cours 3 Flashcards

1
Q

quels sont les 4 facteurs identitaires

A
  1. corporel : Ce que je perçois de mon corps. Ce qu’autrui perçoit de mon corps.
  2. cognitif : Ce que je pense de moi.
    Ce qu’autrui pense de moi.
  3. affectif : Ce que je ressens à propos de moi. Ce qu’autrui ressent à propos de moi.
  4. conatif : Ce qui m’anime.
    Ce qu’autrui attend de moi.

= identité = tout ce qui me caractérise

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2
Q

que regroupe les facteurs identitaires

A

tout!!
théoriquement impossible que 2 personnes aient la mm identité

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3
Q

quelle est l’interaction entre les facteurs identitaires (2)

A
  1. facteurs s’influencent (aimer la psycho, fait en sorte que tu deviens etudiant en psycho)
  2. facteurs peuvent entrer en conflit (jouer de la guitare, mais difficulté motricité fine)
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4
Q

comment se fait-il que dans une situation on remarque + une facette des facteurs identitaires

A

depend de la saillance, on est une seule personne et on a pls facettes (facteurs identitaires), mais la saillance de ceux-ci dépendent de la situation

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5
Q

quels sont les postulats des facteurs identitaires (5)

A
  1. Notre identité résulte d’une construction progressive dont les fondations se situent dans nos toutes premières années de vie.
  2. Même si je ne me comporte pas toujours de la même façon, je suis toujours la même personne.
  3. De même, nous attendons de chacun qu’il manifeste une certaine cohérence et une certaine constance dans son être, ses attitudes et ses comportements. Une
    trop grande variabilité nous rend méfiants
    et peut être perçue comme pathologique.
  4. L’identité se modifie tout au long de l’existence. Elle résulte de divers remaniements et de tentatives d’intégration (plus ou moins réussies).
  5. Certaines périodes de la vie sont plus propices à des changements
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6
Q

quelles sont les 4 types de structures des représentations identitaires

A
  1. intersection
  2. dominance
  3. compartimentalisation
  4. fusion
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7
Q

explique l’intersection en terme de
1. perception de soi
2. perception de l’endogroupe
3. incohérence
4. complexité

A
  1. perception de soi : considère tous les facteurs à la fois (je suis ado qui joue du violon)
  2. perception de l’endogroupe : endogroupe doit posséder les mêmes caract qu’elle (d’autres ados qui jouent du violon)
  3. incohérence : différenciation cognitive (je vais ignorer une partie)
  4. complexité : + simple, car ignore l’incohérence et sépare les infos au lieu de intégrer pour résoudre l’incohérence.
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8
Q

explique la dominance en terme de
1. perception de soi
2. perception de l’endogroupe
3. incohérence
4. complexité

A
  1. perception de soi : création d’une hiérarchie dans ses caract : 1 qui représente + que les autres (je suis avant tout une ado puis violoniste)
  2. perception de l’endogroupe : possède la mm caract. principale peut importe caract secondaire. (les ados en général, peut importe si violoniste ou non)
  3. incohérence : renforcement = + d’emphase sur une caract. que sur une autre
  4. complexité : ignore l’incohérence, et sépare les infos au lieu de les intégrer, mais quand mm plus complexe que intersection pcq ++ de facteurs pour se décrire (vu que cest juste 1 qui prend plus dimportance et non la complète ignorance comme dans intersection)
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9
Q

explique la compartimentalisation en terme de
1. perception de soi
2. perception de l’endogroupe
3. incohérence
4. complexité

A
  1. perception de soi : se perçoit différement selon le contexte
  2. perception de l’endogroupe : personne dans son groupe selon le contexte, si avec orchestre -» violonistes, si avec amis -» adolescents
  3. incohérence : isolement cognitif selon le contexte. A ou B (avec enfant juste papa vs au travail, juste travailleur)
  4. complexité : considère l’inconhérence, mais sépare les infos pour résoudre l’incohérence
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10
Q

explique la fusion en terme de
1. perception de soi
2. perception de l’endogroupe
3. incohérence
4. complexité

A
  1. perception de soi : considère tjrs toutes ses caract (comme intersection)
  2. perception de l’endogroupe : différent que intersection, pcq endogroupe + large. = toutes personnes qui ont au moins 1 des caract -» inclut bcp de gens
  3. incohérence : transcendance, ajouter A (papa) et B(employé) et C(je suis capable de me concentrer à ce que je fais) ex : quand avec enfant : je suis employé et papa mais je suis capable de me concentrer sur enfant)
  4. complexité : considère l’incohérence et combine les infos pour résoudre l’incohérence (++ complexe)
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11
Q

quel est le niveau du plus simple au plus complexe dans les structures des représentations identitaires (4)

A

++ simple
1. intersection
2. dominance
3. compartimentalisation
4. fusion
++ complexe

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12
Q

comment on définit la complexité (2)

A

selon la différenciation (le niveau de reconnaissance de l’incohérence) et l’intégration (le niveau de résolution de l’incohérence)

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13
Q

quel type de structures de représentations identitaires est moins portés à faire des préjugés

A

ceux qui font de la fusion : car endogroupe très grand

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14
Q

quels sont les 3 processus qui contribuent à la construction de l’identité

A
  1. processus sociocentrés : traitement des informations relatives aux groupes sociaux
  2. processus égocentrés : traitement des informations relatives aux individus
  3. processus relationnels et dynamiques : traitement de l’interaction entre l’Individu et le contexte
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15
Q

que contient les processus sociocentrés (2)

A
  1. catégorisation sociale
  2. auto-catégorisation
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16
Q

quest ce que la def de la catégorisation

A

Activité mentale qui consiste à organiser des éléments (personnes) dans un ensemble en fonction de critères communs.

17
Q

nomme moi les 2 étapes du processus de catégorisation

A
  1. Élaboration des catégories
  2. Utilisation des catégories
18
Q

Élaboration des catégories

dans la 1ere étape du processus de catégorisation, quels sont les 3 type de catégorisations

A
  1. catégorisation basée sur le sujet : la personne décide des critères précis sur lesquels elle se base pour sa catégorisation (si qqun d’autre utilise les critères, on arrive au même résultat)
    ex : 2 catégories : les joueurs de basket petit (180cm et moins) et les grands joueurs (180cm et plus)
  2. catégorisation basée sur l’objet ; critères imposés par la catégorie elle-même
    ex : catégorie selon les gens qui habite selon les quartiers
  3. catégorisation basée sur l’interaction entre le sujet et l’objet : critères vagues et subjectifs (critères tlm varibles que si qqun d’autre utilise les critères, résultat différent)
    ex : séparer les bons politiciens des mauvais
19
Q

Utilisation des catégories

dans la 2eme étape du processus de catégorisation, quels sont les 2 types d’utilisations

A
  1. induction : quand on essaie de classer une personne dans un groupe -» me permet de catégoriser la personne
  2. déduction : permet de décrire la personne X en sachant que X fait partie de ce groupe-là, je me réfère à la catégorie pour décrire qqun
20
Q

catégorisation sociale

quest ce qu’un stéréotype (3)

A

stéréotype : Structure mentale qui inclut l’ensemble des informations communes à tous les membres d’une catégorie sociale.
1. depend de l’expérience, donc pas tous les mm stéréotypes,
2. peut etre autant info positive que negative,
3. peut avoir info exacte mais peut avoir erreurs aussi)

21
Q

catégorisation sociale

quest ce qu’un prototype

A

Prototype : Représentation mentale générale et abstraite d’un membre d’une catégorie.

22
Q

Catégorisation sociale

quest ce qu’un exemple

A

Exemple : Représentation mentale précise d’un membre en particulier faisant partie de la catégorie.

23
Q

différence entre catégorie et stéréotype

A

les catégorie contiennent des personnes vs les stéréotypes contiennent des infos qui décrivent les personnes

24
Q

Catégorisation sociale

Lors de la catégorisation sociale, les gens ont tendance à être soumis aux phénomènes d’assimilation et de différenciation. explique ces phénomènes

A
  1. Assimilation : Accentuation des ressemblances entre les individus appartenant au même groupe.
  2. Différenciation : Accentuation des différences entre les individus apparte- nant à des groupes distincts.

La combinaison de ces deux phénomènes amène les gens à percevoir à tort que les membres de
l’exogroupe sont très différents de
ceux de l’endogroupe, pcq on se dit on est pareil endogroupe et on point out les diff avec l’exogroupe (au lieu de s’intéresser au ressemblance avec l’exogroupe ce qui diminuerait les préjugés)

25
Q

processus sociocentrés

dans l’auto-catégorisation, Le processus de catégorisation appliqué à soi peut se dérouler à trois niveaux

A
  1. Niveau supra ordonné : l’individu se catégorise comme être humain; il réalise des comparaisons entre l’espèce humaine et d’autres espèces.
  2. Niveau intermédiaire (se situe au niveau de l’identité sociale) : l’individu se catégorise comme membre d’un groupe; il réalise des comparaisons intergroupes.
  3. Niveau subordonné (identité personnelle) : l’individu se catégorise comme une personne singulière; il réalise des comparaisons interpersonnelles (je me compare à d’autres personne dans mon endogroupe ou exogroupe) et des comparaisons intragroupes (comparaison aux autres personnes dans mon endogroupe)
26
Q

processus sociocentrés

dans l’auto-catégorisation, quest ce que la dépersonnalisation et l’unicité

A
  1. Dépersonnalisation (niveau intermédiaire - identité sociale): Perception de l’individu comme étant un exemplaire d’une catégorie sociale; qui possède les traits stéréotypiques qui définissent son endogroupe.
  2. Unicité (niveau subordonné - identité personnelle) Perception de l’individu comme étant un être unique; qui possède un ensemble de caractéristiques qui lui est propre et qui n’est partagé par personne d’autre.
27
Q

processus sociocentrés

dans l’auto-catégorisation, quest ce que la catégorisation croisée vs catégorisation multiple et l’avantage des 2

A
  1. Catégorisation croisée : Processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à deux catégories sociales.
  2. Catégorisation multiple : Processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à plus de deux catégories sociales.

avantage : réduit les risques de préjugés

28
Q

Processus égocentrés

dans les Processus égocentrés, quest ce que la comparaison sociale

A

Comparaison sociale : En l’absence de normes objectives définies, nous déterminons et évaluons nos habiletés et nos caractéristiques personnelles en nous comparant aux autres. (on se compare à des gens avec un point de comparaison pertinent (débutant piano à d’autres débutants piano)

29
Q

dans la comparaison sociale, quest ce que la comparaison ascendante vs descendante

A
  1. Comparaison ascendante : Se comparer à des personnes que nous jugeons supérieures à soi.
    - quand on a un objectif, source de motivation qui nous pousse à faire mieux, mais + de risque pour estime de soi si on atteint pas le but)
  2. Comparaison descendante : Se comparer à des personnes que nous jugeons inférieures à soi.
    - moins porter à faire des efforts, mais aide à maintenir une bonne estime de soi (au moins je suis meilleur que lui)
30
Q

la théorie des processus de comparaison sociale

quest ce que cette théorie postule

A

accent sur la similitude
La Théorie des processus de comparaison sociale postule que « qui se ressemble s’assemble ». Et si la ressemblance est faible dans un premier temps, elle doit s’accentuer au cours du temps.

31
Q

la théorie des processus de comparaison sociale

Trois propositions principales de la Théorie des processus de comparaison sociale :

A
  1. Il existe chez tout individu une tendance à évaluer ses opinions et aptitudes personnelles.
  2. Façons d’évaluer nos opinions et aptitudes :
    - Par des moyens objectifs non sociaux.(ex : exposé oral, suis-je bon, je m’enregistre, je vois les erreurs que je fait dans mon texte)
    Sinon…
    - En les comparant avec les opinions et aptitudes des autres.
    Sinon… la personne éprouve de la difficulté à se définir
  3. À l’intérieur d’un champ de comparaison donné, nous choisissons de préférence comme terme de comparaison ceux dont l’opinion ou l’aptitude est plus proche de notre opinion ou aptitude.
    La tendance à se comparer à autrui décroît à mesure qu’augmente la différence entre soi et cet autre.
    Si le seul terme de comparaison possible est très éloigné, l’évaluation manquera de précision subjective (le jugement qu’on va porter sur nous-mêmes aura moins de valeurs)
32
Q

la théorie des processus de comparaison sociale

en lien avec le point de comparaison pertinent, que ce passe-t-il s’il y a trop de divergence intragroupe (3)

A

pression à l’uniformité
1. on change nous-même pour devenir comme les autres
2. changer les autres pour qu’ils me ressemblent
3. on reste comme ça, mais on trouve un point commun (on est toutes des lettres de l’alphabet)

on va faire un des 3 pour retrouver l’uniformité

33
Q

* la théorie des processus de comparaison sociale

en ce qui concerne les aptitudes, comment est la pression à l’uniformité

A

Pour les aptitudes, la pression à l’uniformité ne débouche pas sur un état d’équilibre car il existe un mouvement unidirectionnel vers le haut, une tendance à vouloir toujours faire mieux (qui n’existe pas pour les opinions). Nous n’arrivons donc jamais à un état de repos social.

34
Q

* la théorie des processus de comparaison sociale

Les pressions à l’uniformité dans un groupe dépendent de (2)

A
  • l’importance du groupe pour l’individu; si pas important ciao bye
  • la pertinence de l’opinion ou de l’aptitude pour le groupe ; si le sujet n’est pas important pour le groupe ex : gorupe de musique, on s’en fout si un aime le latte vs le decaf
35
Q
A