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Kin1022: Intervention individuelle et de groupe > Cours 7 : Motivation et changement dans un groupe > Flashcards

Cours 7 : Motivation et changement dans un groupe Flashcards

1
Q

Quels sont les 4 stades de la formation de la cohésion de groupe?

A
  • La formation
  • Le conflit
  • La normalisation
  • La performance
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Q

Qui est Ivan Petrovitch Pavlov et qu’a-t-il découvert?

A

Un médecin et physiologiste russe qui a remporté le prix Nobel de physiologie et de médecine en 1904. Il a découvert les lois fondamentales de l’acquisition et de la perte des “réflexes conditionnels” et a développé le concept de conditionnement classique.

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3
Q

Qu’est-ce que le conditionnement classique?

A

Un stimulus neutre est associé à un stimulus inconditionnel qui déclenche une réponse inconditionnelle.

Après des présentations répétés, le stimulus neutre devient un stimulus conditionnel qui déclenche une réponse conditionnelle similaire à la réponse inconditionnelle.

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4
Q

Nommez un exemple de stimulus neutre.

A
  • au départ on ferme la lumière pour avoir l’attention -> sifflet spécifique pour l’attention
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5
Q

Décrivez le stimulus inconditionnel.

A

Déclenche une réponse (inconditionnelle) de manière réflexe, sans apprentissage nécessaire

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6
Q

Décrivez la réponse inconditionnel.

A

Réponse déclenchée par un stimulus (inconditionnel) de manière réflexe, sans apprentissage nécessaire. Manifester sous fourme d’émotion ou de réflexe

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7
Q

Décrivez le sitmulus conditionnel.

A

Initialiement neutre qui finit par déclencher une réponse conditionnelle (RC)

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8
Q

Décrivez la réponse conditionnel.

A

Réponse déclenchée par un stimulus conditionnel (SC)

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9
Q

Comment les psychologues et les psychotérapeutes utilisent le conditionnement classique.

A

Ils l’utilisent pour traiter des phobies

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10
Q

Qu’est-ce que le contre-conditionnement?

A

Association progressive d’un stimulus conditionnel à un nouveau sitmuls déclenchant une réponse incompatile ou opposée à cette réponse conditionnelle.

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11
Q

Qu’est-ce que la désensibilisation?

A

Faire disparaitre graduellement la réponse conditionnelle (RC) de peur en présentant, au rythme de la personne, des représentation du stimulus conditionnel (SC), de la moins phobique à la plus phobique.

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12
Q

Décrivez l’expérience de John Watson et Rosalie Rayner. (le petit Albert)

A

● Expérience sur un bébé alias “Le petit Albert (Watson)” en 1920.
● Névrose expérimentale / Phobie.
● Association accidentelle.
● Environnement.
● Comportements acquis et non instinctifs.

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13
Q

Qu’est-ce qui entoure la création du béhaviorisme?

A
  • Après l’expérience sur le petit Albert, Watson a créé le concept de béhaviorisme
  • Considérait que la psychologie devait faire des comportements son sujet d’étude et non pas les états mentaux.
  • Si la psychologie veut être perçue comme une science naturelle, elle doit se limiter aux évènements observables et mesurables en se débarassant, sur le plant théorique, de toutes les interprétations qui font appel à la notion de conscience.
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14
Q

Décrivez le béhaviorisme original.

A
  • Le béhaviorisme, n’est pas une théorie de l’esprit , c’est une théorie de comportement
  • Sans nier la réalité de l’individu (I) et de son fonctionnement interne, les béhavioristes classiques ne s’en préoccupent pas directement
  • Leur objectif est de spécifier les conditions et les processus par lesquels l’environnement (S) contrôle le comportement (R), sans faire référence à des variables internes considérées comme non observables hypothétiques.
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15
Q

Sur quoi s’appuie le behaviorisme?

A

Sur l’expérimentation et la méthode scientifique (c’est-à-dire principalement l’essai-erreur).

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16
Q

Nommez des applications du behaviorisme.

A

Traitement des personnes atteintes de troubles envahissant du développement comme l’autisme, le syndrome d’Asperger, le syndrome de Rett (mouvements répétitifs stéréotypés), etc.

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17
Q

Nommez les trois phases mettant en œuvre le comportement dans le béhaviorisme classique.

A
  1. l’environnement qui stimule
  2. L’individu qui stimulé
  3. La réponse de l’individu suite à la stimulation
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18
Q

Expliquez le schéma classique du béhaviorisme.

A

● S -> I -> R
● S = le stimulus provenant de l’environnement (des stimuli)
● I = l’individu
● R = le comportement ou réponse de l’individu par suite de la stimulation

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19
Q

Quelles sont les critiques 1940 du lien entre béhaviorisme et des phobies?

A
  • Un événement traumatique n’était pas nécessaire, ni suffisant pour expliquer l’origine des phobies.
  • Pas tout le monde qui développe une phobie apres trauma
  • Tu te souviens pas tjrs de l’évènement qui à causé la phobie.
  • Les gens ont tendance a avoir + peur de certains objects que d’autres.
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20
Q

Qu’est-ce que la critique de 1940

A
  • Ni comportement répondant, ni le paradigme S-R de pavlov permettaient d’expliquer l amajorité des comportements. -> surtout ceux où il n’y avait pas de causes antérieures apparentes.
  • En compraison du comportement classique; les compt. de l’organisme avaient l’air spontanés ou volontaire.
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21
Q

Qu’ont découvert les psychologues à travers des expériences avec des animaux? (Critique 1940)

A

Le comportement est moins changé par ce qui le précède que par ce qui le suit, c’est-à-dire que le comportement est fonction de ses conséquences.

  • La formulation du modèle de comportement opérant (S-R-C)
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22
Q

Nommez les deux types de comportements du béhaviorisme de 1940

A
  1. Le comportement répondant (Pavlov et Watson) : Association répétitive entre SN et SI = essentiellement involontaire - comportement réflexe de Pavlov.
  2. Le comportement opérant : conditionnement opérant
  • S –> comportement –> Conséquence (Obtenir / Éviter)
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23
Q

Qu’est-ce que le conditionnement opérant? (Déf par point)

A
  • Une boucle de rétroactions qui se fait (consciente ou non)
  • Les conséquences (l’environnement) deviennent un stimulus qui provoque une réponse, qui modifie l’environnement.
  • Conditionnement opérant est à la base de l’apprentissage.
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24
Q

Selon Thorndike, de quoi résulte le comportement?

A

De l’effet qu’il procure.

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25
Q

Comment sont classées les conséquences dans le conditionnement opérant?

A

Selon leurs effets sur la fréquence d’apparitions du comportement souhaité.

26
Q

Qu’est-ce qu’une conséquence de renforcement?

A

Une conséquence qui augmente la probabilité d’occurence du comportement

27
Q

Qu’est-ce qu’une conséquence de punition?

A

Une conséquence qui dimine la probabilité d’occurence du comportement.

28
Q

Qu’est-ce qui détermine si une conséquence est positives ou négatives?

A

S’il y a ajout ou retrait d’un élément de l’environnement:

  • Positive: ajout
  • Négative: retrait
29
Q

Donne moi des exemples des types de conséquences.

A

Voici des exemples courts pour chaque type dans le cadre du conditionnement opérant :

  1. Renforcement positif :
    → Exemple : Un enfant reçoit un bonbon après avoir rangé sa chambre.
    Conséquence : le comportement de ranger est encouragé par l’ajout de quelque chose d’agréable (le bonbon).
  2. Renforcement négatif :
    → Exemple : Un étudiant arrête d’entendre des notifications désagréables sur son téléphone en terminant ses devoirs à temps.
    Conséquence : le comportement de faire ses devoirs est encouragé par le retrait d’une nuisance (les notifications).
  3. Punition positive :
    → Exemple : Un conducteur reçoit une amende pour excès de vitesse.
    Conséquence : le comportement de conduire trop vite est découragé par l’ajout de quelque chose de désagréable (l’amende).
  4. Punition négative :
    → Exemple : Un adolescent perd l’accès à son téléphone parce qu’il a enfreint les règles.
    Conséquence : le comportement indésirable est découragé par le retrait de quelque chose d’agréable (le téléphone).
30
Q

Nommez les deux sortes de renforçateurs.

A
  • Renforçateurs primaires: Répond directement à un besoin essentiel (ex: bouffe)
  • renforçateurs secondaires: est une renforçateurs par un certain apprentissage fait au préalable
31
Q

Selon B.F. Skinner, quels sont les projets intéressants pour les psychologues?

A

La manipulation du comportement par le renforcement.

32
Q

Nommez les trois hypothèses de Skinner sur les pensées et les émotions.

A
  1. Les pensées et les sentiments sur les pensées et les émotions
  2. L’évènement qui a lieu sous la peau d’un organisme se distingue d’un évènement public uniquement par son inaccessibilité
  3. L’évènement privé est influencé par les mêmes types de variables que les évènements publics
33
Q

Qu’est-ce que Skinner cherchait à faire avec les principes du comportement?

A

Trouver une application des principes du comportement à des domaines complexes telles l’éducation ou la psychothérapie

34
Q

Quel lien établit la théorie du conditionnement opérant de Skinner?

A

Un lien direct entre béhaviorisme et pédagogie.

  • C’est-à-dire comment, en tant que professuer, peut-on maximiser l’apprentissage de quelqu’un grâce au béhaviorisme.
35
Q

Quelles sont les deux approches qui découlent du conditionnement opérant?

A
  1. Approche positive
  2. Approche négative
36
Q

Décrivez l’approche positive.

A
  • Comprend les deux types de renforcement (+ et -) qui augmente la probabilité d’occurence d’un comportement désirable
  • But: Renforcer le comportement qui est contraire à celui qui serait puni (l’occurence du compt désirable)
  • Favorise une meilleure cohésion
  • Favorise une expérience sportive perçue comme étant + agréable (approche préférée des athletes)
  • Crée moins de frustration, de stress et d’agressivité.
  • Exemple: discipline (+)
37
Q

Qu’est-ce que la discipline positive? (par points)

A
  • But: augmenter les comportements voulus et diminuer les comportements non voulus sans blesser physiquement ou psychologiquement.
  • N’ignore pas les problèmes, mais explique le comportement attendu de manière calme et respectueuse.
  • Axée sur les solutions fondées sur le principe de développement.
  • Communication claires des attentes, règles et limites
  • Pas leader: laisse-faire, => transformationnel
  • Sans soumission/ Autorité et bienveillance.
38
Q

Nommez les cinq règles de la discipline positive.

A
  1. Entraînements excitants.
  2. Créer des routines.
  3. Développer les règles.
  4. Cohésion positive.
  5. Prenez-les à bien faire.
39
Q

Quels sont les 5 C des règles?

A
  1. Des règles Claires: choix des mots que tous peuvent comprendre.
  2. Concrètes: Nommer le comportement attendu
  3. Constantes: appliquées en tout temps
  4. Cohérentes: Adopter le comportement désiré vous aussi
  5. Conséquentes: La trangression d’une règle doit avoir des conséquences. Ces conséquences doivent être en lien direct avec le comportement indésirable.
40
Q

Quels sont les postulats du cognitivisme?

A
  • Le soi comme structure cognitive: constituée d’unités d’infos reliées les unes aux autres par des interconnexions stables (identité subjective)
  • Le soi est un objet comme un autre: le tx cognitif des infos sur soi ne diffère pas fondamentalement du Tx cognitif des autres infos sur d’autres objets.
41
Q

Quels sont les 3 éléments essentiels dans la perception des objts?

A
  • La détermination des différences spécifiant cet objet parmi les autres (Capacité de distinguer ce qui est de soi et pas
  • Une permanence et une cohérence de l’objet considéré. (Peu importe les évènements et transformation, je suis moi)
  • Une appréciaiton de la valeur de cet objet
42
Q

Qu’est-ce qui influence nos émotions et notre humeur selon le cognitivisme?

A

Ce n’est pas le monde extérieur, mais notre représentation de celui-ci et les pensées qui traversent notre esprit.

43
Q

Comment les situations sont-elles traitées dans le cognitivisme?

A

Par des cognitions influencés par des schémas et des postulats.

44
Q

Quelle approche est la plus utilisé aujourd’hui en thérapie ?

A

Un mélange entre béhaviorisme et cognitivisme = thérapie cognitivo-comportementales (TCC)

45
Q

Qu’est-ce que la thérapie cognitivo-comportementale (TCC)?

A

● Utilise un « mixte » entre béhaviorisme et cognitivisme.
● Les TCC reposent essentiellement sur les théories cognitivistes mais utilisent les techniques behavioristes.
● À la différence du cognitivisme, le behaviorisme ne rend pas ou très peu compte des cognitions ni du traitement de l’information, néanmoins il offre un éventail de techniques et d’outils qui permettent de modifier efficacement un comportement problématique et agir indirectement sur les cognitions sous-jacentes.

46
Q

Décrivez le processus des TCC pour traiter l’anxiété sociale.

A

● Une personne souffrant d’anxiété sociale évite d’autres personnes pour éviter d’activer son anxiété.
● Les approches cognitives permettent d’identifier la croyance, cognition problématique, souvent irrationnelle et de définir des cognitions alternatives non anxiogènes.
● Les personnes anxieuses socialement croient qu’elles sont « nulles », « n’intéressent personne », etc.
● L’approche behavioriste demande au patient de volontairement adopter un comportement anxiogène, ici rencontrer des gens, afin de vérifier si la croyance se vérifie.
● La confrontation de la croyance à la réalité permet au patient de prendre conscience que sa cognition n’est pas fondée et ainsi progressivement la modifier.
● Les TCC sont d’une certaine façon la synthèse du cognitivisme et du behaviorisme en psychothérapie.
● Les TCC ne sont plus considérées aujourd’hui comme du behaviorisme strict.

47
Q

Nomme moi d’autre type d’apprentissage.

A
  • Apprentissage vicariant (apprentissage par observation)
  • Computationnalisme (l’esprit comme système de traitement de l’information)
  • Mentalisme (comprendre l’esprit par l’introspection)
48
Q

Qu’est-ce que la Motivation?

A

C’est ce qui incite les personnes à penser, à agir et à se développer.

  • Considérée comme une source d’énergie, une direction ou même la persévérance que les individus éprouvent dans leurs actions et dans leurs intentions.
49
Q

Quelle est la définition de la théorie de l’autodétermination (TAD)?

A
  • Elle se concentre sur les facteurs sociaux qui influencent les différentes formse de motivation à travers leur influence sur:
  • L’autonomie
  • Le sentiment de compétence
  • D’appartenance
  • But: Créer un environnement social qui optimise le développement, la performance et le bien-être.
50
Q

Parle moi de la TAD.

A

La TAD tient pour acquis que l’individu est naturellement porté à être actif, motivé, curieux et qu’il désire vivement réussi, étant donnée que la réussite est elle-même fort gratifiante.

51
Q

Quel est le continuum de la motivation?

A
  • Amotivation
  • Motivation extrinsèque (Régulation externe)
  • Motivation Extrinsèque (Régulation Introjectée)
  • Motivation extrinsèque (Régulation identifiée)
  • Motivation extrinsèque (Régulation intérgrée)
  • Motivation intrinsèque
52
Q

Quels sont les 3 besoins de la théorie des besoins psychologiques de base.

A
  1. Autonomie: pers. à la base de ses choix
  2. Compétence: se sentir efficace et capable d’effectuer des tâches de différents niveau de difficulté
  3. Appartenance: se snetir connectée et supporté par d’autres pers. et avoir un sentiment d’appartenance aux autres et a des groupes.
53
Q

Parle moi de l’Autonomie .

A

L’autonomie est influencé par le contexte social;

Le coach peut soit contrôler ou soutenir l’autonomie du groupe:

  • Contrôle -> réduit les opportunités du groupe de choisir eux-mêmes ce qui serait le plus approprié
  • Soutenir -> offrir des choix à l’individu ou au groupe ou laisser réfléchir sur la meilleur approche pour arriver au buts.
54
Q

Nommez les 7 comportements spécifiques qui supporte l’autonomie

A
  • Fournir des choix selon certaines règles et limites spécifiques
  • Fournir une justification pour les tâches et les règles
  • Reconnaître la perspective et les sentiments des athlètes
  • Fournir aux athlètes des possibilités d’initiative et de travail
    indépendant
  • Donner des rétroactions dont le but n’est pas de contrôler
  • Éviter les comportements de contrôle
  • Prévenir l’implication de l’ego (ego involvement) des athlètes
55
Q

Parle moi de la Compétence.

A

Réfère à un sentiment d’efficacité sur son environnement , ce qui stimule la curiosité, le gout de relever des défis

  • À elle seule, l’efficacité ne suffit pas à susciter le sentiment d’être compétent. (il faut sa confirmation par d’autres)
56
Q

Qu’est-ce que la théorie de l’évaluation cognitive (TEC)?

A

Permet d’expliquer variations motivationnelles vs événements ect.

  • Les événements sociaux-contextuels (évaluation, communication et récompences) conduitsne tvers le sentiment de compétence durant l’aciton epuvent augmenter ou diminuer la motivaiton intrinsèque.
  • La motivaiton variera en fonciton des changements et de la perception qu’elle a de sa compétence (autodétermination)
57
Q

Quels sont lesavantages et dangers des récompenses dans le sport?

A

Avantages:
- Motivation avec incitations ($, jouets, activités)

Dangers:
1. Conduire à des disputes/harcelemtn
2. Emêcher le développement du sens des responsabilités.

58
Q

Quelles conditions rendent les récompenses efficaces?

A
  1. Les athlètes perçoivent les récompenses comme fournissant des informations sur leur compétence.
  2. Les récompenses ne sont psa perçues comme des tentatives de contrôle

Conséquences:
- Amélioration du sentiment de compétence
- Influence positive sur la motivation intrinsèque

59
Q

Quels sont les effets des compliments sur les habiletés?

A
  • Effets positifs initiaux : Focus sur les bons résultats.
  • Dangers :
    • Évitent les défis.
    • Développent une mentalité compétitive excessive.
    • Voient l’échec comme un manque d’intelligence (Mueller & Dweck, 1998).
60
Q

Quels sont les effets des compliements dirigés vers l’effort?

A
  • Préférence pour les tâches difficiles
  • Forte envie d’apprendre et d’explorer de nouvelle stratégies
  • Centrage sur le processus plutôt que sur le résultat

Kin1022: Intervention individuelle et de groupe (8 decks)

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