Cours 5 PATHOLOGIES DE L'ESTOMAC 2 Flashcards
Lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) Le tabagisme est lié à l’adénocarcinome gastrique.
b) L’adénocarcinome gastrique de type intestinal a un très mauvais pronostic.
c) L’adénocarcinome gastrique de type diffus a des cellules en bague à chaton.
d) L’adénocarcinome gastrique de type diffus est davantage anaplasique.
c) L’adénocarcinome gastrique de type diffus a des cellules en bague à chaton.
d) L’adénocarcinome gastrique de type diffus est davantage anaplasique.
Les adénocarcinomes gastriques se différencient en type intestinal et type diffus.
Le type INTESTINAL présente des structures ___ qui sont bien ___.
Le type DIFFUS présente des cellules contenant du ___. Le pronostic est ___.
glandulaires
différenciées
mucus
mauvais
Pourquoi la néoplasie de l’adénocarcinome gastrique est-il très avancée lors du diagnostic ?
Car les symptômes de ce cancer sont souvent tardifs.
L’estomac est de large calibre, il faut donc que les symptômes soient volumineux avant d’avoir un impact.
Q1 : Comment se présente la douleur dans le cas d’un adénocarcinome gastrique ?
Q2 : VF ? L’éradication du H. pylori n’est pas nécessaire dans le traitement du lymphome gastrique.
Q1 : douleur épigastrique, augmentée aux repas
Q2 : faux
🛑À quoi est surtout dû le lymphome gastrique ?
H.Pylori
Quelles sont les 3 traitements possibles pour le 𝗹𝘆𝗺𝗽𝗵𝗼𝗺𝗲 𝗴𝗮𝘀𝘁𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 ?
- éradication du H.Pylori
- chimiothérapie
- gastrectomie
Q1 : Pourquoi dit-on que le 𝗹𝘆𝗺𝗽𝗵𝗼𝗺𝗲 𝗴𝗮𝘀𝘁𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 est extra-gananglionnaires ? Où est-il situé ?
Q2 : À quelle pathologie de l’estomac peut-on associer cette description ?
« Prolifération des cellules ECL pour l’histamine »
a) GIST gastrique
b) Lymphome gastrique
c) Tumeurs carcinoïdes gastriques
Q1 : la majorité des lymphomes sont situés dans les ganglions lymphatiques. Pour le lymphome gastrique, il est situé dans le MALT (muqueuse associée au tissu lymphoïde)
Q2 : c) Tumeurs carcinoïdes gastriques
QSJ ? Nodule ou masse (groupe de cellules) qui dépassent le niveau de la muqueuse environnante.
polype
Q1 : Quels sont les 2 types de polypes gastriques ?
Q2 : Lequel a un POTENTIEL MALIGNE ?
Q1 :
- Polypes hyperplasiques
- Polype adénomateux
Q2 : adénomateux
Lequel ou lesquels de ces énoncés sont VRAIS ?
a) Les polypes de type hyperplasiques sont souvent dus à un usage prolongé d’IPP.
b) L’halithose peut être observée en cas de gastroparésie.
c) Il faut que les symptômes durent depuis plus de 3 mois pour diagnostiquer une dyspepsie fonctionnelle.
d) Les anti-cholinergiques constituent un traitement efficace pour la gastroparésie
a) Les polypes de type hyperplasiques sont souvent dus à un usage prolongé d’IPP.
b) L’halithose peut être observée en cas de gastroparésie.
c) Il faut que les symptômes durent depuis plus de 3 mois pour diagnostiquer une dyspepsie fonctionnelle.
La gastroparésie
___
Q1 : Qu’est-ce que c’est ?
Q2 : Donner des facteurs de risques pour la gastroparésie, selon les catégories suivantes.
- chirurgical :
- pharmacologique :
- médical :
Q1 : c’est un ralentissement de la vidange gastrique, une certaine perte de contractilité de l’estomac
Q2 :
- chirurgical : vagotomie (résection du nerf vague)
- pharmacologique : anti-cholinergiques et certains opiacés
- médical : diabète
Donner 3 manifestations cliniques pour la GASTROPARÉSIE.
- halithose
- perte de poids
- tympanisme à l’auscultation
La gastroparésie
___
Q1 : Quelle est la méthode diagnostique de choix pour la gastroparésie ?
a) radiologie
b) biopsie
c) angio-TDM
d) scintigraphie
e) échographie
Q2 : Donner une classe de médicaments utilisée dans le traitement de la gastroparésie, pour stimuler la contractilité gastrique
Q1 : d) scintigraphie
Q2 : cholinergiques
Q1 : QSJ ? Épisodes aigus de vomissements qui récidivent aux semaines ou aux mois et qui peuvent
durer de quelques heures à quelques jours.
Q2 : Quel est le traitement ?
Q1 : Syndrome de vomissement cyclique
Q2 : éliminer l’occlusion intestinale (s’il y a)
VF ? Toute aérophagie est pathologique (anormale).
FAUX
L’aérophagie sera pathologique si le patient ingère volontairement de l’air pour le faire ressortir.
Nous faisons tous de l’aérophagie normale en petite quantité, lorsque nous mangeons.