Cours 4 Flashcards
Quand le pb devient une crise, que ce passe-t-il chez l’individu ?
Il n’arrive pas à reporter la crise à un autre moment. La situation est critique et la personne veut une réponse de suite, ce qui n’est pas le cas pour un problème en général.
Crise = pb à résoudre.
Que permet le modèle de résolution interpersonnel?
Il dirige la personne qui vit une crise dans une série d’étapes cognitives et comportementales qui augmentera ses chances de trouver une soluce.
Le principe de la rpi
L’orientation de la résolution du pb: Motivation = meilleurs condition pour résoudre pb. Cela dépend de comment elle comprend le pb et de sa confiance. Cette orientation porte sur l’ensemble des convictions, des attitudes et des sentiments d’une personne à l’égard des problèmes qu’elle vit.
La résolution de problème proprement dite: tous les gestes que peut poser une personne pour régler ses problèmes et surmonter les crises.
Quelles sont les attitudes préexistantes pour faire face aux pbs?
La connaissance de ses propres capacités (plus on est confiant et mieux on arrivera).
L’anticipation des résultats (la motivation)
Les différents styles de résolutions d’un pb :
impulsifs et l’évitement (c’est inadéquat)
rationnel (c’est adéquat)
2 éléments d”orientations de la rpi qui doivent être prises en compte.
- La volonté de considérer les crises comme des défis plutôt que comme des menaces;
- La réalisation que du temps et des efforts sont nécessaires pour gérer une crise, ainsi que la volonté d’accepter ce fait;
Quelles sont les 8 étapes de la rpi ?
- Reconnaître et accepter une situation de crise au moment où elle survient.
- Définir la crise en l’expliquant dans ses propres mots.
- Comprendre la situation de crise.
- Se fixer des objectifs atteignables (au niveau comportemental ou affectif). Quand la personne a perdu qqun, l’objectif est d’avoir moins de peine.
- Trouver plusieurs solutions pour gérer la situation de crise (cpt + affectif)
- Évaluer les solutions trouvées et choisir la plus prometteuse.
- Mettre la solution en œuvre
- Évaluer l’efficacité de l’ensemble de la démarche et, au besoin, prendre des mesures correctives à l’une ou l’autres des précédentes étapes.
- reconnaitre et accepter la situation de crise.
- Ce n’est pas la reconnaissance d’être en crise qui crée une difficulté, mais la reconnaissance de la crise.
- L’acceptation est le contraire de l’évitement et laisse supposer que la personne est prête à accepter la présence d’une crise ainsi qu’à l’accepter.
- L’intervention de crise vise à aider la personne à accepter la crise en se servant de l’acceptation comme d’un tremplin et d’une condition nécessaire à toute adaptation future.
- Définir la crise dans ses propres mots.
Une crise = décès, maladie etc. Dépend perception et définition du pb.
Avoir le plus d’infos possibles afin de trouver les résolutions de crise. Plus on a d’info, mieux c’est pour chercher les soluces.
Définir la crise dans ses propres mots et formuler sa définition concrète et précise.
Définir la situation «ici et maintenant» ainsi que le résultat souhaité en termes concrets.
Choisir des objectifs réalistes.
En tant qu’intervenant : modifier aspect - de la situation (dans la mesure du possible). Réduire la détresse causée par condi -
- Comprendre la situation de crise (Gestalt)
Gestalt : voir les faits psycho et psychiques dans un ensemble, et non séparés. C’est une psychothé qui vise à résoudre trouble cpt et émotion en travaillant sur processus psycho et corpo de l’individu
Le gestlalt de la crise :
- situation ici et maintenant = aversive.
- situation telle qu’elle devrait être, celle qu’on veut atteindre.
- obstacle de l’atteinte de la situation = capacité, aptitude de la personne ou contraintes extérieurs.
- Se fixer des objectifs atteignables.
- Énoncer ses objectifs en termes concrets et précis.
* Éviter de se fixer des objectifs irréalistes ou peu susceptibles d’être atteints.
- trouver plusieurs soluce pour gérer la crise (cptale et affectifs).
plus il y a de soluce, mieux c’est (brainstorming, qqun a qui c arrivé).
éviter de juger ou d’examiner les idées trouvées car peut nuire au processus du brainstorming.
réfléchir aux moyens possibles
combinaisons
- Évaluer les solutions trouvées
et choisir la plus prometteuse
Prise de décision
Courbe en U inversé. Lorsque la charge affective est trop faible ou trop forte, les performances diminuent.
Ici, c’est le sujet difficile des prises décisions dans situations difficiles, affectés par émotions.
Janis en Mann : 2 processus décisionnels déficient résultent d’un stress élevé : évitement défensif (reporter ou dépendance) et hypervigilance (la personne saute sur une solution sans l’analyser).
Stress influence processus décisionnel, donc conseiller au client de suivre processus de résolution et lui refléter les pièges dans lesquels il pourrait tomber.
- Mettre la solution choisie en oeuvre
La réponse se trouve souvent dans le ré^pertoire de la personne.
Il devra apprendre la nouvelle réponse et acuérir les habilités pour la mettre en oeuvre.
Dvp sentiment de maitrise de soi en 4 étapes :
1) Adopter la bonne séquence de réponses ou de mesures.
2) Contrôler ses propres performances au cours de la mise en œuvre.
3) S’autoévaluer (évaluer ses propres performances)
4) Effectuer son propre renforcement (se donner une rétroaction positive en cas de réussite).
Prendre conscience du temps
- Évaluer la démarche, dans son
ensemble, et apporter des correctifs aux
étapes précédentes
La solution choisie a permis à la personne d’atteindre son objectif ?
Diminution de tension, stress indique que la crise est passée. Prendre compte que l’on peut mettre du temps pour évaluer la personne en crise.
Parfois, on doit accepter la situation car on peut pas la modifier, il faut + de tps avant de tirer conclusions sur efficacité soluce, démarche entreprise. Il faut aussi apprendre à vivre avec.