cours 4 TDL Flashcards

1
Q

conséquence du TDL dans la vie quotidienne ?

A

mise en quarantaine par les profs et les élèves, qui ne comprennent pas forcément els difficultés

enfants qui ont une lenteur surtout dans le langage, besoin de temps mais les met en retard, lors de discussions va bcp trop vite, tmps qu’ils aient fini de trouver leur mot pour produire énoncé on est bcp plus loin dans la discussion

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2
Q

comment a evolué la terminologie ?

A

Sur le plan international, la terminologie a récemment évolué:

  • trouble spécifique du langage (specific language impairment, SLI)
  • trouble primaire du langage (primary languageimpairment, PLI)
  • trouble développemental du langage (developmental language disorder, DLD)
  • Dans le monde francophone uniquement, on utilise encore parfois le terme de dysphasie mais pas recommandé
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3
Q

critères DSM 5

A

dans troubles de la communication “trouble du langage”

A. Difficultés persistantes d’acquisition et d’utilisation du langage dans ses différentes modalités (parlé, écrit, signé) dues à une manque de compréhension ou de production incluant les éléments suivants:

  1. Un vocabulaire restreint (connaissance et utilisation des mots)
  2. Carence de structuration de phrases (capacité à assembler les mots et les terminaisons de mots pour former des phrases qui respectent les règles morphologiques et grammaticales)
  3. Déficience du discours (capacité à utiliser le vocabulaire et à organiser les phrases pour expliquer ou décrire un sujet, une série d’événements ou tenir une conversation)

C. Les symptômes débutent dans la période précoce du développement

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4
Q

comorbidité selon DSM5

A

le trouble du langage est fortement associé à d’autres troubles neurodéveloppementaux (tr. Apprentissage, TDAH, TSA, TDC). On trouve souvent des antécédents familiaux de troubles de la parole ou du langage.

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5
Q

critère CATALISE

A
  • similaire au DSM
  • apparait pdt développement
  • pas imputé à une cond biomédicale
  • hétérogénéité du trouble
  • Phonologie
  • Syntaxe
  • Morphologie
  • Sémantique
  • Accès lexical
  • Pragmatique
  • Discours
  • Apprentissage/ mémoire verbaux
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6
Q

qu’observe-t-on souvent lors de l’évolution du trouble ?

A

effet matthieu
- chute entre 8 et 36 pts de QI entre enfance et age adulte

  • enfants qui n’ont pas de pb non vb à la base, QI dans la norme mais avec le temps diminue car pb vont se déplacer dans ‘autres sphères
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7
Q

effet matthieu

A

donne a ce qui ont déjà et on enlève à ceux qui ont peu, enfants qui vont bien continuent a faire des acquisitions et enfants qui ont des diff sont plus lents, fossé se creuse

langage : outil de communication + d’apprentissage
trouble qui ne concernait que le langage a eu des répercussions + larges sur le dev de l’enfant,

si faible niveau de dev du langage aura tendance à - interagir avec autres enfants et adultes et va stimulation - importante qu’enfants très à l’aise avce lge qui vont bcp interagir et puisqu’on apprend avec les interactions…enfants avec bcp d’interactions vont faire encore + de progrès et ceux qui en ont peu, faible stimulation -> effet boule de neige

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8
Q

de quoi dépend l’évolution du trouble ?

A

De l durée + du niveau de la difficulté

si les diff langagières sont résolues, scores non vb vont rattraper la moy
enfants avec diff persistantes quant à eux risque de présenter des scores non vb inférieurs a l’adolescence, ne rattrapent pas leur retard

  • A 15 ans :
  • difficultés langagières résolues –> scores non verbaux dans la norme
  • difficultés langagières persistantes –> scores non verbaux inférieurs
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9
Q

S’agit-il d’un problème spécifique (comme le suggérait l’étiquette «trouble spécifique du langage »)?

A

Problématique des troubles co-occurrents :

  • Troubles moteurs chez les TDL
  • -> 40 à 90 % remplissent également les critères de Tdev de la coordination motrice
  • -> Certaines théories font l’hypothèse d’un déficit procédural sous-jacent commun, base commune avec avec dev du lge, repose sur déficit apprentissage procédural –> mais pas systématiquement associé
  • Déficits attentionnels chez les TDL –> 20 à 60 % remplissent également les critères de TDAH
  • Déficits auditifs de traitement des signaux temporels brefs –> environ 30% des enfants présentent des déficits auditifs de ce type
  • -> lié aux aires de traitement du cerveau (pas aires périphériques),
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10
Q

déficits auditifs chez TDL ?

A

tache : on présente 2 sons facilement identifiables, on les rapproche pour savoir a partir de quel moment l’enfant n’entend plus qu’un son, intervalle inter stimulus est trop faible

–> qualité taille de cet intervalle (7 à 12 ms pour DT alors que jusqu’à 300ms chez TDL), impact traitement de la parole pcq si on ne fait pas la diff sur les 1ere ms entre ba et da, n’arrive pas a distinguer les 2 sons, impact tous les sons brefs et donc apprentissage langage

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11
Q

Similarité des profils linguistiques entre

A
  • TDL et : sourds, TSA, dyslexiques, apprenants L2, syndrome de Down

si on regarde à l’aveugle on regarde corpus d’enfants avec diff popu cliniques : grande similarités des profils linguistiques

erreurs des enfants TDL et erreurs enfants qui sont en cours d’apprentissage d’une langue, si viennent d’arriver dans le pays –> meme erreurs
donc pas erreurs uniquement spécifiques au TDL

pareil pour SDD (trisomie 21), si comparaison leur corpus avec corpus TDL, similarités

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12
Q

quelles sont les implications cliniques ?

A

Ces critères d’exclusion (par ex QI insuffisant) ne permettent pas :

  • de définir un groupe avec des besoins cliniques homogènes, définir un ensemble d’enfants qui font partie du meme groupe
  • de distinguer des sous-groupes d’enfants cliniquement et théoriquement distincts sur la base:
  • de leurs caractéristiques langagières
  • de l’efficacité de la prise en charge logopédique
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13
Q

quelles sont les implications thérapeutiques ?

A

savoir quels enfants répondraient mieux à quels traitement
bien regarder cas par cas, documenter forces et faiblesses pour tailler intervention thérapeutique et aménagement sur le plan de la scolarité personnalisé

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14
Q

marqueurs de déviance du TDL ?

A
  • Les enfants avec TDL produisent TOUJOURS des erreurs retrouvées chez des enfants plus jeunes

Chronologie d’acquisition : ralentissement mais identique au développement typique –> Pas de système qualitativement différent, juste + lent et + laborieux

mais idée encore présente, que le langage chez les TDL se développerait différemment !

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15
Q

certains difficultés linguistiques identifiées comme marqueurs potentiels du TDL

A

difficultés souvent retrouvées :

  • tache de répétition de pseudo mots : syllabe sans signification, fait répéter jusqu’à ce que l’enfant ne soit plus capable de les restituer dans le bon ordre –> implique réception, stockage MCT et restitution si deficit dans cette tache, diff a ces différents niveaux (mnésique, réceptif et productif), mais comment savoir quel processus est déficient ? si tache bien réussie, peut exclure a 80% TDL OU répétition phrase de longueur et complexité croissante
  • production pronom clitique objet (3e pers) : il le lave)
  • production de morphologie vb en contexte obligatoire
    “hier” j’ai fait les courses –> oblige à utiliser le passé et accorde vb avec sujet (contx obligatoire), mettre des contraintes sur ordre des mots sur la fin de la phrase, morpho vb (temps, modes) posent pb

–> mais marqueurs manquent de spécificité ! autres dans d’autres groupes cliniques

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16
Q

quel est le problème avec les marqueurs potentiels du TDL au niveau des diffs linguistiques ?

A

Mais manque de spécificité :

  • Syndrome de Down : difficultés en répétition de pseudo-mots
  • Sourds, TSA, dyslexiques : difficultés avec les pronoms clitiques objets + répétition de phrases
  • Apprenants L2 : difficultés avec la morphologie verbale
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17
Q

compare perf en répétition de phrase chez les controles VS pop cliniques

A

on observe que les controles sont au plafond pour quasi tous les types de phrases mais diminution pour phrases + complexes (complétives, relatives)
VS
pop clinique quantitativement moins bon mais baissent aussi aux meme endroits que els controles (structures + complexes)
–> sont seulement affaibli

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18
Q

étude en comparant controle et cliniques sur XP de pronom clitiques et articles définis

A

bon résultats pour toutes les pop en articles définis (le chien) donc pas “le” en tant que tel qui pose pb mais moins bon résultats pour les pop cliniques quand “le” est produit comme pronom clitique (il le pèse)

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19
Q

critère de sévérité

A

très variable :

  • en dessous percentile 10
  • pour d’autres on fait passer test global sur diff taches du langage et doit etre inf à 1,25ECT sur 2 taches sur 5
  • francophonie + strict –> - 2ECT moy sur 1 test
  • dépend des objectifs (clinique, recherche, financier)
  • aujourd’hui tendance à se référer à l’impact du handicap dans la vie quotidienne
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20
Q
  • handicap a un impact social important car :
A

augmente risque de :

  • décrochage scolaire
  • troubles comportementaux ou psychiatriques
  • chomage ou faible insertion professionnelle
  • troubles sociaux
21
Q

critère de persistance

A
  • malgré une bonne prise en charge, trouble peut persister, trouble langagier perdurant au-delà de 6 ans
    Ex : trouble persistant avec clitiques accusatifs –> 50% de production correcte chez des TDL 11-20 ans (M= 15 ans) versus 70% chez les DT-6 et 98% chez les DT-11

Ex : pas d’augmentation des structures complexes (avec enchâssement) à l’adolescence mais davantage de stratégies d’évitement de la complexité en langage spontané
–> utilisation - freq de structures complexes

22
Q

quels sont les 2 critères pour l’évolution du TDL ?

A
  • persistance

- sévérité

23
Q

enfants TDL de 7 ans revus plusieurs années après, quels sont leurs difficultés ?

A
  • à 11 ans, seulement 25% lge dans la norme

- entre 13 et 19ans, tous ont encore TDL patent (avec quasi tout le temps diff phono > morphosyntaxe > LE)

24
Q

facteurs pronostics d’une bonne évolution du TDL ?

A
  • Capacité de raconter une histoire à partir d’images (capacités narratives)
  • Déficits phonologiques purs
  • Absence de troubles de la compréhension
25
Q

quel est le majeur problème du TDL ?

A
  • hétérogénéité des troubles, avec des profils linguistiques très hétérogènes (–>Certains auteurs ont tenté de définir des sous-types sur la base d’observations cliniques et d’études empiriques
  • But : répartir les enfants dans des sous-groupes homogènes
26
Q

3 auteurs qui ont voulu classifier sous groupes de TDL ?

A
  • rapin & allen 1983 : 6 groupes, sépare enfants avec diff caté
  • gerard 1993 : similaire au 1er
  • bishop 2004 : 3 groupes simplification car les autres ne marchaient pas : troubles linguistiques, pragmatiques et praxiques
27
Q

pourquoi les classifications de rapin et allen posent problème ?

A
  • la plupart des enfants sont à la limite entre plusieurs catégories
  • entre7-8 ans, 45% changent de caté
  • profils peu stables dans le tems (amélioration ou agravation)
  • peu utilse pour la prise en charge
28
Q

consensus trouvé chez la plupart des cliniciens en 4 sous catégorie avec bishop (dont 2 qui ne font pas partie du TDL

A
  • Trouble/Dysphasie linguistique (≈ TDL) : difficultés phonologiques, lexicales, sémantiques morphosyntaxiques, et/ou discursives, sur les versants productif et/ou réceptif –> ORGANISATION DES FORMES DU LANGAGE
  • Trouble pragmatique du langage (TPL) = Déficit pour l’utilisation du langage dans son contexte de communication. Difficultés dans la compréhension du langage, en particulier lorsque l’interprétation doit tenir compte du contexte, comme c’est le cas pour l’humour ou les métaphores –> FONCTION COMMUNICATIVE

plus dans le TDL : Dyspraxie verbale développementale : troubles de programmation et de planification motrice de la parole qui ne peuvent pas être expliqués par des problèmes musculaires ou sensoriels –> PRODUCTION MOTRICE DE LA PAROLE

29
Q

trouble de la communication sociale

A

autre classification dans les troubles de la communication dans le DSM

touche la pragmatique

  • déficit persistant dans l’utilisation sociale de la communication verbale et non vb
  • diff partager information appropriée au contx social
  • diff a s’adresser différemment selon le locuteur
  • diff suivre conversationnels (gestion des tours de parole
  • diff a comprendre ce qui n’est pas clairement exprimé
30
Q

critères transversaux des troubles de communications ?

A
  • déficits provoquent des limitations fonctionnelles dans le domaine des relations sociales, professionnels, scolaires
  • apparus durant le développement
  • critère de sévérité (léger –> sévère)
31
Q

def CIM 10 du TDL

A

plusieurs sous catégories :

  • TDL qui touche expression + réception
  • TDL touche massivement expression
  • TDL avec trouble pragmatique
32
Q

definition CATALISE du TDL

A

troubles pragmatique font partie du TDL, sous type plutot que catégorie à part comme le DSM

33
Q

prévalence TDL

A
  • autour de 5% donc un élève/classe
  • 2,8 garcons pour une fille

–> MAIS est ce vraiment le reflet de la population ?

34
Q

`problème avec diagnostic TDL ?

A

prévalence basé sur taux dans les centres d’aide mais pas sur la pop en général
la différence entre els filles et les garçons serait bcp plus faible
–> surdiagnostic des G et sous- diagnostic des F ?

35
Q

sémiologie, quels domaines sont affectés ?

A

déficits :

  • phonologiques
  • lexicaux
  • grammaticaux
  • discursifs
  • pragmatiques
36
Q

déficits phonologiques

A

sphère presque tjrs affectée

  • aspect productif le plus visible (omissions, substitutions, métathèse)
  • mais tendance à oublier aspect receptif, diff en discrimination auditive (confusions entre phonèmes)
  • persistance des processus simplificateurs après 5 ans (antériorisation, postériorisation) –> normal pour tout le monde car coordination complexe mais au dela de 5 ans pb
  • instabilité des productions, grande variabilité

signes de sévérité :

  • touche aussi les voyelle (alors que normalement cons les + touchées)
  • plusieurs transfo dans un meme mot
37
Q

déficits lexicaux

A

enfants avec TDL :

  • acquièrent plus tardivement leurs 1ers mots (23M au lieu de 12M chez controles)
  • voca moins riche
  • plus diff d’acquérir de nouveaux mots
  • plus de pbs avec vb qu’avec noms
  • plus de termes non spécifiques (truc, machin)
  • circonlocutions (truc pour taper = marteau)
  • paraphasie (mot de la meme caté sémantique pour en désigner un autre)
  • manque du mot env 40% chez TDL
38
Q

déficits grammaticaux

A
  • combinaisons de mots + tardive
  • diff en morphosyntaxe (accords, conjugaison), omissions de mots outils
  • pb avec phrases avec structure complexes, evitement donc vont faire plutot 2 phrases qu’une
  • pb avec prépositions et conjugaison de vb, formes composées
39
Q

épreuve pour tester déficits grammaticaux ?

A

répétitions de phrases

  • DT à 4 ans répète la phrase correctement
  • TDL à 7-10 ans tjrs omissions et substituions, variabilité des productions
40
Q

phrases enchassées chez les TDL en discours spontané

A
  • vont faire moins de phrases enchassées proportionnellement que les controles et lorsqu’ils en font, elles sont plus souvent erronées
  • font bcp de tentative d’évitement, faire 2 phrases plutot qu’une
41
Q

déficits discursifs

A

s’appuie sur la phono, la sémantique, la pragmatique –> normal qu’il y ait des difficultés

mais est ce que conséq des difficultés de langage ou problème en soi ? les études ne sont pas arrivées à trancher

difficultés en :
- macrostructure : introduire situation, évènements, dénouement, aspect global élaboration récits, énoncé contiennent de l’info importante, complète

  • microstructure : comment énoncé sont connectés entre eux, si on a introduit un perso, utilisation PP, doit tjrs reprécisé si jamais on parle de 2 diff (gestion référence)
  • -> peut etre côté dans un récit produit
42
Q

troubles pragmatiques : quelles sont les implications dans la vie quotidienne ?

A
  • Impression de difficultés de compréhension verbale (non liées à un stock lexical insuffisant)
  • ex : écholalie ou répond « à côté de la plaque»
  • Interprétation littérale des messages
  • Difficultés avec le 2nd degré, ironie, métaphores…
  • Manque de réactions / à l’interlocuteur
  • Échec aux tâches mentalistes (tâches ToM)
  • Moins de productions de requêtes de clarifications
43
Q

quelles sont les théories explicatives du TDL ?

A

3 explications en approche psycholinguistique :

  • déficit perceptif
  • deficit cognitif non linguistique
  • théorie usage et construction

1 théorie linguistique : Representational Deficit for Dependent Relationship

44
Q

théorie de déficit perceptif

A

troubles MS viendrait d’un déficit de perception des éléments peu saillants du discours OU deficit dans traitement rapide des signaux brefs

45
Q

théorie déficit cognitif non linguistique

A

déficit dans les FE, MDT et attentionnelles

46
Q

théorie usage et construction

A

diff de généralisation et abstraction à partir d’un input, diff d’extraire els régularités

47
Q

théorie linguistique

A

troubles MS viendrait de la diff avec les opérations syntaxiques de mouvement et de relation a distance

opé syntaxiques + compliquées, grammaire aurait des capacités particulières, structures complexes qui effectuent des mvts

objets clitiques : je mange une pomme –> je la mange
mvt objet passe d’après le vb à avant –> mvt syntaxique aurait du mal à se faire chez TDL

48
Q

comorbidités/co-occurence avec TDL

A
  • TDAp, possible d’avoir uniquement TDL ou TDA mais un enfant sur 2 de la pop clinique a les 2
  • TDAH
  • TCM
  • TSA

–> combinaison peuvent etre multiples, frontières pas toujours claires entre troubles neurodev

49
Q

pourquoi comorbidité est très élevée ?

A
  • comorbidité trop élevée pour etre accidentelle
  • une dev atypique du cerveau d’origine génétique pourrait aussi affecter d’autres domaines importants du dev
  • un trouble peut en affecter un autre –> interactions
  • -> recherches encore en cours