Cours 8 Flashcards

1
Q

Quels sont les niveaux de consommation recommandés d’alcool?
A) 3-4-6-2
B)2-3-4-0
C) 3-4-5-1
D) 2-3

A

B

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2
Q

Vrai ou faux
Les femmes ne devraient pas prendre plus de 10 verres par semaine et les hommes 15

A

Vrai et il devrait y avoir au moins 1 ou deux journées dans la semaine sans consommation

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3
Q

Pq les recommandations de niveaux de consommation diffèrent entre hommes et femmes (3 raisons)

A
  1. Les femmes ont un poids moyen inférieur aux hommes
  2. Kilo pour kilo, les femmes ont moins d’eau dans le corps
  3. Les femmes ont moins d’enzymes qui métabolisent l’alcool
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4
Q

Combien de conso sont nécessaire pour qu’on parle de binge drinking…
Chez les femmes?
Chez les hommes?

A

F: 4 conso
H: 5 conso

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5
Q

Quand la consommation d’alcool est-elle inappropriée? (7 éléments de réponse)

A

• on a des décisions importantes à prendre

• on pratique des activités physiques dangereuses

• on manœuvre un véhicule, de la machinerie ou de l’équipement électrique/mécanique

• on est responsables de la sécurité d’autres personnes

• on prend des médicaments qui interagissent avec l’alcool

• on a des problèmes de santé mentale ou physique

• on a des problèmes de dépendance à l’alcool

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6
Q

Dans le cas de la consommation de cannabis, on parlera de consommation à moindre risque (plutôt que faible risque). Quelles sont les recommandations et les conditions pour se trouver dans la catégorie «consommation à moindre risque»

(8 éléments de réponses)

A

• âge de la première conso (on veut éviter que ce soit à l’adolescence)

• opter pour des produits moins puissants

• éviter le cannabis synthétique (plus de risque de problèmes graves)

• prioriser les ingestions d’aliment et les vaporisateurs (car un joint que t’inhales va direct dans les poumons et c’est plus nocif)

• éviter les grandes bouffées ou de retenir la respiration pendant l’inhalation

• limiter l’usage (une journée par semaine ou juste les fds)

• ne pas conduire et faire fonctionner des machines à la suite de la consommation

• éviter si antécédents de psychose ou trouble lié à l’utilisation de substance et éviter si enceinte

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7
Q

Pour l’usage d’autres SPA que le cannabis, il n’existe pas de normes pour l’usage à moindre risque, on adopte plutôt une approche de [1]

A

Réduction des méfaits

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8
Q

Définis le terme «dépendance»

A

Ensemble de Sx cognitifs, comportementaux et physiologiques qui indiquent que le sujet continue de consommer la substance malgré des problèmes significatifs associés

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9
Q

CLASSIFICATIONS
A) On peut avoir un trouble de l’usage d’une substance pour n’importe quelle classe de substance Sauf une: laquelle?
B) on peut avoir une intoxication par une substance de n’importe quelle classe sauf une. Laquelle
C) on peut avoir un sevrage d’une substance pour n’importe quelle classe de substances Sauf une: laquelle?

A

A) café
B) tabac
C) hallucinogènes

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10
Q

Complète ce texte troué extrêmement long sur le trouble de l’usage d’une substance:
• mode d’usage problématique de la substance conduisant à une altération de fonctionnement ou une souffrance cliniquement significative, caractérisé par la présence d’au moins [1] des manifestations suivantes, au cours d’une période de [2] mois:

  1. La substance est souvent consommée en [3] ou pendant une période plus prolongée que prévue
  2. Il y a un [4] ou des [5] pour diminuer ou contrôler la consommation de la substance
  3. Bcp de temps est passé à des activités nécessaires pour [6]
  4. Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de [7]
  5. Consommation répétée de la substance conduisant à l’[8] au travail à l’école ou à la maison
  6. Consommation continue de la substance malgré des [9], persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de la substance
  7. Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont [10] à cause de l’usage de la substance
  8. Consommation répétée de la substance dans des situations où cela peut être [11]
  9. L’usage de la substance est poursuivi bien que la personne sache avoir un [12] persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par la substance
  10. [13], définie par l’un des Sx suivants
    a) besoin de quantités notablement plus fortes de la substance pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré
    B) effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité de la substance
  11. [14] caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes
    A. Syndrome de sevrage caractéristique de la substance
    B. La substance est prise pour soulager ou éviter les Sx de sevrage
A
  1. Deux
  2. Douze
  3. Quantité plus importante
  4. Désir persistant
  5. Efforts infructueux
  6. Obtenir la substance
  7. Consommer la substance
  8. Incapacité de remplir des obligations majeures
  9. Problèmes interpersonnels ou sociaux
  10. Abandonnées ou réduites
  11. Physiquement dangereux
  12. Problème psychologique ou physique
  13. Tolérance
  14. Sevrage
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11
Q

Voici des éléments à spécifier dans le trouble de l’usage d’une substance

SPÉCIFIER SI
• en rémission précoce
• en rémission prolongée

SPÉCIFIER SI
• En environnement protégé
• sous traitement de maintien

SPÉCIFIER LA SÉVÉRITÉ ACTUELLE
• Léger
• Moyen
• Grave

A) en rémission précoce signifie combien de temps sans l’usage problématique de la substance?

B) en rémission prolongée signifie combien de temps sans l’usage problématique de la substance?

C) Qu’est-ce qu’un environnement protégé?

D) qu’est-ce qu’implique un sous-Tx de maintien?

E) combien de Sx sont cochés dans une sévérité jugée…
• Légère?
• Moyenne?
• grave?

A

A) 3 mois et plus (moins de 12 mois)
B) 12 mois et plus
C) environnement où l’accès à la substance est limitée (ex: milieu carcéral)
D) qu’on prescrive un traitement agoniste
E) • légère: 2-3 Sx
• moyenne: 4-5 Sx
• grave: 6 Sx ou +

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12
Q

Vrai ou faux
Le Cx A de l’INTOXICATION PAR UNE SUBSTANCE va comme suit
« Développement d’un syndrome irréversible spécifique dû à la prise récente de cette substance»

A

Faux, le syndrome est RÉVERSIBLE

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13
Q

Quel est le Cx B d’une intoxication par une substance?

A

Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, qui sont associés à l’intoxication (ex: agressivité, labilité de l’humeur, altération de jugements), sont imputables aux effets physiologiques de la substance sur le système nerveux et se développent pendant ou après la consommation de la substance

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14
Q

Complète ce texte troué sur les Cx C et D de l’intoxication par une substance

C. Caractéristiques spécifiques à chaque [1]

D. Les Sx ne sont pas imputables à une autre affection [2] et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mentale

A
  1. Substance
  2. Médicale
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15
Q

Les voies d’administration qui produisent une [1] plus rapide et plus complète génèrent une intoxication plus grande

A

Absorption sanguine

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16
Q

Quelles sont les différentes voies d’administration d’une substance (4)

A
  1. Voie intraveineuse
  2. Voie nasale
  3. Voie pulmonaire
  4. Voie orale
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17
Q

Vrai ou faux
L’intoxication par une substance est plus fréquente chez les jeunes adultes

A

Vrai

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18
Q

Complète ce texte troué sur le sevrage d’une substance

A. Développement d’une modification comportementale problématique spécifique d’une substance, avec des signes physiologiques et cognitifs concomitants, à la suite de [1]

B. Spécifique à la [2]

C. Le syndrome de sevrage spécifique de la substance cause une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social professionnel ou dans d’autres domaines

D. Les Sx ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliquées par un autre trouble mental

A
  1. L’arrêt ou de la réduction de la consommation massive et prolongée de la substance
  2. Substance
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19
Q

Complète le Cx A des autres troubles induits par une substance

A. Le trouble se manifeste par un tableau symptomatique cliniquement significatif d’un [1]

A

Trouble mental caractérisé

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20
Q

Le Cx B des autres troubles induits par une substance va ainsi:

B. Mise en évidence, d’après l’anamnèse, l’examen physique ou les examens complémentaires des deux éléments suivants:

Quels sont ces éléments?

A
  1. Le trouble s’est développé pendant ou dans le mois qui a suivi une intoxication ou un sevrage ou une prise de médicament; et
  2. La substance/le médicament impliqué peut induire le trouble mental
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21
Q

Voici le Cx C des autres troubles induits par une substance:

C. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble mental indépendant. Les critères suivants peuvent permettre de mettre en évidence un trouble mental indépendant:
1. _______________________________________

  1. _______________________________________
A
  1. Le trouble a précédé le début d’une intoxication grave ou d’un sevrage ou d’une exposition à un médication; ou
  2. Le trouble mental a persisté pendant une période de temps conséquente (p. Ex au moins un mois) après la fin d’un sevrage aigu ou d’une intoxication grave ou d’une prise de médicament
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22
Q

Complète ce texte troué sur les critères D et E des autres troubles induits par une substance

D. Le trouble ne survient pas uniquement au cours d’un [1]

E. Le trouble cause une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants

A
  1. État confusionnel
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23
Q

Quelle est la substance psychoactive la plus utilisée dans la plupart des cultures?

A

L’alcool

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24
Q

Vrai ou faux
Le trouble de l’usage de l’alcool est courant

A

Vrai (3,6% de la pop. Mondiale)

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25
Q

Associe les bonnes statistiques (prévalences) sur le trouble de l’usage de l’alcool aux bonnes tranches d’âge

  1. Sur 12 mois: 4,6 %
  2. Sur 12 mois: 8,5%
  3. Sur 12 mois: 16,2%
  4. Sur 12 mois: 1,5%

A) 65 ans et +
B) 18 ans et +
C) 12-17 ans
D) 18-29 ans

A

A) 4
B) 2
C) 1
D) 3

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26
Q

Vrai ou faux
Le trouble de l’usage de l’alcool est plus prévalent chez les femmes

A

Faux (H=12,4% et F=4,9%)

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27
Q

• les adolescents consomment leur premier verre d’alcool [1] ( garçons= 12,7 ans et filles= 12,4 ans)

• 44% des élèves du secondaire ont consommé de l’alcool

• les ados consomment [2], mais en [3] à chaque occasion

• 5% des jeunes adolescents et 33% des adolescents de 16-17 ans [4]

• l’adolescence est une période de [5] au développement d’une [6]

A
  1. Très jeunes
  2. Moins souvent
  3. En plus grande quantité
  4. S’intoxiquent régulièrement
  5. Vulnérabilité
  6. Dépendance
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28
Q

L’adolescente est une période de vulnérabilité au développement d’une dépendance. Pq?

A

• Elle est caractérisée d’une impulsivité marquée (recherche de sensations fortes)

• les fonctions cognitives sont encore en développement

• l’identité est encore en formation

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29
Q

Vrai ou faux

A) il y a possibilité d’un trouble d’usage de la caféine, mais on ne peut avoir une intoxication ou un sevrage à la caféine

B) la consommation moyenne des cafés est de 2-3 tasses par jour chez les adultes et les hommes consomment plus que les femmes

C) 34% des 18-24 ans sont des consommateurs réguliers de boissons énergisantes

A

A) faux, c’est l’inverse (on peut s’intoxiquer ou sevrer mais on ne peut avoir un trouble de l’usage de la caféine)

B) vrai
* recommandation= max 400 mg/jour (~ 3 tasses)

C) vrai

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30
Q

A) quel est le pourcentage de gens s’intoxicant à la caféine
B) comment se manifeste le sevrage de la caféine
C) nomme trois comorbidités qu’on peut trouver avec les troubles liés à la caféine

A

A) 7%
B) •céphalées (chez 50% des gens)
• + de 70% présentent au moins un Sx
De sevrage après un arrêt définitif
C) trois parmi les suivantes
• peut exacerber des Sx anxieux, somatiques et perturbations gastro-intestinales
• troubles dépressifs
• troubles bipolaires
• troubles alimentaires
• troubles du sommeil
• troubles liés à une substance

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31
Q

Complète les quelques données sur le trouble de l’usage du cannabis

PRÉVALENCE
• 3,4% chez les gars de 12-17 ans
• 1,5% chez les adultes de 18 ans et +
• H (2,2%) > F (0,8%)

DÉVELOPPEMENT ET ÉVOLUTION
• + chez adolescents et [1]
• Développement [2] du trouble (⬆️ fréquence et quantité)
• drogue d’[3]

A
  1. Jeunes adultes
  2. Progressif
  3. Introduction
32
Q

Quels sont les effets du cannabis

A

• détend et rend plus sociable (incitatif)
• labilité émotionnelle
• réduction de l’attention
• perturbation de la mémoire
• hallucinations (si très forte dose)

33
Q

Qui suis-je?
Groupe de substances qui provoquent des modifications similaires de la perception, de l’humeur et de la cognition

A

PCP et autres hallucinogènes

34
Q

Il est possible d’avoir un trouble de l’usage d’une substance avec des PCP et autres hallucinogènes. Par contre, dans un tel cas, une petite différence s’impose quant aux critères. Quelle est-elle?

A

Un trouble de l’usage se caractérise normalement par la présence d’au moins deux Sx parmi une liste de 11. Dans le cas des hallucinogènes on parle d’au moins 2 Sx parmi une liste de 10 puisqu’on ne peut avoir un sevrage pour les hallucinogènes

35
Q

PRÉVALENCE TROUBLE DE L’USAGE DU PCP ET AUTRES HALLUCINOGÈNES

• trouble de l’usage du PCP: inconnue (utilisation chez environ 2,5% de la pop)
• trouble de l’usage d’un autre hallucinogène: 0,5% chez 12-17 ans et 0,1% chez 18 ans et plus (12 derniers mois)

Pq les prévalences du trouble de l’usage de PCP/autres hallucinogènes sont très faibles?

A

Parce que ce sont des drogues illégales et donc le monde va pas juste admit qu’il est addict

36
Q

Des médications somnifères et anxiolytiques, fournies sur prescription, peuvent occasionner quels troubles de l’usage?

A

Trouble de l’usage des sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques

Prévalences dont on se criss
0,3% chez les 12-17 ans
0,2% chez les 18 ans et plus

37
Q

On peut avoir un trouble de l’usage d’un stimulant. Donne des exemples de stimulants

A

Cocaïne et amphétamine

38
Q

PRÉVALENCE STIMULANTS AMPHÉTAMINIQUES:
• 0,2% chez les 12-17 ans
• 0,2% chez les 18 ans et +

PRÉVALENCE COCAÏNE
• plus consommée par les [1] que les [2]
• 0,2% chez les 12-17 ans
• 0,3 % chez les 18 ans et plus

A
  1. Hommes
  2. Femmes
39
Q

Complète ces quelques données sur le trouble de l’usage du tabac
• [1] élevé ➡️ 60% dans la même semaine

• environ [2] de décès par année sont liés au Tabac

• [3] dans les pays riches

• Prévalence sur 12 mois:
- [4] % de fumeurs actuels (18 ans et plus) (35% en 1985!!)
- [5] > [6] (et les [5] fument plus!)

A
  1. Taux de rechute
  2. 6 millions
  3. 1ere cause de mortalité évitable
  4. 13
  5. Hommes
  6. Femmes
40
Q

Qu’implique un jeu d’argent (principe/ fonctionnement): 3 éléments

A

• L’individu doit miser de l’argent ou un objet de valeur

•Cette mise est irréversible (et peut être gagnée ou perdue)

• l’issue du jeu repose principalement ou totalement sur le hasard

41
Q

VRAI OU FAUX: JEUX À FAIBLE RISQUE

A) 20% des Québécois âgés de 18 ans et plus ont déjà joué à un jeu de Hasard et d’argent au cours de leur vie

B) 10% ont joué au cours des 12 derniers mois

C) quand on prend l’ensemble des Québécois, joueurs et non joueurs, la médiane des dépenses est de 40$ par année

D) pour les joueurs le montant dépensé passe à 150$

A

A) faux: 84,1%
B) faux: 66,6%
C) vrai
D) vrai

42
Q

Le critère A du jeu d’argent pathologique va ainsi:

A. Pratique inadaptée, persistante et répétée du jeu d’argent, altération du fonctionnement/souffrance. Au moins 4 Sx pendant 12 mois

Nomme ces sx (y’en a 9)

A
  1. Besoin de jouer avec des sommes d’argent croissantes pour avoir l’état d’excitation
  2. Agitation ou irritabilité lors des tentatives de réduction ou d’arrêt de la pratique du jeu
  3. efforts répétés mais infructueux pour contrôler, réduire ou arrêter la pratique du jeu
  4. Préoccupation par le jeu
  5. Joue souvent lors des sentiments de souffrance/mal-être
  6. Après avoir perdu de l’argent au jeu, retourne souvent jouer un autre jour pour recouvrer ses pertes («se refaire»)
  7. Ment pour dissimuler l’ampleur réel de ses habitudes de jeu
  8. Met en danger ou a perdu une relation affective importante, un emploi ou des possibilités d’études ou de carrière à cause du jeu
  9. Compte sur les autres pour de l’argent/de sortir de situations financières désespérées
43
Q

Le jeu d’argent pathologique n’est pas mieux expliqué par quoi

A

Un épisode maniaque

44
Q

Pour le jeu d’argent pathologique il faut

spécifier si:

• occasionnel ([1])
• continu ([2])
• en rémission précoce ([3])
• en rémission prolongée ([4])

Spécifier la sévérité actuelle:
• léger ([5])
• moyen ([6])
• grave ([7])

A
  1. Période sans Sx
  2. Sx tjs présents depuis plusieurs années
  3. 3 mois et plus, moins de 12 mois
  4. Douze mois et plus
  5. 4-5 Sx
  6. 6-7 Sx
  7. 8-9 Sx
45
Q

Relie les pourcentages (prévalences) aux bons énoncés

• 0,4% • 1,4% • 2,9%

A) joueurs à faible risque
B) joueurs à risque modéré
C) joueurs pathologiques probables

A

A) 2,9%
B) 1,4%
C) 0,4%

46
Q

Répond à ces questions sur les facteurs de risque (biopsychosocial) des troubles addictifs
A) qui des hommes ou des femmes est plus susceptible d’en souffrir et pq?
B) pq un début de consommation tôt dans le développement se présente comme un facteur de risque
C) en termes de tempérament et de personnalité, quels traits/caractéristiques se présentent comme des facteurs de risque?
D) nomme deux facteurs de risques qui touchent la famille
E) nomme un renforçateur positif et un renforçateur négatif des troubles addictifs
F) vrai ou faux un contexte social normatif (pairs) constituent un facteur de risque
G) nomme des sx cliniques qui sont des facteurs de risque des troubles addictifs

A

A) les hommes car ils sont plus impulsifs
B) car cela induit un changement de l’activité dopaminergique
C) Impulsivité et recherche de sensation
D) conflits familiaux et familiarité (attitude positive)
E) positif= plaisir, négatif= désinhibition
F)vrai
G) anxiété, dépression

47
Q

Nomme des facteurs de risque propre au jeu

A

• gains tôt dans l’histoire
• renforcements intermittents (mais le plus souvent tu perds)
• pensées dysfonctionnelles spécifiques au jeu (ex: illusion de contrôle)

48
Q

Quelles sont les conséquences possibles des troubles addictifs?

A

• Développement d’un trouble de santé mentale (anxiété, dépression, opposition, TDAH et trouble de conduite)

• risque de comportements délinquants

• usage accru de SPA peut affecter le développement du cerveau (affecte la mémoire épisodique, il en résulte des difficultés d’apprentissage qui mènent souvent à des échecs ou au décrochage)

• risque de développement d’une dépendance

• atteintes aux différentes sphères du fonctionnement

• risque accrue de suicide

• violence, négligence et enjeux financiers importants (surtout pour le jeu)

49
Q

Quelles sont des conséquences spécifiques au jeu?

A

• difficultés financières (joueurs dans nos bureaux ont en moyenne 50 000$ de dettes et ceux à l’interne 150 000$)

• risque accru de suicide (3 à 4 fois plus à risque)

50
Q

Quelles sont les grande comorbidités présentes avec les troubles addictifs

A

• troubles anxieux
• troubles de l’humeur
• troubles psychotiques
• troubles de la personnalité
• TCA
Etc

51
Q

Vrai ou faux
Les groupes de soutien sont une psychothérapie

A

Faux

52
Q

Décris un peu les groupes de soutien

A

• pas de la psychothérapie
• on prêche l’abstinence (la dépendance est une maladie incurable)
• fonctionne bcp par parrainage
• dimension spirituelle

53
Q

Quel sont les buts visés des entretiens motivationnels?

A

Avancer dans les stades de changement, diminuer la détresse émotionnelle et combler le sentiment de vide

54
Q

Quels sont les stades de changements (modèle de l’entretien motivationnel)

A

• précontemplation
• contemplation
• préparation
• action
• maintien

55
Q

Nomme des techniques de la TCC pour les troubles addictifs

A

• psychoéducation
• entraînement aux habiletés sociales
• identification des situations à risque
• restructuration cognitive
• exposition (en imagination, in vivo et in virtuo) ➡️ vise l’empowerment en situation de craving
• tolérance à la détresse
• prévention de la rechute

56
Q

La psychothérapie psychodynamique, dans le cadre des troubles addictifs, analyse le transfert et le contre-transfert et met l’accent sur les processus réflexifs. Que visent ces processus réflexifs?

A

• mieux comprendre le lien entre les enjeux de dépendance et la régulation du monde interne

• mieux comprendre le rôle de la consommation dans le désir d’être adapté à la réalité externe

• prendre conscience des MD qui maintiennent la consommation (basé sur le clivage)

57
Q

Selon le momentum du Tx, on travaille sur des stratégies comportementales afin de réduire la [1] et c’est lorsque cette dernière est réduite qu’on travaille les [2]

A
  1. Consommation
  2. Enjeux de personnalité
58
Q

Vrai ou faux
Le trouble hypersexuel fait partie du DSM

A

Faux

59
Q

ADDICTION/COMPULSION/IMPULSION SEXUELLE

• pornhub= 28,5 milliards de visites en 2017 (81 millions de visites par jour)

• 4000000 de sites web dédiés à la porno

• triple-A engine: [1], [2], [3]
Tout est donc en place pour le développement d’une consommation compulsive

A
  1. Accessible
  2. Anonyme
  3. Abordable
60
Q

Vrai ou faux
Les revenus de l’industrie pornographie sont égaux à ceux de Microsoft Google et Amazon

A

Faux: ils sont supérieurs

61
Q

Vrai ou faux
Les revenus de l’IP sont plus grands que ceux de la franchise USA de baseball, football et basketball

A

Vrai

62
Q

Le comportement sexuel incontrôlable pourrait être vu comme un trouble compulsif, impulsif ou addictif mais pourquoi ne figure t’il pas dans l’annexe du DSM?

A

Les cliniciens sont en manque d’indicateurs de Sx clairs et il manque de directives pour mettre en place des modalités de Tx empiriques

63
Q

Pq le fait que l’addiction sexuelle ne soit pas dans le DSM cause la polémique

A

Car plusieurs personnes recherche un Tx en raison des conséquences insupportables des comportements sexuels incontrôlables

64
Q

Voici le Cx A du trouble hypersexuel
A. Pendant une période d’au moins 6 mois, présence d’une excitation sexuelle intense et récurrente, de désir sexuel ou de comportements sexuels tel que manifesté par 3 ou plus des manifestations suivantes

Nomme les (5)

A
  1. Temps investi dans les fantaisies, désirs intenses et comportements interférant, de manière répétée avec d’autres buts importants, activités et obligations.
  2. S’engage de manière répétitive dans des fantaisies, désirs intenses et comportements sexuels, en réponse à des humeurs dysphoriques (anxiété, dépression, ennuie, irritabilité)
  3. S’engage de manière répétitive dans des fantaisies, désirs intenses et comportements sexuels en réponse à des événements de vie stressants
  4. Efforts infructueux pour diminuer ou contrôler les fantaisies, désirs intenses et comportements sexuels
  5. S’engage de manière répétitive dans des comportements sexuels en faisant fie ou malgré des risques (physiques ou émotionnels) pour soi ou les autres
65
Q

Complète le Cx B et C du trouble hypersexuel

B. [1] cliniquement significative et [2] du fonctionnement

C. Non du aux effets physiologiques d’une [3] ou une affection physiologique

A
  1. Détresse
  2. Altération
  3. Substance
66
Q

Pour le trouble hypersexuel il faut spécifier si…

A

• masturbation
• pornographie
• comportements sexuels avec adultes consentants
• cybersexe
• téléphone
• bar de danseur des nues
• autres

67
Q

Le trouble du comportement sexuel compulsif vient de quel manuel dx? Pq son nom est il un peu ironique

A

Fait partie de la CIM européenne et c’est ironique car les sx sont ceux de la dépendance, pas de la compulsion

68
Q

Complète les Cx du trouble du comportement sexuel compulsif

A. Patron persistant d’échecs à contrôler des [1] intenses et répétitives Résultant en un comportement sexuel répété sur une période d’au moins [2] et qui cause une détresse significative ou un dysfonctionnement dans la vie personnelle, familiale, social, éducationnel et professionnelle (ou autres)

B. Ce patron est caractérisé par au moins un des éléments suivants:
1. S’engager dans des activités sexuelles répétitives est devenu le [3] de la personne qui peut en négliger des sphères importantes d’occupation ou de responsabilités (soins personnels, santé, activité, etc.)

  1. La personne a fait de nombreux [4] afin de contrôler ou réduire significativement le comportement sexuel répétitif
  2. La personne continue de s’engager dans de tels comportements malgré des [5] (conjugales, occupationnelles, etc.)
  3. La personne continue de s’engager dans de tels comportements malgré qu’elle n’en retire que peu ou pas de [6]

C. Les comportements ne doivent pas mieux être expliqués par une autre condition mentale (ex: manie, dépression, abus de substances)

5.

A
  1. Impulsions sexuelles
  2. 6 mois
  3. Centre d’intérêt principal
  4. Efforts infructueux
  5. Conséquences importantes
  6. Satisfaction
69
Q

Quelle est la prévalence de la consommation compulsive de pornographie

A

Entre 1 et 6%

70
Q

Quelle est la prévalence du CSBD (compulsive sexual behavior disorder)

A

4% hommes et 2% femmes

71
Q

Selon Carnes (1983) quelles sont les causes de l’addiction sexuelle?

A

• faible estime de soi
• comportement qui procure du plaisir mais qui soulage un malaise intérieur

72
Q

Par quoi Kafka explique t’il l’étiologie des troubles paraphiliques

A

L’augmentation de la fréquence et de l’intensité de l’impulsion sexuelle vers des objets culturellement acceptés

73
Q

Quelle est une autre cause des troubles de l’addiction/compulsion/impulsion sexuelle?

A

Les abus sexuels à l’enfance

74
Q

Les traitements de l’impulsion/compulsion/addiction sexuelle ciblent différentes sphères associées aux comportements sexuels compulsifs. Nomme les

A

• gestion des émotions et impulsivité
• intimité et attachement
• concept de soi sexuel
• concept de soi relationnel
• identité

75
Q

Que font les interventions visant la mentalisation dans le Tx de l’addiction sexuelle?

A

Elle mène à
• identifier
• comprendre les conséquences dans les relations
• cerner liens entre les difficultés et les comportements sexuels