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Psychologie sociale II > Cours 4 - Les relations interpersonnelles Partie 2 > Flashcards

Cours 4 - Les relations interpersonnelles Partie 2 Flashcards

1
Q

Quels sont les 3 niveaux de développement de l’attraction personnelle?

A

NIVEAU I: La prise de conscience de la présence d’autrui, la formation des impressions

NIVEAU II: L’exploration mutuelle

NIVEAU III: La réciprocité de l’intérêt pour autrui

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Q

NIVEAU I: La prise de conscience de la présence d’autrui, la formation des impressions : qu’est-ce que l’on fait, à ce niveau?

A

Prise de consience de l’existence de l’autre –> Début des impressions qui se font par l’intermédiaire d’un cotoiement répété ou par l’intermédiaire des relations instrumentales et utilitaires

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3
Q

NIVEAU II: L’exploration mutuelle.

S’il y a intérêt, on se rend aux relations interpersonnelles (on se dirige vers l’exploration mutuelle, on se rencontre dans un nouvel endroit).

Ça implique quoi?

A

Implique qu’on change le cadre de rencontre initiale

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4
Q

NIVEAU III: La réciprocité de l’intérêt pour autrui. Qu’est-ce qui est important ici??

A

Autorévélation

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5
Q

Quels sont les 4 facteurs déterminants l’attraction mutuelle ?

A

La proximité physique
L’apparence physique
Le rôle des valeurs et des attitudes
Le rôle de la compétence d’autrui

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6
Q

Quelles sont les 4 similitudes importantes en relation?

A
  • La similitude sociodémographique
  • La similitude de l’attractivité physique
  • La similitude des attitudes
  • La similitude effective versus la similitude à l’idéal de soi –> Idéal de soi que l’on projette sur l’autre, ce n’est pas la similitude réelle et objective (effective)
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7
Q

2 complémentarités sont importantes en relation. Lesquelles?

A

Complémentarité des besoins
Complémentarité des ressources

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8
Q

Pour ce qui est de la complémentarité des besoins en relation, on observe une prise de rôle dans les couples de longue durée. Laquelle?

A
  • Domination/soumission; tendance à protéger/ à être protégé
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9
Q
  • Étude (Kerckhoff et Davis, 1962) : la (a) est importante au début d’une relation alors que la (b) prend de l’importance ultérieurement
A

la similitude est importante au début d’une relation alors que la complémentarité prend de l’importance ultérieurement

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10
Q

La similitude est importante au début d’une relation alors que la complémentarité prend de l’importance ultérieurement. À quoi je fais référence?

A

(hypothèse de filtrage)

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11
Q

Hypothèse de filtrage : 3 niveaux. Lesquels?

A
  1. Facteurs déterminants l’attraction mutuelle (proximité physique, apparence physique, valeurs, attitudes, compétence de l’autre)  vu plus tôt
  2. Besoins de similitude (sociodémographique, attractivité physique, attitudes, effective et idéal de soi) pour continuer à s’engager dans la relations  vu plus tôt
  3. Arrivée des besoins de complémentarité (domination/soumission , protecteur / protégé)
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12
Q

Étude : Les couples récent (moins de 18 mois) et de longue durée (plus de 18 mois) :

Quels sont les meilleurs prédicteurs pour les couples récents et les couples de longues durée?

A

Récent –> concordance des valeurs

Longue durée –> complémentarité

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13
Q

Étude : Les couples récent (moins de 18 mois) et de longue durée (plus de 18 mois) :

Récent–> concordance des valeurs = meilleur prédicteur; Longue durée –> complémentarité : meilleur prédicteur.

Ce résultat appui quoi?

A

Appui l’hypothèse du filtrage

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14
Q

La réciprocité de l’attraction : Comme facteur (a) et facteur de (b)

A

Comme facteur d’attraction et facteur de consolidation

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15
Q

Faire l’objet de jugements positifs a quel impact a/n de l’attraction?

A

augmente l’attraction que peut ressentir l’individu envers la source de ces jugements

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16
Q

Quel est le rôle de la perception de soi et de la confiance dans l’attraction?

A

si pas confiance en soi ou mauvaise perception de soi : pas l’impression d’être attirante pour les autres.

17
Q

Étude (Tanke et Bershied, 1977)

Participant.es: étudiants et étudiantes qui ne se connaissent pas. Formation de couples, placés dans les pièces séparées

Méthodologie:
* Le sujet masculin reçoit une photo (qui n’est pas la madame de l’autre côté du téléphone. Une fille 10/10 ou 1/10)
* Le sujet masculin donne son impression
* Une conversation téléphonique entre sujet masculin et sujet féminin

Quels sont les 3 résultats?

A

1-Les sujets attractifs sur les photos sont jugés plus positivement sur l’ensemble des caractéristiques sociales et de personnalité par les sujets masculins

2-Les sujets masculins se montrent plus amicaux envers leur partenaire si celle-ci est attractive (selon la photo)

3-Le comportement verbal des sujets féminins se module à l’attitude des sujets masculins

18
Q

Étude (Tanke et Bershied, 1977) : Les attentes influencent non seulement le comportement du sujet qui reçoit la photo, mais également…

A

mais également le comportement de la personne cible de ces attentes

19
Q

Le processus relationnel Schutz (1960) : qu’est-ce que dit cette théorie de la relation?

A

Théorie pulsionnelle de la relation qui dit que toutes relations est satisfaisante, car juste le fait d’être en relation, c’est satisfaisant.

20
Q

Selon le processus relationnel de Schutz, nous avons trois besoins fondamentaux. Lesquels?

A
  1. L’inclusion
    Besoin intense de se sentir inclus par les parents (avoir l’attention, retenir cette attention, ne pas être négligé). Inclusion = effort que l’enfant va faire pour retenir l’attention du parent et éviter l’abandon
  2. Le contrôle
    Enfant doit sentir que l’enfant à un certain contrôle sur les comportements de ses parents (si je pleure, ils vont m’aider)
  3. L’affection
    Besoin d’affection avec les parents
21
Q

Vrai ou faux. Les 3 besoins fondamentaux, selon le processus relationnels de Schutz, se font simultanément pendant l’enfance.

A

Faux, se fait chronologiquement

22
Q

selon le processus relationnels de Schutz, lorsque les 3 besoins fondamentaux sont comblés, qu’est-ce que ça crée?

A

Une compatibilité harmonieuses

23
Q

2 éléments sont présents dans les théories de l’apprentisage. Lesquels?

A

Exposition à autrui et renforcement

24
Q

Les théories de l’apprentissage - Exposition à autrui

L’exposition à autrui explique seulement quoi?

A

ce qui se produit au début d’une relation

25
Q

Les théories de l’apprentissage - Exposition à autrui
À force d’être exposé à l’autre, qu’est-ce que l’on voit?

A

sentiment de familiarité –> augmentation de l’attraction amicale et amoureuse (en début de relation seulement)

26
Q

Vrai ou faux? Exposition à l’autre n’augmente pas toujours l’attraction à l’autre, parfois, ça le diminue aussi.

A

Vrai, surtout si c’est trop familier

27
Q

Selon les théories de l’échange et de l’interdépendance, quels sont les 6 éléments importants de la relation?

A
  • La récompense (et son anticipation)
  • Le coût
  • Les bénéfices
  • Les ressources
  • La dépendance de la valeur
  • Les alternatives
28
Q

Qu’est-ce qui différencie les modèles de l’équité des théories de l’échange et de l’interdépendance?

A

On reprend la théorie de l’échange et de l’interdépendance, mais tu le fais aussi pour l’autre afin de savoir si c’est équivalent :

  • Comparaison sociale dans la perception des bénéfices réciproques
  • Perception d’injustice en relation
  • Calcul coût-bénéfice pour soi et pour l’autre
29
Q

Selon les modèles de l’équité, si l’autre à plus de bénéfice = sentiment d’injustice. Qu’est-ce que la personne va faire?

A
  • Les individus cherchent à restaurer l’équité relationnelle
  • Manipulation des coûts-bénéfices
  • Dissonance cognitive
30
Q

Selon les théories cognitives, qu’est-ce qui est la source du sentiment d’attraction?

A
  • Confirmation du système de pensée
31
Q

Selon les théories cognitives, quel est notre besoin fondamental?

A
  • Un besoin d’équilibre et de cohérence cognitive
32
Q

Selon les théories cognitives, quel est notre motivation fondamentale?

A

Maintenir et entretenir des relations équilibrées

33
Q

Selon les théories cognitives, qu’est-ce qui est important pour conserver une cohérence cognitive et un équilibre?

A
  • Système de pensée (croyances, valeurs, attitudes)
34
Q

Qui suis-je? Nous avons 3 besoins fondamentaux : l’inclusion, le contrôle et l’affection et lorsque comblés = compatibilité harmonieuse

A

Le processus relationnels de Schutz.

35
Q

Qui suis-je? Les bénéfices doivent être > que les couts pour rester en relation. Je prends en considération différents facteurs, tels que les ressources, la dépendance de la valeur, les alternatives etc.

A

Les théories de l’échange et de l’interdépendance

36
Q

Qui suis-je?

  • Comparaison sociale dans la perception des bénéfices réciproques
  • Perception d’injustice en relation
  • Calcul coût-bénéfice pour soi et pour l’autre
  • Les individus cherchent à restaurer l’équité relationnelle
  • Manipulation des coûts-bénéfices
  • Dissonance cognitive
A

Les modèles de l’équité

37
Q

Qui suis-je? exposition à autrui et conditionnement classique

A

Les théories de l’apprentissage

38
Q

Qui suis-je ?

  • Confirmation du système de pensée: source du sentiment d’attraction
  • Système de pensée (croyances, valeurs, attitudes)
  • Un besoin d’équilibre et de cohérence cognitive
  • Motivation fondamentale à maintenir et entretenir des relations équilibrées
A

Les théories cognitives

Psychologie sociale II (10 decks)

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