cours 5 = principales théories de l'identité Flashcards
nomme les 5 théories principales de l’identité
Théorie des conflits réels
Théorie de l’identité sociale
Théorie de l’auto-catégorisation
Théorie de l’équité
Théorie de la privation relative
Théorie des conflits réels
qui a créé la Théorie
des conflits réels
Muzafer Sherif
Théorie des conflits réels
essentiellement qu’est ce que la théorie des conflits réels (+ 3 principes de base)
une théorie économique des comportements intergroupes reposant sur 3 principes de bases :
1. Les gens sont égoïstes, en ce sens qu’ils vont tenter de maximiser leurs propres gains (plus de ressources + survie)
2. Un conflit intergroupe est le résultat d’intérêts incompatibles entre les groupes.
l’incompatibilité s’explique par
- le fait qu’on veut pas la mm chose
- des ressources limités (les 2 groupes n’auront pas tous accès à la mm chose) (surtout ca que sherif étudie)
3. Les aspects sociopsychologiques des comportements intergroupes ne sont pas la compatibilité ou l’incompatibilité des intérêts, mais ils sont plutôt déterminés par eux.
- sociopsychologiques = perception négative qu’on a par rapport à l’exogroupe
- les aspect sociopsychologiques ne sont PAS ce qui cause les conflits, c’est plutôt l’incompatibilité entre les groupes qui mène à une perception négative de l’exogroupe
Théorie des conflits réels
explique l’Expérience de la Caverne des voleurs (3 étapes)
(contexte moniteur groupes d’enfants)
1. moniteurs donnent tâches fonctionnelles requérant une coopéra- tion entre les membres -» mène à la formation des groupes -» développement d’une culture de groupe
2. Introduction d’une compétition intergroupe pour l’obtention de ressources limitées (amene incompatibilité aux ressources limitées) -» mène à conflit intergroupe -» Émergence de perceptions biaisées (favoritisme endogroupe) et de comportements agressifs envers l’autre groupe
3. Introduction de buts supérieurs (buts qui nécessitent la collaboration de tout le monde(ex : pas eau potable) -» Coopération intergroupe -» Établissement d’une harmonie entre les groupes
Théorie des conflits réels
Expérience de la Caverne des voleurs : quelles sont les Observations de Sherif (lors de la phase de compétition (2)et lors de la phase de coopération(3))
Lors de la phase de compétition :
- Les enfants ont tendance à référer aux notions de justice.
ex : favoritisme endogroupe : lorsque endo gagne, oui c’est juste, lorsque exo gagne, ils ont triché
- Les enfants ont tendance à avoir un biais pro-endogroupe.
ex : notre groupe est meilleur (pile de jetons par terre lequel en a le plus sans compter, tjrs leur endo, mm si mm nombre de jetons chacun)
Lors de la phase de coopération :
- Pour qu’il y ait des résultats positifs, il faut que les résultats de la coopération représentent un succès.
-» si ils arrivent pas à résourdre but supérieurs, cest la faute de l’exogroupe
- Un seul but supérieur n’est pas suffisant pour réduire l’hostilité. (faut en avoir plusieurs)
- La coopération n’élimine pas totalement les problèmes relationnels entre les deux groupes.
Applications pratiques Théorie des conflits réels
Exemple 1 : étude de Aronson (1984), explique le but de cette étude
introduire les buts supérieurs dans une salle de classe pour remplacer l’atmosphère de compétition entre les élèves par une attitude coopérative (de manière générale et entre les enfants de divers groupes raciaux).
élèves placés en groupe de 3 (3 ethnie diff), chacun a une partie de la reponse, doivent collaborer pour trouver la réponse
Applications pratiques Théorie des conflits réels
Exemple 1 : étude de Aronson (1984), quels sont les résultats (4)
- relations + positives entre les enfants de diffs ethnies
- attitude + positive envers l’école
- estime de soi + élevée chez enfants
- meilleurs résultats scolaires
Applications pratiques Théorie des conflits réels
Exemple 2 : études de Brief et al. (2005), explique le but
examiner les effets de la diversité dans les entreprises et les communautés sur des employés actuels et éventuels faisant partie d’un groupe avantagé.
Applications pratiques Théorie des conflits réels
Exemple 2 : études de Brief et al. (2005), quels sont les résultats pour l’étude 1 par rapport au niveau de diversité dans le milieu de travail et la qualité des relations au milieu de travail
- plus de diversité, moins de qualité relation au travail
- moins de diversité, + qualité relation au travail
MAIS expliqué par une variable modératrice : le niveau de proximité (avec la diversité) dans la communauté (voisin,etc)
- si + proximité = moins qualité relation travail
- si - proximité = + qualité relation travail
donc corrélation négative entre les variables
Applications pratiques Théorie des conflits réels
Exemple 2 : études de Brief et al. (2005), quels sont les résultats pour l’étude 2 par rapport au niveau de diversité dans le milieu de travail et l’attrait à aller travailler dans ce milieu
aussi corrélation négative
1. + diversité ethnique = moins d’attrait d’aller travailler
2. - diversité ethnique = + d’attrait d’aller travailler
cela expliqué par 2 variables modératrices :
- perception de conflits ethniques
- pourcentage dans la communauté
conclu : perception de conflit avec un groupe augmente les attitudes négatives envers ce groupe
Conclusion thérie des conflits réels
quelle est la conclu (3)
- L’image que nous avons des autres groupes et nos attitudes à l’égard de ces groupes sont les produits des relations entre groupes et non leur cause.
- Si deux groupes sont dans un rapport d’interdépendance négative, les représentations mutuelles sont défavorables.
Si deux groupes sont dans un rapport d’interdépendance positive, les représentations mutuelles sont positives. - S’il est bien vrai que c’est dans l’interaction que naissent les préjugés, ceux-ci, à leur tour, conditionnent un certain type d’interactions.
donc cest vrm incompatibilité -» perception négative -» incompatibilité (et ca continue)
Théorie de l’identité sociale
qui a créé cette théorie
Henri Tajfel
Théorie de l’identité sociale
comment Tajfel arrive à créé cette théorie (à partir de sherif- théorie des conflits réels)
D’après la Théorie des conflits réels de Sherif, la répartition inégale de ressources rares (telles que le pouvoir ou la richesse) entre les groupes entraîne une forte rivalité entre le groupe privilégié et le groupe subordonné.
En outre, Sherif ignore dans sa théorie la possibilité d’effets de l’affiliation au groupe sur les comportements. Selon la Théorie des conflits réels, c’est la compétition qui, en créant le conflit, engendre la discrimination afin de favoriser son propre groupe
MAIS Quelles sont les conditions minimales requises pour qu’une personne fasse une différenciation endogroupe-exogroupe?
Paradigme des groupes minimaux - Théorie
de l’identité sociale
quels sont les critères à respecter dans l’utilisation de la méthode (6)
Il n’y a pas d’interaction entre les participants.
Le groupe d’appartenance de chacun demeure anonyme.
Le critère utilisé pour catégoriser les personnes n’est pas lié à la récompense qui leur sera donnée.
La récompense n’a pas de valeur instrumentale pour le participant qui la donne.
Le participant doit avoir à la fois la possibilité d’allouer la récompense de manière juste ou discriminatoire.
La récompense doit avoir une signification positive pour le participant.
Théorie de l’identité sociale - Expérience Kandinsky / Klee
explique l’expérience de Kandinsky / Klee partie 1 (4étapes)
- L’expérimentateur montrait aux participants une série de deux peintures abstraites : une de Kandinsky et une de Klee.
- Pour chaque paire, les participants devaient écrire sur une feuille, individuellement, laquelle des deux ils préféraient.
- Lorsque toutes les peintures ont été montrées, l’expérimen- tateur ramassait les feuilles et faisait semblant d’analyser les réponses.
- Ensuite, il annonçait à chaque participant, en murmurant à son oreille, qu’il faisait partie du « groupe des Klee ». Les participants devaient garder le secret. (*tous les participants étaient dans le groupe de Klee, mais ils le savait pas)
Théorie de l’identité sociale - Expérience Kandinsky / Klee
explique l’expérience de Kandinsky / Klee partie 2 (2étapes)
- L’expérimentateur distribuait à chaque participant un carnet contenant des matrices de points.
- Les participants devaient distribuer les points aux membres de l’endogroupe et à ceux de l’exogroupe en choisissant sur chaque matrice une colonne qui représente deux montants : un pour l’endogroupe, l’autre pour l’exogroupe.
Théorie de l’identité sociale - Expérience Kandinsky / Klee
explique les 2 matrices
matrice 1 : à gauche = altruisme (donne ++ à l’exo que l’endo), milieu = équité (donne autant exo que endo), droite = favoritisme endogroupe (donne + endo que exo)
matrice 2 : maximiser la différence entre groupes ou le gain commun
à gauche : maximiser la diff entre endo et exo (7 endo vs 1 exo)
à droite : gain commun (en avoir + de jetons endo, mm si inférieur que exo)
quest ce qui est le + important etre supérieur (7/1) ou avoir + de ressources quant à etre inférieur(19/25)
Théorie de l’identité sociale - Expérience Kandinsky / Klee
quels sont les résultats (2)
résultat :
1. Les participants favorisent leur propre groupe dans la distribution des récompenses, sur la seule base de la catégorisation en groupes Kandinsky / Klee.
- MAIS rare d’aller à 14/1, pcq mm s’ils veulent favoriser l’endo, ils veulent pas avoir l’air trop méchant = favoritisme léger
2. Les participants optent rarement pour la solution d’un profit commun maximal pour les deux groupes. Ils essaient plutôt d’obtenir des profits maximaux pour leur propre groupe, sans avantager l’exogroupe.
- je veux rester sup, mais c’est le + que je peux obtenir tout en restant sup (12/11)
ATTENTION, parfois on avantage exogroupe par désir de plaire (vid 1/3 des enfants favorise exo vs 2/3 favorise endo)
Théorie de l’identité sociale - Expérience Kandinsky / Klee
quelle est la conclu
Une simple catégorisation arbitraire « eux-nous », sans vrai enjeux, sans relation antérieure, suffit à déclencher des comportements visant à favoriser l’endogroupe.
quels sont les principes de base de la théorie de l’identité sociale (4)
- L’individu tente d’accéder à, ou de maintenir, une identité sociale positive.
- Cette tendance est plus forte quand l’individu vit une menace à son identité personnelle.
- L’identité sociale positive est basée, pour une large part, sur les comparaisons favorables qui peuvent être faites entre le groupe d’appartenance et d’autres groupes pertinents. L’endogroupe doit être perçu comme positif et différent par rapport aux autres groupes.
- Lorsque l’identité sociale est insatisfaisante, l’individu tente soit d’améliorer l’image de son endogroupe ou d’améliorer son image personnelle.
que ce passe-t-il s’il y a menace à l’dentité personnelle
on va se référer encore plus à l’endogroupe
Représentation schématique de la Théorie de l’identité sociale
après la que les groupes soient formés (paradigme des groupes minimaux), que ce passe-til
- besoin detre dans groupe positif et qui se demarque
- pour savoir on se compare
- soit on realise que on a une identité sociale satisfaisante (endo est positif et distinctif) ou non satisfaisante
Représentation schématique de la Théorie de l’identité sociale
si on realise que notre identité sociale nest pas satisfaisante, mais qu’on ne change pas, on fait quoi?
ils vont faire du favoritisme exogroupe
- leur manifestation de l’insatisfaction cest on admet sans changer
Représentation schématique de la Théorie de l’identité sociale
si on realise que identité sociale non satisfaisante et qu’on veut changer, explique ce qu’il peut se passer
soit on va changer la perception de l’endogroupe (image peut changer ET l’image du groupe n’est pas exacte) soit on va changer la perception de nous-mêmes (image peut pas changer ET/OU l’image est exacte)
- changer la perception de l’endogroupe (image peut changer ET l’image du groupe n’est pas exacte)
- assimilation : on intériorise les normes de l’exogroupe et on devient un seul groupe
- redéfinitions des caractéristiques : prend les caract percu comme negative et on les rend positives (1960, black is beautiful)
- créativité sociale : le negatif reste, mais on ressort les caract positives
- compétition sociale ; les 2 groupes entrent en compétition (favoritisme endo arrive ici) - changer la perception de nous-mêmes (image peut pas changer ET/OU l’image est exacte)
- mobilité sociale : l’individu va changer de groupe (se rallie à l’exo)
- comparaiso intragroupe : je me compare avec les autres personnes de mon endogroupe et je suis mieux qu’eux
Applications pratiques- théorie de l’identité sociale
exemple 1 : étude de Clark et Clark (1947). explique cette étude
But : mesurer l’impact que le racisme (très présent à l’époque) avait sur l’image que des enfants noirs avaient d’eux-mêmes.
métho : 2 poupées blanche et noire avec questions qu’on pose aux enfants (qualités et défaut)
résultats : les enfants identifient très bien la couleur de la peau
- attribut qualités poupée blanche
- attribut défaut poupé noire
= favoritisme exogroupe (les enfants s’identifient à leur groupe, mais ont intériorisés les mauvaise dites sur eux et favorisent l’autre gorupe)
Applications pratiques
Exemple 2 : étude de Chédotel (2004), explique le but
But : comprendre dans quelle mesure différentes configurations d’identification organisationnelle peuvent influencer la coopération dans des équipes de travail.
Exemple 2 : étude de Chédotel (2004), explique les 2 groupes
2 catégories d’employés :
1. par modules : homogènes (font la même choses) , tâches simples, faible autonomie (aucun pouvoir de décision)
2. insertion automatique : hétérogènes (spécialisation), tâches complexes, grande autonomie
Applications pratiques
Exemple 2 : étude de Chédotel (2004), explique le niveau d’identification
équipe module :
- faible identification = dis-identification (pas d’identification)
- forte identification = identification forte (identification à l’équipe)
équipe insertation automatique ;
- faible identification = dé-identification (identification aux gens du mm métiers mais pas à l’équipe)
- identification forte = identification duable (identification aux gens du mm métiers ET à l’équipe)
Applications pratiques
Exemple 2 : étude de Chédotel (2004), quels sont les résultats (2) et nuances (2)
résultats :
1. si pas identification :coopération contrainte
2. si identification forte = potentiel de coopération (s’il y a une raison de le faire)
nuances
1. si incertitudes ++ coopération (peut importe le groupe)
2. conflits relationnels et processus importants sont associés à moins identification et coopération
Applications pratiques
Exemple 3 : les stratégies des immigrés
quelle stratégie est utilisé : La majorité des immigrés fuit la contradiction en adoptant les normes de la culture d’accueil.
mobilité sociale si 1 personne ou assimilation si le groupe complet
Applications pratiques
Exemple 3 : les stratégies des immigrés, quelle stratégie est utilisée
Certains immigrés tentent plutôt de synthétiser les éléments culturels d’origine et la modernité du pays d’accueil. Par exemple, les intellectuels maghrébins ou arabes exilés ne manquent jamais, à juste titre d’ailleurs, de rappeler l’apport central de la civilisation islamique médiévale au développement de l’Occident. Ils soulignent aussi la capacité de développement des sociétés non occidentales dans les dernières décennies, développement qui serait réalisé sans lien direct avec les valeurs culturelles de l’Occident judéo- chrétien et démocratique.
créativité sociale (emphase sur positif)
Applications pratiques
Exemple 3 : les stratégies des immigrés, que ce passe-t-il ici
Certains immigrés vivent plutôt une totale séparation entre leurs valeurs traditionnelles de leur culture d’origine et la vie quotidienne au sein de la culture d’accueil.
pas de changement pcq ressent pas de menaces et donc continuent de vivire selon leurs valeurs
Conclusion identité sociale
à quelles questions la théorie aide à répondre (5)
- Pourquoi désirons-nous faire partie de groupes qui ont du succès : +++ estime de soi
- Pourquoi désirons-nous faire partie de groupes qui se distinguent des autres? se sentir unique
- Comment l’appartenance à un groupe contribue au développement de notre identité sociale? se comparer puis aide à se connaitre nous-même
- Pourquoi faisons-nous du favoritisme endogroupe? ++ estime de soi
- Comment l’identité sociale et l’appartenance à un groupe affectent les relations intergroupes et le développement de préjugés? on va percevoir autre groupe comme moins bon, pcq on veut que notre groupe soit le meileur
Théorie de l’auto-catégorisation
après tajfel, john turner prend le relai, explique
Après le décès de Tajfel, Turner poursuit des travaux sur la base de la Théorie de l’identité sociale. Pour compléter les recherches de Tajfel, il développe la Théorie de l’auto- catégorisation.
L’objet principal de cette théorie est le Soi, et non pas les relations intergroupes comme dans la Théorie de l’identité sociale.
Cette théorie ne cherche pas à expliquer un type particulier de comportement, mais plutôt à comprendre dans quelles conditions plusieurs individus indépendants peuvent se comporter comme un groupe. (quest ce qui fait qu’on devient un groupe)
Concepts centraux de la Théorie de l’auto-catégorisation
nomme les 4 concepts
- Concept de soi.
- on a pls soi
- chacunes de nos identités sont reliées à la mm persone
- selon le contexte, la saillance, on repère indicateurs de comment se comporter - Organisation hiérarchique des catégories.
- Méta-contraste.
- Dépersonnalisation.
Organisation hiérarchique des catégories (auto-catégorisation)
donne un exemple d’organisation hiérarchique
Organisation hiérarchique des catégories (auto-catégorisation)
quelles sont les 4 caract de Organisation hiérarchique des catégories
- Système inclusif.
- catégories + élevées regroupent les catégories + basses - Différents degrés d’abstraction.
- + on descend + de détails
- + on monte moins a on a de détails - Trois niveaux d’auto-catégorisation chez les humains.
- Antagonisme fonctionnel.
Organisation hiérarchique des catégories
explique l’antagoniste fonctionnel
Il y a un antagonisme fondamental entre la saillance d’un niveau de catégorisation et les autres niveaux (un seul niveau qui est saillant à la fois)
: la saillance d’un des niveaux de catégorisation produit de la similarité intra- classe et de la différenciation inter-classe (on remarque les similitudes avec endo et différences avec exo sur le mm niveau de base)
qui réduit ou inhibe la perception des différences intra-classe et des similarités inter-classe sur lesquelles les niveaux inférieurs ou supérieurs de catégorisation sont basés (pendant que je me compare sur un niveau, je me concentre juste sur lui)
Organisation hiérarchique des catégories
donne un exemple de l’antagoniste fonctionnel
quand on se compare on se compare au mm niveau
si je me compare en tant que canadienne, je vais me comparer à une italienne (pas à une européene ou sicilienne)
relié au niveau de pertinence!
Méta-contraste
quest ce que le Méta-contraste
si situer nous-mêmes dans un groupe
- Principe selon lequel un ensemble de stimuli est perçu comme catégorie si les différences pertinentes entre ces stimuli (différences intra-catégorielles) sont moindres, contrairement aux différences entre cette catégorie de stimuli et une autre catégorie de stimuli qui sont plus nombreuses (différences inter-catégorielles).
Méta-contraste
quest ce que le rapport MC
est ce que la personne est dans la bonne catégorie
Méta-contraste
donne exemple de rapport
Méta-contraste
quest ce qu’un prototype
Stimulus que nous associons en premier à une catégorie.
Image représentative d’une catégorie.
Point de référence cognitif.
Dépersonnalisation
explique cest quoi
Les facteurs qui augmentent le caractère saillant de la comparaison exogroupe-endogroupe conduisent à l’augmentation de perception des similitudes avec les membres de notre groupe.
- PLUS on remarque différences avec exogroupe + on va faire de la dépersonnalisation
Formation des groupes et identification à un groupe
après le paradigme des groupes minimaux, Quel est le processus qui mène à
l’identification à un groupe? (4étapes)
- catégorisation sociale (on crée le groupe)
* Les membres du groupe sont perçus comme interchangeables entre eux. (pcq les gens se ressemblent)
* Les membres du groupe sont perçus comme partageant les mêmes caractéristiques stéréotypiques.
* Les membres du groupe sont perçus comme partageant les mêmes normes. - Dépersonnalisation de soi. (la personne s’auto-catégorise)
* La personne se perçoit comme possédant les mêmes caractéristiques stéréotypiques que les autres membres d’un groupe.
* La personne partage les mêmes normes que les autres membres de ce groupe.
* Cela mène à la perception de l’identité sociale par la personne. - Comparaison sociale.
- Les caractéristiques de l’endogroupe (et de soi) sont comparées aux caractéristiques de l’exogroupe. - Cohésion de groupe et différenciation des groupes psychologiques. (est ce que mon groupe est distinctif et positif)
* Besoin de distinctivité.
* Processus d’identification et d’intériorisation.
* Volonté de préserver une image positive de soi et de l’endogroupe.
tout ca mène après à l’identité sociale
Conclusion- auto-catégorisation
3 conclus sur cette théorie
- Chaque individu se classe dans un groupe dans lequel se trouvent des stimuli qui lui semblent identiques, similaires et/ou interchangeables, et ceci en contraste avec d’autres classes de stimuli.
- Cette catégorisation sociale permet à l’individu d’organiser les informations le concernant et concernant les autres, à élaborant des catégories distinctes et exclusives. En catégorisant les autres, l’individu se catégorise lui-même.
- La catégorisation sociale implique automatiquement le concept de soi, et par conséquent, l’identité personnelle et l’estime de soi de celui qui catégorise.
Théorie de l’équité
quel est le principe de l’équité
Le rapport de ce que nous retirons et de ce que nous donnons dans la relation est proportionnel au rapport de ce que l’autre retire et donne.
Théorie de l’équité
quelles sont les principales questions examinées par cette théorie (3)
Qu’est-ce que les gens considèrent comme équitable?
Comment réagissent-ils quand ils obtiennent plus ou moins que ce qu’ils méritent?
Comment réagissent-ils quand ils voient leurs compagnons recevoir des bénéfices non mérités,
ou endurer des souffrances non méritées? (+ on est proche de la personne, ++ sentiment d’injustice )
principe de l’équité s’applique aussi quand on observe 2 personnes (autre que nous-mêmes)
Représentation schématique de la Théorie de l’équité
explique le schéma
attention ne fonctionne pas tjrs -» si les “bénéfices” sont négatifs, la formule fonctionne pas
l’insatisfaction face à la relation entraine de la motivation à changer la situation
Représentation schématique de la Théorie de l’équité
explique le schéma pour la personne ou groupe avantagé
- la personne/groupe aura tendance à garder cette supériorité
- le mode préféré est la resrauration psycho de l’équité (on change pas dans la réalité, on blame l’autre (ce qui explique pourquoi l’autre en a moins), on exagère nos propres mérites (ce qui explique pk on en a +)
restauration réelle de l’équité : on s’arrange pour avoir rapport égaux ex : donner qqch à l’autre sans nous nuire
Représentation schématique de la Théorie de l’équité
explique le schéma selon la personne/groupe désavantagé
- mode préféré = restauration réelle de l’équité
- compensation : ++ souvent, essayer d’avoir autant que l’autre vs représailles, se venger de l’autre, en enlever à l’autre pour devenir égaux (souvent lorsqu’on en veut à l’autre, ex divorce)
- restauration psycho :
- se blamer soi-meme : je merite d’en avoir moins
- exagérer les mérites de l’autre : il a fait plus que moi
- quitter la relation : pour ne pas se questionner
Calcul des contributions et bénéfices
montre la nouvelle equation qui resout le probleme des benefices negatifs
avec la nouvelle on va pouvoir voir si situation d’inéquité lorsque les bénéfices sont négatifs
Applications pratiques
donne des exemples de situations d’inéquité/équité
- Exemple 1 : centre de recherche pour étudier l’équité entre les sexes dans le sport au Canada
- Exemple 2 : revue de Al-Zawahreh et Al-Madi (2012)
But : faire le point sur les études portant sur la Théorie de l’équité, spécifiquement en lien avec la perception d’équité chez des employés salariés.
Théorie de l’équité
quelle est la limite de la théorie
Cette théorie ne tient pas compte d’autres dimensions de la justice dans la façon de traiter les individus…
limite de la théorie
quest ce que comprend la justice distributive et cest quoi (3)
Justice distributive ; Distribution des ressources selon la part qui revient à chacun.
1. équité : mm rapport des 2 côtés
2. égalité ; ce que les 2 reçoivent pareil, peut importe ce que les 2 donnent
3. besoin
Limite de la théorie
Équité versus Égalité explique avec Exemple : changement de la tarification du métro pour se rendre de Laval ou Longueuil à Montréal.
Limite de la théorie
quest ce que la justice procédurale
Justice procédurale = Perception de justice vis-à-vis des règles et des procédures utilisées pour la distribution des ressources.
ex : si gouv donne info par courriel, pas justice procédurale, pcq pas tout le monde a ordi
Limite de la théorie
quest ce que la justice interactionnelle (et elle comprend quoi (2))
- Justice informationnelle
Qualité des explications données quant à la mise en application des règles et des procédures de distribution. - Justice interpersonnelle
Qualité des relations entre celui qui distribue les ressources et ceux qui les reçoivent.
Théorie de la privation relative
cest quoi la privation relative
Privation relative : Sentiment de mécontentement, de colère ou d’injustice qui est dépendant de la comparaison.
Stouffer est le premier à avoir proposé une conceptualisation de la privation relative. Son idée fondamentale est que c’est le statut relatif ** (mon statut comparé au statut de l’autre) d’une personne qui détermine sa satisfaction et non la situation objective. ** je pourrais en avoir autant, mais quand mm me sentir défavorisé
Théorie de la privation relative
donne exemple (force de l’air)
Il était intéressé par les attitudes des soldats de l’armée américaine. Parmi les données recueillies, il a remarqué que les plaintes pour des promotions étaient exprimées plus fortement dans les forces de l’air que dans la police militaire.
Pourquoi? il y avait + de promotions dans les forces de l’air, ce qui faisait que les gens des forces de l’air se comparait à des gens promus, alors que police militaire avait pas bcp de promo donc les gens se comparait pas par rapport à ca
Conditions à la privation relative (Crosby, 1976)
quelles sont les conditions (5)
La personne voit que quelqu’un d’autre possède X.
Elle veut X.
Elle sent qu’elle a le droit d’avoir X.
Elle sent que c’est faisable d’avoir X.
Elle ne se sent pas responsable du fait de ne pas avoir X.
Types de privation relative
4 types
- PR Intergroupe = Comparaison de l’endogroupe avec un exogroupe.
- PR Interpersonnelle = Comparaison de l’individu avec autrui.
- PR Pour autrui = Comparaison de deux autres individus ou de deux exogroupes entre eux.
- PR Intrapersonnelle = Comparaison de l’individu à lui-même à différents moments de sa vie (comparaison temporelle). (si j’ai moins qu’avant par ex)
privation relative, Conséquences comportementales
quelles sont les Conséquences comportementales
Plus l’écart entre ce que la personne (ou le groupe) a et ce qu’elle pense mériter est grand, plus le sentiment de privation relative est fort.
Plus le sentiment de privation relative est fort, plus la personne (ou le groupe) est tentée d’agir pour réduire l’écart entre la situation actuelle et les attentes subjectives.
Applications pratiques, privation relative
Exemple 1 : étude de Guimond et Dubé-Simard (1983)
explique le but, les 3 variables et les resultats (2) et la conclu
- but : examiner l’effet de comparaisons intergroupes défavorables sur le sentiment de privation relative aux niveaux intergroupe et interpersonnel, puis sur les attitudes nationalistes chez des Québécois francophones.
- 3 variables : es tu satisfait de ton salaire en comparaison à
- autre franco
- anglo
- ton niveau d’attitude nationaliste - résultats :
- PR intergroupe (insatisfaction vis a vis anglo)
- relié à attitude nationaliste - conclu : comparaison intergroupe mène PR intergroupe qui mène à attitudes nationaliste
Applications pratiques, privation relative
Exemple 2 : études de Tougas et al. (2005), explique le but, et les relations trouvées, et la conclu
- but : examiner comment les femmes policières réagissent dans un milieu de travail qui a tendance à favoriser leurs collègues masculins.
Conclusion théorie privation relative
conclu (3)
Lors de mouvements, de crises ou de révoltes sociales, des individus s’engagent activement dans le but de changer les choses alors que d’autres, partageant les mêmes conditions, ne font rien. La théorie de la privation relative fournit un cadre pour comprendre ces différentes réactions.
Sur le plan personnel, savoir que notre situation s’est détériorée ou que nous sommes injustement traités par rapport aux autres peut représenter une attaque à l’estime de soi. Le sentiment de privation devient alors un moteur pour entreprendre des actions pour modifier notre situation.
Dans les deux cas, le fait de chercher à obtenir (ou à maintenir) une position avantageuse contribue au développement d’une identité personnelle et d’une identité sociale positives.