Cours 2 - Mauvais traitement envers les enfants; violences, protection, reportage Flashcards

1
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, que s’est-il passé au tout début?

A

Il y avait les premiers écrits sur la violence physique et sexuelle.

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2
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, qu’est-ce qu’un médecin aurait tenté de reconnaitre, et dans quels cas?

A

Il a tenté de reconnaitre des forcmes de maltraitance infantile.
C’était seulement dans les cas plus extrêmes de violence physique qu’il pouvait reconnaitre les conséquences que cela avait.

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3
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, lorsqu’il est question de déclaration des droits des enfants, de quoi est-il question?

A

Les premières lois qui donnaient des droits aux enfants, les différenciant d’objets appartenant à leurs parents.
Ils ont le droit d’être nourris, soignées, éduqués, etc.

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4
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, qu’a mis de l’avant la parution du livre sur le syndrome de l’enfant battu.

A

Il doit y avoir un système qui met en place des conséquences pour la maltraitance infantile.

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5
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, suite à la parition du livre sur le syndrome de l’enfant battu, la _________ fut considérée comme un problème de _____________________.

A

La maltraitance fut considérée comme un problème de santé publique.

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6
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, en quoi consiste le Rapport Bouchard?

A

Il s’agit d’un rapport proposant des mesures pour réduire la victimisation chez les enfants et réduire le taux de pauvreté chez les jeunes familles.

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7
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, de quel pourcentage le Rapport Bouchard voulait-il diminuer le taux de violene envers les enfants?

A

Il voulait le diminuer de moitié.

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8
Q

Que signifie l’acronyme PSBE?

A

Politique de la Santé et du Bien-Être.

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9
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, qu’a proposé la PSBE?

A

19 objectifs afin de réduire les problèmes de santé qui affectaient le plus la population (pas juste les enfants, mais ils étaient inclus).

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10
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, qu’est-ce qui fut limité récemment, et qu’est-ce que cela implique?

A

Limitation du recours à la force légère.
Il y a possibilité de recourir à la punition physique, mais seulement avec certaines conditions et avec une force légère.

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11
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, quelle modification y a-t-il eu dans la LPJ (loi de la protection de la jeunesse)?

A

Une redéfinition des formes de violence.

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12
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, en quoi consiste la Commission Laurent?

A

Des recommendations de beaucoup d’éléments du Rapport Bouchard.
Un accent sur la prévention.
Des points sur la violence physique.

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13
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, à partir de quoi est-ce quel l’ONU aurait partie un mouvement pour la protection des enfants?

A

La parution du livre sur le syndrome de l’enfant battu.

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14
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, qu’est-ce qui fu réitéré plusieurs fois?

A

La PSBE.

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15
Q

Selon la perspective histoirique de la violence envers les enfants, quel est donc l’ordre des événements majeurs, sans donner de date?

A

Premiers écrits sur la violence physique et sexuelle.
Tentative de reconnaissance des formes de maltraitance infantile.
Déclaration des droits des enfants.
Parution du livre sur le syndrome de l’enfant battu.
Considération de la maltraitance comme un problème de santé publique.
Publication du Rapport Bouchard.
Politique de la santé et du bien-être (PSBE).
Réitération du PSBE.
Limitation du recours à la force légère.
Modification à la LPJ (redéfinition des formes de violence).
Commission Laurent.

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16
Q

Quelles sont les 8 formes de violence envers les enfants en contexte familial?

A
  1. Abus psychologique (ou verbal, ou émotionnel).
  2. Abus physique.
  3. Abus sexuel.
  4. Négligence émotionnelle.
  5. Négligence physique.
  6. Négligence sanitaire.
  7. Négligence éducationnelle.
  8. Exposition à la violence conjugale.

[APPS NEEPS EV]

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17
Q

Quelle violence envers les enfants est considérée comme interpersonnelle, sans être exclusive à la famille?

A

L’intimidation par les pairs.

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18
Q

Qu’est-ce que l’abus psychologique?

A

Les comportements ou propos qui génèrent la peur ou la honte chez l’enfant. Ceci peut faire en sorte qu’iel se sente isolé et rabaissé.

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19
Q

Quels sont des exemples d’abus psychologique mentionnés?

A

Menaces.
Insultes.
Humiliation.
Destruction d’objets ou blessure d’animaux de compagnie.

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20
Q

Qu’est-ce que l’abus physique?

A

L’utilisation de la force délibérée de manière non-consentante sur l’enfant. Elle peut causer des douleurs ou des blessures permanentes.

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21
Q

Quels sont des exemples d’abus physique donnés?

A

Pousser ou bousculer.
Frapper, gifler, pincer, brûler, blesser avec un objet.
Lancer des objets sur l’enfant.
Étrangler ou attacher l’enfant.

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22
Q

Quelle est la forme la plus grave d’abus physique contre l’enfant?

A

Un infanticide (tuer l’enfant).

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23
Q

Qu’est-ce que l’abus sexuel?

A

L’exposition inappropriée à des contacts, activités ou comportements d’ordre sexuel, sans consentement valide de la part de l’enfant.

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24
Q

Quels sont des exemples d’abus sexuel donnés?

A

Attouchement sexuels ou caresses (avec ou sans pénétration).
Exposition à du matériel sexuel (comme la pornographie).

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25
Q

Dans l’abus sexuel contre l’enfant, qu’est-ce qui est inclut dans les attouchements sexuels et les caresses (avec ou sans pénétration)?

A

Une demande pour que l’enfant s’y adonne.
(Même sans action faite, inviter le jeune à un comportement sexuel est une forme d’abus sexuel).

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26
Q

Dans l’abus sexuel contre l’enfant, l’exposition à du matériel sexuel peut être ________.

A

Accidentel.

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27
Q

Dans l’abus sexuel contre l’enfant, lorsqu’il est question de consentement valide, quelles sont les caractéristiques des différents groupes d’âge face au consentement au Canada?

A

0 à 11 ans: aucun consentement valide.
12 et 13 ans: consentement valide, avec un maximum de 2 ans de plus qu’eux.
14 et 15 ans: consentement valide, avec un maximum de 5 ans de plus qu’eux.
16 ans et plus: consentement avec n’importe qui.

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28
Q

Dans l’abus sexuel contre l’enfant, peu importe l’âge, quelle situation fait en sorte que le consentement n’est pas libre et éclairé, et n’est donc pas valide?

A

S’il y a une relation de pouvoir.

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29
Q

Dans l’abus sexuel contre l’enfant, pourquoi existe-t-il un mouvement de parents qui encouragent d’autres parents à apprendre a leurs enfants des termes sexuels?

A

Car les enfants peuvent ne pas avoir les mots pour décrire une situation sexuelle vécue.

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30
Q

Dans l’abus sexuel contre l’enfant, il arrive souvent que les agresseurs font en sorte que l’enfant ne dévoile pas ce qu’il vit, soit en _________________________________________, soit en _________________________________________, ou soit en _________________________________________.

A

Soit en lui faisant croire que c’est bien, soit en menaçant l’enfant de lui faire quelque chose s’il le dénonce, soit en s’assurant que l’enfant éprouve du plaisir lors de l’abus.

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31
Q

Qu’est-ce que la négligence émotionnelle?

A

Ne pas répondre aux besoins émotionnels de l’enfant, telles que l’affection, l’attention, le soutien et la compétence.

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32
Q

Quels sont des exemples de négligence émotionnelle donnés?

A

Manque d’intérêt ou de validation quand au monde interne de l’enfant.
Manque de soutien lors d’expériences émotionnellement demandantes.
Manque d’affection pouvant donner l’impression qu’il n’y a pas d’amour.
Manque d’encouragement lors de nouvelles expériences/défis.
Désengagement/désintérêt à passer du temps de qualité avec l’enfant.

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33
Q

Dans la négligence émotionnelle contre l’enfant, qu’est-ce que l’enfant peut internaliser s’il est toujour négliger quant à son monde interne?

A

Qu’il n’aura jamais d’attention de la part de sa famille.

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34
Q

Dans la négligence émotionnelle contre l’enfant, pourquoi le désengagement/désintérêt à passer du temps de qualité avec l’enfant peut-il arriver souvent de nos jours?

A

À cause des cellulaires, où on peut être dans la même pièce que l’enfant sans lui parler ou jouer avec lui.

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35
Q

Dans la négligence émotionnelle contre l’enfant, les enfants grandissant avec de la négligence émotionnelle auraient tendance à quoi?

A

À ne pas se sentir aimé ou désiré.
À avoir plus de difficulté à gérer leurs propres émotions. (Ils n’ont pas appris à les identifier et les considérer)

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36
Q

Qu’est-ce que la négligence physique?

A

Ne pas répondre aux besoins alimentaires, vestimentaires, hygiéniques ou de logement de l’enfant.

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37
Q

Quels sont des exemples de négligence physique donnés?

A

Ne pas bien nourrir l’enfant.
Ne pas fournir des vêtements appropriés.
Ne pas laver l’enfant.
Logement non vivable.

38
Q

Dans la négligence physique contre l’enfant, quelle autre forme de négligence existe-t-il lorsqu’il est question du logement?

A

Si l’enfant déménage trop souvent. (Il ne sentira pas qu’il a une maison assez comfortable pour rester)

39
Q

Dans la négligence émotionnelle contre l’enfant, s’il y a des problèmes car la famille n’a pas assez de ressources nécessaires, s’agit-il tout-de-même de négligence?

A

Oui. (Mais la demande sera peut-être traitée différement)

40
Q

Dans la négligence émotionnelle contre l’enfant, une forme plus rare de négligence physique consiste à ne pas faire attention à ____________________________.

A

À où un parent garde les médicaments, l’alcool, etc.

41
Q

Qu’est-ce que la négligence sanitaire?

A

Ne pas répondre aux besoins de santé physique ou mentale de l’enfant.

42
Q

Quels sont des exemples de négligence sanitaire donnés?

A

Ne pas faire de suivi auprès d’un professionnel malgré les recommandations.
Ne pas donner les médicaments prescrits à l’enfant.
Ne pas apporter son enfant à la clinique malgré les symptômes importants.

43
Q

Qu’est-ce que la négligence éducationnelle?

A

Ne pas fournir de surveillance ou d’encadrement nécessaire pour assurer la scolarisation de l’enfant.

44
Q

Quels sont des exemples de négligence éducationnelle donnés?

A

Manque de suivi avec le personnel enseignant ou éducateurs.
Aucune aide aux devoirs.
Manque d’intérêt quand à la présence constante de l’enfant en classe.

45
Q

Au Québec, les enfants doivent être à l’école de __ à __ ans.

A

De 6 à 16 ans.

46
Q

Qu’est-ve que l’exposition à la violence conjugale?

A

Lorsque les enfants sont affectés directement ou indirectement par la violence conjugale entre les figures parentales.

47
Q

Quels sont des exemples d’exposition à la violence conjugale donnés?

A

Voir un parent frapper un autre.
Entendre des cris et insultes entre les parents.
Côtoyer des parents pris dans une dynamique de violence.

48
Q

Dans l’exposition à la violence conjugale contre l’enfant, quelle particularité temporelle possède le fait de côtoyer des parents pris dans une dynamique de violence?

A

Cela peut être pendant la grossesse (ou après la naissance).

49
Q

Est-ce que l’exposition à la violence conjugale contre l’enfant représente de l’abus ou de la négligence?

A

Elle peut être les deux.

50
Q

L’exposition à la violence conjugale contre l’enfant peut être ______ ou ______.

A

Peut être directe ou indirecte.

51
Q

Qu’est-ce que l’intimidation?

A

Des gestes, interventions ou commentaires qui menacent, blessent, humilient, excluent socialement ou privent quelqu’un de sa dignité. La victime peut être sous l’emprise d’une personne ou d’un groupe et a de la difficulté à se défendre.

52
Q

Qu’est-ce que l’intimidation répétée peut impacter?

A

L’estime de soi.

53
Q

Quels sont des exemples d’intimidation donnés?

A

Intimidation physique (frapper, pousser, trébucher).
Intimidation verbale (insulter, menacer, se moquer).
Intimidation sociale (exclure, répandre des rumeurs, dévoiler des secrets).
Intimidation matérielle (détruire, voler, vandaliser des objets).

[SPVM]

54
Q

Quels sont les 3 synoynmes désignant les différents événements traumatiques pouvant survenir durant l’enfance?

A

Trauma cumulatif =
Polyvictimisation =
Trauma complexe.

55
Q

En termes de trauma, il serait plus commun de vivre __________ qu’ __________.

A

Plus commun de vivre un cumul de traumas qu’un seul trauma isolé.

56
Q

Quel effet aurait l’interaction entre plusieurs évènements traumatiques comparé à la somme de chaque événement pris individuellement?

A

Un effet plus important.
(Plusieurs types de traumas aura des conséquences plus ancrées et à long-termes comparé à un seul trauma).

57
Q

À quelle genre de conséquences est-ce que le trauma cumulatif serait associé?

A

À des conséquences plus complexes, diffuses et tenaces.
(Comme l’identité).

58
Q

Plus les indices qu’un enfant pourrait être victime de violence s’accumulent, plus ______________.

A

Il y a de questions à se poser.

59
Q

Lors du dévoilement d’un enfant, que faut-il faire?

A

Demeurer calme devant l’enfant.
Le laisser parler librement.
Écouter l’enfant ouvertement et ne pas le juger.
Être rassurant pour lui.
Lui dire qu’il a pris la bonne décision en vous parlant de ses difficultés.
Lui faire comprendre que vous le croyez.
Noter dès que possible les paroles de l’enfant.

60
Q

Lors du dévoilement d’un enfant, que faut-il éviter?

A

Lui promettre qu’on gardera secret ce qu’il nous a raconté.
Interroger indûment l’enfant, particulièrement dans les situations d’abus sexuels et physiques.

61
Q

Lors du dévoilement d’un enfant, pourquoi faut-il éviter d’interroger indûment l’enfant, particulièrement dans les situations d’abus sexuels et physiques.

A

Des questions suggestives pourraient influencer l’enfant et donc nuire à l’intervention du DPJ.
On ne veut pas mettre des mots dans sa bouche.
Il pourrait croire ce qu’on lui demande même sans que cela ne ce soit passé réellement.

62
Q

Quand est-ce que la loi prévoit que la sécurité ou le développement d’un enfant EST considéré comme compromis?

A

Abandon.
Négligence.
Mauvais traitements psychologiques.
Abus sexuels.
Abus physiques.

[A MANA]

63
Q

Lorsqu’on parle de trouble de comportement sérieux, quand est-il question de «sérieux»?

A

Lorsque l’enfant se comporte de manière à porter atteinte à sa propre atteinte psychologique ou physique, ou à celle des autres.
ET
Que les parents n’essaient pas de trouver de l’aide ou lorsque l’enfant de 14 ans et plus s’y oppose.

64
Q

Quand est-ce que la loi prévoit que la sécurité ou le développement d’un enfant PEUT ÊTRE considéré comme compromis?

A

Fugue.
Non-fréquentation scolaire.
Délaissement de l’enfant par ses parents à la suite d’un placement en vertu de la Loi sur les services de santé et les services sociaux. (Pas de suivi/d’intérêt du parent envers l’enfant lorsqu’il est placé)

[DNF]

65
Q

De manière générale, quand est-ce que toutes les personnes DOIVENT signaler?

A

Toutes les situations d’abus sexuels et d’abus physiques, même si on juge que les parents prennent des moyens pour mettre fin à la situation, car c’est au DPJ d’évaluer si ces moyens sont adéquats.

66
Q

De manière générale, toutes les personnes DOIVENT signaler les situations d’abus ________ et d’abus ________, mais ne sont pas obligés de signaler les autres situations où nous avons vu que le développement d’un enfant _____________________, comme l’abandon, la négligence, les mauvais traitements psychologiques et les troubles de comportement sérieux.

A

D’abus sexuels et physiques.
Que le développement d’un enfant est considéré comme compromis.

67
Q

De manière générale, quand est-ce que toutes les personnes PEUVENT signaler?

A

Toutes les autres situations pouvant compromettre la sécurité ou le développement d’un enfant.

68
Q

À qui correspondent les professionnels lorsqu’il est question de signalement au DPJ?

A

Les employés des établissements du réseau de la santé et des services sociaux.
Les enseignants.
Les professionnels oeuvrant dans un milieu de garde.
Les policiers.

[PEPE]

69
Q

De manière générale, quand est-ce que les professionnels DOIVENT signaler?

A

Toutes les situations d’abus sexuels et d’abus physiques, même si on juge que les parents prennent des moyens pour mettre fin à la situation, car c’est au DPJ d’évaluer si ces moyens sont adéquats.

70
Q

De manière générale, quand est-ce que les professionnels PEUVENT signaler?

A

Toutes les autres situations pouvant compromettre la sécurité ou le développement d’un enfant.

71
Q

De manière générale, quand est-ce que les professionnels DOIVENT signaler dans l’exercice de leur fonction?

A

Toutes les situations visées par la LPJ.

72
Q

De manière générale, les professionnels DOIVENT signaler lorsque cela est ____________________ par la LPJ, mais ne sont pas obligés de le faire lorsque l’enfant _______________.

A

Lorsque cela est considéré comme compromis.
(abandon, négligence, mauvais traitements psychologiques, abus sexuels, abus physiques, troubles de comportements sérieux)
Pas obligés de le faire lorsque l’enfant peut être compromis.
(fugue, école, placement).

73
Q

Quelle est la différence entre les signalements obligatoires (doivent) des citoyens et des professionnels?

A

Toutes les personnes doivent signaler les situations d’abus sexuels et physiques.
Les professionels doivent signaler les situations d’abus sexuels et physiques, en plus des autres situations visées par la LPJ; l’abandon, la négligence, les mauvais traitements psychologiques, et les troubles de comportement sérieux.

74
Q

Lorsqu’il est question de signalement, en fonction du métier, il existe différents _________________, ayant tous des ______________ lorsque la ___________________ ou le ________________ de l’enfant est compromis ou en danger.

A

Il existe différents codes de confidentialité, ayant tous des exceptions lorsque la sécurité ou le développement de l’enfant est compromis ou en danger.

75
Q

Selon la LPJ, que doit favoriser toute décision prise?

A

Le maintien de l’enfant dans son milieu familial actuel.

76
Q

À qui s’applique la LPJ?

A

Aux enfants qui vivent des situations compromettant ou pouvant compromettre leur sécurité ou leur développement et ayant besoin de protection.

77
Q

Lors de la prise de décision de mesures volontaires ou judiciaires de la LPJ, qu’est-ce qui doit être considéré chez l’enfant?

A

Ses besoins moraux, intellectuels, affectifs et physiques.
Son âge.
Sa santé.
Son caractère.
Son milieu familial.

[BS CAM]

78
Q

La _ fut créée suite à l’application officielle de la _.

A

La DPJ.
La LPJ.

79
Q

Qu’est-ce que la LPJ confie au DPJ?

A

La responsabilité de recevoir les signalements d’enfants en danger.
(La DPJ applique la LPJ)

80
Q

Que doivent considérer les mesures de la DPJ?

A

Les droits de l’enfant et des parents.

81
Q

Quel est le but ultime de l’intervention d’un directeur de la DPJ?

A

Mettre fin à la situation de danger potentiel à laquelle l’enfant est exposé et éviter qu’elle ne se reproduise.

82
Q

Quels sont les situations où la DPJ intervient?

A

Lorsque des indices sont présents.
Lorsque l’enfant est en danger et les parents ne cherchent pas de l’aide et l’enfant de 14 ans et plus s’y oppose.

83
Q

Lors du processus de signalement, la DPJ analyse les renseignements qui lui sont présentés en prenant en considération quels facteurs?

A

La nature, la gravité, la chronicité et la fréquence des faits signalés.
L’âge et les caractéristiques personnelles de l’enfant.
La capacité et la volonté des parents de mettre fin à la situation qui compromet la sécurité ou le développement de l’enfant.
Les ressources du milieu pour venir en aide à l’enfant et à ses parents.

84
Q

Lors du processus de signalement, quelles sont les deux décisions possibles de la DPJ suite à leur analyse?

A

Le signalement n’est pas retenu.
Le signalement est retenu pour évaluation.

85
Q

Lors du processus de signalement, qu’arrive-t-il si le signalement n’est pas retenu?

A

La personne qui a appelé est avisée que le cas n’est pas retenu.

86
Q

Lors du processus de signalement, lorsqu’un signalement est retenu, quelles sont les deux décisions possibles de la DPJ suite à leur évaluation?

A

La sécurité ou le développement de l’enfant n’est pas jugé comme compromis.
La sécurité ou le développement de l’enfant est jugé comme compromis.

87
Q

Lors du processus de signalement, lorsqu’un signalement est retenu mais n’est pas jugé comme compromettant la sécurité ou le développement de l’enfant, que fait la DPJ avec son intervention?

A

Elle met fin à son intervention.

88
Q

Lors du processus de signalement, lorsqu’un signalement est retenu mais n’est pas jugé comme compromettant la sécurité ou le développement de l’enfant, les renseignements recueillis sont conservés combien de temps?

A

Pour une période de 2 ans ou jusqu’à ce que l’enfant ait 18 ans, selon le plus court.

89
Q

Lors du processus de signalement, lorsqu’un signalement est retenu et est jugé comme compromettant la sécurité ou le développement de l’enfant, que fait la DPJ?

A

Elle prend la situation de l’enfant en charge et doit déterminer les mesures à mettre en place pour assurer sa protection et aider ses parents à corriger la situation.

90
Q

Quels sont les 6 étapes du processus de signalement chez la DPJ?

A
  1. Réception et traitement du signalement.
  2. Évaluation de la situation de l’enfant.
  3. Choix de mesures de protection.
  4. Mise en place des mesures de protection.
  5. Révision de la situation.
  6. Liaison avec des ressources.

[REM MR R]

91
Q

Dans tous les cas, quels droit la DPJ doit-elle respecter dans le processus du signalement?

A

Être consultés et informés.
Faire entendre leur point de vue.
Avoir accès à un avocat.
Refuser.
Recevoir des services.
Avoir accès au dossier (parent ou 14 ans et +).

[PAR CSD]

92
Q

Si le signalement n’est pas retenu ou que la sécurité ou le développement de l’enfant ne sont pas jugés comme compromis, et que l’enfant ou ses parents ont besoin d’aide, que doit faire la DPJ?

A

Les informer des ressources disponibles dans leur milieu et les modalités pour y avoir accès.
Assurer la liaison avec ces ressources, de façon personnalisée, si l’enfant et ses parents y consentent.