Cours #8 Flashcards
Prémisse schizo
Ça fait plus d’un siècle qu’on parle de schizophrénie, trouble psychologique le plus étudié. Malgré cela, encore beaucoup d’incompréhension à son sujet.
Terme schizophrénie vient de Bleuler (1911)
Terme chargé de préjugés et stéréotypes.
Devrait être changé car ne reflète pas les différents types ainsi que symptôme principal: perception anormale.
Introduction schizo
(anomalies…
apparait quand, quel gré âge, où …)
Anomalies cognitives, émotionnelles et comportementales
Pensée désorganisée, idées décousues
Déficit de perception et d’attention
Affect plat ou inapproprié
Comportement moteur anormal
Provoque repli sur soi, fuite de la réalité, monde imaginaire avec idées délirantes et hallucinations
Prévalence: 0,33% (12 mois), 0,48% (à vie)
- Variations géographiques/culturelles: p. ex., populations asiatiques ont les prévalences les plus faibles
- chez H que F
Apparaît à la fin de l’adolescence, début de l’âge adulte
- Un peu plus tôt chez H que chez F
Intro schizo : taux de mortalité et hospitalisations
revoir les raisons taux de mortalité, quoi au niveau de espérance de vie ?
Taux de mortalité ↑
- Espérance de vie plus courte de 20 ans
- Consommation de drogues illicites
- Effets secondaires des antipsychotiques
- Faible engagement familial
- Première rémission tardive des symptômes
- Environ 10%: suicide
Hospitalisations
- H sont davantage hospitalisés comparativement aux F
- 19,9% des patients des hôpitaux généraux, 30,9% des hôpitaux psychiatriques
Introduction schizo : rémission
Taux varient en fonction des études (autour de 1 sur 3 - 35%)
Symptômes plus légers
Meilleur fonctionnement
Réponse plus rapide au traitement
Durée plus courte de la psychose lorsque non traitée
Introduction schizo : T concomitants : impact sur quoi ? + c’est lesquels les concomitants ?
: impact sur apparition, gravité et évolution
TP évitante, paranoïaque, dépendante, antisociale
Troubles liés à l’usage d’une substance (37%)
Symptômes de troubles de l’humeur (trouble dépressif caractérisé, 40%) et anxieux (phobie sociale, 14,9%)
Liste troubles psychotiques
Trouble délirant
Trouble psychotique bref
Trouble schizophréniforme
Schizophrénie
Trouble schizoaffectif
Trouble psychotique induit par une substance/un médicament
Trouble psychotique dû à une autre affection médicale
Autre trouble du spectre de la schizophrénie ou autre trouble psychotique spécifié
Trouble du spectre de la schizophrénie ou autre trouble psychotique non spécifié
Catatonie
- Catatonie associée à un autre trouble mental (spécification de type catatonique)
P. ex., catatonie associée à un trouble dépressif caractérisé
- Trouble catatonique dû à une autre affection médicale
P. ex., trouble catatonique dû à une encéphalopathie hépatique - Catatonie non spécifiée
Pas tous les symptômes ou manque d’informations
** Catatonie n’est pas un trouble indépendant. Voir les 3 catégories.
Ligne du temps gradient psyhopathoogique
TROUBLE DÉLIRANT
TROUBLE PSYCHOTIQUE BREF (1 jour à 1 mois)
TROUBLE SCHIZOPHRÉNIFORME
(1 à 6 mois)
SCHIZOPHRÉNIE
(6 mois et +)
Trouble délirant et trouble psychotique bref
durée T délirant
Trouble délirant
- Idée(s )délirante(s)
- Durée d’au moins 1 mois
Trouble psychotique bref
- Symptômes de la schizophrénie (au moins 1 symptôme de 1 à 3): idées délirantes, hallucinations, discours désorganisé, comportement désorganisé ou catatonique
- Durée de 1jour à 1mois
Trouble schizophréniforme et schizoaffectif
Trouble schizophréniforme
- Symptômes de la schizophrénie (comme trouble psychotique bref, au moins 1 symptôme de 1 à 3, 2 symptômes au total), symptômes négatifs dans la liste
- Durée de 1 à 6mois
Trouble schizoaffectif
- Caractérisé par une psychose, d’autres symptômes de la schizophrénie et des symptômes thymiques notables
- Se distingue de la schizophrénie par la survenue de≥1 épisode de dépression ou de manie
Schizophrénie : critères diag
A. 2 (ou plus) parmi les symptômes suivants, chacun devant être présent dans une proportion significative de temps au cours d’une période d’un mois (ou moins en cas de traitement efficace). Au moins l’un des symptômes (1), (2) ou (3) doit être présent:
- Idées délirantes
- Hallucinations
- Discours désorganisé
- Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique
- Symptômes négatifs
B. Durant une proportion significative de temps depuis le début du trouble, le niveau de fonctionnement dans un domaine majeur tel que le travail, les relations interpersonnelles ou l’hygiène personnel est passée d’une façon marquée en-dessous du niveau atteint avant le début du trouble
C. Des signes continus du trouble persistent depuis au moins 6 mois. Pendant cette période de 6 mois les symptômes répondant au critère A (symptômes phase active) doivent avoir été présents pendant au moins 1 mois (ou moins en cas de traitement efficace); dans le même laps de temps des symptômes prodromiques ou résiduels peuvent également se rencontrés. Pendant ces périodes prodromiques ou résiduelles, les signes du trouble peuvent ne se manifester que par des symptômes négatifs, ou par 2 ou plus des symptômes listés dans le critère A présents sous une forme atténuée
** Prodromiques: avec symptômes avant-coureur d’une maladie
Résiduels: qui persiste, mais de moindre intensité
D. Un trouble schizoaffectif, ou dépressif, ou un trouble bipolaire avec manifestations psychotiques ont été exclus parce que (1) soit il n’y a pas eu d’épisode maniaque ou dépressif caractérisé concurremment avec la phase active des symptômes, (2) soit, si des épisodes de trouble de l’humeur ont été présents pendant la phase active des symptômes, ils étaient présents seulement pendant une courte période de temps sur la durée totale des phases actives et résiduelles de la maladie
E. Le trouble n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre pathologie médicale
F. S’il existe des antécédents de trouble du spectre de l’autisme ou de trouble de la communication débutant dans l’enfance, le diagnostic surajouté de schizophrénie est posé seulement si des symptômes hallucinatoires et délirants importants, en plus des autres symptômes de schizophrénie nécessaires au diagnostic, sont aussi présents pendant au moins 1 mois (ou moins en cas de traitement efficace)
Shizophrénie : spécification
cmb, les types
Premier épisode, actuellement en épisode aigu
Premier épisode, actuellement en rémission partielle
Premier épisode, actuellement en rémission complète
Épisodes multiples, actuellement épisode aigu
Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
Épisodes multiples, actuellement en rémission complète
Continu
Avec catatonie (voir définition plus loin)
Spécifier niveau de sévérité: évaluation quantitative des symptômes psychotiques
** Épisode aigu: période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis.
Rémission partielle: après un premier épisode, période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques ne sont que partiellement remplis.
Rémission complète: après un premier épisode, période de temps durant laquelle aucun symptôme de la maladie n’est présent.
Continu: symptômes remplissant les critères diagnostiques sont présents la majorité du temps, les périodes de symptômes subliminaux sont très brefs
Symptômes positifs : idées délirantes
une idée délirante c’est quoi exactement
Convictions fermes, malgré preuves contraires
Spécifications: types:
Type érotomaniaque
Conviction qu’une personne est amoureuse du sujet
Type mégalomaniaque
Conviction d’avoir un grand talent (non reconnu) ou une compréhension profonde des choses ou d’avoir fait des découvertes importantes
Type de jalousie
Conviction que le conjoint/e ou être aimé est infidèle
Type de persécution
Conviction d’être la cible d’un complot, escroquerie, espionnage, filature, empoisonnement, harcèlement, calomnies, obstructions à la poursuite de projets à long terme
Type somatique
Conviction au sujet de fonctions ou sensations corporelles
Type mixte
Aucune thème ne prédomine
Symptômes positifs : hallucinations
Sensations perçues en l’absence de stimulation externe
+ souvent auditives (74%) que visuelles, p. ex.,:
- Entendre ses propres pensées énoncées par une voix étrangère
- Entendre des voix se quereller
- Entendre des voix qui commentent les comportements
Symptômes positifs : discours désorganisé
Pensée désorganisée, trouble du cours de la pensée
- Difficulté à organiser ses idées et son discours de manière à être compris
Déduit du discours de l’individu
Doit altérer de manière significative l’efficacité de la communication
Déraillements ou relâchement des associations
- Passer d’un sujet à l’autre
Pensée tangentielle
- Réponses reliées de manière indirecte aux questions ou ne pas y être reliées du tout
Incohérence ou «salade de mots»
- Discours gravement désorganisé, pratiquement incompréhensible, ressemble à aphasie réceptive par désorganisation linguistique
** Manuel de Merck: L’aphasie est une perte partielle ou complète de la capacité à s’exprimer ou comprendre le langage écrit et parlé. Elle provient de la lésion des aires du cerveau qui contrôlent le langage.
Symptômes positifs : comportement désorganisé
il y a plusieurs quoi?
Comportement moteur anormal ou grossièrement désorganisé (incluant la catatonie)
Manifestations diverses: niaiserie puérile à agitation imprévisible
Conduit à difficulté à réaliser activités du quotidien
Catatonie: réactivité diminuée à l’environnement (voir prochaine diapositive)
Symptômes négatifs
associés à quoi ?
Moins proéminents dans autres troubles du spectre
Déficits comportementaux
Persistent après épisode aigu
Impact majeur sur vie de l’individu (invalidité professionnelle, peu d’amitiés)
Associés à survenue précoce de lésions cérébrales et perte de capacités cognitives
Peuvent être confondus avec effets des médicaments, dépression
Symptome negatif : diminution expression émotionnelle (affect plat)
↓ expression émotionnelle du visage
↓ contact visuel
↓ de l’intonation du discours (prosodie)
↓ mouvements des mains, de la tête et du visage qui transmettent accents émotionnels du discours
Affecte la majorité des individus qui souffrent de schizophrénie
- Regard vide et éteint, visage sans expression, voix monocorde
- Ne reflète pas l’expérience intérieure (qui n’est pas nécessairement absente)
Symp neg : avolition (aboulie)
Manque d’énergie et d’intérêt ou de persistance dans les activités du quotidien (travail, école, tâches ménagères, etc.)
Rester assis à ne rien faire
Affecte apparence physique, hygiène
Prédicteur de ↓ fonctionnement au quotidien et ↓ qualité de vie
Symptômes neg : alogie
↓ de la production du discours ou pauvreté du contenu
P. ex.:
«Dieu est le sauveur. Il marche avec moi et parle avec moi. Et euh, d’après ce que je comprends, il y a un tas de gens qui ne se connaissent pas eux-mêmes. Parce qu’ils ne… tous ils… ne se connaissent pas tout simplement. Ils ne savent pas qu’Il…euh… semble m’aimer, beaucoup d’entre eux ne comprennent pas qu’Il marche et parle avec eux. Et euh…leur montre le chemin. Je comprends aussi que, tous les hommes et toutes les dames, ne vont pas dans la même direction. Certains vont dans une direction différente. Ils prennent des chemins différents. Il vont où Jésus Christ veut qu’ils aillent. Comme moi. Il me montre des façons de… euh… distinguer le bien du mal, et de le faire, je ne peux pas faire plus, ni moins que ça»
Symptômes neg : anhédonie
Incapacité à ressentir du plaisir
Manque d’intérêt envers les activités plaisantes et le sexe
Incapacité à avoir des relations intimes
En sont conscients
Symptômes neg : asociabilité
manifestation quand ?
Réfère aux difficultés sociales importantes
Peu d’amis, peu d’aptitudes sociales, ne recherchent pas les contacts sociaux
Manifestations durant l’enfance (avant symptômes psychotiques)
- Déficit de cognition sociale: difficulté à reconnaître états émotionnels d’autrui affecte le contact
Étiologie génétique
+ études sur la famille !! et génétique moléculaire
Maladie polygénique
Transmission génétique d’une prédisposition pour la schizophrénie
Influence de l’environnement
- Membres d’une même famille partage des expériences communes
- Expériences de l’individu
Importance du modèle diathèse-stress
Études sur la famille
- Risque ↑ au sein de la même famille: plus le lien familial est étroit, plus le risque ↑
- Symptômes négatifs ont une plus grande composante génétique
- Risque ↑ de développer un autre trouble qui est une forme moins grave de schizophrénie (p. ex., TP schizotypique)
Génétique moléculaire
5 troubles psychiatriques majeurs partageraient variations génétiques précises
- Schizophrénie, trouble dépressif caractérisé, trouble du spectre de l’autisme, trouble bipolaire, trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité
- Réponse à: pourquoi, chez 2 personnes qui partagent le même bagage génétique, l’une souffre de schizophrénie et l’autre de dépression?
Encore beaucoup d’infos manquantes…
Étiologie biochimique
Hypoactivité dopaminergique de la voie mésocortical = symp négatifs
Hyperactivité dopaminergique de la voie mésolimbique = symposium positifs
** Aucune théorie biochimique n’a été prouvée sans équivoque
Nombre excessif de récepteurs dopaminergiques ou hypersensibilité
DA libérée dans synapse → récepteurs postsynaptiques plus nombreux = plus de chance que DA les active
Neurones DS du système mésolithique ne sont pas inhibés = symposium positifs
** Donc: si neurones DA du cortex préfrontal sont hypoactifs, ils sont incapables de freiner l’activité des neurones DA de la région limbique, provoquant ainsi une hyperactivité dans la voie mésolimbique DA.
Cortex préfrontal joue rôle important dans symptômes négatifs: hypoactivité des neurones DA dans cette partie du cerveau pourrait en être responsable.
Étiologie biochimique : qcequi explique les symptômes négatifs et qcequi explique les symptômes positifs ?
Hypoactivité dopaminergique préfrontale (déficit de transmission dopaminergique, blocage de récepteurs D1) explique symptômes négatifs et troubles cognitifs
ET
Hyperactivité dopaminergique sous-corticale explique symptômes positifs
Médicaments bloquent récepteurs D2 et atténuent symptômes positifs
Étiologie biochimique : recherches récentes
Autres neurotransmetteurs
- Nouveaux médicaments agissent sur la sérotonine (5-HT)
- Faibles taux de glutamate dans fluide cérébrospinal
PCP mime symptômes schizophrénie et agit sur glutamate
Lien entre DA, 5-HT et glutamate
A suivre…
Étiologie : structures et fonctions
quoi qui est observables
Pathologies du cerveau observable (autopsie, TDM, IRM)
Hypertrophie (élargissement) des ventricules cérébraux
- Implique perte de cellules dans les aires sous-corticales
Cause ou effet?
Étiologie : rôle du stress psycho
+ classes sociales
↑ stress au quotidien augmente la probabilité de rechute
Classe sociale faible rapporte des taux significativement plus élevés de schizophrénie
- Théorie de la sélection sociale: schizophrénie «cause» classe sociale inférieure
Étiologie : rôle de la famille
Émotions exprimées au sein de la famille et ↑ des rechutes
Diathèse-stress: impact d’un environnement «négatif», stressant
Traitement : défis
Non reconnaissance du trouble par l’individu
Refus de traitement par l’individu (surtout chez type paranoïde)
Risque de suicide et de comportements violents
Refus de suivre le traitement recommandé
Rechutes
Altération du fonctionnement avec le temps
Traitement : objectif et cmt y arriver ?
Objectif du traitement: rester ou retourner vivre en communauté
Comment?
- Traitement médicamenteux approprié
- Stratégies pour favoriser l’observance au traitement
- Identification et traitement des troubles concomitants (souvent troubles liés à l’usage d’une substance et dépression)
- Thérapies psychosociales pour améliorer symptômes et fonctionnement social et professionnel
Traitement (liste)
Traitements biologiques: stimulation magnétique transcrânienne répétitive, pharmacothérapie
Thérapie psychosociale: entraînement aux habiletés sociales
Thérapies familiales (uni ou multi)
Thérapie cognitive-comportementale
Thérapie de remédiation cognitive
Suivi intensif dans le milieu
Traitements bios : électro, lobotomie et SMTR
Électroconvulsivothérapie (Cerletti & Bini, 1938): technique peu efficace
Psychochirurgie: lobotomie (Moniz, 1935)
- Détruire fibres qui relient lobes frontaux aux centres inférieurs du cerveau
- Fonctionne particulièrement bien pour patients violents
- Effets potentiellement délétères: perte d’énergie et pertes cognitives graves
- Abandon lorsque médicaments provoquent les mêmes effets
Aujourd’hui: stimulation magnétique transcrânienne répétitive
- Soulage certains symptômes, notamment hallucinations auditives
Traitement bio : pharmaco antipsychotiques (1ere gen)
alternative ?
Antipsychotiques de première génération (classiques)
- Effets tranquillisants: bloquent les récepteurs DA au cerveau
- ↓ symptômes positifs
- Très populaire
Antipsycho de 2e gen
Antipsychotiques de deuxième génération (atypiques)
- Améliore l’état de ceux qui répondent peu aux antipsychotiques classiques
- Moins d’effets indésirables
- Moins de tentative de suicide
- Moins de rechute
Psychothera : TCC
Amener le patient à douter de ses voix
- Diminue intensité, fréquence et détresse associée
Travailler les croyances/biais
- Tendance à sauter à des conclusions hâtives
- Surattribuer les événements négatifs à causes externes
- Percevoir menace dans contexte neutre
Attitudes dysfonctionnelles prédisent altération du fonctionnement
Ex. des hallucinations auditives: travailler les croyances → ↓ fréquence et détresse associée
Améliore symptômes et indices de bien-être (fonctionnement social, qualité de vie, estime de soi, gestion du stress, etc.)
Validée empiriquement et fortement recommandée
**
Hallucinations auditives sous forme de voix ordonnant à la personne de commettre un acte constituent symptôme le plus stressant et réfractaire au traitement et associé au plus haut risque.
Idées délirantes : spécification contenu bizarre
Spécification: avec contenu bizarre
Vol de pensée
Croyance que les pensées ont été retirées par une force extérieure quelconque
Pensées imposées
Croyance que des pensées étrangères ont été placées dans son esprit
Syndrome d’influence
Croyance que corps et actions sont agis et manipulés par une force extérieure quelconque
Liste des symptômes négatifs
Diminution expression émotionnelle (affect plat )
Anhédonie
Alogie
Avolition (aboulie)
Asociabilité
Quel symptôme négatif affecte la majorité des individus ?
diminution de l’expression émotionnelle (affect négatif)
Quel symptôme négatif est prédicateur d’un moins bon fction et une moins bonne qualité de vie ?
avolition (aboulie
Quel symptôme négatif se manifeste ds l’enfance (avant les symptômes psychotiques ?)
asociabilité