Cours 6 Flashcards
Comment peut-on réduire l’anxiété liée aux préoccupations cognitives?
En transformant les buts de performance en buts de maîtrise.
Quels types de but permettent à la personne de puiser dans ses ressources personnelles pour dynamiser, diriger et maintenir la poursuite d’un but?
Les buts congruants avec le soi
Quel est le type de but utilisé quand j’étudie en fonction de ne pas oublier la matière pour l’examen?
But de maîtrise d’évitement
Vrai ou faux? Il suffit que le but soit de maîtrise pour s’assurer de mieux performer lors d’examen, de mieux retenir la matière.
Faux; désorganisation en cas de buts de maîtrise-évitement
Selon le manuel, d’où viennent nos buts?
Ils peuvent venir d’autres personnes qui nous assignent un but ou peuvent être plus internes; un fort sentiment d’auto-efficacité, nos valeurs, des traits de personnalité, les besoins biologiques et psychologiques ainsi que l’exposition à une personne modèle.
Quelles sont les conséquences de ne pas avoir de représentations de comment faire une chose (pas savoir à quoi s’attendre)?
La croyance en notre capacité à faire une tâche/activité est importante pour l’atteinte d’un but, sinon ça augmente l’anxiété, réduit notre engagement, notre énergie et notre motivation à la faire.
Qui suis-je? Évènements mentaux (croyances attentes, objectifs, idéologies, valeurs, concepts de soi, etc.) qui causent la mise en action.
Les cognitions
Les cognitions mènent à l’action par le contrôle personnel (efficacité personnelle, croyances de maîtrise, etc.), le soi (autocontrôle et autorégulation), les _____________ (plans d’action, etc.) et les _____________.
buts
états d’esprit
Qui suis-je? Ce qu’il m’est possible de faire dans la réalité, la conviction d’être capable de surmonter un défi.
Les croyances en ses capacités
Vrai ou faux? L’efficacité personnelle revient à l’estime de soi.
Faux; pas la même chose (l’estime est la valeur qu’on se donne)
Vrai ou faux? Les croyances du système influencent la persistance dans la tâche et la performance, indépendamment du sentiment d’auto-efficacité.
Vrai; c’est ce qu’à montré une étude sur les performances en mathématiques selon les stéréotypes de genre. Quand on dit aux filles que les garçons réussissent habituellement mieux le test, elles performent moins bien que dans la condition “égalitaire”.
Qui suis-je? Une façon de penser ouverte d’esprit qui évalue la désirabilité et la faisabilité d’un éventail de buts qui sont potentiellement à poursuivre.
État d’esprit de délibération
(Dans la phase de fixation du but)
Je cherche à me fixer un but en jugeant si ça me tente de faire le doc ainsi qu’en me demandant si c’est faisable selon mes capacités. Quel état d’esprit est-ce que j’utilise?
La délibération
Qui suis-je? Une façon de penser post-décision fermée d’esprit qui évalue uniquement les informations concernant l’atteinte du but et forme un bouclier contre les pensées non liées au but.
La mise en oeuvre
Vrai ou faux? Dans la mise en oeuvre, on reste ouvert d’esprit dans notre façon de penser.
Faux; façon de penser fermée d’esprit car on focus sur l’atteinte du but et ignore ce qui pourrait interférer.
«J’apprends de mes erreurs, l’intelligence peut se développer, je peux m’améliorer». Quel état d’esprit est utilisé?
État d’esprit de croissance, soit la croyance ses propres qualités sont malléables, modifiables et peuvent être développées à l’aide de l’effort.
Comment se traduit un état d’esprit fixiste?
«Je ne peux pas m’améliorer, l’échec indique mon manque de talent». C’est la croyance que nos capacités sont fixes, qu’on ne peut pas s’améliorer.
Vrai ou faux? Selon la théorie incrémentielle, l’intelligence est fixe.
Faux; l’intelligence est malléable selon la théorie incrémentielle.
Pour quelle théorie l’intelligence est vue comme une qualité fixe qui ne peut pas beaucoup changer?
La théorie de l’entité
L’origine des états d’esprit de croissance ou fixistes remontent à l’enfance. Par exemple, lorsque l’adulte évalue les qualités personnelles de l’enfant, il naît en lui un état d’esprit plus fixiste. Or, les éloges et les critiques de nos parents qui touchent notre personne propre font en sorte que l’état d’esprit reste stable et ne peut plus changer. Vrai ou faux?
Faux; par exemple, il est possile d’enseigner la théorie incrémentielle de l’intelligence.
Vrai ou faux? Les élèves qui perçoivent l’intelligence comme une qualité fixe (théorie de l’entité) perfoment mieux en mathématiques au cours d’une année scolaire.
Faux; ils gardent les mêmes résultats durant l’année tandis que les élèves qui adoptent une théorie incrémentielle de l’intelligence s’améliorent et ont graduellement de meilleurs résultats en mathématiques.
Qui suis-je? Vision de l’intelligence sous-jacente à la régulation introjectée.
Théorie de l’entité (intelligence vue comme fixe)
Quelles sont les conséquences d’un état d’esprit fixiste sur l’intelligence (théorie de l’entité) lorsque a) les habiletés sont élevées et b) lorsque les habiletés sont faibles?
a) Lorsque les habiletés sont élevées, le feedback positif sur les compétences amène des défis et de la persistance.
b) Lorsque les habiletés sont faible, évitement des défis et faible persistance.
Théorie incrémentielle = défis et persistance peu importe les habiletés!
Quelle est l’origine des états d’esprit de croissance?
Dans l’enfance, recevoir des éloges (ou des critiques) par rapport aux efforts mis. Par exemple, “tu as travaillé fort pour cette note” ou “tu as mis moins de temps dans cette matière, alors tu as eu un moins bon résultat”.
Quelle est l’origine des états d’esprits fixistes?
Dans l’enfance, recevoir des éloges par rapports aux habiletés personnelles, être évalué selon ses qualités personnelles lors de situations de succès et d’échec.
Par exemple, “tu es très intelligent(e)” ou « tu as été méchant(e) ! ».
Comment peut-on enseigner la théorie incrémentielle de l’intelligence?
Quel est l’impact sur la performance scolaire?
En apprenant le fonctionnement du cerveau par des thèmes comme comment augmenter son intelligence (création de nouvelles connections) et apprendre rend plus intelligent.
Le groupe auquel on a enseigné la théorie incrémentielle ont de meilleurs résultats en mathématiques après l’intervention en secondaire 1.
Qu’est-ce qui nous pousse à mettre en place des plans d’actions? (2)
Les représentations mentales des états idéaux (ce qu’on est actuellement vs. ce qu’on aspire à être) et les perceptions de discordance entre ces états actuels l’état idéaux.
Dans la perception de discordance, c’est l’état idéal qui nous motive à poser un plan d’action.
Faux; c’est plutôt l’écart perçu etre l’état actuel et l’état idéal qui est la source de motivation à établir un plan.