cours 6 Flashcards
quest ce qu’un réseau sociale selon les sciences humaines et sociales
Réfère à un agencement de liens entre des individus et/ou des organisations (groupe), constituant un groupement qui a un sens (significatif pour la personne) (ex : la famille, les collègues de travail, un groupe d’amis, un groupe communautaire, une équipe sportive, etc.).
que signifie le réseau social selon les médias sociaux numériques
Réfère aux différentes activités qui intègrent technologie, interaction sociale entre individus ou groupes d’individus, et à la création de contenu.
Taille du réseau social
quest ce que le nombre de dunbar (règle de 150)
Théorie de Dunbar (1992) selon laquelle le nombre maximal de personnes que quelqu’un connaît réellement est de 150. Ce nombre n’inclut pas les personnes que quelqu’un connaît personnellement mais avec qui la relation sociale est rompue, ni les vagues connaissances sans relation sociale persistante.
quelle est l’étude de Dunbar
mesure chez les singes 2 variables :
1. taille moyenne du groupe social
2. taille du néocortex (couche supérieur du cerveau)
il trouve que une corrélation positive entre la taille du néocortex et la taille du groupe (+ donc + dans les deux sens vu que c’est une corrélation, on sait pas quoi cause quoi)
donc il extrapole aux humaine et émet l’hypothèse que compte tenu de la taille du néocortex des humaines, la taille du gorupe est de 150
Taille du réseau social
quelles sont les explications (2) de 150 personnes selon taille du néocortex?
- soit la taille cortex influence taille réseau social
- soit la taille du réseau sociale influence la taille du cortex
Taille du réseau social
quelles sont les 3 caract à avoir pour qu’une personne soit incluse dans les 150 personnes de qqun
- cest une personne qu’on reconnait
- être capable d’interpréter/anticiper les réactions de la personne
- relation stable avec la personne (on peut continuer d’avoir contact avec elle)
il faut ces 3 conditions pour que la personne fasse partie du réseau
Taille du réseau social
une autre étude critique celle de Dunbar et ajoute une variable, explique
environnement aussi variable qui influence
ex : des fois on est obligé à vivre en grand/petit groupe
Taille du réseau social
quel est l’effet du petit monde
théorie des six poignées de main
Théorie de Karinthy (1929) selon laquelle la longueur de la chaîne des connaissances sociales requise pour lier une personne arbitrairement choisie à n’importe quelle autre personne sur Terre comporte six liens.
Taille du réseau social-
Effet du petit monde : théorie des six poignées de main : explique l’étude de Milgram
demande à 60 personnes qui vivaient au nebraska, leur remet une lettre qu’ils devront faire parvenir à qqun inconnu à l’est des US
résultat : seulement 3 lettres se rendent en 6-7liens (mais pas concluant le reste ne se rendent pas)
Taille du réseau social
quelles sont les 2 autres études sur l’Effet du petit monde : théorie des six poignées de main
- dans communauté précise les 6 liens fonctionnent (ex acteurs)
- avec internet, 3.5 liens seulement pour atteindre n’importe qui
quest ce que la valeur accordée au réseau social (3)
La valeur accordée à un réseau repose à la fois sur une évaluation des membres individuels, des liens entre ces membres et du réseau en tant qu’unité.
Mais, avant tout, il faut qu’un ensemble de personnes soit considéré comme un réseau. Ceci réfère à la perception d’entitativité.
quest ce que l’entativité
Degré auquel un groupe peut être considéré comme une entité réelle, une unité cohérente.
de quoi dépend la perception d’entitativité (3)
- les particularités chroniques du percevant,
- les facteurs contextuels,
- les propriétés du groupe. (9)
Entitativité
quelles sont les propriétés du groupe (9)
Variations selon le type de groupe
quels sont les types de groupe et le niveau différent d’entitativité (4)
Entitativité élevée
Membres qui s’identifient les uns aux autres
Plus d’interactions interpersonnelles
1. groupe intime (famille)
2. groupe de tâche (équipe de travail)
Entitativité faible ou moyenne
Attachement symbolique (partage un point commun)
Phénomène de dépersonnalisation (on se sent tous pareil sans se connaitre)
1. catégorie sociale (femmes)
2. ensemble sans lien (patients dans salle d’attente à l’urgence)
quest ce que l’insertion social
Inclusion d’un individu dans un réseau social.
L’individu demeure différent des autres membres du groupe.
gens sont différents (unicité) et pas intériorisation des normes
quest ce que l’intégration sociale
Incorporation d’un individu dans un réseau social.
L’individu conserve ses particularités, mais il accepte les normes et croyances du groupe de façon à constituer un tout.
les gens sont différents (unicité), mais intériorisation des normes
quest ce que l’assimilation sociale
Accentuation des ressemblances entre les individus appartenant au même réseau social.
L’individu ne se distingue pas des autres membres de son groupe (dépersonnalisation).
les gens sont semblables (dépersonnalisation) et se conforme de façon élevée
distinction visuelle entre insertion, intégration, assimilation
différence entre 4 concepts : identification, appartenance, cohésion et attraction sociale
- identification = Action de s’identifier à quelqu’un, à un groupe ou à quelque chose. (aspect cognitif)
- appartenance = Fait d’appartenir à un groupe, à un ensemble. (aspect cognitif et affectif)
- cohésion = Caractère d’un réseau dont les membres sont liés les uns aux autres et sont liés au groupe. (aspect affectif et conatif)
- attraction sociale = Fait d’être attiré par un groupe. (aspect conatif)
rappel identification et appartenance
rappel sur théorie de l’identité sociale et de l’auto-catégorisation
Théorie de l’identité sociale :
* L’individu aspire à une identité sociale positive et
distinctive.
* Ceci contribue au développement d’une bonne estime de soi.
Théorie de l’auto-catégorisation :
* L’individu se catégorise dans un groupe en fonction des ressemblances qu’il partage avec les autres.
* Ceci favorise la dépersonnalisation de l’individu.
* Ceci contribue au développement de son concept de soi.
Identification et appartenance
Étude de Badaoui, Lebrun et Bouchet (2015) : explique l’étude des ados et leur tenue vestimentaire
- quand les ados choisissent tenue vestimentaire, elle est influencée par l’identité sociale, pour qu’on voit bien que tu fais partie de ce groupe (que tu percois comme positif et distinctif)
- identité personnelle influence le type de produits/marques (me permet de me distinguer à l’intérieur de mon groupe)
conclusions de l’étude des ados : (2) en lien avec la théorie de l’identité sociale
- Dans le but d’obtenir une identité sociale positive,
l’adolescent va s’identifier à un groupe qu’il valorise. - Les groupes associés à des styles vestimentaires peuvent ainsi participer à la construction identitaire de l’adolescent dans la mesure où celui-ci consomme et expose des produits et des marques signifiantes et identifiables par les autres.
conclusions de l’étude des ados : (3) en lien avec la théorie de l’auto-catégorisation
- En adoptant un style vestimentaire reconnaissable, l’adolescent se voit des ressemblances avec le groupe, ce qui favorise la dépersonnalisation.
- Aussi, le désir d’appartenance favorise l’adoptionet le maintien du style vestimentaire.
- Par ailleurs, l’identité personnelle modère cette appartenance (ainsi que la dépersonnalisation) grâce au recours à un agencement de produits et de marques particuliers. Néanmoins, les choix personnels de produits et de marques demeurent dans les normes du groupe.
la cohésion est favorisée par quoi (3)
Elle est favorisée par le fait que tous les membres du groupe se perçoivent comme formant un tout.
Plus la cohésion est grande, plus les membres éprouvent un sentiment d’appartenance au groupe, plus ils s’identifient à lui, et plus ils en sont dépendants.
Plus l’interdépendance est forte, plus les points de vue dans le groupe tendent vers l’homogénéité, et plus sont sanctionnés les écarts et les déviations.
quest ce la cohésion favorise (5)
- la conformité au groupe,
- la recherche de consensus,
- la perception stéréotypique,
- la différenciation intergroupe,
- l’ethnocentrisme. (on utilise notre groupe comme point de référence pour juger d’autres groupes, souvent quand il pense que leur gorupe est meilleur)
la cohésion est influencée par la saillance du contexte, explique (4)
La cohésion entre les membres du groupe est révélée seulement lorsque le contexte est saillant. (dans une equipe sportive ++ perception cohésion en comper que si chacun chez soi)
Les individus peuvent être différents dans la vie de tous les jours. Mais quand ils se comparent dans un contexte précis, ils peuvent relever des ressemblances, ce qui favorise l’attraction, puis la cohésion.
Quand le contexte intergroupe change, la perception de l’endogroupe change aussi, ainsi que la perception de soi. (ex concours de musique vs travailler ensemble pour une cause commune)
De même, quand le contexte intragroupe change, la perception de l’endogroupe change aussi, ainsi que la perception de soi. (si je pars pendant 1 an en europe, puis je reviens, mon groupe d’amis a changé)
Attraction sociale
quelles sont les types d’attraction (3)
- attraction personnelle, (attiré par qqun, mais pas réciproque)
- attraction interpersonnelle, (des personnes attirées l’unes par l’autre)
- attraction sociale (attiré par un groupe).
quelle ssont les caract de l’attraction sociale (3)
Ces construits sont indépendants, mais ils peuvent se
produire en même temps dans un groupe.
L’attitude positive entre les membres du groupe produit l’attraction sociale.
L’attraction sociale favorise la cohésion.
Identification au groupe et attraction sociale
quest ce qui mène à l’attraction sociale (4)
- statut intergroupe objectif (ex : le classement de telle équipe) à une corrélation positive avec le
- statut intergroupe subjectif a corrélation positive avec n.3
- Perception du statut du groupe
- Perception de la stabilité de ce statut
les 2 en haut sont des processus de comparaison intergroupe - identification au groupe a corrélation positive avec n.4
Identification au groupe (je ressemble au groupe?)
Perception de la clarté des caractéristiques prototypiques du groupe
Prototypicalité personnelle (est ce je ressmeble au prototype du groupe) - attraction sociale dépersonnalisée
les 2 ci hauts sont des comparaison intragroupe
Identification au groupe et attraction sociale
quelles sont les autres observatipns (3)
Les gens qui font partie d’un groupe qu’ils considèrent comme ayant un statut élevé ont plus tendance à :
Penser que le statut du groupe est légitime parce qu’il est lié à des caractéristiques internes des membres.
Penser que les groupes sont faiblement perméables.
Affirmer qu’ils ne changeront pas de groupe.
quest ce que l’exclusion sociale
Le verbe « exclure » signifie de ne pas laisser entrer, ne pas admettre, chasser, tenir à l’écart.
L’exclusion représente une condition dans laquelle un individu se trouve coupé de son réseau social.
quest ce que la stigmatisation sociale
Le verbe « stigmatiser » désigne l’action de dévaloriser, de blâmer avec dureté et publiquement.
La stigmatisation implique un attribut qui jette un discrédit profond sur un individu l’amenant à ne pas être considéré comme ordinaire et sain, mais comme impur et vicié.
quelles sont les caracts de l’exclusion sociale (3)
- La notion d’exclusion suppose l’existence
de déterminants (causes) et de processus à la fois internes (je m’exclue pcq jai faible confiance en moi) et externes (on m’exclu). La personne vit sa situation en fonction de pressions objectives (on est deja 4) et subjectives (je vais m’exclure deja pcq jai peur qu’il m’exclu) - La vulnérabilité d’une personne peut la mener à l’exclusion; et l’exclusion de la personne peut mener à la vulnérabilité.
- L’exclusion peut-être vécue comme un traitement injuste.
Lutter contre l’exclusion
que faut-il voir chez la personne avant même d’intervenir
Dans la lutte contre l’exclusion sociale, il importe de voir comment les ressources externes (bon réseau, école) dont dispose la personne s’articulent avec ses ressources internes (bonnes capacités résilience).
donc on dit qu’on fait l’anamnèse (décrit l’histoire de la personne)
Lutter contre l’exclusion
Une intervention peut être réalisée à plusieurs niveaux… (4)
- Niveau individuel
- Niveau social primaire
- Niveau communautaire
- Niveau collectif
Lutter contre l’exclusion
quest ce que le niveau individuel (3)
changement auprès de la personne
1. Prendre en compte l’état biologique, psychologique et social de la personne.
2. Voir si la personne peut lutter efficacement contre l’exclusion dont elle est victime.
- intervention qui met à profit ses ressources internes (ex : bon en sport alors on t’intègre dans équipe sportive)
3. Voir quel est l’effet de l’aide qu’elle reçoit ou qu’elle peut recevoir. (comment la personne réagit, est ce que recevoir de l’aide est difficile ou facile pour elle)
Lutter contre l’exclusion
quest ce que le Niveau social primaire
- Importance des personnes significatives.
- Les réseaux primaires (famille et amis) constituent une source principale du soutien social.
- Le soutien social n’est considéré comme bénéfique que s’il répond aux besoins et aux attentes de la personne confrontée à une situation aversive particulière. (soutien social recu vs percu -» la personne est-elle satisfaite du soutien)
- Dans certains cas,le soutien social, au lieu d’être bénéfique, tend à provoquer une accentuation du stress et des réactions agressives. (les gens se préoccupent de toi, mais te critiques, ou te contrôle)
Lutter contre l’exclusion
quets ce que le Niveau communautaire
Les politiques publiques mises en place tentent de rapprocher les personnes exclues des droits « ordinaires » dont elles ont été éloignées
- la pauvreté
- difficile de s’inscrire à activités sociales pcq couteux
- pas moyen pour le transport
- éducation : moins scolarisé - personnes avec handicap
Lutter contre l’exclusion
quest ce que le Niveau collectif
SENSIBILISATION
Nous ne pouvons pas analyser l’exclusion sociale si nous ne prenons pas en compte simultanément la dynamique des attributions stigmatisantes
fondées sur le racisme, le sexisme,
la gérontophobie, l’homophobie, la xénophobie, etc.
Modèle écologique
illustre le modèle écologique en lien avec les niveaux d’intervention
ontosystème : niveau individuel
microsysteme et mesosysteme : niveau social primaire
microsysteme et exosysteme : niveau communautaire (les personnes qui decident trucs sont appliqués par personnes du microsysteme)
technosysteme et macrosysteme : niveau collectif (valeur et croyance véhiculé sur réseau vient de macro)
Modèle écologique
quest ce que les parties du Modèle écologique (7)
- Ontosystème : C’est l’individu : âge, sexe, bagage génétique, connaissances, capacités, déficits, attitudes, valeurs, personnalité, tempérament, intérêts, etc.
- Microsystème : C’est le système qui entretient une relation immédiate avec l’individu : famille, garderie, groupe d’amis, école, etc.
- Mésosystème : C’est le système qui est constitué de tous les microsystèmes. Il permet d’assurer une cohérence dans le contexte de vie de l’individu. (les liens entre les microsyst)
- Exosystème : C’est le système des forces extérieures ayant des répercussions sur le microsystème : règlements, programmes éducatifs, situation financière, etc. (des personnes qui prennent des décisions)
- Macrosystème : C’est le système des forces éloignées qui ont des influences subtiles et à long terme sur le microsystème : valeurs, culture, religion, idéologies politiques, etc. (pas des gens)
- Technosystème : C’est le système des nouvelles technologies utilisées par l’individu : téléphone, radio, télévision, ordinateur, internet, médias sociaux, etc.
- Chronosystème : C’est le système des transitions vécues par l’individu tout au long de sa vie et qui tient compte de l’époque et du contexte historiqu
Stigmatisation sociale
cette notion a été étudié dans quel cadre?
approche de la cognition sociale
Stigmatisation sociale
comment se manifeste la stigmatisation
La stigmatisation se manifeste par la discrimination d’une partie de la population par un groupe dominant.
quelles sont les 3 facettes de la stigmatisation
- les méconnaissances, (manque d’info et/ou fausses infos)
- les attitudes négatives,
- les comportements discriminatoires.
La stigmatisation peut se faire à différents niveaux (3)
- la population,
- les institutions,
- l’individu. (autostigmatisation)
Mécanisme de stigmatisation
explique le (5)
- étiqueter le groupe (cognitif) : neutre on distingue différences
- stéréotyper le groupe (cognitif) : attribuer défauts
- séparer le groupe (cognitif) : on veut pas être associer au groupe (eux nous)
- discriminer le groupe ou la personne (comportementale) : mettre à l’écart
- priver de pouvoir social le groupe ou la personne : perte de statut sociale qui cause étiquetage et ainsi de suite
Lutter contre la stigmatisation
La compréhension du mécanisme de stigmatisation permet de définir des cibles et des actions qui doivent nécessairement agir à plusieurs niveaux… (5)
4 premiers sont cognitifs et dernier est comportemental
Lutter contre l’étiquetage : on peut pas nier la différence, mais on peut le dire de manière respectueuse
Lutter contre les stéréotypes :
- sensibiliser les gens (donner info sur groupe)
- mettre accent sur aspect positif
Lutter contre la déshumanisation.
- accent sur le fait que c’est une personne et non la différence
- la prévalence (pls personnes qui ont la caract)
Promouvoir la catégorisation croisée ou multiple : eux et nous peuvent être un nous à un autre niveau, ressortir ressemblance plutot que diff)
Mettre en place des groupes de pression et insérer les personnes stigmatisées dans la communauté. (comportemental)
Réactions de la personne
comment les gens peuvent réagir à la stigmatisation (3)
- autostigmatisation : Certaines personnes stigmatisées vont acquiescer aux stéréotypes qui les stigmatisent
- identité stigmatisée dissimulée : Certaines personnes vont garder une partie de leur identité cachée aux autres, afin d’éviter les préjugés et la discrimination (qu’elle acquiesce ou non aux stéréotypes véhiculés par les autres).
- Certaines personnes vont rejeter la caractéristique stigmatisante. Il y a alors désaccord et déni.
quels sont les effets positifs et négatifs de l’autostigmatisation
- Effets négatifs possibles : faible estime de soi, faible confiance en soi, anxiété, dépression, problèmes de sommeil, insatisfaction dans la vie, difficulté à travailler ou à poursuivre des études, difficulté à faire face aux tracas quotidiens, etc.
- Certaines personnes sont, au contraire, énergisées par la révolte envers le préjudice subi et remplies par une colère justifiée.
Étude de Quinn et Chaudoir (2009)
Identité stigmatisée dissimulée, Description des variables (5)
- variables indépendantes individuelles
Stigma anticipé : Degré avec lequel la personne pense que les autres vont la stigmatiser si elle leur révèle la caractéristique de son identité qu’elle cache.
Centralité : Degré avec lequel la personne pense que cette caractéristique de son identité la définit.
Saillance : Degré avec lequel la personne pense à cette caracté- ristique de son identité. - variable indépendante sociale
Stigma culturel : Degré de dévaluation sociale de cette caractéristique. - variables dépendantes (qu’on mesure)
Détresse psychologique : Symptômes dépressifs et anxieux.
Santé physique : Symptômes et malaises physiques communs.
Identité stigmatisée dissimulée
Étude de Quinn et Chaudoir (2009), quels sont les résultats (5)
- les 3 variables individuelles (stigma anticipé, centralité et saillance) impact direct sur la détresse psycho
- saillance est marginalement significative avec détresse psycho
- détresse psycho + sympt physique
- stigma culturel + les gens stigmatisé ont sympt physiques
- stigma anticipé impact santé physique
Importance de la connexion à l’endogroupe
Étude de DuBois et al. (2024)
Cette étude menée auprès de personnes transgenres et non binaires indique que le sentiment de lien envers leur communauté pourrait diminuer les effets néfastes sur la santé de l’exposition chronique à la stigmatisation.
Communiquer qui nous sommes
explique comment (6)(1-2, 2-3)
pour communiquer clairement il faut
1. se connaitre
- introspection
- auto-observation
2. prendre la perspective de l’autre
- utiliser langage pour se faire comprendre
- contextualiser l’information
- l’autre n’a pas le mm vécu que toi
puis, je parle donc l’autre se fait une représentation de mon identité
- en rétroaction : indices qu’il a compris
- en réponse : reflete ce que tu as dit
et cela cause une représentation de mon identité par moi
Définir notre identité par nos interactions
À travers nos interactions avec nos amis, trois stratégies aident à définir notre propre identité :
Se voir à travers l’autre. -» ressemblances
Se distancier de l’autre.- » différences
Reconnaître sa position dans le réseau. -» rapports
exmeple se voir à travers l’autres(4)
Ceci exige :
* de s’engager dans l’interaction avec l’autre;
* de communiquer clairement ses idées;
* que l’autre soit attentif au message et aux divers signaux;
* que l’autre réponde au message et aux signaux.
exemple se distancier de l’autre (4)
L’individu peut prendre ses distances :
* en contrastant ses propos de ceux de l’autre; nuancer
* en adoptant une attitude différente de l’autre;
* en critiquant l’autre;
* en cessant sa relation avec l’autre.
exemple Reconnaître sa position dans le réseau
L’individu non seulement reconnaît sa place dans le réseau, mais il définit aussi son identité selon ses rôles dans le réseau, hors du réseau et par rapport aux autres membres du réseau.
cest quoi Réseaux sociaux numériques
Dans le contexte virtuel du Web, l’expression « réseaux sociaux » renvoie à l’usage social d’internet ainsi qu’aux services de réseautage social, qui peuvent se définir comme l’ensemble des moyens en ligne mis en œuvre pour relier des personnes physiques ou morales entre elles. Il recouvre plusieurs applications Web
connues sous le nom de « service de réseautage social en ligne », avec de multiples objectifs et vocations.
Réseaux sociaux numériques
Utilités des réseaux sociaux numériques relativement à l’identité (3)
Ils nous donnent accès à une variété de relations.
Ils nous offrent la possibilité de nous lier aux autres.
Ils nous permettent de présenter aux autres ce qui nous distingue et nous rend unique.
donc influence identité perso et sociale
def Identité numérique
Lien technologique entre une entité réelle et une entité virtuelle.
caract de l’identité numérique (2)
L’identité de l’individu, privée au départ, bascule vers le domaine public, ouvert à tous. Il n’y a plus de séparation vie privée/vie publique. Cela est surtout visible en utilisant les réseaux sociaux, mais pas uniquement.
L’identité numérique est multi- dimensionnelle, comme l’identité traditionnelle.
identité numérique est caractérisée par deux types d’informations distincts mais complémentaires :
- les informations parcellisées :elles sont attribuées par une autorité tierce (ex : l’adresse civile de la personne, son adresse IP, ses certificats numériques, ses comptes bancaires, son numéro de téléphone);
- les informations dites multiples: elles sont produites par l’individu lui-même (ex : ses pseudonymes, ses commentaires, ses blogs, ses photos, son CV).
Sur internet, nous pouvons nous créer une identité numérique plus ou moins distincte de notre identité réelle, en manipulant ce deuxième type d’informations.
Identité numérique
quels sont les types d’identités numériques (4)
Identité civile : elle caractérise ce que la personne est dans son être reflétant sa vie réelle.
- paul, homme, 38ans
Identité agissante : elle caractérise ce que fait la personne sur Internet reflétant sa vie réelle.
- paul communique avec ses amis sur insta
Identité virtuelle : elle caractérise ce que fait la personne sur Internet à travers une vie projective virtuelle; c’est ce que l’on projette de nous.
- paul joue a mario bros
Identité narrative : elle caractérise ce que la personne est dans son être à travers une vie projective virtuelle, c’est ce que l’on veut être
- paul a un surnom : flash
À partir de ces quatre types d’identité, il y a deux manières d’apparaître sur internet…
L’extériorisation de soi.
La simulation de soi.
L’individu peut adopter chacune de ces deux manières selon le réseau social ou la plateforme qu’il utilise. Il existe alors différentes formes de visibilités sur internet.
comemnt se fait la construction de notre identité (rappels) (2)
- la construction de l’identité se fait en grande partie à travers nos interactions avec les autres;
- la construction de l’identité est un processus continu.
comemnt se fait la construction de l’identité dans les réseaux sociaux
Dans le contexte des médias sociaux, la construction de notre identité se fait à travers nos communications.
Les réseaux sociaux numériques ont deux particularités comparativement
aux autres méthodes de communication :
* leur temporalité, (info qui reste là ou non)
* leur espace. (avoir accès à la personne en tout temps)
Présentation de soi sur internet
Quatre stratégies nous permettent de nous faire connaître des autres…
L’autodescription ; en mot quand on dit ce que je suis (écrites ou verbales)
Les déclarations sociales ; donner notre opinion sur qqch (pas en disant je) (cette semiane jsuis aller 5 fois au cinema)
Les comportements non verbaux : images, expressions faciales, gestes qui ont du sens (pouce en l’air), emoji
Les associations sociales : mettre infos sur les groupes qu’on fait parti (photo avec 2 meilleurs amis, avec vedettes sportives) -» voici des gens avec qui je m’associe
ca ce peut qu’une photo est plusieurs statégies
Sommes-nous la même personne sur les réseaux sociaux et dans la réalité ?
Dans la vie réelle, nous ne pouvons pas toujours contrôler les signaux que nous envoyons aux autres. En revanche, sur les réseaux sociaux numériques, nous avons la plupart du temps la main mise sur notre image et nos actions.
Toutefois, pour y parvenir il faut que la personne s’arrange pour que les autres croient à l’image projetée.
Pourquoi se construire une identité numérique qui diffère de notre identité réelle? (3)
- Pouvoir s’exprimer librement
- Échapper à la déception de ne pas atteindre le Soi idéal
- Obtenir la reconnaissance des autres
pk se construire une identité num qui diffère de notre identité reélle
explique la raison de : pouvoir s’exprimer librement (3)
Le Moi (identité sociale, normes sociales) se construit par un processus de socialisation qui le fonde (ce qui est acceptable socialement) et le limite (ce qui est inacceptable socialement).
Autrui généralisé (tous les rôles qu’on connait) : consiste en l’intériorisation des connaissances à propos des différents rôles joués par chacun dans une interaction sociale.
Lors de la construction de son Moi, la personne peut choisir les rôles qu’elle va jouer que parmi le « stock de rôles » que son groupe d’appartenance socioculturel lui propose.
Or, le réseau social numérique permet à la personne de s’exprimer plus librement et de montrer ce qu’elle veut, sans subir le jugement direct d’autrui. (avoir des rôles qu’on a pas dans la vie réelle)
pk se construire une identité num qui diffère de notre identité reélle
explique la raison : Échapper à la déception de ne pas atteindre le Soi idéal (2)
La construction d’une identité numérique vise alors à combler le vide qu’expérimente la personne entre son Soi idéal et son Soi perçu.
Du même coup, au lieu de se référer aux autres, la personne cherche son identité en elle-même.
pk se construire une identité num qui diffère de notre identité reélle
explique la raison : Obtenir la reconnaissance des autres
Cette reconnaissance est basée sur la proposition d’une
« personne idéale ».
Aspects négatifs
Effets indésirables pour l’identité (5)
Poursuite constante du Soi idéal : enfermement virtuel.
insatisfaction du soi réel, donc s’enferme dans vie virtuelle, concentré sur le je, mais déséquilibre entre identité perso et sociale
Fusion avec le réseau : enfermement réticulaire.
elle ne trouve pas de groupe dans le réel, mais sur internet oui, donc le moi prend le dessus (réseau social)
Diminution de l’estime de soi : par comparaison ascendante
Développement d’une perception égocentrique : qqun qui poste bcp se regarde bcp, donc impression qu’elle a bcp d’importance (saillance)
Constante attente de l’évaluation positive par les autres et peur d’être ignoré.
Aspects négatifs
Autres effets indésirables possibles (7)
Limite au développement d’habiletés sociales.
Cyberdépendance.
Symptômes dépressifs (« dépression Facebook »). (quand on se compare aux autres)
Maintien de « traces » sur Internet.
Violation de l’intimité.
Cyberintimidation, arnaques, cyberpédophilie, etc. Vol d’identité.
Aspects positifs
En contrepartie, les réseaux sociaux numériques offrent plusieurs avantages pour le développement de l’identité. (6)
Interagir avec les autres.
Créer des liens avec les autres.
S’exprimer sans les contraintes imposées par la société.
Se comparer aux autres. (point de comparaison pertinent)
Prendre position relativement aux autres.
Prendre conscience de nos goûts, intérêts, passions, opinions, etc.
tous ça mène à la Clarification de notre identité.