélation au-delà d’une association descriptive. On regarde la relation entre des variables sans parler de direction encore.

44
Q

Qu’est-ce que l’association reflétant un construit latent?

A

Les variables sont associées puisqu’elles représentent deux indices (ou observations) d’un même construit. On peut examiner si les réponses à certains items ou questionnaires reflètent des facteurs communs. Erreur dans l’interprétation. Ex: associer l’attitude envers les lieux d’abattage et la quantité de viande consommée par semaine, alors que le construit latent est l’affection pour les animaux.

45
Q

Que pourrait refléter une association ou la relation causale semble vraie?

A

Une variable confondante. La relation qui semble vraie est en fait causée par une variable qui n’est pas mesurée.

46
Q

En quoi la variable confondante est différente d’une variable latente?

A

Ici, A et B sont des construits différents (cancer et symptômes dépressifs… avec qu’avec le construit latent, on pouvait établir un certain lien entre les deux (attitude envers les lieux d’abatage et quantité de viande consommée)

47
Q

Est-ce que les plans expérimentaux éliminent la possibilité d’une VC?

A

Oui.

48
Q

Quel est l’effet médiateur dans la causalité complexe?

A

Ex: milieu socio-économique sur les nombre de breast self-exams, l’éducation est une variable médiatrice entre les deux (précise la relation).

49
Q

Quel est l’effet modérateur dans la causalité complexe?

A

Ex: milieu socio-économique sur le nombre de breast self-exams, l’âge est une variable modératrice (plus de 30 ans, moins de 30 ans).

50
Q

Que nous dit l’exemple du TDAH?

A

Trompeur quand une étude comporte plusieurs groupes. Le TDAH on le manipule pas, même si y’a un groupe avec et un groupe sans TDAH. On ne peut pas tirer de conclusions de causalité. Mais c’est un protocole de nature corrélationnel, même si on n’utilise pas de corrélations comme tel. Il faut ajouter des covariables (ex: le sexe, plus de TDAH chez les gars).

51
Q

Est-ce qu’avoir différents groupes est suffisant pour dire que l’on parle d’un devis quasi-expérimental?

A

Non. Cela peut être de nature corrélationnelle.

52
Q

Peut-on parler de VI/VD même si on ne fait pas d’inférence sur la causalité?

A

Pour les besoins du cours, oui.

53
Q

Quels sont les 5 circonstances pour l’emploi de plans corrélationnels?

A
  1. Raisons déontologiques, morales (ex: cigarette, traumatisme)
  2. Raisons pratiques ou techniques, incontrôlable ou difficile à prévenir (ne peut être manipulé, ex: tornade)
  3. Serait trop coûteux (ex: changer le salaire des participants)
  4. Augmenter la validité externe (qu’expérimental, car en labo n’égale pas situation réelle, désir de bien paraître du participant… sert alors de complément de la recherche expérimentale.
  5. Établie la validité d’un instrument psychologique (ex: regarder les relations entre un concept et des concepts apparentés (validité convergente) et indépendants (validité divergente).
54
Q

Quels sont les types d’études corrélationnelles?

A
  • Descriptives ou exploratoires
  • Confirmatives
    (peuvent être mixtes, dépendent du but du chercheur)
55
Q

Comment peuvent être les études descriptives ou exploratoires?

A
  • On s’intéresse aux relations, aux caractéristiques, facteurs d’un phénomène, pas forcément au lien causal, peut être le point de départ à la génération d’hypothèses
  • Réduire les caractéristiques d’un nouveau construit
  • Prédire l’appartenance des participants à divers groupes, afin de mieux les discriminer
56
Q

Comment peuvent être les études confirmatives?

A
  • Vérifier la validité d’hypothèses, de construits ou de modèles théoriques (association, harmonie, permet de développer la théorie)
57
Q

Quel est le principal point faible des plans corrélationnels?

A

Lacunes au niveau de la validité interne.

58
Q
  1. Utiliser une théorie ou modèle clair afin de prédire la covariation (on va utiliser des covariables)
A

Utiliser un cadre théorique pour justifier les liens observés. Permet de mettre en lumière des mécanismes sur pourquoi les variables devraient être associées. Processus sous-jacents qui expliquent le pourquoi.

59
Q
  1. Mesurer des variables confondantes pour les contrôler
A

Il existe des caractéristiques, autre que celle qui représente la VI qui puissent influencer les résultats. Il est difficile d’inférer de la causalité sans l’équivalence de groupe, et la connaissance de ces caractéristiques permet de mieux les contrôler.

60
Q
  1. Ajouter une dimension temporelle.
A

Aspect temporel est important pour la relation de causalité. Plans corrélationnels prospectifs ou longitudinaux.

61
Q

Quel serait un exemple de plan corrélationnel prospectif?

A

Mesurer le niveau de motivation des étudiants en début de session et prédire leur réussite scolaire. La temporalité renforce la validité des prédictions.