cours 4: les perceptions et les cognitions sociales Flashcards

1
Q

ÉTUDE DE CONDRY & CONDRY (1976)

A

une étude sur la perception des bébés
1- on présente une vidéos de bébés qui jouent avec des jouets qui peuvent susciter des émotions positives et d’autres négatives

colère: fasse à une émotions négatives les garçons ont tendances à être plus en colère que les filles

peur: fasse à une émotions négative les fille ont plus tendance à avoir peur

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2
Q

les perceptions sociales

A

Les processus perceptuels qui produisent et maintiennent nos conceptions des autres personnes

processus et conséquence de nos réflexions et évaluations sur les gens qui font part de notre environnement sociale

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3
Q

les cognitions sociales

A

L’ensemble des processus utilisés par les individus pour interpréter, analyser, se rappeler et utiliser l’information provenant du monde social

débute au moment où les ordis deviennent de plus en plus puissant

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4
Q

buts des perceptions sociales

A

-Comprendre l’autre
-Reconnaître les caractéristiques distinctes de la personne
-Déterminer comment agir avec ou traiter la cible
-Permet de prédire et de contrôler

sans les perceptions tous les gens nous semblerais identique

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5
Q

la perception des objects vs la perception des individus

A

-Un individu peut changer après une perception
-Les individus peuvent influencer intentionnellement nos perceptions
-Les individus (cibles) sont des percevants de nous-mêmes
-Les individus sont plus complexes que les objets

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6
Q

les schémas

A

structures issus de notre expérience qui nous aident à organiser la nouvelles informations qui nous parvient et influent sur nos cognitions et perceptions

Caractéristiques:
- Structure mentale qui nous permet d’organiser une grande quantité d’information de façon efficace
-Les schémas facilitent le traitement de l’information:
- Ils orientent l’attention, le rappel de l’information en mémoire et facilitent
l’emmagasinage de l’info
-Les schémas sont à la fois contenu et processus
- Différents types: sur soi, une personne, un rôle social, un groupe, un événement
 Inconvénients…
*Implications aussi pour les relations humains-animaux (Morril et al., 2022)

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7
Q

les schémas sur le soi

A
  • représentations que nous avons sur nous-mêmes et que nous avons entreposés en mémoire

ex: je me perçoit comme étant intelligente

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8
Q

les schémas sur les personnes

A

pour chaque personne qu’on connais on a organisé un schéma qui organise ce que nous savons et ressentons fasse à cette personne

ex: on a une idée de ce qu’est une personne agressive

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9
Q

les schémas sur les rôles ou les groupes sociaux

A

rôles: représente l’information que nous avons acquises au sujet de différente membre de groupes ethnique ou raciaux

pour un groupe lorsqu’on parle de schéma on parle de stéréotype, ce qui peut être un inconvénient, car on ne prend pas en compte la variabilité individuelle, on surgénéralise et peut mener à la discrimination

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10
Q

les schémas sur les évènements

A

la restauration n’est pas pareille partout, par exemple dans un autre pays ça ne vas pas marcher nécessairement de la mêmes manières, comme le pourboire

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11
Q

processus de traitement de l’information sociale: l’attention

A

elle précède l’entreposage et le rappel de l’information

  • Nous percevons plus facilement ce qui est cohérent avec notre schéma
  • Dépend du percevant et du stimulus, ce qui peut attirer l’attention à quelqu’un pourrais ne pas attirer l’attention de quelqu’un d’autre
  • Saillance des schémas

Exemple: (Kelley, 1950)
‘Personne froide, travaillante, critique, pratique, déterminée’
vs: ‘Personne chaleureuse, travaillante, critique, pratique, déterminée

à retenir que l’attention ne mène pas à l’emmagasinage dans tout les cas, mais les schémas vont venir jouer un rôle en imposant la forme sous laquelle l’information perçues sera entreposé dans la mémoire

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12
Q

processus de traitement de l’information sociale

A

nous percevons seulement une partie de ce qui existe dans le monde extérieur, entrepose seulement ce qu’on perçoit et on se rappel juste de ce qui a été mémorisé. Ces processus varie selon notre niveau de conscience

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13
Q

processus de traitement de l’information sociale: l’entreposage

A

à retenir que l’attention ne mène pas à l’emmagasinage dans tout les cas, mais les schémas vont venir jouer un rôle en imposant la forme sous laquelle l’information perçues sera entreposé dans la mémoire et en offrent une structure dans laquelle il est possible de remiser une informations

  • L’information est plus facilement entreposée en mémoire lorsque nous possédons un schéma organisé
  • Entreposage des informations à l’aide des schémas existants
  • Le contenu des schémas influence la façon d’entreposer la nouvelle
    information, quand on intègre une nouvelle information ça vient bonifier notre perception d’une personne
    E.g., Le comptable
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14
Q

processus de traitement de l’information sociale: le rappel

A

information que le personne peut se rappeler de une fois quelle est mémorisé, on se souvient de l’information la plus congruente avec nos structures cognitives encodée en mémoire

  • Le rappel se fait en fonction des schémas existants
  • L’information cohérente sera plus facilement accessible
  • L’information INCOHÉRENTE peut elle aussi consolider nos schémas

ils ne faut pas avoir de paresse cognitive, il faut prendre le temps d’étudier les comportements qui sont non-conforme. On essaie de se rappeler de l’information qui supporte le schéma

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15
Q

processus de traitement de l’information sociale: le jugement

A

Peut subvenir à n’importe quelle moment, ce fais au fur à mesure que de nouvelles informations s’en viennent

  • Le jugement global d’une personne est influencé en grande partie par l’information initiale que nous avons sur cette personne
  • Lorsqu’on porte un jugement sur une nouvelle personne, nous avons tendance à faire une moyenne pondérée de ses caractéristiques (Anderson, 1968)
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16
Q

L’INFLUENCE DU CONTEXTE

A

Le contexte social favorise l’amorçage de certains schémas reliés à la situation
Amorçage: L’activation de structures cognitives par le contexte social actuel
L’activation de ces structures cognitives (même subliminalement) influence nos perceptions et comportements

les concepts qu’on observe viennent influencer les concepts qu’on vit

17
Q

LA CORRÉLATION ILLUSOIRE

A

-Tendance à surestimer l’association entre deux variables qui sont légèrement ou pas du tout liées entre elles
* L’impression éronée que deux variables sont corrélées (associées)
* Simulation de l’étude de Hamilton & Gifford (1979) provenant du site de Jonathan Mueller

18
Q

les heuristiques

A

Impliquent un traitement rapide et sans effort de l’information

pour faire les tâches rapidement, on a recours à des processus mentaux qui réduisent l’informations complexe en des jugements simples

19
Q

les heuristiques de représentativité

A

Est-ce qu’un individu fait partie d’une catégorie particulière? Est-ce qu’un individu ou une situation représente un schéma dans notre mémoire. Par exemple est-ce que les symptômes du patient sont représentatifs d’un trouble cardiaque

est-ce que l’info dans notre environnement sociale correspond à notre schéma

20
Q

Heuristiques de disponibilité:

A

Influencées par le nombre d’exemples qui nous viennent alors en tête, on va basé notre jugement sur les exemples

21
Q

Heuristiques par simulation:

A

Référence à certaines conséquences lors de situations semblables

ex: se dire que les situations se ressemblent et agir conséquemment de la même manière, je suis en retard pour voir quelqu’un, ça va être quoi sa réaction, je vais me basé sur comment elle a réagit la dernière fois j’étais en retard

22
Q

Heuristiques d’ancrage

A

Utilisation d’une information de base pour se former une impression
ex: combien de spectateurs ils a eu à des matchs des canadiens? Je ne sais pas mais je vais me basé sur mes connaissance pour faire une estimation. Je sais la capacité de l’arène et qu’ils ont bien joués cette saison

23
Q

Heuristiques affectives

A

Une grande quantité de stimuli provoque une réaction affective qui n’est pas toujours consciente

ex: un médecin qui devient ami avec son patient, je veux qu’il se repose je ne vais pas faire des tests sur lui ce soir

24
Q

LES RACCOURCIS COGNITIFS SONT-ILS TOUJOURS MAUVAIS?

A

peut-être bon dans la prise de décision complexe, cela peut nous empêcher de surévaluer

  • il faut quand même aussi prendre un moment
25
Q

LES DIMENSIONS DES STÉRÉOTYPES

A
  • Modèle du contenu des stéréotypes (Fiske, Cuddy, Glick, & Xu, 2002):
  • Les dimensions de compétence et de ‘chaleur’ (warmth) décrivent le
    mieux le contenu des stéréotypes envers divers groupes sociaux
  • Conséquences importantes pour nos réactions envers les membres de ces groupes: 1. respect/admiration, 2. envie/ressentiment, 3. aimer mais ne pas respecter/pitié, 4. condescendance/dégoût
26
Q

INFLUENCE DE L’ENTREPOSAGE INITIAL SUR LES PERCEPTIONS SUBSÉQUENTES
(ANDERSON, LEPPER, & ROSS, 1980)

A

Étapes:
1. Réception de l’info sur ce qui fait de ‘bons’ pompiers: doit qu’ils prennent ou qu’ils n’en prennent pas

  1. Les participants indiquent quels traits sont effectivement bons
  2. Présentation d’informations remettant en question l’info fournie à l’étape 1: Est-ce que cela change les perceptions des participants?
    NON!: ils continuent à utiliser l’informations qu’ils ont reçues , car ça peut être difficile de remettre en question parce qu’on veut être efficace cognitivement
27
Q

l’influence de l’entroposage initial sur les perceptions subséquentes

A

Une fois formées, les impressions et perceptions sont plus difficiles à changer.
ex: Barack Obama, est-ce que suivre les nouvelles

28
Q

l’amorçage et les processus automatiques ( Bargh et Pietromonaco, 1982)

A

Phase 1: Mots neutres ou relatifs à l’hostilité sont présentés subliminalement (e.g., hostile, insulte, raide)
Phase 2: Formation d’une impression de Donald par exemple le refus de payer un loyer

dépendant des mots présenté on observent l’hostilité perçu par les participants, le plus les mots sont agressifs les plus ils sont perçu comme étant hostile

29
Q

l’amorçage et les processus automatiques ( Bargh, Chen et Burrows, 1996) étude 1

A

Étude 1: Amorçage de mots relatifs à la politesse, l’impolitesse, ou neutres Tâche des phrases mélangées: ‘ est il poli neige toujours’

ont observent si les participants vont avoir plus de facilité à interrompre les expérimentateurs dépendant des mots qu’on leur a présenté

résultats : plus les mots présenté sont impolis le plus de facilité ils ont a interrompre.

30
Q

l’amorçage et les processus automatiques ( Bargh, Chen et Burrows, 1996) étude 2

A

Étude 2: Amorçage de mots relatifs à la vieillesse ou neutres, on présente des mots en liens avec la vieillesse ou des mots neutre

étape 2: les chercheurs vont chronométrer le temps que ça prend pour les participants pour marcher à l’ascenseur

résultats : s’ils ont été présentés des mots vieux, ils marchent plus lentement

31
Q

les critiques récentes sur les études utilisant l’amorçage

A

Ils a une grande importance accordé aux détails de la méthodologie de notre recherche, ils faut tout mentionner

  • Certains résultats passés n’ont pas été répliqués… la recherche se doit d’identifier les modérateurs de l’effet d’amorçage et développer une bonne théorie (Cesario, 2014)
  • Exemple de modérateurs: Meevissen et al. (2014): Amorçage de l’optimisme mène à plus de persistance suite à la fatigue, mais ce, seulement pour les participants étant schématiques pour l’optimisme
32
Q

les caractéristiques du percevant
lire P. 117 Bianca

A
  • Caractéristiques du percevant: processus utilisé pour percevoir la cible, les buts poursuivit par les individus lors de perceptions sociales sont importants

-Motivation: Quel est le coût associé à une perception erronée? Quelle sera
la conséquence? Pour quelqu’un qu’on voit souvent ont veut avoir une idée précise de qui ils sont. Un jury par exemple va être motiver à avoir une perception juste de quelqu’un

Le but poursuivit par l’individu lors de la perceptions est importante

-Type de relation interpersonnelle

-Occupation cognitive (beaucoup de chose qui occupe notre esprit) : Elle diminue la précision de nos perceptions sociales

33
Q

les caractéristiques de la cible

A

Comment les cibles influencent-elle nos perceptions d’elles?
L’apparence physique, plus positive va être associé à une meilleure perception
La voix
 L’habillement
Le comportement (gestes corporels et comportements non verbaux) Les ouï-dires

34
Q

le rôle actif de la cible

A

la cible peut réagir aux perceptions que nous avons d’elle
* Le dévoilement d’indices sur notre identité (vêtement, comportements et apparence physique)
* Choix du contexte social dans lequel on évolue et choix des interactions
* L’adoption de stratégies appropriées dans les interactions: Si les actions du percevant envers la cible ne correspondent pas aux attentes de la cible, celle-ci peut agir de façon à influencer les perceptions du percevant

35
Q

vérification et confirmation des hypothèses

A
  • Nous cherchons et remarquons les caractéristiques qui confirment nos schémas
  • Nos perceptions influencent nos comportements adoptés avec la cible
  • Les comportements adoptés par le percevant ont pour but de confirmer ses perceptions initiales
36
Q

vérification et confirmation des hypothèses ( Snyder et Swann, 1978) à compléter P. 132

A

confirmer si une personne est introverti

37
Q

L’influence des perceptions sur les comportements du percevant ET de la cible

A

-Les comportements du percevant influencent aussi la cible

-La cible réagit de façon à confirmer les attentes du percevant, par exemple des chercheurs ont identifiés des enfants comme étant des late bloomers , ce qui a donné une nouvelle perception aux enseignants et aider ses élèves

38
Q

Swann et Hill, 1982

A

étude sur la perception de soi, on veut voir comment les cibles réagissent

ils a du monde qu se voit comme des personnes dominantes et d’autre comment des personnes soumises

lorsq’il reçoivent un feedback sur leur perception on peut voir leur réaction.

résultats : si on est d’accord avec les perceptions que les cibles. Ceux qui se perçoivent comme dominant montre sont comportement dominant mais pas trop, tandis que quand on est d’accord qu’une personne soumis est soumis la force de ses comportement de dominance augmente

si on est en désaccord avec les perceptions que les participants ont d’eux-mêmes, les personnes qui se juge dominante augmente beaucoup la force de leur comportement dominant et les personnes qui se juge soumis adopte moins de comportement dominant