cours 4 Flashcards

1
Q

Comparaison sociale

explique la théorie de l’accent sur la différence,

A

La référence à autrui conduit à de la différenciation lorsqu’elle fait peser une menace sur l’identité. La restaura- tion de cette identité se fait à travers la recherche de la différence, de l’altérité, de la création puis de l’accentuation de l’hétérogénéité. (Lemaine, 1974, 1979)

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2
Q

Comparaison sociale- Accent sur la différence

quel est le processus de différenciation (4)

A
  1. L’individu (ou un petit groupe de personne) se sent infériorisé par rapport aux autres membres du groupe (menace à son identité).
    ex : école secondaire à vocation sport, un élève plus en science, pas bon en sport, se sent à part
  2. Il y a divergence, création de nouveaux critères dans les façons de penser, de sentir, d’agir.
    ex : elle va faire ressortir ses forces, je suis pas bon en sport, mais je suis bon en science
  3. Il y a tentative de faire reconnaître et de faire accepter ces nouveaux critères (cela englobe le prosélytisme(recrutement intensif), le recrutement ou le rassemblement des personnes qui sont ou sont devenues semblables afin d’avoir plus de poids dans la lutte pour faire admettre la légitimité de ces nouveaux critères).
    ex : est ce que ya dautres personnes qui aiment les sciences, aller chercher l’appui d’autrui
  4. Il y a tentative, lorsque les nouvelles dimensions sont admises socialement, de les substituer aux critères primitifs afin de renverser en sa faveur une situation initialement défavorable, tentative de substituer à « l’ordre ancien » un « ordre nouveau ».
    ex : juger par l’ensemble du groupe pour ce nouvel aspect, on met accent sur la différence (l’autre qualité)
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3
Q

Comparaison sociale

explique la théorie de l’Articulation entre similitude et différence (Modèle de la conformité supérieure de soi)

A

pour un ensemble défini d’individus, il existe en général une importante tendance de chacun à affirmer qu’il est lui-même plus conforme aux normes en vigueur dans cet ensemble que ne le sont, de façon générale, les autres personnes. (Codol, 1975)

si on est dans un groupe, on veut se faire accepter, mais en mm temps on veut que les autres nous remarque (lié au concept de dépersonnalisation et d’unicité)

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4
Q

explique le processus de la conformité supérieure de soi (Articulation entre similitude et différence) (3)

A
  1. L’individu tend à se valoriser face aux autres.
  2. Il y a un conflit entre :
    * le désir de plaire;
    * la volonté de préserver son identité personnelle.
  3. Il n’y a qu’une seule façon de solutionner ce conflit : c’est de s’affirmer comme étant en plus grande conformité que les autres aux normes sociales.

se démarquer dans la norme : un groupe qui aime un parti politique, moi j’ai la carte de membre

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5
Q

def

quest ce qu’une attribution

A

Jugement (inférence) porté sur un événement; interprétation personnelle de la réalité.

(permet de recueillir des infos sur nous-mêmes)

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6
Q

Attribution

une attribution peut etre faire pour (2)

A

 Pour soi-même : il s’agit alors d’une attribution de l’acteur ou d’une auto-attribution. (ex : J’aurais du étudier plus)
 Pour autrui : il s’agit alors d’une attribution de l’observateur ou d’une hétéro-attribution. (ex : tu aurais du etudier +, j’aime ton outfit)

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7
Q

Attribution-Acteur versus observateur

Lorsque nous faisons des attributions sur soi ou sur autrui, est-ce que les processus sont identiques?

A
  • Si l’acteur et l’observateur disposent des mêmes informations, l’auto-attribution et l’hétéro-attribution sont relativement semblables.
  • Mais, dans les faits, nous n’avons pas tendance à tenir compte des mêmes informations….
    1. Acteur:tendance à se juger lui-même à partir de ce qu’il voit : le contexte en premier, lui-même en second.
    2. Observateur: tendance à juger autrui à partir de ce qu’il voit : l’acteur en premier, le contexte en second.
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8
Q

Attribution

Weiner (1985) a examiné les attributions en tenant compte de trois dimensions causales :

A
  1. Lieu de causalité (locus)
    Origine de la cause.
    (interne – externe)
  2. Contrôle
    Degré avec lequel la cause peut être affectée par la volonté.
    (contrôlable – incontrôlable)
  3. Stabilité
    Possibilité pour la cause de varier dans le temps.
    (stable – instable)
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9
Q

Attribution

si on vit un échec, si notre lieu de causalité est interne, que ce passe-t-il si on croit que cetait controlable ou incontrolable

A
  1. interne + controlable = + tendance à vivre de la culpabilité
  2. interne + incontrolable = + tendance à vivre de la honte

donc la facon dont on fait attribution a un impact sur la facon dont on se percoit

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10
Q

Attribution

Exemple : Josiane s’est vu refuser l’admission au doctorat en psychologie, que sont les locus de causalité, le controle et la stabilité

A
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11
Q

Attribution-def

cest quoi biais de complaisance

A

Tendance à attribuer nos succès à des facteurs internes et nos échecs à des facteurs externes. (normal lien avec notre estime de soi, concerver notre image de soi)

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12
Q

Attribution-def

cest quoi l’Erreur d’attribution fondamentale

A

Tendance à exagérer l’importance des facteurs internes et à sous- estimer l’influence des facteurs externes dans l’explication du comportement d’autrui. (tient pas en compte le contexte)

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13
Q

Attribution-def

cest quoi Biais de responsabilité injustifiée

A

Tendance à porter le blâme à la victime.

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14
Q

Attribution-def

cest quoi Croyance en un monde juste

A

Croyance selon laquelle chacun est responsable de ce qu’il lui arrive. (il la mérité, il a mis sa tete dans le croco pour prendre une photo, no wonder il sest fait mordre)

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15
Q

Attribution-def

cest quoi Autodépréciation

A

La personne émet, sincèrement ou non, des jugements défavorables à son propre égard. (on se juge soi-même de maniere dafavorable, contraire à biais de complaisance, si qqch bien arrive cest le hasard)

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16
Q

Attribution-def

cest quoi Résignation acquise et les caract (4)

A

Réponse apprise résultant de l’exposition répétée à des situations désagréables ou douloureuses impossibles à combattre, à fuir ou à éviter.

 Situations désagréables ou douloureuses.
 Situations perçues comme incontrôlables par la personne.
 États émotionnels, cognitifs (bcp autodépréciation) et motivationnels (pas defforts pour s’en sortir) déficitaires.
 Passivité, apathie, inhibition.

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17
Q

Attribution sociale

cest quoi

A

La personne peut aussi faire des attributions en fonction des caractéristiques des groupes sur lesquels elle porte un jugement (endogroupe ou exogroupes).

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18
Q

Attribution sociale

quest ce que le Favoritisme endogroupe et le Favoritisme exogroupe

A

Favoritisme endogroupe : Évaluation plus positive de l’endogroupe que de l’exogroupe. (aussi en devalorisant l’exogroupe)
Favoritisme exogroupe : Évaluation plus positive de l’exogroupe que de l’endogroupe. (aussi en devalorisant l’endogroupe)

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19
Q

Attribution sociale-def

quest ce que Erreur d’attribution ultime

A

Un comportement désirable est attribué à une causalité interne lorsqu’il est fait par un membre de l’endogroupe et à une causalité externe lorsqu’il est fait par un membre de l’exogroupe. Dans le cas d’un comportement indésirable, c’est l’inverse qui se produit.

comme biais de complaisance mais pour le groupe

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20
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

quest ce qu’on va regarder dans ces theories

A

comment la personne adapte la perception d’elle-meme selon le contexte

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21
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

explique le Processus selon Breakwell (1986) (2)

A
  1. Assimilation-accommodation
    - l’assimilation désigne l’absorption d’informations
    nouvelles dans la structure de l’identité;
    - l’accommodation réfère à l’ajustement qui se produit dans la structure existante pour placer cette information.
  2. Évaluation : elle implique l’attribution d’une valeur aux éléments qui sont assimilés dans l’identité. (est ce que cette imfo est importante pour moi)

ex : conduit sur route glacée, je ne suis pas habile sur la route glacée (assimilation), mais dhab si je conduis, je suis bon sur l’asphalte, sable, etc, cest juste glace pas capable (accomodation), mais ca me definit pas, jai pas de pratique sur la glace (evaluation 1)

possible que ex : si jai pas de bonnes notes en chimie, cest important pcq je veux etre pharmacien (evaluation)

22
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

explique le Processus selon Grotevant (1987)

A

Grotevant examine et décrit le développement de l’identité dans différents domaines (ex : famille, école, travail). (on va pas tjrs se questionner sur notre identité, particulier à certaines situations0

23
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

Processus selon Grotevant (1987) : La probabilité qu’une personne s’engage dans un travail identitaire est déterminée par l’interaction entre (3)

A
  • les caractéristiques individuelles;
  • les facteurs contextuels;
  • les processus de formation de l’identité dans d’autres domaines.
24
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

Processus selon Grotevant (1987) : explique les caractéristique individuelles qui font en sorte que probabilité qu’une personne s’engage dans un travail identitaire (6)

A
  1. estime de soi (si on vit une menace)
  2. controle de soi (si manque de controle)
  3. résilience (en vivant une epreuve)
  4. l’ouverture (ouverture d’esprit)
  5. les capacités cognitives (faut avoir les capacités d’analyser, réflcéchir)
  6. identité actuelle (si manque de clarté, + poussé à se questionner)
25
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

Processus selon Grotevant (1987) : explique les facteurs contextuels qui font en sorte que probabilité qu’une personne s’engage dans un travail identitaire (4)

A
  1. la culture (individualisme vs collectivisme)
  2. les groupes sociaux primaires
  3. le type de communication dans la famille
  4. amis, ecole, medias (source d’influence + generale)
26
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

Processus selon Grotevant (1987) : explique les les processus de formation de l’identité dans d’autres domaines qui font en sorte que probabilité qu’une personne s’engage dans un travail identitaire

A

on utilise mm processus peut importe la situation

ex ; si je compare avec mes amis, je vais aussi me comparer avec collègues de travail

27
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

Processus selon Grotevant (1987) : l’accent est mis sur le caractère …

A

L’accent est mis sur le caractère transactionnel du processus : le contexte influence continuellement la personne en développement, et la personne influence continuellement le contexte dans lequel elle évolue. (influence bidirectionnelle)

28
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

Processus selon Berzonsky (1990, 2003, 2004) : Berzonsky décrit trois styles de traitement de l’information :

A
  • Style orienté vers l’information : la personne explore activement et évalue l’information pertinente avant de s’engager.
  • Style orienté vers la norme : la personne se centre sur les attentes normatives d’autres personnes significatives pour elle.
  • Style orienté vers la diffusion : la personne tend à retarder et à faire traîner les choses jusqu’à ce que des valeurs hédonistes (plaisir) dans la situation immédiate lui dictent une voie de comportement. (se questionne pas sur elle-meme)
29
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

Processus selon Berzonsky (1990, 2003, 2004) : La formation de l’identité prend différentes formes selon le style de traitement de l’information de l’individu. (3)

A
  1. Les individus orientés vers l’information sont ouverts au feedback et ils sont prêts à réviser leurs schémas d’eux-mêmes. Ils ont une perception de soi qui est bien différenciée et intégrée.
    - traitement de l’info complet
    - bonne adaptation
    - perception de soi bonne
  2. Les individus orientés vers la norme ont une théorisation de soi plus dogmatique et ils défendent leurs croyances centrales. Ils ont une perception de soi plutôt rigide.
    - traitement de l’info incomplet (juste les normes)
    - adaptation : sur le plan social bien adapté, plan personnel, pas adapté
    - perception de soi : manque de clarté
  3. Les individus orientés vers la diffusion présentent des schémas de caméléon aux influences situationnelles. Cependant, les modifications impliquent des actes éphémères de conformité verbale ou comportementale. Ces individus ont une perception de soi manquant de cohérence et d’unité.
    - traitement de linfo : minimal, tendance a nier info negative, utilise bcp de distorsion, deformation de linfo
    - adaptation : difficile, rien d’intérioriser
    - perception de soi confuse
30
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

Processus selon Kunnen et Bosma (2009), explique cest quoi

A

 La personne et le contexte réagissent l’un à l’autre.
 Nature itérative de ce processus : le développement de l’identité est un enchaînement de transactions : le même mécanisme se répète encore et encore, de telle façon que le développement à long terme est déterminé par une séquence de processus à court terme.
 À chaque fois qu’il y a une interaction entre la personne et le contexte, les deux sont amenés à changer. La nouvelle identité affecte, à son tour, l’interaction.
 Les changements dans la personne ou le contexte peuvent conduire à des changements dans les engagements.

31
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

Processus selon Kunnen et Bosma (2009), montre un exemple general du mecanisme

A

P = personne
C= contexte
F = transaction

mauve = identité
bleu = itération (on se redefinit)
rouge = situation ou elle doit s’adapter
+++ facile à faire pour les personne orientés vers l’information

32
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

Processus selon Kunnen et Bosma (2009), montre exemple d’itération complète dans les détails

A
  1. selon contexte, on se fait engagement
  2. puis on a une transaction (un défi à relever)
  3. si la transaction correspond à son engaement= adéquation, donc on maintient engagement
  4. si pas atteinte de l’engagement= conflit
  5. apres conflit, ok on fait assimilation (soit on change situation, soit on change perception de la situation
  6. si jy arrive ok succès-» engagement
  7. si jarrive pas a assimiler -» échec
  8. apres echec, soit retrait (retirer ses engagements)
  9. apres echec, soit accomodation, changer ses engagements pour qqch + realiste -» accord
33
Q

Représentations identitaires-def

quest ce que la Représentation

A

Action de concrétiser une réalité absente physiquement.

34
Q

Représentations identitaires

quels sont les types de Représentations identitaires (3)

A

 Personnelle
 Sociale
 Collective

(ce nest PAS identité sociale ou personelle)

35
Q

Représentation personnelle-def

cest quoi Représentation personnelle

A

Image que la personne a d’elle-même, tout en tenant compte de ses comparaisons intragroupes et intergroupes.

36
Q

Représentation personnelle

Les réflexions des chercheurs ont porté sur trois principales questions :

A
  1. Comment se forme une telle structure?
  2. Comment sont organisées les informations
    en mémoire?
  3. Quels sont les rôles de la représentation personnelle dans le traitement de l’information sur soi?
37
Q

Représentation personnelle

comment se fait la Formation de la représentation personnelle (4étapes)

A

L’individu se socialise et construit son identité par étapes, au cours d’un long processus qui s’exprime fortement de la naissance à l’adolescence et se poursuit à l’âge adulte.

étape 1 (caract obsevables): 0-5/6ans, decouvre corps, apparence physiques, les possessions
étape 2 (compétences): 6-12ans, se compare sur le plan des compétences, surtout à lecole
étape 3 (relation à autrui): 12-14ans, entree au secondaire, + partage d’intimité, + preoccupé par perception des autres
étape 4 : ado et +, englobe tout, + capable de planifier, on a besoin de tout, est ce que jai assez d’habiletés, assez d’argent

38
Q

Représentation personnelle

comment se fait l’Organisation des informations en mémoire (4 hypothèses diff)

A

pas de consensus selon chercheurs (4 hypothèses)
on organise les infos en memoire selon…
1. Je personnel et Moi social.
2. Soi privé et Soi public.
3. Selon le contexte.
4. Connaissances sémantiques et Connaissances épisodiques.

39
Q

def

cest quoi memoire semantique vs episodique

A
  1. Mémoire sémantique ; Conserve les connaissances générales et les informations factuelles.
  2. Mémoire épisodique : Conserve les choses telles qu’elles ont été vécues subjectivement.
40
Q

Représentation personnelle

quels sont les roles dans le traitement de l’information sur soi (4)

A

 La valorisation de soi: elle pousse l’individu à élaborer des représentations positives, par le biais de sélections ou de transformations de l’information disponible.
 La vérification: elle conduit l’individu à rechercher des confirmations de ce qu’il pense déjà de lui-même, dans un souci de cohérence ou de stabilité.
 La qualité de l’évaluation de soi: elle conduit l’individu à rechercher des situations lui permettant de réaliser les évaluations de soi les plus exactes possible. (je veux apprendre qqch de nouveau sur moi)
 L’amélioration de soi: dans certaines situations, elle pousse l’individu à se comparer à des personnes jugées plus performantes ou compétentes dans le but d’apprendre quelque chose.

41
Q

Représentation sociale-def

cest quoi Représentation sociale

A

Image que la personne a des catégories sociales et des groupes sociaux.

42
Q

Représentation sociale-def

cest quoi élaborations socio cognitives

A

Réflexions sur les connaissances acquises dans les relations sociales.

Les individus impliqués dans les interactions sociales sont des entités bien réelles et distinctes. Ce constat est moins évident lorsqu’on songe aux catégories sociales et aux grou- pes sociaux qui sont, le plus souvent, les résultats d’élaborations sociocognitives.

43
Q

Représentation sociale

Les représentations sociales sont liées (2)

A
  • aux asymétries des positions sociales;
  • aux croyances partagées par les
    membres d’un groupe.
44
Q

Représentation sociale

Asymétries des positions sociales, explique + 3 dimensions qui affectent surtout le niveau hiérarchique des positions sociales :

A

Les individus composant les différents groupes de la société sont impliqués dans une multitude de rapports sociaux hiérarchisés.

  • le capital économique,
  • le capital culturel,
  • le genre.

 Le niveau hiérarchique affecte le degré de pouvoir et d’influence des différents individus du groupe.

 La représentation que les gens se font de leur position et de la position des autres dans la structure sociale influence leur identité individuelle.

45
Q

Représentation sociale

Croyances partagées, explique et def de objet social

A

L’environnement social ne se résume pas seulement à des individus et à des groupes sociaux. Il est aussi peuplé d’objets sociaux qui influencent les individus et les groupes qui y adhèrent.

objet social : Représentation partagée par plusieurs personnes.

46
Q

Représentation sociale

caract des objets sociaux (5) (5-3)

A

 Les objets sociaux sont des produits des membres d’un groupe.
 Il faut que les informations relatives à l’objet social soient dispersées dans le groupe. (tout le monde a représntation similaire)
 Ils influencent chacun des membres du groupe (leurs pensées, émotions, intentions, comportements, etc.).
 Ils influencent nos perceptions des autres (catégoriser, définir les statuts et rôles, appuyer des opinions et des comportements, etc.).
 Ils ont diverses fonctions pour notre adaptation :
* susciter des prises de positions communes ou divergentes;
* jouer un rôle d’affirmation et de distinctivité d’un groupe;
* réguler l’identité.

47
Q

Représentation collective

def : représentation collective

A

Ensemble des savoirs produits par une société dans sa globalité.

48
Q

Représentation collective

quest ce que le caractère transversal de la Représentation collective + donne exemple

A

le concept de représentation collective pose l’existence de croyances générales qui traversent une société dans son ensemble.

tout le monde dans cette société ont la mm facon de penser

Exemple : différences dans le mode de pensée des cultures individualistes versus des cultures collectivistes.
- Cultures individualistes : valeurs fondamentales axées sur l’individu.
- Cultures collectivistes : valeurs fondamentales axées sur le groupe.

49
Q

Représentation collective

expliqu la culture individualiste et collectiviste (3chaque)

A
  1. Culture individualiste
     Mode de pensée influencé par une vision analytique (ex : Aristote, Socrate, Platon) : l’objet est expliqué par ses attributs et son appartenance à une catégorie.
     Les gens ont été habitués à se concentrer sur l’essentiel.
     Ils apprennent dès leur jeune âge à se percevoir eux-mêmes
    comme une personne importante.
  2. Culture collectiviste
     Mode de pensée influencé par une vision holistique (tout est interrelié) (ex : Confucius) : l’objet est expliqué par son contexte.
     Les gens ont été habitués à regarder l’ensemble.
     Ils apprennent dès leur jeune âge à se percevoir eux-mêmes
    comme un élément infime d’un tout plus grand.
50
Q

Représentation collective

donne la Représentation collective, les processus identitaires et la représentation identitaire des cultures individualiste vs collectivistes.

A

culture individualiste :
1. Représentation collective = L’individu est l’unité de base de la société (individus forment la société)
2. Processus identitaires = Différenciation…
- intergroupe faible (compare peu les groupes entre eux)
- intragroupe élevée (compare bcp l’individu à son endogroupe)
3. Représentation identitaire = Homogénéité endogroupe faible = unicité

culture collectiviste :
1. Représentation collective = Le groupe est l’unité de base de la société (la société forme les individus)
2. Processus identitaires = Différenciation…
- intergroupe élevée (compare bcp les groupes entre eux)
- intragroupe faible (compare peu l’individu à son endogroupe)
3. Homogénéité endogroupe forte = dépersonnalisation

51
Q

conclu

en conclu, les représentations perso, sociale et collective …

A

s’influencent toutes