Cours 8- Déviance Flashcards
Grandes ligne des auteurs Constructivisme
Aussi classifié sous le thèmes des réactions sociales
- Ils énoncent des évidence du crime qui sont toujours de nos jours la pierre angulaire de compréhension du crime
- Ils tentent de trouver une façon d’interpréter les actes criminels
- Déconstruisent la vision des auteurs positivisme, qui qualifie le crime comme un acte naturel.
- Les constructivisme ne voit pas la crime comme une réalité objectives, mais le résultat d’une interprétation d’une définition
Le constructivisme ( la Guerre des mots ?)
Attention au choix des mots dans la formulation des questions de certains sondage.. parfois le choix de mots vient orienter les réponses. Manque de neutralité des résultats ..
Les limites du courant Constructivisme
- Beaucoup de critique sans toutefois apporter de nouvelles solutions
- Complexité de la terminologie, aucune simplification des termes, car selon eu le crime est une réalité complexe.
- DÉFINITION=INTERPRÉTATION=ABSENCE DE NEUTRALITÉ
** Agression sexuel- comment le définir? longtemps il devait y avoir pénétration pour avoir condamnation… il y a donc eu des jugements injuste dans le passé **
Type de crime caché sous les 4 définitions suivantes
- Chacun à droit à la vie
- Dignité humaine
- Acte de guerre
- Faux témoignage
HOMICIDES
- Personnalité juridique du foetus
- Débat sur le suicide assisté
- Meutre, conflit militaire
- Condamnation à la peine de mort basé sur un faux témoignage
Paradigme de la réactions sociales
Constructivisme VS positivismes
Constructivisme : manière sociétale d’interpréter un comportement
- Manière dont la société réagit à la déviance
- Réaction sociale : étude de la manière dont nous réagissons à la criminalité
Positivisme : Crime = object naturel, acte réel présent dans la société
* Un se faire faire les poches par un inconnu VS. son fils = même comportement … mais perçus différemment*
Criminalisation primaire/secondaire
- Certains travaillent sur la définition: on supprime les termes ayant des préjugés”bon ou mal” tel que crime, criminel..et on opte pour déviance
-Déviance : déviation d’une norme neutre, sans stipulé le bien ou le mal
(la 2e limitation du courant leur est appliqué) - Les autres travaillent sur les réactions
- Formel: institution, système de justice, policier
- Informel : l’intégralité la société (employeur face à un nouveau détenu par exemple)
Positivisme et réaction sociale
Positivisme ( étiologie) : explication des phénomènes criminels, réalité de la société qui préexiste à son traitement
Réaction sociale : crime est un construit sociale qui existe par son traitement/ suite à la réaction
Notion de crime (Durkheim )
- Acte qui blesse les états forts de la conscience collective
- Déstabilisation des valeurs fondamentale et noyaux culturel du pays - Moralité et criminalité
- Code criminel basé sur les normes des l’églises, comportement immoraux qui mettent en danger la société
- Moralité : geste immoraux ne menant pas nécessairement au crime
** Les sociétés étant de plus en plus hétérogène, la conscience collective des valeurs n’est plus vraiment présente **
Notion du crime ( Gassin)
Tente de définir les moyens utilisés par les délinquants pour commettre le crime et met de côté la définition du crime en soi:
- Ruse
- Violence
6 éléments fréquemment retrouvé dans les définitions du crime et leurs problématiques
Acte: code criminel stipule beaucoup plusieurs Omissions, soit l’absence de l’acte
Illégal: un acte n’est pas criminel dans toute les cultures ou au courant des époque ( relativisme )
Dommageable : Doit causer préjudice à quelqu’un, le code criminel prévoit des loi qui préviennent les préjudices (mise en danger- excès de vitesse sur les routes )
Lien de causalité : L’acte VS le résultats ( décès d’un homme sur une scène de crime quelque seconde avant des touché par la balle du fusil.. arrêt cardiaque causé par le stress de l’évènement, on ne peut établir l’homicide )
Intentionnel : intention criminelle VS résultat involontaire
punissable : doit être punissable à un moment donnée sur un territoire ( peut fluctuer selon les secteurs et les problématiques observé par les policiers sur certains territoires )
Position du constructivisme
- Acte est une construction sociale
- On ne suppose pas que les actes n’ont pas eu lieu
- Signification des actes est plus importantes que leur réalité physique
- Il faut comprendre l’acte dans sa position et son contexte socioculturel
EX. coup de poing dans la rue VS dans un combat de boxe
Interactionnisme symbolique- BLUMER
( stigmatisation ou l’étiquetage )
3 propositions
- C’est le contexte qui rend l’acte déviant et non l’acte physique en tant que tel *
Blumer : Va faire le lien entre la définition de la déviance et l’application à l’étude de la réaction sociale
- Les humains agissent en fonction de la réalité (selon nos expériences, apprentissage)
- Interprétation de la réalité provient de ce que nous avons appris des autres ( autant de témoins.. autant de perceptions)
- Les humain réinterprétent leur comportements à l’aide de symbole et définitions apprise ( ex. les policiers adaptent leurs comportements selon les tensions actuelles )
Passage de l’interactionnisme symbolique à l’étiquetage
EX. itinérance au campus de Laval VS même situation à MTL
- l’environnement social influence la manière dont on perçoit différent comportement
- Lorsqu’on sanctionne un individu en l’identifiant simplement comme délinquant = peut l’amener lui-même se considérer délinquant et ainsi commettre d’autre délit
La dramatisation du mal ( Tannenbaum)
- les jeunes poussent les limites, le point de vu du jeune = un jeu et celui de la société = nuisance qui doit être sanctionnée
- Répétition des actes : conflit en escalade entre le jeune et la communauté. La personne elle-même + les actes sont défini de mal
- le sentiment de se sentir définit comme mauvais peut causer un changement dans sa propre identité
- le jeune aura donc tendance à prendre cette étiquette du mal et renforcera sa délinquance *
Déviance primaire ( petite délinquance occasionnelle) À LA DÉLINQUANCE SECONDAIRE (LEMERT, prophétie qui s’auto-réalise)
Ce qui se passe entre les 2 niveaux ?
Se produit une STIGMATISATION
- on le surveille de plus près
- on ne le laisse plus participer aux activité normales
- on le sépare des jeunes “non-délinquant’
- Il ne lui reste qu’a fréquenter les autres jeunes étiqueté de délinquants
- On l’accuse dès que quelque chose va mal
- On le puni plus sévèrement que les autres
- Il arrive à croire qu’il est plus différent que les autres
- Il agit en conséquence… renforcement de délinquance
par tout ces contrôles, le jeune va s’imprégner de son étiquette et s’identifier au groupe de jeunes à problème