Cours 5 Flashcards

1
Q

De quoi parle-t-on lorsque l’on parle du « travail de terrain » au sein d’une recherche en sciences humaines et sociales ?

A

 Travail de terrain - entrer en action – commencer mon terrain (je commence mes entrevues). « J’ai travaillé sur le terrain pendant un an »
 Travail de terrain : « la collecte des données au contact direct de la réalité étudiée »
 Travail de terrain: Le moment où le chercheur rencontre son terrain et son objet d’étude sur son terrain.

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2
Q

Quels sont les éléments qui incitent à choisir un terrain ?

A

 Le cadre de financements,
 Les terrains difficiles d’accès pour de multiples raisons : éloignement géographique, barrière de la langue, sécurité, etc.
 Choisir le terrain disponible
 Choisir le terrain où on trouve facilement nos participants

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3
Q

Vrai ou faux
Il faut toujours justifier notre choix de terrain

A

Vrai

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4
Q

Le concept de terrain à deux dimensions. Quels sont-elles ?

A

Dimension géographique

Dimension sociale et organisationnelle
- Identité sociale – la population qui partage un intérêt, participent
dans un groupe, intéressé par le sport, partage une identité …
- Les gens qui ont l’expérience en ….
- L’hôpital, le CLSC, les organismes communautaires, l’école,
l’entreprise privé, etc.

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5
Q

Vrai ou faux
Tout terrain en sciences sociales implique un engagement de moyenne ou longue durée

Explication

A

Vrai
Le temps suffisamment long afin de nous permettre de réussir l’«entrée sur le terrain» - l’établissement du contact avec les acteurs et actrices présent-e-s et l’assimilation des éléments contextuels qui entourent notre objet d’étude.

Il n’existe pas de durée « universellement recommandée » cela dépende de l’objectif d’étude choisi

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6
Q

Définition de l’échantillonnage

A

Il s’agit de réduire un « vaste ensemble à une partie qui le représente »

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7
Q

L’échantillonnage ne saurait être dissocié de 3 choses

A

 questionnement qui est à l’origine de la recherche,
 de la population étudiée (p.ex., les personnes vivants les difficultés en santé mentale, les personnes âgées, etc.)
 Et des diverses contraintes (p. ex., financières, humaines (manque du personnelles-auxiliaire de recherche), le temps limité, etc.)

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8
Q

Échantillonner signifie prélever à l’Intérieur d’une population,
généralement appelée «_________________», un certain nombre de
personnes afin de les observer systématiquement (de participer).

A

base de sondage

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9
Q

L’échantillonnage est nécessaire en recherche pour deux raisons

A

La population à l’étude est généralement trop grande (quelque fois, pas toujours) et il est, de ce fait, impensable d’interroger toutes les personnes qui la composent
Certaines lois mathématiques nous enseignent qu’il n’est pas
nécessaire d’interroger tous les individus d’une population afin de
connaitre l’opinion générale

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10
Q

Cette étape d’une recherche que constitue l’échantillonnage pose
certaines difficultés au chercheur. Quels sont ces question ?

A

Qui doit-on choisir?
Combien de personne ?
Et comment procéder ?

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11
Q

Généralement, quand est ce qu’on procède à la constitution de l’échantillon?

A

On procède à la constitution de l’échantillon lorsque l’on est prêt à entreprendre la collecte des données (commencer notre terrain)

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12
Q

«La _______________ correspond à l’ensemble des individus qui ont des caractéristiques précises en relation avec les objectifs de l’étude ».

A

population

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13
Q

L’individus constituant la population sont appelés «_________» ou
«____________________».

A

unités

éléments de population

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14
Q

Vrai ou faux
Une unité n’est pas toujours un individu; elle peut correspondre à
tout un groupe de personne ou à une organisation.

A

Vrai
L’échantillon correspond donc à un certain nombre d’unités ou
d’éléments de la population à étudier.

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15
Q

Qu’est ce qu’une strate ?

A

Une strate est une sous-population, c’est-à-dire un regroupement
d’unités d’une population qui possèdent une ou plusieurs
caractéristiques en commun.

 Par exemple, dans mon cas : Travailleurs sociaux en SP(unité) –T.S en soins palliatifs à domicile ou à l’hôpital (strate).

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16
Q

À quoi il faut penser dans la construction d’un échantillon ?

A

 Choisir unités qui le composeront
 Déterminer sa taille

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17
Q

Quel sont les deux méthodes de construction d’un échantillon ?

A

 Selon la méthode probabiliste
 Selon la méthode non probabiliste

18
Q

Définir la méthode probabiliste.

A

 Chaque unité (chaque personne, organisme, etc.) a une chance et d’être incluse dans l’échantillon.
 Cette méthode est la plus précise car elle repose sur la loi du hasard.
 Statistiquement représentatif de la population
 Ainsi, nous pouvons extrapoler ou généraliser à la population les résultats obtenus à partir de l’échantillon.

19
Q

Probabiliste ou non probabiliste ?
On suppose qu’il est aussi probable qu’une unité donnée de la population soit choisie dans l’échantillon que n’importe quelle autre.

A

Probabiliste

20
Q

Quel sont les techniques utilisées pour constituer un échantillon selon la méthode probabiliste ?

A

 L’échantillonnage de hasard simple
 L’échantillonnage de hasard stratifié
 L’échantillonnage en grappes
 L’échantillonnage systémique probabiliste
 L’échantillonnage à plusieurs degrés

21
Q

Définir l’échantillonnage de hasard simple

A

 Chaque élément de la population a une chance égale d’être inclus dans l‘échantillon
 Faire une liste des unités (population, si possible) : on les numérote, on dépose ces numéros dans un contenant et on procède au tirage au hasard
 Pour de grandes populations on se sert d’un programme – on peut
commander de nous tirer chaque 100eme personne…

22
Q

Définir l’échantillonnage de hasard stratifié

A

 Diviser la population en deux groupes
 Mon exemple : T.S en SP à domicile et T.S en SP à l’hôpital
 Il s’agit ensuite de tirer un échantillon de hasard simple

23
Q

Définir l’échantillonnage en grappes

A

 L’échantillon en grappes n’est pas composé d’unités individuelles ; les grappes qui le composent sont constituées de vaste regroupement : des villes, des écoles, des usines
 Une fois les grappes désignées, on interroge tous les individues de
chaque grappe

24
Q

Définir l’échantillonnage systémique ou par intervalles

A

 La liste de la population (par exemple, 400 personnes / unités)
 Pour sélectionner un échantillon de 100 unités à partir d’une
population de 400, vous auriez besoin d’un intervalle d’échantillonnage de 400 ÷ 100 = 4.
 Sélectionner au hasard un nombre entre 1 et 4.
 On a choisi 3 (+3 = 6,9,12,15,18…….100)

25
Q

Définir l’échantillonnage à plusieurs degrés

A

Utiliser successivement plusieurs méthodes différentes
d’échantillonnage.

26
Q

Définir la méthode non probabiliste.

A

 La méthode non probabiliste n’est pas basée sur la mathématique et la théorie des probabilités : elle ne relève pas du hasard.
 On choisit l’échantillon en fonction de certaines caractéristiques
précises de la population.
 La généralisation est limitée

27
Q

Probabiliste ou non probabiliste
Cette méthode est plus utilisée dans les sciences sociales, en
particulier en travail social et surtout lorsque la méthodologie
privilégiée est de type qualitatif.

A

Non probabiliste

28
Q

Quel sont les principales techniques d’échantillonnage non probabilistes

A

 L’échantillonnage de commodité
 L’échantillonnage par quotas
 L’échantillonnage typique
 L’échantillonnage en « boule de neige »
 L’échantillonnage de volontaires
 L’échantillonnage systémique non probabiliste

29
Q

L’échantillonnage de commodité
(non probabilistes)

A

 Un échantillon constitué des gens à qui on a un accès facile.
 Par exemple, les femmes qui au cinéma s’assoient dans la première rangée; les 100 premiers clients à entrer dans un
grand magasin; les trois premières personnes qui écrivent sur Facebook dans le cadre d’un concours

30
Q

L’échantillonnage par quotas
(non probabilistes)

A

 On détermine au sein de la population les caractéristiques qui sont
importantes pour la recherche et on choisit l’échantillon en respectant ces caractéristiques.
 Le quota est en quelque sorte une forme de strate, mais non
probabiliste
 10 garçons et 10 filles (parmi la population de 100

31
Q

L’échantillonnage typique (ou jugé)
(non probabilistes)

A

 Il s’agit de privilégier des unités typiques ou encore des personnes qui répondent au « type Idéal » par rapport aux objectifs de la recherche.

32
Q

L’échantillonnage en « boule de neige »
(non probabilistes)

A

 Il s’agit de recourir à des personnes qui peuvent suggérer le nom d’autres personnes susceptibles de participer à l’étude, qui à leur tour, feront la même chose, jusqu’à ce qu’un échantillon suffisant soit constitué.

33
Q

L’échantillonnage de volontaires
(non probabilistes)

A

Cette technique consiste à faire appel à des volontaires pour
constituer l’échantillon
Par exemple : Lorsque le problème est délicat ou tabou;
lorsque la participation à la recherche implique certain risque
(expérimenter un médicament)

34
Q

L’échantillonnage systémique non probabiliste
(non probabilistes)

A

Consiste à utiliser une liste déjà établie (par exemple, une
liste des bénéficiaires d’un type de service) mais chaque personne de la liste n’a pas une chance égale d’être choisie. Le premier numéro n’est pas choisi au hasard.

35
Q

Comment définir la taille de l’échantille avec une étude qualitative ?

A

Il n’y a aucune règle concernant la taille de l’échantillon dans une
recherche qualitative
Le nombre variera selon ce que l’on veut savoir, l’objet de recherche, l’utilité, ce qui peut être fiat avec le temps et les ressources disponibles.
Il y a quand même un principe à respecter–la saturation–on sait
que l’échantillon est suffisamment grand…

36
Q

Comment définir la taille de l’échantille avec une étude quantitative ?

A

 Un échantillonnage probabiliste– traité de manière assez précise (on compte mathématiquement le niveau de confiance (95%) et un degré de précision (+/-5%)– (intervalle de confiance)
 Pour une population de 1000 on a besoin de 280 unités
 Pour une population de un million de personnes on a environ 380
unités.

37
Q

On cherche à obtenir un échantillon « statistiquement représentatif » pour la méthodologie ________________

A

quantitative

38
Q

on cherche à obtenir un échantillon d’une réalité ou qui « représente une réalité » pour la méthodologie _____________

A

qualitative

39
Q

Vrai ou faux
Il y a des critères de sélections dans le choix des échantillons

A

Vrai
Critères d’inclusion ou
Critères d’exclusion

40
Q

Quels sont les Renseignements à inclure dans les textes de recrutement ou dans la lettre d’invitation ?

A
  • Le titre de la recherche
  • L’objectif de la recherche, expliqué brièvement
  • Les critères de sélection des participants
  • Une brève description de ce qui est attendu des participants
  • Le nom du chercheur responsable et ses coordonnées
  • Les coordonnées de la personne à joindre pour obtenir de l’information
41
Q

Quels sont les types de recrutement ?

A

Le recrutement indirect
- Cette stratégie privilégie la diffusion d’une annonce, d’un dépliant ou d’une affiche afin que les personnes intéressées communiquent elles mêmes directement avec nous pour lui signifier leur intérêt à participer à notre projet.

Le recrutement direct
- Cette stratégie consiste à interpeler une personne de vive voix, par
téléphone ou en personne.

Le recrutement indirectement direct
- En effet, certaines particularités des participants nécessitent parfois
qu’ils soient contactés par les acteurs clés -La technique «boule de neige»
- Le recrutement par l’entremise d’un tiers ayant un lien de dépendance ou d’autorité avec les personnes visées par le recrutement –à éviter si possible

42
Q

Quels sont les enjeux de recrutement ?

A

 Comment motiver les gens à participer ?
 La question du temps
 Pas intéressés, ne voyant pas l’objectif de la recherche
 Le nombre des participants ?